Flux RSS

Objets communicants

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

81 documents trouvés, affichage des résultats 41 à 50.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(14/04/2011 15:20:28)

Paiement sans contact : un vrai succès à Nice

En seulement dix mois, quelque 200 000 habitants de l'agglomération niçoise ont reçu une Carte Bleue Visa dotée de la fonctionnalité sans contact en remplacement de leur carte traditionnelle ou un téléphone portable équipé de la technologie en question. Le succès est également palpable du côté des commerçants. Ces derniers, regroupant des boulangeries, des cafés, des kiosques à journaux, des pharmacies et des supermarchés, sont désormais plus de 1 500 à être équipés d'un terminal acceptant les paiements sans contact.

"Ces premiers résultats sont extrêmement encourageants pour l'avenir du paiement sans contact. Les Niçois ont accueilli très favorablement ce nouveau système de paiement, jugé pratique, simple d'utilisation, rapide et sûr. Il faut maintenant poursuivre l'équipement des commerçants, continuer d'informer les clients et les inciter à utiliser ce nouveau service intégré à leur carte de paiement ou à leur téléphone portable", explique Charlotte Desbons, directrice du marketing de Visa Europe France.

La paiement sans contact permet notamment de valider un ticket de bus ou de régler des achats en utilisant simplement son téléphone portable.

(...)

(22/03/2011 11:15:34)

IBM multiplie les initiatives dans le domaine de l'eau

Au coeur des débats, des conflits et plus récemment des catastrophes naturelles, l'eau est aussi bien source de vie, que vecteur de désastre important. Pour prévenir, anticiper et améliorer, IBM a choisi cette ressource pour apporter son expertise informatique autour de 3 thèmes, les mers, les fleuves, les rivières (avec la surveillance de la qualité des eaux et autres indicateurs) ; les infrastructures (barrage, digues, tuyaux) et enfin les usages dans la ville via les compteurs intelligents, mais aussi des capteurs pour les fuites. Sur ces axes de travail, IBM a conçu des centres d'excellence, dont 3 sont en Europe, Olivier Hess est responsable de celui de Montpellier. « Le premier à avoir été créé est celui d'Amsterdam à la fin 2006 où IBM et d'autres partenaires ont travaillé sur la gestion intelligente des digues, comment éviter ou prévenir les risques de fissures ou plus graves de digues qui cèdent » explique-t-il. Un autre centre à Dublin s'intéresse quant à lui à la problématique de l'eau dans son environnement. Ainsi la baie de Galway en Irlande s'appuie sur un système de capteurs, qui récupèrent un grand nombre d'informations en temps réel sur l'état de l'eau, et sur des portails qui en publient l'analyse.

Une utilisation prédictive du HPC


Et Montpellier ? Le petit nouveau, comme le surnomme Olivier Hess, « est en charge de la modélisation des fluides. Nous utilisons le HPC (le calcul haute performance) pour anticiper un phénomène comme les inondations ». Concrètement, l'objectif est qu'en cas d'alerte météo, les autorités publiques (préfets, mairies, etc) disposent d'une évaluation des risques encourus et puissent ensuite prendre certaines décisions (évacuations, informations aux citoyens, organisation des secours). « Nous travaillons pour que cette évaluation soit la plus rapide possible, la décision doit se prendre en général entre 6 et 12h après les alertes » rapporte Olivier Hess en avouant « que les premiers tests ne donnaient que des résultats en quelques...jours ». Interrogé sur une éventuelle utilisation du cloud comme support pour améliorer et accélérer ses prévisions, le responsable reste pragmatique « c'est un axe de travail possible, mais en ce qui concerne nos recherches, nous préférons utiliser un cluster dédié à 100% ». Par contre, les 3 centres d'excellence ne vivent pas en circuit fermé et les découvertes des uns profitent aux autres. « Quand des digues se rompent, nos recherches sur la modélisation des fluides pourront apporter des réponses » rappelle Olivier Hess. Idem pour l'expérience menée à Dublin dans la baie de Galway, où prévisions et mesures pourront anticiper les risques de pollution du milieu marin en cas de forte pluie. Le champ d'investigation est donc important pour les ingénieurs d'IBM.

(...)

(17/03/2011 11:07:44)

Google travaille sur un service de paiement mobile

Google prévoit de tester un service de paiement sans contact dans les commerces de New York et de San Francisco, indique l'agence Blommberg. Un document, qui cite des sources anonymes, révèle que la firme de Moutain View est en pourparlers avec VeriFone Systems pour l'installation des terminaux requis pour utiliser des services de paiement mobile embarquant la technologie NFC (near-field communication).

Ned Tyler, porte-parole du géant californien, a déclaré que la firme - qui propose un service de paiement connu sous le nom de Google Ckeckout -  était intéressée pour développer des services de paiement sans contact à destination des utilisateurs de smartphones. Le plus connu étant le Nexus S, un téléphone Android fabriqué par Samsung. Le représentant de Google a ajouté que la firme s'était récemment lancée dans un projet pilote à base de puces NFC à Portland, dans l'Oregon. Les commerçants ont pu commencer à utiliser des étiquettes NFC à des simples fins informatives, mais le service ne prend pas en charge les paiements mobiles.

Pour Xavier Debbasch, co-fondateur et directeur général d'Airweb, société de conseil spécialisée dans la fourniture de portails et d'applications mobiles. en se lançant sur le marché du NFC, Google pourrait aller encore plus loin dans la chaîne de valeur : «En se positionnant sur le paiement sans contact, Google optimisera d'abord ses revenus publicitaires dans la mesure où le NFC lui permet d' aller jusqu'à l'acte de vente », analyse t-il. « Ensuite, cette initiative pourrait conduire les commerçants à travailler avec la firme. Enfin, cela permettra à Google de s'immiscer dans le domaine des transactions bancaires et de concurrencer des spécialistes tels que PayPal. »

Les Niçois satisfaits à 90%

Le fondateur d'Airweb considère que les constructeurs de smartphones devraient tous s'engouffrer dans la brèche du NFC  «Si 2011 marque le démarrage du paiement sans contact, 2012 pourrait bien marquer son avènement », estime celui-ci. Nokia a déjà intégré la technologie sans contact dans ses smartphones C7 De son côté, Apple pourrait  équiper ses prochaines générations d'iPhone de puces NFC, tandis que RIM envisage lui aussi d'aller dans ce sens.

Reste que Google a pris de l'avance avec son OS Android 2.3 qui prend nativement en charge le support de ce standard. Reste à savoir quelles seront les retombees du NFC en Europe, en plus particulièrement dans l'Hexagone. En France, Nice a expérimenté  les technologies du sans contact sur téléphone mobile depuis le printemps dernier à travers les applications Cityzi. Ce dispositif permet l'achat et la validation de tickets de transports urbains, donne accès à des informations culturelles, dispose d'une application destinée aux étudiants et autorise également le paiement bancaire sur mobile auprès des commerçants. Les statistiques sont plutôt encourageantes.

« Depuis le démarrage du projet, 3 000 Niçois sont équipés d'un mobile Cityzi et plus de 1 000 commerces possèdent des terminaux adaptés », souligne Xavier Debbasch. Avec un taux de satisfaction atteignant les 90%, le NFC semble avoir fait l'unanimité à Nice. Mais les commerçants niçois n'ont pas eu à verser de commission, Les frais générés par les terminaux NFC pourront peut-être dissuader les TPE, estime le fondateur d'Airweb. Mais pas les grands acteurs, comme les grandes surfaces, entre autres.

(...)

(16/12/2010 17:44:19)

Orange intègre le paiement sans contact sur la carte SIM

L'opérateur prend ses engagements en faveur du paiement sans contact. Il lancera à partir du second semestre 2011 une nouvelle génération de cartes SIM et de terminaux mobiles intégrant la technologie NFC (Near Field Communication), permettant à ceux qui les utilisent de réaliser des transactions avec leur téléphone portable. Cette technologie, très développée en Asie, notamment au Japon, peut par exemple servir à valider son titre de transport, payer des billets de spectacle ou régler ses achats chez un commerçant, en passant son combiné devant un lecteur dédié. En France, plusieurs expérimentations sont menées depuis quelques années, et Nice a récemment lancé une offre concrète auprès des commerces et services de la ville (offre Cityzi avec Orange et le terminal Samsung Player One).

Un objectif de 500 000 clients fin 2011


Ces cartes SIM et mobiles labellisés NFC seront proposés par Orange dans le cadre d'offres par abonnement, dans la majorité des pays européens où l'opérateur est présent. En France, il se donne pour objectif d'équiper au moins 500 000 clients avec des mobiles compatibles d'ici fin 2011. A Nice, l'offre Cityzi a déjà converti 3 000 clients au paiement mobile sans contact depuis mai 2010. Le mobile Samsung "Player One Cityzi" sera commercialisé dans toute la France à compter de janvier 2011, indique Orange. Une gamme plus étoffée de terminaux NFC sera proposée dès le printemps.

« Pour que ces services deviennent accessibles à nos clients, Orange travaille avec d'autres opérateurs, des sociétés de transport, des banques, des commerçants et des prestataires de services afin de créer un écosystème qui stimulera le développement de services adaptés aux besoins de chacun » a déclaré Stéphane Richard, PDG de France Télécom/Orange

(...)

(07/12/2010 12:02:51)

Visa se mobilise pour le paiement sans contact

Présenté lors du salon professionnel Cartes & Identification, qui se tient actuellement au Parc des expositions de Paris-Nord Villepinte, ce service devrait assurer aux consommateurs une sécurité renforcée pour un déploiement de l'offre plus large que ce soit sous la forme d'une puce embarquée, d'une carte mémoire ou sur la carte SIM directement.

Avec ce service, les émetteurs de cartes Visa pourront proposer à leurs clients désireux de passer au paiement sans contact mobile des services associés comme la réinitialisation du mot de passe, la consultation d'un solde ou encore recharger des applications prépayées sur mobile. Grâce à ce service, le déploiement du paiement sans contact mobile, connu sous le nom de technologie Near Field Contact (NFC), devrait s'accentuer en Europe et notamment en France. Selon Sandra Alzetta, en charge de l'innovation chez Visa Europe, "cette solution fournit des outils pour rassurer les consommateurs sur la sécurité des paiements mobile et permettre les déploiements après les phases pilotes".

Crédit Photo: Visa Europe
(...)

(06/12/2010 16:36:16)

Moneo tombe dans le giron d'un fond d'investissement

Nos confrères de La Tribune ont signalé que la société BMS (Billettique Monétique Services) a été vendue par ses actionnaires historiques au fond d'investissements BlackFin Capital Partners. BMS a pour activité principale le porte-monnaie électronique Moneo. BMS a confirmé cette information en précisant que la SFPMEI (Société Financière du Porte Monnaie Electronique Interbancaire), établissement de crédit qui émet et garantit les encours de monnaie électronique, faisait également partie du périmètre de la cession.

Les actionnaires historiques de BMS se répartissent en trois blocs : le secteur bancaire (BNP-Paribas, Banques Populaires, Caisse d'Epargne, CIC, Crédit Agricole, HSBC, LCL, Crédit Mutuel, La Banque Postale, Société Générale), le secteur des transports publics (SNCF et RATP) et France Télécom. Simple porte-monnaie électronique autonome sur une carte à puce distincte, le système n'a pas cessé d'évoluer et de se repositionner : fonctionnalité embarquée sur des cartes bancaires classiques, en complément de cartes multiservices (comme pour payer sa cantine avec une carte d'étudiant), etc. Le manque de succès du système Moneo a sans doute incité les actionnaires historiques à jeter l'éponge.

Remplacer la monnaie pour les petits paiements

A la base, le système semble pourtant être une bonne idée : il s'agit d'éviter les échanges de pièces et de billets, notamment pour les très petites sommes. La manipulation des espèces est en effet fastidieuse. Elle implique en plus, pour le commerçant, de disposer d'une encaisse pour rendre la monnaie et conserver les paiements. De ce fait, elle est, enfin, génératrice de risques (détournements par le personnel, vols, pertes, erreurs de décomptes...).

Pour éviter les échanges télématiques coûteux entre banques et commerçants, comme avec les cartes bancaires classiques, le porte-monnaie électronique contient une certaine somme d'argent (chargée par une carte classique via un terminal comme un publiphone ou distributeur automatique de billets) qui peut être débitée par le porteur sans frais pour celui-ci, exactement comme s'il emportait des espèces dans un porte-monnaie classique, mais sans avoir à se préoccuper d'avoir de la monnaie.

Un système boudé par les commerçants

Or, le premier problème est que, justement, le coût du système est porté essentiellement par le commerçant qui se retrouve à devoir payer des commissions bancaires sur des petits montants, ce dont il n'a pas à souffrir avec des espèces. La rentabilité est limitée, étant donnée que l'encaisse reste obligatoire tant que Moneo n'est pas le seul système possible de paiement. Côté utilisateurs, les cartes spécifiques (téléphone, parking...) ont creusé leurs sillons tandis que les cartes bancaires classiques sont de plus en plus utilisables pour des montants faibles, notamment sur Internet. Enfin, d'autres systèmes plus adaptés (comme Paypal) se sont imposés dans les transactions entre particuliers qui ne peuvent pas se faire en espèces. La place pour Moneo s'est donc réduite comme peau de chagrin.

En perdant ses actionnaires historiques qui, tous, étaient intéressés au succès du système et disposaient d'une force de frappe importante, Moneo perd sans doute le dernier espoir de s'imposer. Du moins comme porte-monnaie électronique généraliste.

Crédit photo : D.R.
(...)

(04/11/2010 11:25:55)

La technologie NFC s'invite à l'hôtel

Concrètement, ces derniers reçoivent notamment sur leur téléphone mobile, s'il est doté d'une puce NFC, le code d'accès à leur chambre avant même leur arrivée. Ne reste plus qu'à passer le téléphone sur le lecteur installé sur la porte de la chambre pour prendre possession du lieu. Cette phase de test durera quatre mois.

La technologie sans contact, qui repose sur l'échange de données sans fil entre deux appareils électroniques, a été installée dans l'hôtel Clarion de Stockholm par la société Assa Abloy.

Téléphone fourni pour clientèle ciblée


Durant les quatre mois de la phase test, les clients dotés d'un téléphone mobile intégrant une puce NFC pourront profiter de ce nouveau service. Ce téléphone est fourni par l'hôtel à une clientèle sélectionnée. Dans la pratique, le client pourra s'enregistrer en ligne avant son arrivée à l'hôtel et recevra en retour un code d'accès pour sa chambre. Une fois arrivé à l'hôtel, il n'a plus qu'à aller directement à sa chambre sans passer par le service d'accueil. Après le départ du client, la porte de la chambre se ferme automatiquement, le client indique depuis son mobile qu'il quitte l'établissement et la clé d'accès est désactivée.

Si les résultats s'avèrent concluants le groupe Choice Hotels Scandinavia, auquel appartient l'hôtel, étendra cette technologie à d'autres hôtels.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >