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Objets communicants

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(03/11/2010 15:11:10)

Symbian subventionné pour devenir l'OS embarqué européen

La fondation dirigera un groupe de 24 organisations technologiques européennes, y compris les fabricants de téléphones, opérateurs, développeurs d'applications et des universités, dans un consortium appelé SYMBEOSE. Ce dernier promeut l'exploitation d’un système embarqué européen.

Les membres du consortium, dont les noms n’ont pas été communiqués, vont apporter 11 millions d’euros pour le projet. L'Europe soutient cette promotion via le programme Joint Technology Initiatives en versant 11 millions d’euros supplémentaires. L'argent ne fait pas directement profit de la Fondation Symbian, écrit Richard Collins sur son blog en réponse à des commentaires. « Pour être clair, l'argent ne va pas à la Fondation elle-même. Il sera entièrement investi dans des projets de développement de la future plate-forme Symbian » explique-t-il.

Un recentrage et des ambitions


Le consortium va travailler sur un certain nombre de projets, notamment un destiné à améliorer l’efficience énergétique de Symbian. Un autre mettra l'accent sur l'amélioration de la façon dont les téléphones mobiles utiliseront les services de cloud computing. Le groupe étudiera aussi comment Symbian peut fonctionner sur différents types de terminaux.

Alors que Symbian reste le système d'exploitation numéro un du téléphone mobile dans le monde, il a du mal à rester compétitif avec les OS d'Apple et Google, en phase de croissance forte. Certains se demandent pourquoi investir de l’argent public et privé dans une structure qui est en perte de vitesse. Samsung et Sony Ericsson ont annoncé qu'ils ne construiront plus de téléphones sous cet OS. En octobre, Lee Williams, directeur exécutif de la Fondation Symbian, avait quitté l'organisation.

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(23/09/2010 13:10:34)

Qualcomm détaille la technologie sans fil Peanut

Qualcomm a développé une technologie radio à courte portée, baptisée Peanut moins gourmande en énergie que les connectivités ZigBee, Bluetooth et Ultra Wideband. Matt Grob, vice-président senior de la recherche et du développement chez Qualcomm a expliqué lors du Congrès Emtech@MIT 2010 que « Peanut pourrait être utilisé pour les communications radio dans des architectures électroniques embarquées de type Body Area Network (BAN), qui permet une diffusion sur une distance allant de quelques centimètres à quelques mètres. Peanut pourrait également couvrir la surface d'une pièce » et d'ajouter « le système nécessiterait une puissance d'une fraction de milliwatt, mais les données se pourront se déplacer à grande vitesse ». Dans sa présentation de Peanut, le responsable a affirmé que cette technologie sans fil était capable de fournir suffisamment de puissance pour permettre à des applications datas, voix et audio de fonctionner à quelques mégabits par seconde, y compris pour la vidéo.

Des usages variés


Voilà quatre ans que Qualcomm travaille à développer la technologie Peanut, a t-il déclaré dans une interview, « elle devrait être prête pour un déploiement commercial d'ici un an. » Mat Grob a précisé que cette connectivité pourrait être utilisée de plusieurs manières différentes, par exemple dans les appareils destinés à renforcer la vigilance au volant. « Le système pourrait permettre d'isoler le conducteur, et pas les passagers, du réseau sans fil actif dans l'habitacle d'un véhicule, pour l'empêcher de dicter des textos ou de téléphoner, » a t-il déclaré. Le principal avantage de Peanut serait sa faible consommation en énergie comparé à d'autres liaisons radio à courte portée comme le Bluetooth et Zigbee, utilisés dans de nombreuses applications, par exemple pour faire communiquer entre eux des dispositifs de surveillance, ou encore des écouteurs associés à des téléphones mobiles ou les autoradios connectables à des téléphones. « Qualcomm travaille sur un grand nombre de projets différents, » a encore déclaré Matt Grob, précisant que la plus grande part de son budget de recherche et de développement est consacré aux communications 4G sans fil, y compris le LTE (Long Term Evolution) Advanced, future norme de l'internet mobile ultra rapide.

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(16/09/2010 15:16:54)

Les équipements connectés en DLNA en pleine croissance

Les fabricants de produits électroniques pour le grand public, comme les téléphones mobiles, les lecteurs Blu-Ray, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les consoles de jeux et les PC se sont mis à intégrer cette technologie à leurs appareils. La DLNA est une norme qui a été adoptée par environ 250 marques. Cela permet aux consommateurs de partager et d'utiliser des fichiers multimédias comme des vidéos, des documents, de la musique et des photos sur les appareils autonomes compatibles avec ce standard.

Un rapport du 13 septembre du cabinet de recherches marketing In-Stat montre que les téléphones, les PC et les télés numériques constitueront 74% du marché de la DLNA. Les cadres de photos numériques constituent la catégorie qui va connaître la plus grande croissance dans le marché de la DLNA. In-Stat prévoit que plus de 33 millions de cadres numériques compatibles seront vendus en 2014 (contre moins d'un million d'unités vendues en 2009).

Un effort de médiatisation à fournir


« Intégrer la DLNA à Windows 7 va booster le marché », commente Norm Bogen, analyste chez In-Stat. « Cependant, l'adoption de l'UPnP et de la DLNA s'étend au-delà des ordinateurs personnels. Les téléphones et les télévisions numériques rejoignent les PC au rang des catégories de produits qui verront des hausses significatives de nombres de produits compatibles au cours des 5 prochaines années ». Malgré la croissance rapide du nombre de produits connectés sur le marché actuel, la plupart des consommateurs ne sait pas que cette technologie existe, et ne connaît pas ses bienfaits. Seuls 6% des consommateurs ont admis être "très ou assez au courant de la DLNA", selon In-Stat.

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(16/09/2010 10:45:13)

Le ministère de l'économie rassure sur les compteurs intelligents

L'expérimentation de ces appareils qui permettent de transmettre à distance les données de la consommation d'un foyer se prolongera au moins jusqu'au 31 mars 2011. Un décret paru au Journal Officiel le 2 septembre dernier pose les bases du déploiement des compteurs électriques communicants. « Ce décret « organisationnel » ne décide pas à ce stade de la généralisation du remplacement des compteurs existants, mais se contente de définir les différentes étapes de ce projet, en précisant le rôle des différentes parties prenantes » tient à souligner le ministère de l'Ecologie.

Une expérimentation prolongée

Pour l'heure, l'installation du compteur Linky est en phase d'expérimentation, et ce jusqu'au 31 mars 2011, au moins. Des consommateurs dans les régions de Lyon et Tours ont déjà reçu la visite d'experts venus installer ce nouvel appareil qui permet de mesurer la consommation d'électricité d'un foyer en temps réel et d'envoyer les données à distance. Le déploiement des compteurs électriques « intelligents » est imposé par une directive européenne de 2006. D'ici 2020, 80% des compteurs en France devront permettre aux Français de consommer intelligemment. D'ici fin 2010, 300 000 appareils seront installés selon ErDF.

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(15/09/2010 11:57:55)

Econocom se développe vers le multimédia professionnel

La convergence élargit les attributions des directions informatiques à qui l'on demande fréquemment de gérer des outils initialement situés hors de leur champs de compétences. Ces dernières années, ce fut notamment le cas des copieurs, à mesure que ceux-ci embarquaient une connexion au réseau, ou celui de la téléphonie, avec l'arrivée de la ToIP. Selon Econocom, cette tendance est aussi observable depuis quelque temps autour des solutions multimédias professionnelles. « Il y a 7 mois, nous nous sommes adaptés à cette évolution en créant un pôle dédié à ces produits au sein de la division solutions et services d'Econocom Products and Solutions (EPS) », explique Philippe Goullioud, le directeur général de l'activité EPS en France.

Pleinement Opérationnel depuis quelques semaines seulement, ce pôle baptisé Multimedia Competence Center a pour mission de signer des partenariats avec des fournisseurs de technologies, de concevoir des solutions à partir de leurs offres, et d'appuyer les forces de vente et avant-vente du revendeur. Sa direction a été confiée à Cédric Boulanger. Comme Philippe Goullioud, Il fut notamment l'un des collaborateurs du revendeur LAFI chez qui il a développé une structure dédiée à l'audiovisuel. Chez Econocom, l'offre de produits et de solutions du Multimedia Competence Center est axé vers la vidéosurveillance / Vidéoprotection, la vidéprojection, les tableaux blancs interactifs et les bornes interactives.

L'objectif de revenus initial est déjà dépassé

« La principale cible de notre nouveau pôle sont nos clients actuels chez qui nous allons élargir notre présence », indique Philippe Goullioud. A priori, ces entreprises réagissent très favorablement à l'arrivée d'Econocom Products and Solutions sur ce nouveau marché. En effet, le Multimedia Competence Center a déjà dépassé en 7 mois l'objectif de 1,6 M€ de chiffre d'affaires qui lui avait été fixé pour sa première année d'existence.
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(09/09/2010 16:51:39)

Orange Business Services fixe ses priorités

Rentrée des classes pour l'homme fort d'Orange Business Services, Vivek Babrinath. Il a dressé la stratégie de l'activité Entreprises dans le cadre du plan conquêtes 2015 dévoilé récemment par Stéphane Richard. Un constat d'abord « la reprise économique existe, elle est mesurée et prudente, mais les dossiers télécoms et IT ressortent » souligne le dirigeant en constatant que « les pays émergents, la Chine, l'Inde, l'Amérique du Sud sont des foyers de croissance ». Vivek Babrinath estime par ailleurs que les revenus de la voix traditionnelle et les liaisons louées se réduisent progressivement alors que la montée en puissance dans la communication unifiée, l'informatique connectée sont une évolution naturelle pour un opérateur. D'ici 2015,OBS va donc mettre l'accent sur plusieurs axes. Sur le coeur de métier, l'activité entreprise va bénéficier des investissements du groupe dans la fibre optique, pour connecter les sites des clients. Le développement de la visioconférence est une priorité, Philippe Roger, Directeur des Grands Comptes à Orange Business Services explique « nous nous attendions à une vague de déploiement en 2008-2009, mais les processus décisionnels ont été plus complexes que prévus. Aujourd'hui, les dossiers reprennent ». Le MtoM suscite aussi de grandes ambitions, avec 10 millions de cartes SIM déployées en 2015 autour de secteurs prioritaires, l'énergie, l'automobile, la santé, les appareils électriques et la ville.

500 millions d'euros sur le cloud computing

Mis en avant par Stéphane Richard, le cloud computing est un enjeu majeur pour OBS. Il souhaite atteindre 500 millions d'euros de chiffre  d'affaires d'ici 2015. Vivek Babrinath ne donne pas d'indication sur ce que représente aujourd'hui cette activité, tout au plus, Laurent Kocher, directeur Entreprises France, parle de dizaine de clients à l'offre Flexible Computing. De son côté, Philippe Roger indique que pour les grands comptes « il y a deux approches pour l'arrivée du cloud dans l'entreprise soit lors d'un renouvellement de l'infrastructure, soit de manière verticale comme des outils collaboratifs. On constate que dans les appels d'offres des options sur le cloud arrivent pour anticiper une éventuelle migration. »

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(20/08/2010 10:54:25)

5 milliards d'objets connectés cet été

La barre des 5 milliards d'objets connectés à internet a été franchie durant le mois d'août. Dans 10 ans, ce chiffre aura plus que quadruplé selon IMS Research qui étudie la base installée d'équipement connectés au Web.

En surface, cette seconde vague de croissance des terminaux connectés sera portée par les téléphones mobiles et l'électronique grand public. Mais un phénomène plus grand, bien que invisible, va dynamiser la croissance : les communications en mode « machine-to-machine » telles  que les réseaux intelligents (smart grid), les solutions de surveillance et de sécurité publique, le contrôle du trafic automobile et des parkings, ainsi que les réseaux de capteurs. Aujourd'hui, il existe environ 1 milliard d'ordinateurs régulièrement connectés à internet. Ces classes de terminaux, incluant les PC et les ordinateurs portables ainsi que leurs équipements de réseau associés continuent de croître.

Mais les produits cellulaires, tels que les smartphones ont dépassé ce total et ont une croissance bien plus rapide. Additionnez les tablettes, les livres électroniques, les TV connectées, les caméras, les cadres photo numérique et tout autre équipement pouvant être connecté et on arrive rapidement à un total de 22 milliards de produits connectées ou connectables à Internet en 2010 toujours selon IMS Research.

Un développement exponentiel


L'institut prédit que dans 10 ans, 6 milliards de téléphones seront en circulation et la plupart seront connectés. Les 2,5 milliards de télévisions existantes seront pour la plupart remplacées par des télévisions connectés à internet, directement ou via une set-top box. La majeure partie du milliard de voitures qui roule actuellement seront remplacées par des modèles plus récents qui disposeront d'un accès Internet embarqué.

Cependant, comme dit plus haut, le plus grand réservoir de croissance potentiel concerne le machine-to-machine selon le président d'IMS Research, Ian Weightman. L'institut Gartner  a d'ailleurs nommé le MtoM comme étant une des technologies de l'année 2010. Du côté des constructeurs, Qualcomm et Verizon ont créé, il y a un an, une co-entreprise dédiée ce marché spécifique.

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(09/07/2010 11:56:53)

La technologie sans contact entre réflexion et perspective

« Le défi que nous voulons relever est de faire de la France le leader mondial de la technologie sans contact. » Signée Christian Estrosi, ministre de l'industrie lors d'une conférence sur l'évolution du sans contact en France, cette citation montre l'ambition gouvernementale au sujet de la technologie NFC (Near Field Communication) et du sans contact en général. Un message similaire avait déjà été passé par Luc Chatel, il y a un an, alors au même poste.

Le voeu du ministre risque de ne pas aller bien loin. Force est de constater que depuis cinq ans toutes les expérimentations butent au final sur la question de la répartition des revenus entre les opérateurs télécoms et les banques, et du modèle économique au sens plus large. Une source proche d'un opérateur notait récemment que le niveau élevé d'endettement des opérateurs mobiles français auprès des banques ne favorise pas la négociation. Faudra-t-il en arriver à la solution japonaise portée par l'opérateur NTT Docomo qui possède un écosystème propriétaire avec son propre système de crédit ?  D'autres options sont aussi à trouver du côté de la grande distribution.

Tour de France des projets

Quoiqu'il en soit, la conférence du 6 juillet n'aura pas abordé cette question épineuse. Elle a commencé en faisant le point sur trois projets pilotes emblématiques du NFC en France, à savoir Caen, Bordeaux et Nice (Strasbourg ou Besançon n'étaient pas présentes). Le projet Caennais a démarré en 2005. Elle est la première ville au monde à avoir réalisé des paiements par mobile au travers de cas d'usage comme de la billettique sans contact installée dans les parkings Vinci dès 2005.

Le développement s'est poursuivi dans la ville normande avec la mise en place du projet Pégasus/Payez mobile en associant 6 grandes banques et 4 opérateurs de téléphonie mobile. Une mobilisation dont l'intérêt a été souligné par Josette Travert, Maire adjointe de Caen et présidente de l'université de Caen : « le fait d'avoir plusieurs banques et opérateurs nous a permis d'avoir une expérience à grande échelle qui n'est pas limitée à 1 ou 2 acteurs. »

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Cette expérience de paiement mobile a eu des résultats positifs puisque 94% des utilisateurs souhaitaient une généralisation du procédé. La dernière phase d'expérimentations déployée actuellement sur la ville est un projet international réunissant 25 partenaires et se nommant Smart Urban Spaces. Ce dernier  vise à tester l'interopérabilité d'une carte de vie citoyenne basée sur le mobile. Elle est distribuée auprès de 2500 utilisateurs et 160 commerces du centre-ville de Caen et a pour cadre d'usage le paiement, la billettique, les programmes de fidélisation et la gestion des événements.

Autre projet présenté : celui de Bordeaux. La diffusion du sans contact y est orientée sur 4 axes majeurs de la politique municipale : l'éducation, la participation, l'internet pour tous et les services. Une carte ville à été lancée autour de ces orientations permettant l'accès à certaines infrastructures municipales. En 2007 cette carte a été simplifiée et a muté en carte sans contact multimodale. Aujourd'hui 35 000 bordelais possèdent une telle carte.

L'objectif de la municipalité est de dématérialiser cette carte sur d'autres supports comme le mobile ou sur une clé USB. Cette évolution va être installée en partenariat avec Applicam, Neowave, Orange Business Services et BNP Paribas.

Enfin, l'expérimentation la plus récente concerne la ville de Nice. Celle-ci a déployé un projet NFC. Nommé Cityzi, il repose sur des téléphones mobiles NFC (le Player One de Samsung, un des rares téléphones commercialisés embarquant du NFC) ou sur une carte bancaire sans contact. Il offre de services large avec des offres de billettique pour les transports, des informations culturelles, des infos contextuelles dans la ville et surtout depuis peu, le paiement. Environ 500 commerçants sont équipés de terminaux sans contact. 11 banques et les 3 opérateurs mobiles dominants sont partenaires.

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Florence Barale, élue en charge du développement du NFC sur la ville de Nice, insiste sur la nécessité d'une « implication forte des collectivités territoriales pour permettre une implantation efficace ».

Intermodalité et nouveaux projets

Lors de la conférence, Pierre Hérisson, député de la Haute-Savoie et président du groupe d'étude poste et communications électroniques a également tenu à rappeler qu'il restait « encore des marges d'amélioration au sujet de l'acceptation du sans contact par tous les publics et notamment les plus âgés ». Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg  et président du groupement des autorités responsables du transport (GART), a quant à lui mis en avant la nécessité de mettre en oeuvre l'intermodalité entre moyens de transports : « l'intermodalité permet de mieux organiser l'offre et d'optimiser les déplacements sur notre territoire ». Cette prise en compte va permettre, selon lui : « un essor mondial du sans contact ».

En conclusion,  Christian Estrosi, ministre l'industrie, a fait l'annonce des 12 lauréats de l'appel à projet « objets communicants et sans contact » qui se partageront une enveloppe de 4,5 millions d'euros sur un effort global en recherche et développement de 12,5 millions d'euros. Ces projets touchent des secteurs comme le commerce, le tourisme ou encore la santé. Pour pousser les territoires à l'innovation et à l'appropriation de nouvelles technologies, le ministre à  également confirmé la labellisation dès 2010 de 3 à 5 territoires « leaders du sans contact ». Bref, on continue d'avancer à petits pas sans progresser réellement tant que la répartition des revenus entre les banques et les opérateurs n'aura pas été clarifiée.

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