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(29/06/2010 17:13:33)

Gemalto acquiert Cinterion Wireless

L'opération est évaluée à 163 millions d'euros. Gemalto s'est emparée de Cinterion Wireless, fabricant allemand de modules de communication sans fil pour les applications industrielles. La deuxième tentative a donc été la bonne pour le spécialiste de la sécurité numérique. Ce dernier avait échoué dans le rachat de Wavecom au profit de Sierra Wireless. Pour autant, Gemalto croit fortement dans le développement du marché Machine to Machine. Les applications sont multiples, de la station Velib qui dispose d'une carte SIM et fait remonter les informations vers l'opérateur ou l'usager, aux distributeurs de glaces avec un paiement depuis son mobile en passant par les compteurs électriques intelligents. Selon Gartner, la croissance en volume annuelle pourrait atteindre 25% entre 2009 et 2013, faisant du «M2M» l'un des marchés en plus forte progression dans le domaine des données mobiles.

Cinterion Wireless détient 20% de part de marché sur l'activité M2M et a annoncé en 2009 un chiffre d'affaires de 145 millions d'euros. Il s'agit d'une entreprise sans unité de production, qui emploie 335 collaborateurs, principalement sur les sites de Munich et Berlin en Allemagne. Lancée par Siemens en 1995, l'activité avait été cédée à un consortium financier en 2008.

Cette acquisition devrait être finalisée d'ici six semaines. Les résultats d'activité de Cinterion seront comptabilisés dans une nouvelle unité, M2M, qui réunira les activités de Gemalto dans ce domaine. L'activité «M2M» devrait contribuer à hauteur de 20 millions d'euros environ à l'objectif de résultats des activités opérationnelles de 300 millions d'euros que s'est fixé le fabricant de cartes à puce pour 2013.

(...)

(31/03/2010 15:44:00)

Atos WorldGrid veut gérer l'énergie intelligente

Une offre par trimestre, la méthode Thierry Breton, PDG d'Atos Origin est rôdée : saisir les opportunités et transformer l'expertise de la société en solution commerciale spécifique. Il y a quelques mois, le dirigeant avait présenté les offres cloud et réduction de carbone. C'est au tour des « smart utilities » de faire leur apparition à travers une nouvelle entité Atos WorlGrid. Partant du constat qu'en matière d'énergie (électricité, gaz, eau), le marché évolue vers une demande de plus en plus croissante de traitement des informations en temps réel et sur des périmètres beaucoup plus complexes (les utilisateurs finaux deviennent avec, par exemple, les panneaux photovoltaïques, consommateurs et producteurs d'énergie). « Nous pouvons apporter des réponses aux besoins de flux d'informations à l'ensemble des acteurs, les producteurs à travers nos consoles de commande pour les centrales nucléaires, le grid management pour les distributeurs et enfin le smart grid (distribution intelligente) pour les utilisateurs finaux. Tous ces produits répondent aux problématiques d'optimisation de la distribution d'énergie, comme par exemple les cas de black-out en période de pic de consommation » souligne Thierry Breton.

Des perspectives nombreuses

Concrètement plusieurs projets sont en cours de déploiements comme par exemple le Linky, compteur intelligent, d'ERDF qui concernera dans un premier temps 300 000 personnes, avant de s'étendre aux 35 millions de foyers. L'objectif est d'accumuler des informations sur la consommation électrique, les périodes de fort trafic, avec la possibilité éventuelle d'être proactif en intégrant des éléments de domotiques. Pour ce dernier cas, l'ancien ministre a présenté une « énergie box » à l'attention des particuliers, qui modulera la consommation d'énergie de la maison en fonction des pics de trafic (délestage, extinction de certains appareils, etc).Les projets concernent également d'autres acteurs comme GRDF avec Mercator, avec l'intégration de la cartographie dans la gestion de son réseau ou en Espagne avec le programme WaveGlobe Spain sur l'énergie créée par la houle.

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Pour répondre à l'ensemble des acteurs, Thierry Breton a choisi de filialiser cette activité au sein d'une structure baptisée Atos WorldGrid. Elle sera effective au mois de juin prochain et sera dirigée par Jérôme De Parscau, spécialiste de l'énergie chez Atos Origin. Mille experts seront affectés à cette filiale et devrait générer 150 millions d'euros de chiffre d'affaires. Les ambitions sont fortes à l'horizon 2014 : 300 millions d'euros de revenus sont attendus pour les énergies intelligentes. « C'est le temps de le faire, le marché est mature » justifie le PDG d'Atos Origin en ajoutant « nos clients internationaux attendaient une réponse globale sur le grid ».

Une concurrence aiguisée

Côté concurrence, ils sont nombreux à revendiquer aussi des offres dans le smart grid, Cisco, Intel, IBM et même Google. Cependant, la SSII avance son expertise sur «  l'ensemble de la chaîne de la valeur, producteur, distributeur et utilisateur final » explique le futur responsable de Atos WorldGrid. Avec les annonces d'investissements de Bill Gates avec Toshiba dans la création de mini-centrales nucléaires ou l'autorisation donnée à Google de produire et commercialiser sa propre électricité, ce marché évolue et les besoins en informatisation sont énormes. Le gouvernement américain a débloqué en 2009 une enveloppe de 11 milliards de dollars sur le smart grid.

Prochaine étape pour Atos Origin, les réseaux sociaux d'entreprise.

(...)

(15/03/2010 10:29:40)

Le mobile devient un moyen de paiement

(Source EuroTMT ) Selon ABI Research, le nombre d'abonnés mobile ayant recours aux services bancaires sur mobile va ainsi doubler tous les ans d'ici à 2015 pour atteindre 407 millions de clients à cette date. Si le marché se situe principalement en Asie, l'Europe et l'Amérique du Nord devraient aussi voir le décollage de ce marché. ABI Research estime ainsi qu'il devrait y avoir 66 millions d'utilisateurs de ce type de services aux Etats-Unis en 2015. D'autant que le commerce sur mobile est promis aussi à un brillant avenir : selon le même cabinet d'études, ce marché devrait s'élever à 119 milliards de dollars en 2015, représentant 8 % du montant global du e-commerce. Et plus généralement, le mobile pourrait se transformer en un terminal de paiement sans contact, grâce à la technologie NFC. Si la technologie existe, les opérateurs en restent pour le moment à quelques tests, comme en France dans quelques réseaux de transports. Aux opérateurs mobiles de généraliser maintenant les services qui permettent aux abonnés de les utiliser dans un environnement sécurisé. (...)

(05/02/2010 12:57:48)

Payer ses voyages avec son mobile

La ville de Nice, en partenariat avec Veolia Transport et les opérateurs de téléphonie mobile, annonce le lancement au printemps prochain de BPass et BPass+, des systèmes permettant aux portables équipés de la technologie NFC (Near Field Communication) de se substituer à des titres de transports. Leur mise en oeuvre s'inscrit dans le cadre du projet "Nice ville NFC mobile" initié par la ville de Nice et la communauté urbaine Nice Côte d'Azur. BPass permettra aux utilisateurs de téléphones portables équipés de la technologie NFC d'acheter à distance des tickets ou abonnements, et fournira les horaires de passage en temps réel des bus aux points d'arrêt. Pour améliorer davantage dans la mobilité des voyageurs, Veolia a également fait appel aux innovations de six autres entreprises (Amesys, Airtag, Connecthings, Monetech, Novabase et Trusted Labs). Ces partenaires lanceront donc dans un second temps la solution BPass+. Ce second service permettra d'acheter et charger ses tickets sur leur mobile NFC grâce à un serveur vocal interactif et plus uniquement via une interface visuelle sur Internet comme pour BPass. Le téléphone mobile NFC sera aussi autorisé à recharger à distance les différents titres de transport des proches qu'il s'agisse d'une carte de transport traditionnelle ou d'une clé USB sans contact.Enfin, grâce à la technologie du flashcode, le BPass+ parviendra à lire des codes-barres aux points d'arrêt de bus et tramway à de multiples contenus pratiques, culturels ou ludiques. Tous les mobiles NFC commercialisés à Nice par Bouygues Telecom, NRJ Mobile, Orange et SFR seront compatibles avec ce nouveau service. (...)

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