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Open Source
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(23/02/2007 16:30:26)
Mandriva ouvre un filiale en Afrique
Après avoir investi le marché brésilien en se payant Conectiva en 2005, l'éditeur Linux Français Mandriva a décidé d'étendre ses ramifications vers l'Afrique. L'éditeur annonce la création d'une filiale au Nigeria, baptisée Mandriva West Africa (localisée à Lagos), qui rayonnera sur toute l'Afrique de l'ouest. Dans un communiqué, Mandriva explique s'être fixé pour objectif de notamment "travailler avec les constructeurs locaux pour proposer des machines pré-installées avec Mandriva Linux" et" travailler avec les ISV". Il prévoit également de développer des offres commerciales adaptées en s'appuyant sur des partenaires et mettre en place des centres de formations certifiés. A cela s'ajoute, une mission plus humanitaire qui, selon Mandriva, consiste à "travailler avec les institutions scolaires afin de combattre le retard technologique". Rappelons que les pays en voie de développement constituent un marché prometteur pour les éditeurs Linux, notamment grâce au faible prix de commercialisation de leur OS. Une stratégie de croissance appliquée également par Red Hat sur les marchés brésiliens et argentins. Notons également que le Nigeria est un des premiers pays à avoir adhéré au programme OLPC (One Laptop Per Child), qui vise à fournir un ordinateur portable aux enfants les plus défavorisés. La machine, qui repose sur un OS Fedora, est commercialisée aux gouvernements, pour l'heure, au prix 150$. (...)
(22/02/2007 10:54:04)MySQL AB vise le marché des télécoms
Après avoir constaté un grand intérêt des équipementiers (Alcatel-Lucent, Cisco, Ericsson, Motorola...) pour son offre MySQL Cluster, le développeur Open Source MySQL AB annonce aujourd'hui une version du produit dédiée au marché des télécommunications et la création d'une unité distincte. Pour le secteur il s'agit de profiter des avantages d'une base de données relationnelle tout en réalisant de substantielles économies grâce à l'Open Source. Bâti sur une technologie développée à l'origine par Ericsson, MySQL Cluster Carrier Grade Edition est un système de base de données shared-nothing, en cluster et en temps réel. Il a été spécialement conçu pour être utilisé dans les environnements SDP (Services Delivery Platforms), HLR (Home Location Register) et HSS (Home Shopping Service). MySQL Cluster Carrier Grade Edition a été testé par Alcatel-Lucent. « Nous avons ainsi réussi notre migration vers une plateforme ATCA Linux », estime Hervé Salliou, directeur de la division base de données d'abonnés d'Alcatel-Lucent. (...)
(21/02/2007 17:49:32)Un bogue retarde la prochaine mise à jour de Firefox
Les tests d'une faille découverte dans Firefox ont poussé Mozilla à décaler d'une journée la publication d'une mise à jour de sécurité du navigateur. La faille découverte le 14 février et publiée sur la mailing-list du Full Disclosure autoriserait un site malintentionné à manipuler les cookies d'authentification fournis par d'autres sites. Selon le site, le bogue, classé "moderately critical " par le Danois Secunia, aurait été testé dans la version 2.0.0.1 du navigateur Open Source, mais "serait présent au sein de toutes les versions récentes" de Firefox. Si la rustine était fin prête le jour suivant la découverte du bogue, son intégration dans les mises à jour nécessitait plus de travail. La sortie a été fixée au 22 février, indiquent les forums de Mozilla. (...)
(20/02/2007 17:39:15)Debian élit son nouveau responsable de projet
Sur fond de retard des développements et de dissensions entre membres de la communauté, Debian, symbole de l'OS Libre, doit élire son développeur cadre. Le DPL (Debian Project Leader) - son nom de baptême - élu aura la tâche de remplacer Anthony Towns, instigateur du très polémique projet Dunc-Tank, qui visait à collecter des fonds pour accélérer les développements de l'OS Open Source. Selon la "constitution" Debian, le DPL symbolise pendant douze mois le représentant officiel de projet Debian. Il est notamment responsable de la promotion du projet à l'extérieur et doit également nouer des relations avec les organisations ou les sociétés commerciales. Son rôle au sein de la communauté couvre la gestion, tant technique qu'organisationnelle, et la définition des orientations du projet Debian. C'est dire l'enjeu. En outre, le futur DPL devra composer avec une communauté Debian divisée, pour, au final, repositionner les forces vives. Fin décembre 2006, le projet de financement Dunc-Tank avait en effet fait capoter la sortie de la version 4 de Debian GNU /Linux, nom de code Etch, initialement fixée au 4 décembre. Marquant au passage l'échec du projet, et laissant derrière lui une communauté éclatée. Si Pierre Habouzit, secrétaire de l'association Debian France, rappelle, prudent, que pour l'heure, seule l'étape des nominations a été entamée, il convient que les clés du prochain mandat s'articuleront de toute évidence autour de trois axes : "Il n'y a pas besoin d'être devin pour savoir que le débat va notamment aborder les causes du retard d'Etch, le bilan de l'expérience Dunc-Tank et divers problèmes de communication des "core teams" et leurs conséquences." Une façon de remettre à plat les grandes décisions d'Antony Towns, futur-ex DPL - car ce dernier devrait vraisemblablement se présenter aux élections de cette année, "même s'il n'a pas encore envoyé sa candidature". "On peut reconnaître à Anthony une certaine volonté de prendre des décisions, et de faire bouger les choses", admet Pierre Habouzit. Puis il lâche: "Néanmoins, il a aussi beaucoup divisé la communauté, en imposant Dunc-Tank, initiative très controversée à l'intérieur de Debian. Ce choix de pousser Dunc-Tank a généré plusieurs abandons, et beaucoup de mécontentements, ce qui va à l'encontre de la définition de son poste". Quoiqu'il en soit, Debian semble avoir déjà tiré les leçons et réfléchit "à un comité social pour régler les différents entre développeurs [...] et sur l'opportunité de remplacer le DPL par une équipe", avance Pierre Habouzit. A cliquer - Le projet de collecte pour accélérer Debian s'avère contre-productif - La constitution Debian (...)
(20/02/2007 12:39:35)Cuba et le Venezuela entament la révolution du Libre
Fuir l'hégémonie capitaliste de Microsoft au profit de l'Open Source : c'est le but affiché par Cuba et le Venezuela, deux pays qui partagent des idéologies proches et qui viennent de s'engager à équiper les ordinateurs de leurs administrations en logiciels libres. Deux raisons principales justifient cette orientation, selon les gouvernements des deux Etats. D'un côté, « c'est fondamentalement une question de souveraineté technologique, un problème idéologique », comme l'a expliqué Hector Rodriguez, responsable d'un département universitaire cubain spécialisé en développement Open Source. De l'autre, c'est l'éternelle crainte des Etats-Unis qui motive les deux pays. Selon eux, la menace américaine est une réalité, tout comme l'est la coopération entre Microsoft et les forces militaires. Le ministre cubain de la Communication parle ainsi des systèmes d'informations mondiaux comme d'un champ de bataille sur lequel Cuba lutte contre l'impérialisme américain. Pour appuyer ces prises de position, les dignitaires cubains ont convié le très dogmatique Richard Stallman, le créateur de la Free Software Foundation, à une conférence au cours de laquelle il a souligné les risques qu'impliquent les logiciels propriétaires qui interdisent l'accès au code source et la détection de backdoor. Il a également pointé du doigt le manque de moralité des lois sur les droits d'auteurs. Des sorties couronnées des applaudissements d'une assemblée conquise. (...)
(15/02/2007 17:28:59)Microsoft reproche à IBM d'enrayer la normalisation d'Open XML
Pas de cartes de Saint-Valentin pour Microsoft et IBM. L'éditeur de Redmond, dans une lettre ouverte publiée sur son site Internet le 14 février, dénonce la tentative d'IBM pour ralentir le processus d'approbation d'Open XML auprès de l'ISO. Une accusation publique qui fait monter d'un cran la tension qui règne sur le terrain des formats bureautiques ODF et Open XML. Le document intitulé "Interoperability, Choice and Open XML", signé par Tom Robertson en charge des standards et de l'interopérabilité, et Jean Paoli, spécialiste des architectures XML, tous deux chez Microsoft, ouvre sans ambages le feu sur la tactique d'IBM d'endiguer la marche en avant de la normalisation d'Open XML. Selon eux, il s'agit d'une stratégie éhontée "d'utiliser les processus de standardisation pour limiter les choix du marché à des fins commerciales, et ce, sans prendre en compte l'impact négatif sur le choix des consommateur et l'innovation technologique". Et de rappeler qu'IBM développe Lotus Notes qui supporte ODF et non pas Open XML. C'est avec colère que Microsoft dénonce la pression exercée par IBM sur les organismes internationaux durant le mois -selon le processus accéléré d'approbation ("Fast Track")- où ces derniers devaient rendre leur copie (pour notamment déterminer les contradictions du format). Une pression qui, selon lui, consistait à convaincre le comité ISO "de ne pas considérer Open XML parce qu'ODF est déjà passé en premier". "En d'autres termes, s'offusque Microsoft, dire qu'Open XML ne pourrait pas lutter de par ses caractéristiques techniques parce qu'un format concurrent a déjà été adopté". Les cinq mois à venir devraient être sportifs Les deux responsables ajoutent qu'IBM a "sonné la victoire", se targuant d'avoir stoppé Open XML. Une victoire toutefois relative, clame Microsoft : "IBM ignore le fait que la grande majorité des membres de l'ISO ont choisi de ne pas soumettre les commentaires et que la plupart des points ne seront pas reportés lors des révisions techniques à venir". IBM s'est toujours fermement opposé à Open XML, en fervent supporter d'OpenDocument (ODF). Lors du vote d'approbation de standardisation du format de Microsoft auprès de l'Ecma en décembre, Big Blue s'était illustré en représentant l'unique vote contre cette normalisation. "Cette lettre vise notamment à faire la lumière sur ce qui s'est passé pendant le premier mois du processus accéléré, en termes de bataille politique, de blocage et de lobbying, indique Marc Gardette, responsable Stratégie chez Microsoft. Et au passage, de donner un coup de projecteur sur l'attitude et l'hypocrisie d'IBM à l'encontre de ses clients et enfin, d'éclairer le débat sur les motivations de chacun. Il s'agit également de faire réfléchir les partenaires". Reste à savoir si IBM, avec sa puissance de lobbying et son nom, a toujours la possibilité d'enrayer la machine. Et si cette intervention de Microsoft, qui survient le jour où l'Oasis approuve la version 1.1 d'OpenDocument, n'est pas un signal d'alarme pour ses clients et partenaires. Il reste cinq mois, selon le "Fast Track", pour répondre aux questions techniques. (...)
(15/02/2007 15:31:35)Le directeur du labo Open Source de Microsoft s'explique sur les travaux avec Novell
Sam Ramji, directeur du laboratoire Open Source de Microsoft, a publié sur Port 25, le blog du labo, une note expliquant la nature des travaux menés avec Novell, dans le cadre du partenariat signé entre les deux éditeurs. Sam Ramji s'étend ainsi longuement sur les besoins en matière d'interopérabilité pour consolider des serveurs Linux et Windows sur une même machine. Et notamment sur les essais à mener avec les standards, WS-Federation et WS-Management. « Un certain nombre de personnes m'ont approché au sujet de ce projet, écrit-il, pontifiant : 'si vous [Microsoft] implémentiez simplement ces spécifications comme elles sont écrites, vous n'auriez pas besoin de faire tout ce travail'. En fait, cela relève d'une méconnaissance de l'ingénierie logicielle et de l'intéropérabilité. » (...)
(15/02/2007 14:21:24)Red Hat renforce les liens entre JBoss et Windows
Red Hat a annoncé avoir adhéré à l'Interop Vendor Alliance de Microsoft. Mis en place fin 2006 par l'éditeur de Redmond en partenariat avec une vingtaine d'éditeurs et de constructeurs, le programme IVA vise à s'assurer de la bonne interopérabilité des technologies tierces avec celles de Microsoft. En l'occurrence, Red Hat entend optimiser le fonctionnement de sa plateforme middleware Jems (JBoss enterprise middleware system) sur Windows. Cette adhésion d'un éditeur Linux à l'IVA peut paraître surprenante, mais elle n'est en fait que le prolongement d'un accord passé fin 2005 entre Microsoft et JBoss (alors indépendant). Accord qui avait fait beaucoup jasé. Sacha Labourey, directeur général de JBoss Europe, nous avait expliqué : « La moitié environ de nos déploiements sont sur Windows. Cela me paraît normal de discuter avec Microsoft, comme nous le faisons avec d'autres fournisseurs de systèmes d'exploitation, tels Novell, HP ou Unisys. » Tandis qu'Alain Le Hégarat, responsable marketing plate-forme de développement chez Microsoft France, confirmait : « Nous nous positionnons comme un fournisseur de plateforme, et, pour nous, JBoss est un éditeur comme un autre, dont le logiciel doit pouvoir fonctionner de la meilleure façon possible sur Windows. » A ce jour, écrit Red Hat dans un communiqué, les efforts entrepris ont principalement porté sur les services Web, ainsi que sur la certification d'Hibernate, solution de gestion de la persistance des données, avec le pilote JDBC de la base SQL Server de Microsoft. Maintenant, Red Hat dit vouloir aller « au-delà des standards » et travailler au support natif de Jems sur Windows. (...)
(14/02/2007 17:17:27)Des acteurs du Libre se réunissent dans l'OSA
A l'occasion de l'Open Solutions Summit, qui se tient à New York les 14 et 15 février, plusieurs acteurs du monde du Libre annoncent la création de l'Open Solutions Alliance (OSA), une organisation à but non lucratif visant à promouvoir l'adoption de solutions Open Source par les entreprises. La création de l'OSA repose sur un constat : le marché Open Source est encore balbutiant et n'atteindra son plein potentiel que lorsque les produits des uns et des autres pourront être associés dans des suites facilement déployables. Pour y parvenir, les tenants du Libre doivent mettre l'accent sur l'interopérabilité de leurs solutions et la promotion des logiciels Open Source en règle générale. Les premiers membres de l'OSA sont donc des éditeurs comme JasperSoft, Talend ou CentricCRM (on notera l'absence de Novell et Red Hat, déjà associés dans des partenariats avec Microsoft), mais l'alliance indique être ouverte à tous les revendeurs, les utilisateurs, les développeurs et les communautés qui entretiennent un rapport avec le Libre. Si d'autres groupements spécialisés dans l'Open Source existent déjà, l'OSA veut imposer sa différence en soulignant que ses membres ne se focalisent pas sur une technologie en particulier. L'Open Solutions Alliance s'est, pour l'heure, fixé trois buts : la définition et la promotion des outils, frameworks et bonnes pratiques qui favorisent le déploiement et l'interopérabilité des solutions Open Source ; la construction de méta-communautés au travers de partenariats avec des sociétés, des particuliers et d'autres groupements ; la mise en place de campagnes marketing communes. L'OSA procèdera à l'élection de son conseil d'administration le 5 avril. D'ici là, les adhésions sont ouvertes pour des montants s'étalant entre 5 000$ (pour les intégrateurs) à 10 000$ (pour les revendeurs). La cotisation est gratuite pour les membres des communautés Open Source. (...)
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