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(10/06/2005 17:33:00)

Novell prépare une version Linux d'iFolder

Novell devrait sortir une version Linux d'iFolder pour Open Enterprise Server d'ici à la fin du mois. iFolder, présent à l'origine dans Netware, est un système partagé de protection de données. Un répertoire iFolder autorise le partage des données qu'il contient et permet également une sauvegarde synchronisée avec un serveur de type iFolder.
La version 3.0 que Novell prévoit alors de sortir sur Linux devrait s'enrichir de nouvelles fonctionnalités, notamment le support du multi-utilisateur.
Pour l'heure, iFolder 3.0 reste en version bêta. (...)

(09/06/2005 18:16:12)

L'Oasis standardise Dita 1.0

L'Oasis vient d'élever la spécification Dita 1.0 (Darwin Information Typing Architecture) au rang de standard. Principalement réservé à la documentation technique, Dita définit une architecture XML, pour organiser, structurer, gérer et publier les données, tant pour l'impression que pour Internet. Sa particularité ? Dita repose sur un principe modulaire : compartimenter les informations en modules documentaires spécialisés, pour, au final, les assembler selon une configuration imposée par la publication.
Parmi les sociétés supportant Dita, notons IBM, Nokia, Oracle, Intel, BMC et Sun.
Actuellement, le standard DocBook était principalement utilisé, notamment dans la traduction et localisation de logiciels ainsi que de how-to. (...)

(09/06/2005 18:09:35)

Novell et Unisys aident les entreprises à migrer de Solaris vers Linux

L'éditeur Linux Novell et Unisys annoncent l'ouverture à Amsterdam d'un centre dédié à la migration vers Linux. Objectif : rassurer, puis aider les entreprises dans leur processus de migration, tant de données que d'applications, depuis Solaris, l'Unix propriétaire de Sun, vers Linux.
Les deux partenaires ont pour cela développé un modèle de migration vers la plate-forme serveur Intel Unisys ES7000 (qui embarque notamment l'outil de management centralisé Unisys Server Sentinel), équipée de la distribution Novell Suse Enterprise Server.
«L'objectif de l'alliance entre Unisys et Novell est de réduire le niveau de risque des migrations d'applications stratégiques d'environnements Unix vers la plate-forme Intel», déclare Steve Rawsthorn, vice-président des ventes et du marketing d'Unisys EMEA.

Rappelons toutefois que, selon le calendrier mis en place par Sun, Open Solaris, son Unix maison en Open Source, devrait être disponible la semaine prochaine. (...)

(07/06/2005 18:43:04)

Firefox continue à séduire les internautes européens

Selon l'institut d'études girondin XiTi, Firefox continue à séduire les internautes européens et a représenté 14,08% des visites d'un panel de cent quarante-huit mille sites Web en mai, contre 11,6% en mars. L'implantation du navigateur libre est particulièrement solide en Finlande et en Allemagne, respectivement 30 et 22%, et elle frise les 20% dans plusieurs pays d'Europe de l'Est comme la Pologne, la Hongrie et la république Tchèque. La France est dans la moyenne européenne avec 14,4%. (...)

(06/06/2005 18:03:02)

L'adoption de Linux semble marquer le pas

L'adoption de Linux par les entreprises américaines semble ralentir, d'après une étude menée pour le compte de la banque SG Cowen & Co.

Linux est le système d'exploitation utilisé sur les serveurs de 53% des cinq cents entreprises interrogées. Sur ce demi-millier de sociétés, 7% prévoient d'adopter l'OS Open Source, ce qui représente le niveau de progression le plus modeste enregistré depuis septembre 2003. Les entreprises utilisant ou prévoyant d'utiliser Linux constituent 60% du panel sondé, soit dix points de moins qu'en septembre 2004.

Néanmoins, le nombre de sociétés qui utilisent Linux sur leurs serveurs est en augmentation. Une tendance à nuancer en soulignant que les sociétés prévoyant de recourir à l'OS libre sont de moins en moins nombreuses. L'étude précise ainsi : «C'est la première fois que nous constatons que l'adoption de Linux pourrait heurter un mur.»

Cette évolution devrait profiter à Microsoft. Ainsi, 52% des sondés utilisant Windows envisagent d'augmenter la charge de travail de leurs serveurs, alors qu'ils ne sont que 7% à prévoir une diminution. A contrario, ces chiffres passent à 50 et 10 % dans un environnement Linux.

L'étude montre enfin que la préférence des entreprises pour l'un ou l'autre système d'exploitation dépend de la taille de la structure. Linux serait ainsi préféré par les sociétés de petite taille et par les grands comptes, alors que Windows tiendrait le haut du pavé dans les entreprises moyennes. En outre, le système de Microsoft progresse plus vite que Linux dans tous les cadres, sauf les petites entreprises. (...)

(06/06/2005 18:01:04)

Microsoft fait un pas vers l'Open Source

Microsoft tend une main à la communauté Open Source en invitant Michael Tienmann, le président de l'OSI, à commencer une «conversation productive». Tienmann, également vice-président de l'activité Open Source chez Red Hat, indique avoir seulement échangé des mails et n'avoir encore rencontré personne. Il verrait d'un bon ½il une entrevue avec Brad Smith, l'avocat-conseil de Microsoft chargé d'améliorer les relations avec le monde Open Source.

Microsft a, par le passé, tenté plusieurs types d'approches de l'Open Source en général et de Linux en particulier. La licence Linux fut ainsi qualifiée de «cancer», les logiciels libres n'étaient pas censés garantir d'interopérabilité, Linux devait être distingué de l'Open Source. La campagne “Get the Facts”, lancée en 2003, procédait de la même volonté de démonter les OS Linux, un système plus cher et moins stable que le sacro-saint Windows. Lawrence Lessing, professeur de droit à Stanford, concluait alors que Microsoft préparait une «guerre totale» sur l'Open Source, avec Linux comme cible privilégiée.

Dans le même temps cependant, le groupe de Bill Gates commençait à donner de lui une image plus proche des idées colportées par le libre, en publiant plusieurs outils sous licence Open Source et en autorisant des organisations à examiner son code source dans le cadre du programme «shared source». Le groupe de Redmond commença alors à apparaître régulièrement lors d'événements Open Source, et le PDG, Steve Ballmer, aurait rencontré son homologue de Red Hat, Matt Szulik, au début de cette année, sans que ce dernier n'ait jamais confirmé cette entrevue.

Microsft n'est pas le seul éditeur à entretenir des relations délicates avec l'Open Source et Linux, bien que sa position se situe dans les extrêmes. Sun Microsystems, par exemple, avait commencé à vendre Linux et est en train de rendre son OS Solaris Open Source via le projet Opensolaris, mais continue de décrier certains aspects du modèle de développement du libre, notamment la licence GPL. (...)

(06/06/2005 18:02:10)

Red Hat donne de l'air au projet Fedora

Alors qu'il s'apprête à lancer la version 4 de Fedora Core, la branche «communautaire» – et gratuite – de sa distribution Linux, Red Hat inaugure la Fondation Fedora (The Fedora Foundation, ouverture prévue mi-août). Son objectif ? livrer le projet Fedora à une communauté véritablement indépendante, sur le modèle d'Apache. Et ainsi redorer son image de marque auprès des développeurs et de la communauté Open Source. Ces derniers lui reprochant sa mainmise sur le projet et, plus globalement, son «manque de coopération» envers la communauté.

C'est bien sur ces derniers points que Red Hat souhaite attirer l'attention. Mark Webbink, responsable chez l'éditeur, est clair : «La fondation aura un statut d'association et sera gérée par un board indépendant, que Red Hat ne contrôlera pas.» Il est vrai que la fondation détiendra les droits (copyrights) et les développements du projet Fedora. Mais c'est Red Hat qui financera le projet et l'alimentera en ingénieurs. Fedora servira toujours de rampe de lancement au projet commercial de Red Hat, Red Hat Entreprise Linux, indique Webbink. Mais «nous dépendrons désormais des innovations de cette fondation».

Fedora Core 4 repoussé au 13 juin
Pour illustrer son approche plus communautaire, la version 4 de Fedora Core, dont la sortie définitive vient d'être repoussée au 13 juin, embarquera pour la première fois un projet baptisé Extras. Ce dernier devrait notamment permettre de centraliser les contributions qui n'ont pas été compilées au noyau définitif de Fedora Core. Pour les rendre disponibles sous forme de packages RPM (format d'installation Red Hat) et, ainsi, «laisser la possibilité aux utilisateurs n'ayant pas participé aux choix des logiciels de Fedora Core d'en intégrer d'autres supplémentaires».

Autres nouveautés inclus dans la version 4 : les premiers pas du moteur de virtualisation Xen, le support de davantage de processeurs ainsi que l'intégration du système de fichiers Red Hat Global File System. (...)

(02/06/2005 18:04:03)

Brevets logiciels : la Commission campe sur ses positions

Alors que deux journées de débats et de manifestations organisées par les partisans du logiciel libre et les Verts viennent de s'écouler, la Commission européenne semble camper sur ses positions. Si la commissaire chargée de l'Information, Viviane Reding, affirme poliment que les amendements proposés par le Parlement seront étudiés de près, certains groupes tels que l'EICTA (European Information and Communications Technology Industries Association) clament haut et fort qu'ils feront tout pour que ces amendements restent lettre morte. D'après eux, les propositions du parlement européen sont à «88% inacceptables» et ne permettraient plus de justifier le financement des projets de recherche et développement. Les pressions sur ce dossier sont énormes, et les opérations de lobbying jouent à plein. Le 20 juin, date où la Commission rendra son avis, est attendu par les deux parties avec beaucoup de tension. (...)

(01/06/2005 17:45:46)

Linux n'a pas gagné la bataille des systèmes d'exploitation pour serveurs

Selon IDC, Linux est loin d'avoir gagné la bataille des systèmes d'exploitation pour serveurs. Le cabinet estime même qu'il est, pour l'heure, impossible de se projeter suffisamment loin dans le temps pour identifier le moment où Linux pourrait supplanter ses concurrents sur ce marché.
Dans le cadre de son étude du marché des systèmes d'exploitation pour serveurs pour le premier trimestre 2005, IDC a relevé une progression de 35,2% du chiffre d'affaires généré par Linux sur ce marché, et de 31,1% du nombre de machines équipées. Côté Windows, la croissance est plus limitée à 12,3% en valeur et 10,7% en volume. Cependant, Microsoft bénéfice d'une importante base installée et, selon IDC, les serveurs sous Windows ont généré 34,4% des ventes, en valeur, de serveurs au premier trimestre, faisant jeu égal avec les serveurs Unix.
Au final, IDC estime que Linux est destiné à rester un produit de niche, au moins pour un bon moment, laissant le champ libre à Microsoft. (...)

(31/05/2005 17:54:08)

Munich : Novell se console avec la migration des serveurs Netware

La ville de Munich, après avoir opté pour la distribution «indépendante» Debian pour équiper ses quatorze mille postes de travail – le projet LiMux –, a retenu la solution Novell Open Entreprise Server (OES), pour la migration de ses serveurs Netware. Soit la voie «la plus naturelle», OES 1.0 mêlant la distribution Linux Suse Entreprise Server 9.0 de l'éditeur, à Netware 7.0.
«Le projet LiMux était dédié à la migration des quatorze mille postes clients Windows vers Linux. La mise à jour des serveurs Netware devait alors s'effectuer dans la foulée. Le choix d'OES, combinant l'environnement actuel (Netware, ndlr) avec Linux, s'imposait», explique le porte-parole de la Ville de Munich.

Le projet devrait s'étaler sur plusieurs mois. Une bien maigre consolation pour Novell, si l'on considère l'étendue du projet LiMux, qui, selon Munich, devrait s'échelonner jusqu'en 2008. Rappelons également que l'éditeur fait actuellement face à une baisse de ses ventes de licences. Creusant du coup un peu plus sa perte au deuxième trimestre 2004, à 16 M$, pour un chiffre d'affaires en légère hausse de 1,2%, à 297 M$ sur la même période. (...)

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