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(16/11/2010 14:48:04)

Solaris 11 Express est disponible

Annoncé lors du récent OpenWorld, Solaris 11 Express doit améliorer la disponibilité de l'OS en réduisant de moitié les temps de redémarrage après interruption, souligne Oracle. La durée de Boot est aussi réduite à « quelques dizaines de secondes. »

Le communiqué ajoute également des fonctionnalités de gestion de réseau virtualisé, l'intégration avec le portail d'assistance en ligne Oracle, qui permet des mesures de soutien « proactives et préventives ». On notera aussi une meilleure prise en charge des fichiers ZFS. Cet OS assure une compatibilité avec plus de 11 000 applications développées par des tiers sur quelque 1 000 systèmes SPARC et x86, selon l'éditeur de Redwood.

Une présentation spécifique


Solaris 11 Express présente aux administrateurs système un certain nombre de changements dans l'installation, la livraison de correctifs et d'autres domaines, selon Oracle. La société fournit une série de ressources pour aider à la transition. En outre, un webcast sur ce sujet est prévu pour le 7 décembre. Cette version ne peut pas être utilisée dans des environnements de production ou commerciaux selon les termes de la licence développeur.

Cette annonce intervient quelques mois après qu'Oracle ait annoncé qu'il ne soutiendrait plus le projet OpenSolaris, une distribution Open Source de Solaris, afin de se concentrer sur la version commerciale. Cette décision avait provoqué la colère et la dissolution du conseil d'administration d'Open Solaris. Mais certains membres de la communauté travaillent sur Illumos, un projet dérivé du code source d'OpenSolaris formé en août. (...)

(16/11/2010 12:51:25)

Oracle tente de raisonner la fondation Apache sur Java 7

«Nous encourageons Apache à reconsidérer leur position et à collaborer avec Oracle et la communauté dans son ensemble pour progresser sur Java, » a écrit Don Deutsch, vice-président d'Oracle en charge des standards et architectures, dans un billet publié lundi sur le blog Oracle. La semaine dernière, dans un communiqué, le conseil d'administration d'ASF a encouragé les autres membres de la communauté du JCP (Java Community Process) à voter contre le projet de proposition de spécification pour Java 7.

L'ASF soutient que l'éditeur de Redwood a émis des restrictions sur un TCK Java (un kit de compatibilité avec d'autres frameworks) autorisant  des tests sur  Apache Harmony, une implémentation Open Source d'Apache sur Java SE. La restriction du champ d'utilisation viole les termes de l'accord initial, appelé le JSPA (Java Specification Participation Agreement), souligne la fondation. « Oracle essaye de placer des restrictions sur le périmètre d'utilisation d'Harmony via la licence TCK, ce qui est inacceptable pour nous, car cela signifierait que nous ne pouvions pas distribuer ce framework sous une licence Open Source», a expliqué Geir Magnusson Jr, membre du conseil d'ASF, dans un e-mail à nos confrères d'IDG.

Ne pas bloquer les ambitions d'Oracle

Dans son post, Don Deutsch n'a pas répondu spécifiquement sur les récriminations de l'ASF, notant seulement qu' « Oracle fournit des licences TCK à des conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires conformes à ses obligations en vertu de la JSPA. » Il a surtout souligné la nécessité d'obtenir l'approbation des propositions de spécification de la prochaine édition Java, en faisant allusion à la frustration des autres membres de la communauté, bloquée par cette question.

Avec le soutien d'Apache, « la communauté Java pourrait se mettre au travail pour faire avancer Java SE et d'autres normes ouvertes, transparentes et trouver des consensus  auprès de groupes d'experts. C'est la priorité. Il est maintenant temps pour une action positive et aller de l'avant sur Java, » conclut le responsable d'Oracle.

Illustration : Don Deutsch, vice-président Oracle pour les standards et les architectures

(...)

(15/11/2010 15:25:25)

Apple rejoint le projet OpenJDK d'Oracle

La firme de Cupertino a indiqué vendredi dernier vouloir rejoindre le projet OpenJDK d'Oracle pour « contribuer à la plupart des technologies, composants clés et outils requis pour mettre mis en oeuvre Java SE 7 sous Mac OS X ». Voilà une annonce qui donne à OpenJDK un nouveau soutien de taille. Le mois dernier, IBM avait indiqué qu'il travaillerait aux côtés d'Oracle pour faire d'OpenJDK, la source première pour le développement Java SE.

Apple participera à l'élaboration d'une machine virtuelle Java HotSpot 32 bit et 64 bit, de bibliothèques de classes, d'une couche réseau et  du nouvel environnement graphique client pour OpenJDK. « La disponibilité de Java sous Mac OS X joue un rôle déterminant dans la promesse d'un Java multiplateforme », a déclaré Hasan Rizvi, responsable du développement chez Oracle, dans un communiqué. « La communauté des développeurs peut être assuré que Java continuera à être disponible sous Mac OS X à l'avenir. »

La mise à l'écart du runtime Java s'explique

Apple est « enchanté de travailler avec Oracle afin qu'il y ait toujours une version importante de Java pour Mac », a pour sa part commenté Bertrand Serlet, vice-président de l'ingénierie logicielle chez Apple. Il a ajouté que la meilleure façon pour les utilisateurs de toujours disposer de la dernière version sécurisée de Java consistera à l'obtenir directement d'Oracle.

En plus, Apple continuera à fournir Java SE 6 pour Mac OS X Snow Leopard,  et pour le prochain Mac OS X Lion. Oracle distribuera Java SE 7 et les prochaines versions pour OS X.

Le mois dernier, on s'était posé quelques questions sur l'engagement à long terme d'Apple sur  Java lorsqu'il a annoncé la mise à l'écart du runtime Java lors de la mise à jour de Mac OS X 10.6 (Update 3). « Les développeurs ne doivent pas utiliser sur le runtime des prochaines versions de Mac OS X », avait alors indiqué la société. Cette déclaration d'Apple prend une tout autre signification après l'annonce de vendredi dernier.

Quid d'applications Java sur l'App Store pour le Mac


« Ma vision sur tout cela est qu'Apple est heureux d'apporter la majeure partie de ses investissements autour de Java à l'OpenJDK », a estimé Jeffrey Hammond, analyste chez Forrester Research dans un mail à nos confrères d'IDG News Service. Ainsi, les autres participeront à l'effort de développement de Java pour des plates-formes Mac.  Pour l'analyste, cela satisfait Apple parce que cela va lui permettre de réduire ses efforts et, en même temps, cela réjouit aussi Oracle parce que cela lui permet de contrôler la mise en oeuvre de Java sur une plate-forme Java de plus.

Mais il reste une question sans réponse. «Dans les communiqués, il n'y a aucune indication sur un changement de stratégie quant au fait que  les applications basées sur Java fonctionneront sur le future app store consacré au Mac », a t-il regretté  Pour celui-ci, ce point est primordial si Java entend jouer un rôle futur dans le monde du Mac.

(...)

(15/11/2010 11:32:40)

Avec RHEL 6, Red Hat se prépare pour les prochains serveurs

Red Hat vient de livrer la version 6 de RHEL, sa distribution pour l'entreprise du système d'exploitation Linux. Une évolution que Paul Cormier, président responsable des produits et des technologies de Red Hat, présente comme le couronnement de dix années d'enseignements et de partenariats. Il positionne le produit à la fois comme un environnement de déploiement dans le cloud et comme une solution de remplacement pour Windows Server. « Nous voulons pousser Linux davantage dans chaque département informatique ; c'est un bon produit pour éroder l'écosystème serveur de Microsoft, explique-t-il dans un webcast présentant la mise à jour de l'OS.

L'offre est présentée comme très « optimisée pour les déploiements centralisés, à grande échelle ». Elle comporte plus de 2 000 packages d'installation et son volume de code s'est enrichie de 85% par rapport à la version précédente, indique de son côté Jim Totton, vice-président de la plateforme entreprise de Red Hat. L'éditeur dit avoir ajouté 1 800 fonctionnalités au système d'exploitation et corrigé plus de 14 000 bugs.

Plus de 3 500 modifications sur le kernel Linux

Les efforts de développement se sont concentrés sur l'amélioration du kernel Linux, avec plus de 3 500 modifications, assure Jim Totton. Des avancées ont été également réalisées sur la gestion de la consommation d'énergie. L'OS exploite les nouvelles techniques d'économie apportées par les processeurs Opteron séries 4000 et 6000 d'AMD. Il détecte à quel moment les serveurs ne sont pas utilisés et éteint certains composants pour qu'ils consomment moins d'électricité.

Les responsables de Red Hat ont aussi cherché à voir bien plus loin. La nouvelle version pourrait supporter jusqu'à 16 téraoctets de mémoire utilisable, même si aucun système physique ne peut actuellement exploiter autant de mémoire dans un seul serveur. RHEL 6 a été configuré pour piloter jusqu'à 4 000 processeurs à partir d'une seule installation de l'OS. La mise à jour de l'OS améliore sa gestion des architectures Numa (non-uniform memory access) en permettant au kernel d'appréhender les diverses ressources mémoire à travers une variété de processeurs. Des fonctions nécessaires avec les systèmes multicoeurs, multinoeuds, explique Jim Totton.

Parallèlement à cette mise à jour, Red Hat a également annoncé un programme de certification pour ses partenaires. Celui-ci délivrera des certifications qui assureront aux clients que les applications écrites pour RHEL 6 seront en mesure de fonctionner pendant toute leur durée d'utilisation de l'OS.

(...)

(12/11/2010 12:37:19)

Support de MySQL : Oracle défend sa politique de prix et dissipe un malentendu

Certes, Oracle a relevé le prix du contrat de base pour le support de MySQL. Mais les clients vont en avoir pour leur argent, assure l'éditeur américain. Davantage, en tout cas, qu'ils n'en recevaient de Sun Microsystems, précédent propriétaire de la base de données Open Source. C'est ce qu'affirme Oracle dans un billet de blog officiel publié cette semaine.

Le 1er novembre, Oracle a émis une liste de prix sur laquelle on découvrait que le tarif le plus bas pour accéder aux services de support de MySQL était désormais fixé à 2 000 dollars par serveur par an. Or, avant que Sun ne soit racheté, le support de base ne démarrait qu'à 599 dollars par serveur et par an. Ce contrat de service « n'incluait que les accès aux correctifs et aux mises à jour, ainsi que la possibilité d'appeler pendant les heures de bureau, fait valoir Monica Kumar, responsable marketing produit senior pour Oracle. Il ne permettait de résoudre que deux incidents par an. C'était un support très très limité, insiste-t-elle sur le billet de blog en ajoutant que, de toute façon, cette option n'était pas très populaire.

Alors qu'avec l'option à 2 000 dollars, actuellement proposée dans le cadre du contrat Standard Edition, le client dispose d'une offre illimitée, avec un support qui fait le tour du cadran et qui inclut l'outil Workbench [avec lequel un DBA ou un développeur pourra modéliser, générer et gérer des bases de données]. « Soit un niveau de services beaucoup plus élevé et davantage de fonctionnalités », souligne Monica Kumar.
Oracle propose également un contrat Enterprise Edition à 5 000 dollars par serveur et par an.

Ne pas confondre la Community Edition et la Classic


Par ailleurs, une autre offre, MySQL Cluster Carrier Grade Edition, est maintenant disponible par abonnement pour la première fois, à 10 000 dollars par serveur et par an. Dans tous les cas, les clients reçoivent un meilleur service et plus de fonctions que par le passé, insiste la responsable produit d'Oracle.

Toutefois, Monica Kumar n'insiste pas sur le fait que ces différents tarifs ne s'appliquent qu'aux serveurs équipés de un à quatre sockets. L'éditeur explique ce qu'il définit comme un socket : un connecteur qui reçoit un processeur (ou un module multi-processeurs) qui contient un ou plusieurs coeurs. Or, dès qu'un serveur contient cinq sockets ou plus, le prix d'abonnement aux différents contrats de support est doublé. On peut le vérifier sur la liste tarifaire.

La responsable produit revient aussi sur la confusion qui a pu se diffuser autour de la présence ou non du moteur de stockage InnoDB dans la version gratuite de la base de données, MySQL Community Edition. Cette dernière est toujours disponible sous la licence Open Source GPL. Elle inclut tous les moteurs de stockage existants (c'est-à-dire InnoDB, MyISAM, Memory, Archive, etc.), a expliqué Monica Kumar dans un précédent billet. La Community Edition comprend aussi les connecteurs disponibles (ODBC, JDBC, .Net, etc.) et toutes les fonctionnalités (réplication, partitionnement). Il n'y a aucun changement sur ce terrain-là.

En revanche, le produit MySQL Classic Edition, qui s'adresse aux éditeurs indépendants qui souhaitent embarquer la base de données dans les solutions qu'ils développent, a troqué son moteur pour MyISAM. Il ne faut pas confondre la Community Edition et la Classic Edition, met en garde Monica Kumar.

Illustration : Capture d'écran de MySQL Monitor + extrait de la liste de prix des contrats de support de MySQL (crédit photo : D.R.)

(...)

(10/11/2010 17:31:50)

Talend s'offre Sopera et un tour de table à 34 millions de dollars

Sopera a commencé comme un projet interne pour la logistique au sein de la Deutsche Post, pour évoluer vers la création d'une société. Elle dispose maintenant de près de 60 clients, dont l'organisme postal lui-même, a déclaré Yves de Montcheuil, vice-président marketing de Talend.

SOA, qui a disparu comme mot à la mode ces dernières années, se réfère à une approche de conception des systèmes où les applications sont composées de « services » différentes et parfois en mode partagé. L'objectif est d'assurer une meilleure interopérabilité, ainsi qu'une réutilisation de code. Sopera, basée à Bonn, en Allemagne, offre un ESB pour l'orchestration de ces services, ainsi que des outils de développement SOA, ainsi que de gestion et de surveillance. Toutefois, « SOA est un terme largement utilisé qui peut signifier beaucoup de choses et rien en même temps » souligne Yves de Montcheuil. Talend, qui est basé à Suresnes considère que Sopera s'inscrit dans une convergence croissante entre l'intégration des données et celle des marchés d'applications, en particulier les sociétés de IT qui élaborent des infrastructures de cloud privés ou public » a déclaré le PDG de Talend, Bertrand Diard.

La société fournira une feuille de route pour l'intégration des produits Sopera d'ici un mois. Les salariés seront gardés et Talend devrait même embaucher pour renforcer les ventes et services de Sopera.

Un financement à hauteur de 34 millions de dollars


Si cette opération donne à Talend une meilleure place dans les technologies middleware, des incertitudes ont été soulevées par le fait que l'éditeur pouvait être acquis ? Pour répondre à cette interrogation, Talend, a également annoncé aujourd'hui, qu'elle venait de boucler un plan de financement de 34 millions de dollars apporté par le fonds d'investissement Silver Lake Sumeru.

« En outre, de nombreux responsables informatiques envisagent la conception de leurs architectures avec le meilleur des technologies et non pas depuis une plate-forme toute en un comme le propose Oracle ou IBM » précise Yves de Montcheuil.

Néanmoins, Ronald Schmelzer, directeur associé du cabinet d'analystes ZapThink recommande à Talend de minimiser les liens entre Sopera et SOA dans le sens classique du terme. « SOA peut être là, mais de manière invisible » conclut-il.

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(04/11/2010 16:55:47)

La version 7 du CMS Open Source Drupal bientôt finalisée

Evolution majeure du système de gestion de contenus web Drupal, la version 7 du logiciel pourrait atteindre le statut de « release candidate » cette semaine. C'est la dernière étape avant la disponibilité générale du produit. Apparemment, il reste encore quatre bugs critiques à corriger, concernant l'accès du logiciel aux utilisateurs ayant une déficience visuelle, l'interface, ainsi qu'un risque potentiel de sécurité. « Nous cherchons à livrer la release candidate la semaine prochaine, peut-être même dès ce vendredi [5 novembre] », a déclaré Dries Buytaert, créateur du produit et directeur technique d'Acquia, dans une interview donnée sur la conférence PHP ZendCon 2010, à Santa Clara.

Comparée à Drupal 6, la version 7 est plus facile à utiliser et s'adapte mieux aux grands sites qui atteignent 30 à 40 millions de pages vues par mois. En revanche, la mise à jour pourrait s'exécuter plus lentement qu'avec la v.6 si elle est déployée sur un seul serveur. Parmi ses utilisateurs, le système Drupal compte une chaîne de magasins spécialisés comme Best Buy, mais aussi la Maison Blanche, donne en exemple Dries Buytaert.

Version définitive dans deux mois


Il y a eu pas moins de sept versions alpha de Drupal 7 et deux bêtas, la première d'entre elles livrée le 7 octobre dernier. On espère que la version définitive arrivera d'ici deux mois. Il pourrait toutefois y avoir plusieurs releases candidates.

Drupal a été écrit en PHP, même si l'expérience de Dries Buytaert repose plutôt sur le développement Java. « J'ai eu recours à PHP car, à ce moment-là, je voulais apprendre ce langage, mais aussi parce que je pense que Drupal a du succès en raison de PHP qui est tellement accessible. » La barrière à l'entrée pour les développeurs n'est pas trop élevée par rapport à Java, selon lui.

En juillet, Dries Buytaert a accordé une interview à nos confrères d'Infoworld à l'occasion de laquelle il a détaillé les avancées prévues dans Drupal 7.

Construire une communauté prend du temps


Le fondateur du CMS Open Source a par ailleurs énuméré les secrets de l'innovation apportée par une communauté. Il n'existe pas de formule rapide : construire une communauté prend du temps. Il faut s'attendre à des problèmes de croissance, comme lorsque le site web de Drupal a subi une interruption de serveur en 2005. Il convient de bâtir une architecture capable d'évoluer et autoriser les gens à collaborer. Il est nécessaire de fournir les bons outils, tels que forums, mailing lists et wikis. Indispensable, aussi, de construire un écosystème commercial au-delà de celui du réseau des développeurs. Enfin, le « leadership » est plus important que la gestion : il faut laisser ceux qui participent libres de faire ce qu'ils veulent.

8,5 millions de dollars de plus pour Acquia

Sur son site, Dries Buytaert vient par ailleurs d'annoncer que la société Acquia a réalisé ces jours-ci un troisième tour de table qui lui a permis de lever 8,5 millions. Sur trois tours, la start-up aura ainsi levé 23,5 millions de dollars. L'an dernier, son activité a crû de 300%, explique le directeur technique, et son effectif est passé de 30 à 70 personnes à temps plein. La plateforme en ligne Drupal Gardens, sur laquelle le logiciel est accessible sous la forme d'un service, comptabilise déjà 25 000 sites. Pour Dries Buytaert, le logiciel Drupal animerait à ce jour plus de 1% du web.

Illustration : Dries Buytaert, créateur de Drupal et co-fondateur d'Acquia (crédit photo : http://buytaert.net/) (...)

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