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(29/12/2009 13:37:57)

Monty Widenius lance une pétition pour « sauver MySQL »

« Sauvez MySQL ! » C'est un appel au monde entier que lance Monty Widenius. Le père de MySQL a en effet mis en place un site appelant les internautes à signer une pétition, dont une première version sera remise dès le 4 janvier prochain aux autorités de régulation de l'Union européenne. Plusieurs pages, traduites en français, expliquent pourquoi la base Open Source, et partant ses utilisateurs, auraient à souffrir si l'UE autorisait en l'état l'acquisition de Sun par Oracle. Michael 'Monty' Widenius prend d'ailleurs largement le temps de répondre à l'argument numéro un de Larry Ellison, le patron d'Oracle, qui soutient que puisque MySQL est Open Source, il n'y a aucune inquiétude à avoir. Chacun est libre de créer un 'fork' (une version dérivée), reconnaît le développeur et homme d'affaires finlandais, mais il ne pourrait bénéficier du nom (Monty Widenius a d'ailleurs lui-même repris le code de MySQL dans MariaDB) et donc de la notoriété de la marque, et serait condamné à gagner sa vie sur les services, alors que MySQL proposait aussi des outils associés vendus sous licence propriétaire. C'est pourquoi, explique-t-il, personne n'a concurrencé MySQL avec un 'fork', et pourquoi Sun a dépensé un milliard de dollars pour racheter un éditeur Open Source. « MySQL doit être cédé à une tierce partie ou publié sous licence Apache » A l'inverse, dit-il, une licence plus permissive que la GPL, telle qu'une licence Apache, permettrait vraiment à l'écosystème de se maintenir. On peut bien sûr objecter à Monty Widenius qu'il a lui-même choisi la GPL au départ. Mais les circonstances ont changé, dans la mesure où Oracle réalise la majeure partie de ses astronomiques bénéfices avec sa base de données. Quel intérêt aurait-il à promouvoir MySQL, interrogeait Monty Widenius dans un entretien publié le mois dernier sur LeMondeInformatique.fr. La pétition laisse les gens libres de choisir une ou plusieurs options permettant d'assurer un meilleur avenir à MySQL. Trois propositions sont formulées : « MySQL doit être cédé à une partie tierce appropriée qui pourra continuer son développement sous les termes de la GPL », ou « Oracle doit s'engager à permettre une exception de linkage pour les logiciels qui utilisent MySQL avec des librairies clientes (pour tous les langages de programmation), pour les greffons et libmysqld. MySQL en lui même reste sous licence GPL », ou encore « Oracle doit publier toutes les versions précédentes et futures de MySQL (jusqu'en décembre 2012) sous la licence Apache Software License 2.0 ou une licence permissive similaire afin que les développeurs de logiciels et de versions dérivées (forks) puissent avoir une flexibilité concernant leur code ». (...)

(24/12/2009 14:32:11)

Trimestriels Red Hat : le revenu des abonnements croît de 21%

L'éditeur de logiciels Open Source Red Hat a enregistré une hausse de 18% sur ses ventes, à 194,3 M$, sur son troisième trimestre fiscal, clos le 30 novembre, par rapport à la même période, l'an dernier. Ce sont les revenus issus des abonnements, notamment au système d'exploitation Red Hat Entreprise Linux 5 et au serveur d'application JBoss, qui tirent l'activité. Ils représentent 85% du chiffre d'affaires total et ont progressé de 21% sur le trimestre. Les revenus provenant des services et de la formation sont restés stables, à 29,914 M$ (contre 29,881 M$ l'an dernier). Pour le septième trimestre consécutif, l'éditeur a non seulement renouvelé ses vingt plus gros contrats sur le point arrivé à échéance, mais il l'a réalisé à 120% de leur valeur l'année précédente, a indiqué Jim Whitehurst, le PDG de Red Hat, lors de la présentation des résultats. Le bénéfice net de la société en revanche, a baissé de 32,5%. Il s'établit à 16,4 M$ contre 24,3 M$ sur le troisième trimestre fiscal de l'éditeur, l'an dernier. Un contrat de plus de 5 M$ Le Top 30 des contrats de Red Hat comporte quatorze contrats de plus de 1 M$ et un de plus de 5 M$, a précisé Charlie Peters, le vice-président exécutif et directeur financier de la société. Vingt-trois contrats concerne Red Hat Enterprise Linux (RHEL) 5 Advanced Platform et les huit autres JBoss. L'un de ces contrats avait été signé au départ pour le déploiement d'un environnement virtualisé. 59% des ventes de Red Hat sont réalisées sur le continent américain, tandis que 29% se font en Europe et 15% sur la région Asie-Pacifique. La durée moyenne d'un contrat est de vingt-deux mois, selon l'éditeur. Le cloud computing progresse [[page]] Le cloud computing progresse Au cours du dernier trimestre, Red Hat a gagné un certain nombre de contrats sur des projets liés au cloud computing, a reconnu le PDG Jim Whitehurst. Selon lui, un éditeur aurait signé un contrat à 6 chiffres pour utiliser RHEL comme système d'exploitation pour mettre à disposition son logiciel sous la forme d'un service sur le cloud d'Amazon (EC2, Elastic Computing Cloud). Pour son quatrième trimestre fiscal, Red Hat prévoit de réaliser un chiffre d'affaires compris entre 191 M$ et 193 M$. Les performances du troisième trimestre l'ont amené à relever ses estimations annuelles de 10 M$. L'éditeur pense que le chiffre d'affaires de son exercice fiscal 2010 se situera entre 743 M$ et 745 M$. Jim Whitehurst décèle un potentiel important de revenus pour le future avec ses solutions de virtualisation, à la fois du nouvel hyperviseur KVM, de la dernière version de RHEL, et des outils d'administration Red Hat Enterprise Virtualization. Il considère que sa suite d'administration est bien moins chère que celle de ses concurrents. Il pense toutefois que le nombre d'abonnements sera limité sur le trimestre entamé, les clients potentiels étant en phase de test du nouveau logiciel. La contribution de ces produits au chiffre d'affaires ne démarrera vraiment qu'avec le prochain trimestre fiscal. (...)

(21/12/2009 19:27:27)

Red Hat cessera de supporter l'Itanium dans Enterprise Linux 6

Red Hat a annoncé hier, 20 décembre, qu'il cesserait de supporter le processeur Itanium d'Intel dans la prochaine version majeure de son système d'exploitation, Enterprise Linux 6. Le nombre de serveurs basés sur des Itanium qui ont été vendus ne constitue sans doute pas une base suffisamment importante qui justifie que Red Hat consacre des ressources à son support dans une version de l'OS destiné à cet environnement. Cette équation économique explique la décision de l'éditeur, selon Chris Ingle, directeur de recherche chez IDC. Red Hat pourra ainsi se consacrer au support des serveurs x86. Actuellement, pour sa version 5 d'Enterprise Linux, Red Hat assure aussi le support des environnements Power, System z et S/390 d'IBM. Pour l'Itanium, il continuera à le faire dans cette version 5 jusqu'en mars 2014 à laquelle il ajoutera de nouvelles fonctions pour cet environnement. Il supportera aussi de nouveaux matériels conformément à sa politique standard de cycle de vie des produits, a précisé l'éditeur. Les fournisseurs OEM pourraient assurer le suivi Plusieurs fournisseurs OEM offriront aussi un support étendu pour RHEL 5 sur serveur Itanium jusqu'en mars 2017, toujours selon Red Hat. Chris Ingle, du cabinet IDC, considère que l'abandon de cet abandon ne devait pas changer grand-chose parce que beaucoup d'utilisateurs reçoivent déjà leur support des OEM. Ces derniers pourraient choisir de continuer à le faire pour la version 6 de RHEL. Unix domine le marché des serveurs Itanium. En Europe, 61% des serveurs Itanium livrés en 2009 utilisent Unix, 29% Linux et 5% Windows, selon les estimations d'IDC. Selon Chris Ingle, cet environnement se maintiendra comme voie de migration pour les systèmes Risc et comme une alternative lors de la consolidation de bases de données. (...)

(21/12/2009 10:20:09)

Microsoft dédaigne Hadoop pour son datawarehouse

Un certain engouement se manifeste autour d'Hadoop, plateforme distribuée constituée de sous-projets Open Source (gérés par l'Apache Software Foundation) qui accélère le traitement de volumes très importants de données. Hadoop inclut un système de fichiers distribués et exploite Google MapReduce, framework de développement conçu pour des calculs parallèles et distribués, à opérer sur des bases dépassant le téraoctet de données. Parmi les chefs de file des SGBD, il apparaît que Microsoft et IBM l'abordent de façon assez différente. Tandis que des éditeurs de technologies décisionnelles comme Sybase et Teradata ont adopté sans ambages Hadoop et Google MapReduce, Microsoft, lui, résiste.

« Nous n'avons jamais inséré de code Hadoop dans un de nos produits, confirme le professeur David DeWitt, de l'Université de Madison (Wisconsin), également membre des équipes techniques de Microsoft. Son manque d'intérêt n'a rien de surprenant. Expert en base de données SQL parallèles, il a co-inventé trois d'entre elles. Au printemps, il a co-signé un article qui comparait les différentes approches de l'analyse de volumes importants de données. Il y avançait que les bases de données SQL dépassaient toujours MapReduce sur la plupart des tâches. Il n'a pas changé d'avis : « De nombreux fournisseurs de base de données déclarent qu'ils exploitent Hadoop parce que ce logiciel a du succès, [...] mais les bases SQL s'en sortent toujours très bien ».

David DeWitt dirige à l'Université de Madison un laboratoire qui travaille avec la R&D de Microsoft autour de la technologie de datawarehouse (connue précédemment sous le nom de Projet Madison) qui sera intégrée à la R2 de SQL Server 2008. Selon lui, cette version de SQL Server disposera, grâce à la technologie héritée de DATAllegro, de fonctions analytiques ressemblant à certaines fonctions de MapReduce/Hadoop. Mais David DeWitt reconnaît néanmoins que sur le traitement des requêtes nécessitant un temps d'exécution important, MapReduce est meilleur que SQL. Cette aptitude pourrait amener Microsoft à essayer d'introduire ces fonctionnalités dans la future version de SQL Server orientée datawarehouse.

IBM explore les cas d'utilisation de Hadoop


IBM, l'un des principaux supporters d'Apache, est évidemment très « branché » Hadoop. Anant Jhingran, directeur technique de la division Information Management d'IBM, le reconnaît volontiers. « Je ne prétends pas qu'il constitue la réponse à tout, mais je pense qu'à terme, chaque entreprise va vouloir y recourir, même si je ne suis pas sûr de la forme que cela prendra ». Les entreprises voudront-elles intégrer Hadoop à leur base de données SQL ou dans une appliance de datawarehouse séparée, ou encore sous la forme d'un service Web s'appuyant sur Hadoop comme le fait le service expérimental M2 d'IBM ?

Pour le déterminer, IBM teste des pilotes avec une dizaine d'entreprises clientes et explore cette voie dans sa R&D, explique Anant Jhingran, sans rien vouloir dire, toutefois, sur l'éventuelle présence de fonctionnalités Hadoop dans la prochaine version de DB2 ou d'Informix. Une chose est sûre, a tout de même précisé le directeur technique : Hadoop est mieux utilisé pour des applications émergentes de type Web Analytics, détection de la fraude, ou analyse des données non structurées et semi-structurées, plutôt que pour des applications sur lesquelles les bases relationnelles ont déjà largement fait leurs preuves. (...)

(18/12/2009 16:19:53)

Mark Shuttleworth abandonne la direction de Canonical, mais pas le développement d'Ubuntu

Canonical change de braquet. La société fondée par Mark Shuttleworth pour délivrer une distribution Linux, Ubuntu, au plus grand monde, aborde une nouvelle étape de sa croissance, et le millionnaire sud-africain a décidé de laisser les rênes de son entreprise à son actuelle directrice opérationnelle, Jane Silber. « En tant qu'ancienne vice-présidente chez General Dynamics, écrit Mark Shuttleworth sur son blog, Jane a plus d'expérience des grands clients et de la direction de grandes organisations, ce que je juge essentiel pour Canonical durant les cinq prochaines années. Des entreprises de plus en plus grandes nous font confiance en tant que partenaire ou fournisseur, et je veux être sûr que nous puissions être une réponse robuste à leurs besoins. » Mark Shuttleworth n'abandonne pas Ubuntu pour autant. Il explique qu'il restera actif au niveau de la direction du développement, et qu'il disposera aussi de davantage de temps pour aller voir des partenaires et des clients. « Ce sont les domaines où je prends le plus de plaisir, mais aussi ceux où je peux avoir le plus d'impact sur le marché et sur l'Open Source. » (...)

(17/12/2009 17:17:19)

Moonlight, implémentation de Silverlight pour Linux, en v2

Le projet Mono a mis en ligne hier la version 2 de Moonlight, son implémentation pour Linux et Unix de Silverlight, la technologie de client riche de Microsoft. Projet soutenu par Novell, devenu un grand partenaire de Microsoft, Mono vise à porter l'environnement .Net sur les machines Linux et Unix. N'importe quel Linux, et plus seulement celui de Novell, Suse : Microsoft s'engage désormais à ne pas poursuivre pour utilisation frauduleuse de sa propriété intellectuelle en cas de distribution et d'utilisation de Moonlight sur n'importe quel Linux. Un geste nécessaire pour couper l'herbe sous le pied d'Adobe, qui tente de son côté d'imposer Flash et AIR. Même si les équipes de Microsoft informent régulièrement celles de Novell, menées par Miguel de Icaza, des avancées de Silverlight, celles-ci ne suivent pas tout à fait le même rythme. Ainsi, alors que Microsoft a déjà sorti Silverlight 3 et donné quelques informations sur Silverlight 4, attendu dans quelques mois, Moonlight 2 est « une implémentation de Silverlight 2, avec quelques éléments de Silverlight 3 », explique Miguel de Icaza. En particulier, cette version 2 améliore les fonctions vidéo et audio, adoptant notamment le 'smooth streaming' (diffusion de la vidéo en débit variable selon la bande passante, en toute transparence pour l'utilisateur). Miguel de Icaza prévoit une version 3 de Moonlight pour le troisième trimestre 2010. Elle sera capable d'afficher de la 3D. (...)

(15/12/2009 17:56:13)

Le créateur de MySQL appelle à 'sauver' la base Open Source

Monty Widenius a lancé ce week-end un appel à sauver de toute urgence MySQL de l'emprise d'Oracle, ce dernier entendant bien absorber Sun, l'actuel propriétaire de la base de données Open Source. Le Finlandais, créateur de MySQL, enjoint tous ceux qui se sentent concernés par le sujet à écrire à la Commission européenne, dernier recours selon lui pour pérenniser le développement futur de la base de données sous la forme d'un projet Open Source. « J'ai passé les 27 dernières années à créer et faire évoluer MySQL et j'espère encore y travailler de nombreuses années avec mon équipe de développeurs, écrit Michael Widenius sur son blog. [...] Avec votre soutien, il y a de bonnes chances pour que la Commission européenne demande à Oracle de [...] donner d'autres garanties aux utilisateurs. Sans votre soutien, cela risque de ne pas se faire. La Commission européenne est notre dernier espoir vraiment important maintenant que le gouvernement américain a approuvé le rachat [de Sun]. » Le père de MySQL souligne qu'Oracle a contacté des « centaines de gros clients » en leur demandant de faire du lobbying auprès de l'Union européenne pour peser en faveur du rachat de Sun. Oracle a bien promis d'investir davantage dans le développement de la base Open Source, mais pour le développeur finlandais, « cela ne constitue pas une preuve que [...] MySQL conservera sa puissance concurrentielle dans le marché actuel ». Michael Widenius a de son côté lancé une nouvelle branche de la base de données, sous le nom de MariaDB. Les réactions au billet de 'Monty' ne sont pas toutes positives. Certains regrettent par exemple que le développeur encourage une intervention des gouvernements sur le terrain du libre. L'éditeur français d'un ERP Open Source offre de racheter MySQL pour un euro Hier, Oracle a publié dix promesses à l'attention des utilisateurs de MySQL à la suite de discussions menées avec la Commission Européenne pendant le week-end. Dans la foulée, Neelie Kroes, commissaire européenne aux TIC, s'est déclaré optimiste sur l'issue du dossier. Jeudi et vendredi dernier (11 et 12 décembre), la Commission avait auditionné de grands clients d'Oracle. Autre rebondissement du dossier, la société française Nexedi, qui édite l'ERP Open Source ERP5, a adressé hier, lundi 14 décembre, une lettre ouverte à la Commission européenne pour proposer de racheter la base de données Open Source pour un euro symbolique. (...)

(14/12/2009 13:40:11)

Les promesses d'Oracle sur MySQL conviennent à Bruxelles

L'éditeur californien a formulé dix engagements à l'adresse des clients, développeurs et utilisateurs de MySQL, censés garantir le maintien de la concurrence sur le marché des bases de données s'il rachète Sun. Il promet, notamment, de continuer à publier et améliorer les interfaces de programmation (API) pour intégrer un moteur de stockage à MySQL, ou encore de ne pas demander de publier sous licence GPL les mises en oeuvre des moteurs de stockage s'appuyant sur ces API. Oracle précise qu'il s'engage ainsi pendant cinq ans à partir du rachat effectif de Sun.

Ces garanties semblent répondre aux inquiétudes de Bruxelles. Neelie Kroes, la nouvelle commissaire européenne aux TIC, s'est déclarée aujourd'hui plutôt optimiste sur l'issue de l'enquête antitrust en cours. De façon plutôt inhabituelle dans ce genre de dossier, la Commission européenne a diffusé un communiqué ce lundi 14 décembre indiquant que les nouvelles promesses d'Oracle constituaient un élément important à prendre en considération.

Purement cosmétiques et totalement inefficaces, selon un proche de Monty Widenius

A la fin de la semaine dernière, la Commission européenne a tenu une audience de deux jours au cours de laquelle des clients de l'éditeur californien sont notamment venus plaider sa cause. A la suite de quoi, des membres de la Commission ont poursuivi la discussion avec Oracle pendant le week-end pour établir de quelle façon il était possible d'autoriser l'opération de rachat sans mettre en danger la base Open Source MySQL.

Les engagements livrés par Oracle à l'issue du week-end sont toutefois loin de satisfaire tout le monde. Ainsi Florian Mueller, ancien collaborateur de MySQL et proche de Michael 'Monty' Widenius, père de MySQL, les juge « purement cosmétiques et totalement inefficaces ». Pour lui, ils ne préservent pas le futur de MySQL et n'ont aucun effet sur l'arrêt quasi-instantané de l'innovation autour de MySQL parce qu'aucun utilisateur professionnel, ni éditeur de moteur de stockage, ni fournisseur de technologie dérivée de MySQL ne se sentira rassuré pour le futur, ni incité à investir. Florian Mueller considère en outre que les cinq années d'engagement d'Oracle sont insuffisantes. « Ce n'est pas assez long [...] pour engager des investissements à long terme », estime-t-il.

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