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(02/06/2009 11:13:56)

Red Hat annonce la fin des serveurs d'applications monolithiques avec JBoss Open Choice

Visiblement, l'annonce de la sortie de la version 5 du serveur d'applications Java de Red Hat n'avait pas suffi à convaincre que JBoss s'engageait dans la voie de la modularité. L'éditeur Open Source en rajoute donc une couche, en lançant l'initiative Open Choice : il s'agit de souligner que le middleware JBoss peut s'adapter à tous les besoins, du serveur d'applications basiques à la plateforme pour applications transactionnelles. Le nouveau directeur technique de JBoss, Mark Little, qui a repris le poste après le récent départ de Sacha Labourey, compare le middleware de JBoss aux Transformers, ces fameux robots (de fiction, hélas ?) capables de prendre la forme la plus adaptée à leur mission (c'est-à-dire combattre leurs ennemis, les Decepticons). Il écrit sur le blog de JBoss : "Cela fait quelques années que nous travaillons sur notre propre infrastructure adaptable, pas pour combattre les Decepticons, mais pour donner la possibilité d'utiliser les mêmes composants logiciels dans différents environnements sans passer par des phases de réécriture, des changements d'implémentation, des recompilations ou des mois et des mois de consulting. Nous voulons aussi supporter plusieurs modèles de composants et frameworks, tels que SCA, Ruby ou OSGi." Red Hat devrait proposer trois configurations de base associées à cette initiative : Basic Java Web Apps, Rich Java Apps et Enterprise transactional Java Apps. L'élément clé de ces offres sera le 'microcontainer', le socle sur lequel peuvent se greffer tous les services. (...)

(27/05/2009 14:19:55)

Jahia v6 intègre les contenus propriétaires et Open Source

A la fois solution de portail et application de gestion de contenus Web et documentaires, le logiciel Open Source Jahia développe ses capacités d'agrégation multisources. L'Enterprise Edition v6 tout juste livrée (disponible sous licence Jahia) se connecte à des applications externes en s'appuyant sur le Jahia United content bus pour traiter données structurées et non structurées. Ce bus fonctionne avec des connecteurs spécifiques pour accéder à des référentiels de contenus propriétaires. Il supporte la spécification JSR 170 (ou JCR) vers les référentiels de contenus Java (via le projet Apache Jackrabbit), ainsi que les protocoles d'échange de fichiers CIFS, FTP et WebDAV. Et du côté portail, la v6 intègre nativement la bibliothèque Apache 2.0 Pluto, supportant mashups, gadgets, flux RSS et spécifications JSR 168 et 286. « Pour les entreprises qui gèrent des projets Web, la notion de contenus s'est très largement étendue », explique Elie Aubray, PDG de Jahia en rappelant qu'avec l'explosion des outils sociaux, les utilisateurs ne comprennent plus que les fonctions auxquelles ils accèdent chez eux ne soient pas disponibles sur leurs applications d'entreprises. « Le positionnement de Jahia est issu de l'expérience client, tout élément pouvant potentiellement devenir un contenu à gérer -fichiers pdf, jdo (Java data objects) ou bureautiques, flux RSS, etc. Quelle que soit la technologie utilisée, on doit être capable d'intégrer dans la même page, des portlets, du HTML, des flux RSS, des widgets, des contenus SAP, Sharepoint, Filenet, Documentum, Alfresco... ». Le logiciel se connecte par ailleurs à tout type d'annuaire LDAP. L'utilisateur de Jahia Enterprise Edition dispose d'une interface de travail unifiée, basée sur Ajax, « qui présente d'emblée la page telle qu'elle sera publiée en ligne », précise Elie Aubray. La v6 permet d'éditer les contenus de différentes sources directement sur la page, sans passer par des fenêtres de gestion séparées. A noter qu'elle peut générer des contenus vers l'iPhone d'Apple et qu'elle supporte Google Analytics. L'utilisation de Jahia Enterprise Edition est soumise à un abonnement annuel. Le logiciel est aussi vendu sous forme de licence classique. Parallèlement, Jahia propose une Community Edition sous licence GPL. Environ 300 clients payants ont des projets en production, indique Elie Aubray en citant SNCF, Saint-Gobain, le Parlement européen (une quarantaine de projets), l'UNFPA, Manpower ou l'Université de Lausanne (400 projets). (...)

(26/05/2009 18:06:27)

Les contenus de Wikipedia passent sous licence Creative Commons

Les contenus qui alimentent l'encyclopédie collaborative Wikipedia, jusqu'à présent publiés sous licence GNU FDL, passeront à partir du 15 juin prochain sous licence Creative Commons Attribution/Share-Alike License (CC-BY-SA). Cette décision, qui répond à une volonté de faciliter la réutilisation de ces contributions, notamment celles à caractère éducatif, vient d'être approuvée par le conseil de surveillance de Wikimedia, l'association qui chapeaute Wikipedia. Auparavant, la proposition avait recueillie les suffrages positifs de 75,8% des quelque 17 500 membres de Wikimedia (13,7% sans opinion et 10,5% contre), avec notamment une participation importante des représentants français, anglais, allemands, russes, espagnols, polonais, italiens et chinois. L'actuelle licence (GNU Free Documentation License) continuera à être supportée dans certains cas, mais sur tous les sites gérés par Wikimedia, c'est bien la licence CC-BY-SA qui prévaudra. L'association autorise la réutilisation des contenus de ses sites sous condition que la source en soit créditée. Lorsque Wikipedia a été créé, en 2001, la licence Creative Commons n'existait pas encore. Son adoption permettra notamment d'abandonner l'obligation de joindre le texte de la licence à chaque copie, Wikimedia jugeant que cela compliquait le processus de réutilisation et d'agrégation des contenus de ses sites. (...)

(19/05/2009 17:56:31)

Jboss hisse son moteur de règles au niveau des BRMS

Au pays des règles métier, il y a les moteurs, qui permettent de coder une partie de la logique applicative sous forme de règles, et les BRMS (Business rules management systems), qui sont des outils complets incluant un référentiel et des interfaces accessibles à des utilisateurs avertis. Jboss vient de passer dans la seconde catégorie, avec le lancement de son Enterprise BRMS. Pour Mike Gualtieri, analyste senior chez Forrester Research, il s'agit d'un grand pas en avant, Jboss pouvant ainsi concurrencer des offres comme celles d'Ilog ou de Pegasystems. Le référentiel est en effet indispensable pour gérer à la fois les versions des règles, et pour la traçabilité. Le moteur de règles est issu du projet Open Source Drools. Les règles peuvent donc être écrites en Drools Rules Language, ou bien provenir d'arbres de décision élaborés dans Excel ou OpenOffice. L'interface Web et le référentiel de règles ont été développés au sein du projet Guvnor, hébergé sur Jboss.org. Jboss BRMS prend évidemment toute sa place dans l'offre middleware de Red Hat, qui cherche à s'imposer comme fournisseur d'une plateforme SOA complète en Open Source. Les BRMS donnent en effet de la flexibilité aux systèmes d'information, car la logique applicative peut être modifiée beaucoup plus rapidement - sans passer par un cycle complet de développement. Ils sont notamment recommandés par la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture) et par le Ceisar. (...)

(19/05/2009 14:46:51)

L'inventeur de MySQL propose un clone du SGBD Open Source

Et si MySQL vivait de nouveau de ses propres ailes... sous un autre nom ? C'est en quelque sorte l'ambition de Michael Widenius, alias Monty, le développeur originel de la base de données Open Source et fondateur de MySQL AB. Monty Widenius promeut aujourd'hui MariaDB, un clone de MySQL, ou plutôt « la même base, avec plus de fonctions et moins de bugs », nous a-t-il confié. La prise en main de la société par Sun, après un rachat pour un milliard de dollars en janvier 2008, avait été pour les fondateurs et dirigeants de MySQL quelque chose de difficile à supporter. Tour à tour, Michael Widenius, David Axmark et Marten Mickos ont quitté Sun, dénonçant à mots plus ou moins couverts une approche trop bureaucratique et le peu d'intérêt porté à la communauté Open Source. Quel intérêt pour Oracle de soutenir l'activité de MySQL ? Le rachat en cours de Sun par Oracle n'est pas fait pour arranger les choses, Oracle étant plutôt connu pour laisser végéter les technologies de base de données Open Source qu'il a eues entre les mains. Et puis quel intérêt aurait Oracle à développer le marché d'une base qui a démontré, cas clients à l'appui, que des dépenses inutiles en licences Oracle pouvaient aisément être évitées ? Avec MariaDB, Michael Widenius aimerait remettre sur les rails l'idée qu'il a eue avec David Axmark au moment de la création de MySQL : une petite structure s'occupant de l'animation de la communauté des développeurs Open Source, et un réseau de partenaires apportant des technologies liées et des services. La différence majeure entre MariaDB et MySQL, indique-t-il, est tout simplement le fait que le premier est livré avec le moteur de stockage Maria par défaut. Une branche - et non un « fork » - de MySQL [[page]] En effet, le système de gestion de de base de données (SGBD) MySQL peut fonctionner avec plusieurs moteurs. On se souvient par exemple que fin 2005 Oracle avait racheté Innobase, éditeur d'InnoDB, le moteur transactionnel préféré des utilisateurs de MySQL. Au travers de sa nouvelle société Monty Program AB, Michael Widenius s'est donc associé avec Percona, qui édite XtraDB, un clone d'InnoDB, au sein de l'Open Database Alliance. Au final donc, Monty Widenius a recréé un MySQL - mais ne l'appelle pas ainsi car c'est Sun qui détient ce droit. En tout cas, insiste-t-il, il ne s'agit pas d'un « fork » (ce qui arrive quand deux groupes de programmeurs partent de la même base de code pour créer deux projets concurrents). « Un fork signifie que vous abandonnez le projet original, dit-il. C'est pourquoi j'appelle cela une branche : vous retrouvez tout MySQL. » Une collaboration plutôt qu'une compétition L'ambition du fondateur de MySQL n'est pas de reprendre tous les clients. « Il y a de très grands clients, note Michael Widenius, qui continueront d'être très bien servis par Sun. En revanche, nous serons là pour écouter et prendre en compte les besoins de tel ou tel client, et cela Sun ne sait pas le faire. De même, nous avons, nous, le savoir-faire pour animer une communauté Open Source. » Au final, dit-il, « le mieux serait de parvenir à une collaboration avec Sun/Oracle. J'en ai parlé avec Sun, puis avec Oracle, mais tant que la transaction n'est pas finalisée, ils ne peuvent pas se prononcer. » (...)

(18/05/2009 17:52:28)

SFR récompense les développeurs Android

En six semaines, SFR a reçu plus d'une centaine de dossiers pour son concours « Jeunes talents développeurs », et finalement récompensé 5 projets d'applications pour la plateforme Android. Les quatre projets distingués par un jury de professionnels se sont ainsi partagé 50 000 euros. Surtout, note Didier Girard, directeur des opérations et de l'innovation de la SSII Sfeir et membre du jury, « cela a permis aux développeurs de se connaître ». Autrement dit, de créer une émulation, une communauté de développeurs avides d'utiliser la liberté donnée par le système d'exploitation mobile de Google. Le grand gagnant, DidUnozat, permet tant aux concepteurs d'applications qu'aux utilisateurs de créer des fiches de type 'trucs et astuces'. L'idée est de faciliter la prise en main des applications, mais aussi d'inciter à partager ses trucs - et partant d'accélérer la diffusion des applications. Il y a donc à la fois un aspect collaboratif et un aspect viral, ce qui a séduit le jury. En 2e place, SOS a aussi une double approche : il s'agit d'avoir sur soi une sorte de carte de santé, avec liste des proches à contacter, mais aussi de pouvoir avertir les secours en cas d'accident, et d'aider à porter secours. En 3e place, DroidTracker permet d'interroger un mobile sous Android à l'aide d'un SMS (écrit depuis n'importe quel mobile). L'inventeur de l'applicatif cite par exemple le patron d'une société de livraison qui pourra ainsi savoir à tout instant où sont ses chauffeurs. « Il s'agit d'une application, explique Didier Girard, qu'on ne pourrait pas trouver sur l'iPhone, qui interdit l'exécution de programmes en tâche de fond. » En 4e position, le jury a distingué AndroPan, qui donne la possibilité d'assembler les photos prises avec un appareil sous Android pour créer des panoramas et les diffuser automatiquement sur le Web. Des applications bientôt mises en avant sur un « appli store » accessible aux mobiles Android [[page]] Le cinquième gagnant, qui se voit lui récompensé par un HTC Magic sous Android, a de son côté été désigné par le public. Avec une note de 3,4 sur 5 (et 152 votes), Hi-Hiker est une sorte de boîte à outils pour le randonneur qui, là aussi, exploite des possibilités non présentes sur l'iPhone (du moins dans sa v2), comme l'exécution d'applications en tâche de fond, ou la boussole. Le jury a également décerné trois mentions spéciales, à Wikitude, qui ajoute des informations aux images vues dans le capteur photo (principe de la réalité augmentée) et à deux applications diffusées en Open Source, Restlet, qui permet d'échanger les carnets d'adresse de téléphone à téléphone, et Shelves, pour gérer sa bibliothèque. D'ici quelques jours, toutes les applications gagnantes seront mises en avant, explique Raphaël Marbeck, responsable des applications sur OS ouverts chez SFR, sur le site SFR Android accessible depuis le Magic. Les autres participants devraient aussi probablement être référencés sur les sites de téléchargement de SFR. Impossible en revanche pour l'instant de connaître les chiffres de diffusion ou les projections de vente des mobiles sous Android. (...)

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