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Open Source

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(13/11/2008 11:23:24)

L'Afdel laisse entrer le logiciel libre et le SaaS

En clôture de son assemblée générale annuelle, l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) a confirmé la création de deux nouvelles commissions. Mais pas n'importe lesquelles. Signe des temps, la première sera consacrée au SaaS et la seconde au logiciel libre. « La création de ce groupe Open Source, sujet qui n'a pas toujours été abordé sereinement dans notre pays, est conforme aux principes fondateurs de l'Afdel, insiste Patrick Bertrand, président de l'association. Il s'agit de développer la R&D, l'innovation et la création de logiciels en France, quel que soit le modèle économique ou technologique retenu. » L'Afdel semble avoir décidé de se défaire de l'image qui lui colle à la peau, celle d'une association d'éditeurs de logiciels propriétaires défendant corps et âme les brevets logiciels. La situation du logiciel en France, véritable puzzle de petites entreprises qui n'arrivent pas à croître (à l'exception des seuls Cegid et Dassault Systèmes), est sans nul doute une des raisons qui la pousse à une telle ouverture. La commission logiciel libre sera présidée par Bertrand Diard, CEO de Talend. La start up est devenue le premier membre Open Source de l'Afdel. Le SaaS pour faciliter l'accès des PME au logiciel Comme le Libre, le Saas remet en question le monde du logiciel traditionnel, techniquement mais surtout économiquement. « Pour les entreprises, cela transformera l'investissement en charge et fera baisser le coût d'accès logiciel », a rappelé Eric Besson, le secrétaire d'État chargé de la prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, venu clôturer la réunion. Le ministre rappelle que pour rattraper le retard numérique de la France, il sera essentiel d'améliorer « l'accès des petites entreprises au logiciel, et le SaaS peut être un moyen d'y arriver. » Pour présider la commission, l'Afdel a nommé Olivier Novasque, PDG de Sidetrade, éditeur de solutions d'optimisation de la relation financière clients en mode SaaS. L'Afdel se fend d'une charte du green IT [[page]]Décidément, l'Afdel bouge. Au Saas et à l'Open Source, l'association ajoute le green IT. Elle ne crée pas encore de groupe de travail sur le sujet, mais a rédigé une charte signée par tous les membres. Ce texte compte quatre points : la prise de mesures proactives pour augmenter l'efficacité carbone ; l'amélioration des produits des éditeurs pour que leurs clients participent mieux à la réduction des émissions carbone ; la participation en tant que profession au débat du green IT autour des normes et standards ; le développement de la prise de conscience par l'industrie des questions du développement durable. Eric Besson a profité de son allocution pour rappeler les mesures de son plan France Numérique 2012 consacrées au logiciel. « Lors de la préparation du plan, nous nous sommes penchés sur l'écosystème éditeurs, et nous avons identifié trois points à améliorer qui l'empêchent de se développer : la formation, l'accompagnement international et le financement du risque. » Une université du logiciel pour pallier le déficit de compétences informatiques [[page]]Ainsi, pour pallier le déficit de compétences auquel se heurtent les éditeurs, l'Afdel accompagne la création dans le plan France Numérique 2012 d'une 'Université du Logiciel'. Ce dispositif n'est pas un nouvel établissement d'enseignement mais prévoit une formation professionnalisante à l'issue des filières initiales de formation (licence et mastère dans un premier temps) dans un cadre d'alternance formation et entreprise. Des enseignements complémentaires aux seules technologies seront dispensés, tels que le marketing, le commerce et le droit associés à l'informatique et aux télécoms. Pour ce qui est de l'accompagnement international, via l'agence Ubifrance, dans dix villes clés du marché mondial du logiciel, le plan crée des postes de correspondants pour aider les entreprises dans leur développement. Enfin, le financement du risque sera étudié au travers du programme France Investissement lancé en 2006 pour accompagner les PME et qui va dresser un premier tableau de son action en faveur des jeunes pousses. L'Afdel évolue au coeur d'un écosystème toujours aussi fragile L'Afdel compte aujourd'hui 160 membres et devrait en réunir 200 dans les prochains mois, selon Patrick Bertrand. Elle évolue dans un marché français qui compte 2 500 sociétés employant 69 000 personnes pour un CA total de 7,5 Md€. Mais après les récents rachats de Business Objects par SAP et d'Ilog par IBM, elle ne compte plus que deux 'grands', Cegid et Dassault Systèmes. Moins de 20 sociétés ont un CA qui dépasse 50 M€. Pis encore, moins d'une centaine franchissent les 10 M€. Pourtant, véritable creuset d'innovation, ces éditeurs consacrent entre 20 et 30% de leur CA à la R&D. (...)

(12/11/2008 17:27:15)

Le XO d'OLPC arrive en Europe le 17 novembre

Les Européens vont - enfin - pouvoir mettre la main sur le XO, le fameux 'PC à 100$' de la fondation OLPC. A partir du 17 novembre, le Vieux Continent bénéficiera en effet du programme 'Give One Get One', francisé pour l'occasion en 'Un chez toi, un chez moi'. Cette initiative, qui a séduit quelque 80 000 Américains depuis l'an passé, consiste, pour les consommateurs, à payer deux machines : la première devient leur propriété, l'autre est offerte à un enfant d'un pays émergent. « Il n'y a pas de raison pour qu'il n'y ait pas au moins autant de demande en Europe », qu'aux Etats-Unis, précise Lionel Laské, président d'OLPC France. Amazon UK se chargera de distribuer les XO pour les 27 pays de l'UE participant au programme, ainsi que pour la Suisse et la Turquie. « Le défi, explique Lionel Laské, consistait à ne pas reproduire en Europe les problèmes de logistiques apparus avec le programme G1G1 aux Etats-Unis. Les délais de livraison y étaient beaucoup trop long, il fallait parfois attendre la machine plusieurs mois après avoir passé commande. C'est pour cela que nous nous sommes tournés vers Amazon. » Le cyber-marchand assurera également le service après-vente. Un clavier qwerty pour tous les pays Les XO destinés à l'Europe présenteront tous les mêmes caractéristiques. Malheureusement pour les Français, la machine sera donc livrée avec un clavier qwerty, les volumes commandés au constructeur taïwanais Qanta étant trop faibles pour que la production de claviers francisés soit envisagée pour l'instant. En revanche, l'ensemble de l'environnement applicatif est adapté au public français, avec Sugar, le système d'exploitation, et une vingtaine d'applications traduits par la communauté d'OLPC France. La branche française de la fondation s'attachera à enrichir le contenu disponible pour le XO. Elle organise à cette fin un grand raout technique le 15 novembre (CodeCamp, à La Cantine, Paris 2e). Au programme : découverte de Sugar et du XO, réalisation d'activités en Python, traductions, etc. OLPC France se chargera également de la promotion du programme G1G1, en s'appuyant notamment sur un partenariat avec Dailymotion. Elle compte aussi sur les entreprises privées pour appuyer le succès du XO dans l'Hexagone en incitant les salariés à participer à l'initiative G1G1, voire en finançant elles-mêmes une machine. Les consommateurs français pourront prendre part au programme 'Un chez toi, un chez moi' à partir du 17 novembre, et devront débourser 312 € pour cela. L'offre court jusqu'à la fin de l'année, et pourrait être prolongée en cas de succès. (...)

(10/11/2008 16:20:11)

Open Source et composants standards pour la nouvelle ligne de stockage de Sun

Dans les trois produits qui constituent sa nouvelle ligne Storage 7000 Unified System, Sun fait un usage intensif de logiciels Open Source, de composants standards et de disques électroniques (SSD, Solid State Disk). Selon le constructeur, qui avait levé le voile sur cette ligne de produits en septembre dernier, ces trois éléments poussent tous à une réduction des coûts, qu'ils soient d'achat ou d'utilisation. Sun souligne la présence dans son offre de l'outil d'administration Fishworks (Fully Integrated Software and Hardware) pour l'analyse, la réplication et la clusterisation des données. Fishworks encapsule le gestionnaire de fichiers 128 bit ZFS et l'outil d'analyse et d'optimisation Dtrace. Le 7110, embarque un processeur Opteron quadri-coeur, 8 Go de Ram et une capacité de stockage atteignant 2 To avec 16 disques SAS. Dans cette configuration, il est proposé à 11 000 $. Le 7210, qui reprend le châssis du Thumper X4500, embarque deux Opteron quadri-coeur, 32 à 64 Go de RAM et permet d'atteindre 46 To de stockage avec des disques SAS et 32 Go avec deux SSD. Avec une capacité de 11,5 To, le 7210 revient à 35 000$. En forte croissance, Open Storage n'a généré que 25M$ de CA au dernier trimestre Le 7410, qui peut être mis en cluster, embarque quatre Opteron quadri-coeur, 16 à 128 Go de RAM et permet d'atteindre 288 To avec des disques SAS et 16 Go avec des disques SSD. Un seul noeud avec 12 To est proposé à 57 500 $. Deux noeuds de 12 To en cluster reviennent à 89 500$. La ligne Storage 7000 vient renforcer l'offre Open Storage de Sun qui, selon le constructeur connaît une très forte croissance. Toutefois, elle n'a généré que 25 M$ d'un CA stockage qui ne représente lui-même que quelques 500 M$, soit 17% des 2,99 Md$ de CA total sur le dernier trimestre. Les produits Open Storage sont donc encore loin de pouvoir compenser l'échec du pari de Sun avec le rachat du géant Storage Teck en 2005 pour 4,1 Md$. Le constructeur vient d'ailleurs de se résoudre à inscrire 1,45 Md$ de perte en dévaluation d'actifs. (...)

(10/11/2008 12:37:15)

Eclipse arrête des projets SOA faute de combattants

Les projets d'outils pour les architectures orientées services (SOA) n'ont pas la cote chez les contributeurs d'Eclipse. La fondation vient d'annoncer la fin de trois projets (ALF, STP-SC et STP-SOAS), faute de soutiens parmi les sponsors et de développeurs prêts à contribuer. STP-SC et STP-SOAS sont deux sous-projets de l'initiative SOA Tools Platform (STP), qui vise à créer une plateforme, des outils, des connecteurs et des bonnes pratiques pour faciliter la conception et l'assemblage de logiciels orientés services. STP-SC (pour Service Creation) était censé créer un pont entre les outils de développement existant sur le marché et le modèle STP. Iona, qui avait initié le projet, s'est depuis retiré, expliquant qu'il y avait une certaine redondance avec le WebTools Project (WTP), qui gère la partie outillage autour des services Web. STP-SOAS (pour SOA System) décrivait des interfaces de programmation devant simplifier le déploiement d'objets SOA au sein de conteneurs d'exécution. Sybase, qui avait initié le projet, n'y contribue plus, et personne n'a pris la relève. Aucun contributeur pour ALF en-dehors de Serena ALF a démarré pour sa part d'une façon originale pour un projet Eclipse, c'est-à-dire sans code. Serena Software a émis l'idée, en 2005, de travailler sur un système de gestion du cycle de vie (ALM, Application Lifecycle Management) des applications orientées services. Le code d'ALF (Application Lifecycle Framework) a donc été écrit directement au sein d'Eclipse, dans plusieurs directions dont la gestion d'événements (pour les architectures orientées événements) et la gestion des authentifications et des accréditations, qui a donné lieu à un framework d'authentification unique (SSO, single sign-on). La fondation Eclipse explique qu'ALF connaît un beau succès d'estime, la communauté semblant plutôt désireuse de s'en servir. Mais elle constate aussi que seul Serena contribue (l'éditeur se sert d'ailleurs d'ALF dans son offre Business mashups), et qu'il n'y a aucun signe de revitalisation de ce projet dans un avenir proche. Les trois projets seront archivés. A noter cependant que l'outil de SSO sera pour sa part intégré au projet de gestion des identités Higgins (dont la version 1.0 a été oubliée en février dernier) (...)

(07/11/2008 17:48:20)

Sun et IBM lancent un Toolkit pour ODF

Sun et IBM ont annoncé ODF Toolkit Union, un projet Open Source destiné à faciliter l'usage d'ODF (Open Document Format). Pour commencer, c'est Sun qui proposera une première contribution sous forme de code pour une API (interface de programmation). Celle-ci permettra aux développeurs de travailler avec des fichiers ODF sans forcément connaître les détails des spécifications techniques. Une partie de ce code servira à vérifier certains éléments de conformité des documents ODF. L'ensemble des outils du Toolkit, des plus simples jusqu'au plus sophistiqués, sont répartis dans deux sous-groupes, un pour Java et l'autre pour .Net. IBM devrait lui-aussi rapidement annoncer sa propre contribution. Les développeurs peuvent héberger gratuitement leurs propres bibliothèques ODF dans la boîte à outils pour se joindre aux projets existants et collaborer avec d'autres développeurs. L'annonce conjointe faite par Sun et IBM suit le lancement l'an dernier d'un projet de Toolkit ODF sur le site OpenOffice.org. L'ODF Toolkit Union est, lui, hébergé à une adresse distincte. « Nous allons faire un appel à contribution à d'autres personnes, confirme Terri Molini, porte-parole de Sun. Nous sommes prêts à accueillir tout le monde, y compris Microsoft. Notre objectif est bien celui-là : porter la bonne parole. » Elle précise que Sun a déjà parlé avec d'autres entreprises mais ne pourra en dévoiler les noms avant quelques semaines. « Retirer le support d'ODF des seules mains de Sun » [[page]]Stephen O'Grady, analyste au cabinet Redmonk, rappelle : « Par nature, les contenus d'un document ODF peuvent être facilement décomposés et analysés via une application idoine. L'ODF Toolkit Union, en proposant des bibliothèques ODF, devrait encore faciliter le travail avec le standard. » Mais certains observateurs font une tout autre analyse et voit une autre dynamique derrière l'initiative conjointe d'IBM et Sun. « L'ODF Toolkit Union pourrait aussi cacher une tentative de retirer le support d'ODF des seules mains de Sun qui supervise OpenOffice.org, estime ainsi Jay Lyman, analyste pour le 451 Group. IBM fait partie de ceux qui veulent supporter OpenOffice et ODF, mais ne veulent pas forcément que les deux soient liés. Ceux qui soutiennent cette nouvelle initiative cherchent à élargir la communauté de développement et de support d'ODF en parallèle des communautés OpenOffice.org qui existent. » IBM a aussi profité de l'annonce pour préciser que les prochaines générations de sa suite bureautique gratuite Symphony serait entièrement développée sur la base d'ODF 1.2 et du code d'OpenOffice 3.0. (...)

(06/11/2008 16:16:37)

Une version MacOS et le support d'OpenOffice 3.0 bientôt dans IBM Symphony

En attendant d'intégrer le code de la version 3.0 d'OpenOffice dans sa suite bureautique Open Source Symphony, IBM procède à deux annonces mineures. D'une part, le support de la distribution Linux d'Ubuntu (qui s'ajoute donc à celui de Red Hat et de Suse Linux, de Novell) et, d'autre part, la mise à disposition de Symphony sur MacOS X. Quoique officiellement réalisé à "la demande de la communauté des utilisateurs de Symphony", ce portage ne fait qu'emboîter le pas à celui d'OpenOffice dans cet environnement. A peine lancée, la version 3.0 d'OpenOffice connaît un succès notable auquel sa compatibilité avec Microsoft Office 2007 ne doit pas être étrangère. IBM revendique pour Symphony près de trois millions de téléchargements en 28 langues et 100 000 utilisateurs payants depuis son lancement il y a un an environ. Ce chiffre est à rapprocher des 550 millions de licences Office affichées par Microsoft. (...)

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