Flux RSS

Open Source

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1843 documents trouvés, affichage des résultats 931 à 940.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(26/09/2007 17:18:41)

La GPL v3 ne séduit pas les développeurs Open Source

Décidément, la version 3 de la GPL (GNU Public Licence) peine à trouver des utilisateurs. Après un accouchement long de dix-huit mois, cette licence a finalement été rendue publique en juillet dernier. Depuis, malgré quelques grands projets Open Source, comme Samba, qui l'ont adopté, elle ne séduit pas. Le cabinet d'études Evans Data a ainsi interrogé 380 développeurs Open Source à son sujet. Il en ressort que 6 % d'entre eux seulement l'utilise pour au moins un projet. Les deux tiers ne comptent pas s'en servir d'ici à la fin de l'année, et 43 % d'entre eux estime qu'ils le l'utiliseront jamais. De plus, il y a presque deux fois plus de développeurs qui se disent réticents à rejoindre un projet ayant adopté la GPL v3 que de développeurs prêts à s'y intégrer. Pour John Andrews, PDG d'Evans Data, ce sont les restrictions de la GPL, intégrées notamment pour éviter que se reproduise un autre accord à l'image de celui scellé entre Novell et Microsoft, qui expliquent ce désintérêt : « La GPL v3 est controversée car elle impose des restrictions à ce qu'on peut faire avec des programmes sous cette licence. Les développeurs sont divisés et confus au sujet de ces restrictions, certains sont contre ces restrictions, d'autres, en nombre égal, sont en leur faveur et d'autres encore pensent que, de toute façon, elles ne pourront pas être respectées. » Notons que ce sont les mêmes points qui empêchent Linus Torvalds de passer Linux sous GPL v3, au grand dam de Richard Stallman. (...)

(26/09/2007 11:52:42)

La sortie s'éloigne dans le procès US pour violation de la GPL

Alors qu'hier une sortie à l'amiable était en vue dans le procès qui oppose Monsoon Multimedia à la SFLC (Software Freedom Law Center), elle s'éloigne aujourd'hui. En effet, contrairement à ce que laissait entendre Eben Moglen, directeur fondateur de la SFLC, la simple publication du code source modifié ne suffira pas à faire cesser les poursuites. David B Ravisher, directeur juridique de la SFLC, veut faire un exemple de ce procès : « Simplement se mettre en conformité maintenant ne suffit plus, car cela voudrait dire que tout le monde peut violer la licence GPL jusqu'à ce qu'il soit pris, car la seule punition serait de se mettre en conformité. » Pour autant, toute sortie de crise en douceur n'est pas écartée. David Ravisher a confirmé être en négociation avec Monsoon Multimedia pour trouver un accord : « Je ne peux pas préciser les détails des compensations demandées par nos clients, mais nous serons capables d'en dire plus lors d'un éventuel accord. » (...)

(25/09/2007 17:40:15)

+20% pour les formations en logiciels libres en 2007

La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)

(25/09/2007 15:27:48)

Sortie à l'amiable dans le procès US pour violation de la GPL 2.0

Quelques jours après l'ouverture du premier procès américain autour de la licence GPL v2.0, une issue est en vue. Monsoon Multimedia reconnaît avoir violé la GPL v2.0 et annonce qu'il publiera dans les semaines à venir les modifications faites au code de sa BusyBox en accord avec les termes de la licence. Pour mémoire, la SFLC (Software Freedom Law Center), après maintes tentatives de conciliation, reprochait de ne pas verser à la communauté le code de la BusyBox, suite d'utilitaires Unix alors sous GPL 2.0. Si la plainte originale demandait également des dommages et intérêts, la SFLC ne devrait toutefois pas continuer ses poursuites, une fois que ce code source sera publié. Pour Eben Moglen, directeur fondateur de la SFLC, « notre but est simplement de s'assurer que Monsoon Multimedia se mette en conformité avec les termes de la GPL ». Ce procès avorté ne pourra donc pas faire jurisprudence en droit américain. Notamment pour forcer Microsoft à respecter la GPL suite à son accord avec Novell. (...)

(25/09/2007 15:15:35)

Linux influence un marché qui le fait évoluer à son tour

Au fil des mois, la planète Linux change d'aspect au point d'influencer l'équilibre de l'ensemble de la galaxie informatique. C'est le constat fait par George Weiss, un des vice-présidents du Gartner Group lors de l'édition 2007 de l'Open Source Summit qui s'est tenue la semaine dernière à Las Vegas. Révolu le temps où Linux inspirait indifférence ou mépris à ses opposants. Désormais l'OS libre joue dans la cour des grands où ces derniers l'ont eux-mêmes invité. La signature d'un accord controversé entre Microsoft et Novell illustre parfaitement la nouvelle tendance : faute de pouvoir détruire Linux autant essayer d'en tirer le plus de profit possible. Sur un autre mode, mais dans le même esprit, la stratégie OpenSolaris de Sun vise les mêmes objectifs. Dans le rôle de champion historique, Red Hat n'est pas dans la position la plus confortable. Pris pour cible par Oracle, le numéro un des distributions Linux va devoir aussi négocier la généralisation de la virtualisation, une technologie qui ne peut que faire baisser ses revenus. Novell profite du canal Microsoft Aujourd'hui, Novell pourrait occuper la meilleure position. Certes vilipendé par ses congénères de l'Open Source, l'éditeur de Suse dispose désormais d'un formidable canal de distribution, celui de Microsoft. Un atout auquel viennent s'ajouter les compétences en matière de gestion des identités, de la sécurité et des systèmes, d'autres thèmes brûlants pour les DSI. Pour le Gartner, l'autre distribution à suivre de près est celle d'Ubuntu. Elle est la favorite de Sun et vient d'être reconnue par VMware. Les autres distributions -Fedora, Debian, Mandriva, Asianux...- sont, aux yeux du Gartner, moins proéminentes sur le marché. Paradoxalement, Microsoft figure parmi les acteurs les plus touchés par l'évolution de Linux. Non seulement, il joue un rôle majeur dans cette évolution, mais il est aussi désormais directement touché par cette évolution. Windows reconnaît techniquement l'existence de Linux et la cohabitation se généralise. Conséquence : Microsoft et ses partenaires doivent adapter leurs politiques de licence et, estime George Weiss, certification et administration de la plateforme Windows Server gagnent en complexité. (...)

(24/09/2007 17:44:21)

Les Unix propriétaires appelés à s'effacer derrière Linux

Vers 2009, l'environnement Unix ne sera plus assez attrayant pour que les développeurs utilisent cette plateforme pour développer de nouvelles applications. Mais les Unix propriétaires devraient encore exister longtemps. Ne serait-ce que pour maintenir le parc applicatif actuel. Ce jugement a d'autant plus de poids qu'il a été émis par George Weiss, un des vice-présidents du Gartner Group lors de l'édition 2007 de l'Open Source Summit qui s'est tenue la semaine dernière à Las Vegas. Prenant pour exemple AIX d'IBM, il constate que cet Unix continue d'évoluer malgré - ou à cause - du soutien de son éditeur à Linux. Comme si AIX servait d'antichambre aux fonctionnalités qui viennent ensuite s'ajouter à Linux. Chez Sun, on place de plus en plus Solaris sur le même terrain que Linux, consacrant beaucoup d'effort à présenter OpenSolaris comme une évolution naturelle de Linux. Si les Unix propriétaires faiblissent, c'est au profit d'un Linux qui monte en puissance. George Weiss s'est d'ailleurs exprimé dans le cadre d'une intervention intitulée "Planifier une entreprise avec un Linux de troisième génération". Après les serveurs Web et l'infrastructure dans un premier temps, les applications et les serveurs départementaux dans un second, Linux aborde désormais le troisième niveau, celui des applications critiques. Pour George Weiss, cet OS est déjà suffisamment aguerri pour répondre à 80% des applications et des environnements. Ce Linux de troisième génération devrait prendre place d'ici 24 mois avec des fonctionnalités supplémentaires comme un scheduler optimisé, la prise en compte croissante du temps réel, un gestionnaire de fichiers haute performance, une virtualisation complète du noyau (kernel) et l'intégration à ce niveau d'un hyperviseur, etc. (...)

(21/09/2007 12:22:56)

Pour Gartner, l'Open Source est incontournable

Lors du sommet Gartner sur l'Open Source, Mark Driver, vice-président du cabinet d'analyse, a été très clair : Les sociétés peuvent essayer d'éviter l'Open Source, mais il sera alors plus simple de se passer entièrement d'infrastructures high-tech. « L'Open Source s'intègrera à votre réseau que vous le vouliez ou non. Il est devenu totalement impossible d'éviter le sujet », affirme Mark Driver, soulignant que d'ici 2011, 80 % des logiciels commerciaux contiendront au moins une partie de code Open Source. Il propose également quatre éléments pour juger de l'intérêt d'intégrer un logiciel ouvert dans son organisation. Le premier est l'utilité du logiciel. « L'Open Source, plus que les autres modèles dans l'industrie, a de nombreux promoteurs, à la limite fanatiques [...].» Le deuxième est le ratio risque/amortissement, en s'assurant que le produit est suffisamment stable et dispose d'un support technique. Le troisième est l'autonomie technique de l'entreprise et sa capacité à absorber de nouvelles technologies. Et enfin, le quatrième facteur est l'aspect critique de l'application. Sur ce point, l'Open Source n'est pas forcément une mauvaise solution si l'entreprise est - par rapport aux trois autres facteurs - prête. Selon Gartner, 49,7 % des applications critiques pour les sociétés sont issues de l'Open Source, contre 59 % issues de logiciels commerciaux et 58,5 % développées en interne (ndlr : le total dépasse 100 % car une société a souvent plus d'une application critique). Et Mark Driver de conclure : « Vous devez établir vos critères pour évaluer les logiciels Open Source, ainsi que des procédures pour les adopter et les maintenir. L'Open Source n'est plus un marché de niche ou une mode, c'est devenu un produit courant et qui le restera. » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >