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(12/01/2012 16:51:13)
L'éditeur français Neolane lève 27 millions de dollars
Créé il y a dix ans pour développer des solutions de gestion des campagnes marketing multicanales, l'éditeur français Neolane a progressivement étendu son marché à l'international. Il réalise aujourd'hui plus de la moitié de son chiffre d'affaires hors de France, en Angleterre, dans les pays nordiques et aux Etats-Unis où il a constitué une filiale en 2008. La société présidée par Stéphane Dehoche, l'un de ses quatre co-fondateurs, vient de lever 27 millions de dollars, principalement auprès de Battery Ventures. Cet investisseur, basé à Boston, dans la Silicon Valley et en Israël, finance des acteurs de l'industrie high-tech. Il a notamment soutenu des sociétés comme Airespace, rachetée par Cisco, Akamai Technologies et Groupon qui se sont introduites en bourse, ou encore Anobit.
Parmi les investisseurs de Neolane figuraient déjà Auriga Partners, XAnge et Gilles Queru. Les fonds récupérés par l'éditeur spécialisé sur le « marketing conversationnel » vont en particulier lui permettre de renforcer sa présence outre-Atlantique et d'étendre son implantation sur de nouvelles zones géographiques. En Europe, Neolane figure parmi les acteurs les mieux implantés sur son marché. « C'était une volonté de notre part de trouver un investisseur américain qui soit spécialisé dans notre secteur pour nous aider à croître », indique François Laxalt, responsable marchés et innovations de Neolane. « Actuellement, nous sommes en très forte croissance aux Etats-Unis, un marché qui présente un gros potentiel de développement pour les logiciels ».
L'effectif devrait globalement croître de 40% en 2012
L'offre de l'éditeur s'appuie sur une base regroupant les informations sur les clients. L'application Neolane Message Center propose une vue unifiée des messages pour gérer les envois multicanaux. A partir de ses logiciels, Neolane propose des solutions de marketing prédictif et de gestion de contenus personnalisés. A l'échelle mondiale, il compte parmi ses principaux concurrents des acteurs comme Unica (racheté par IBM), Aprimo (acquis par Teradata) et SAS.
L'offre logicielle de Neolane
En 2010, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros, en hausse de 40% par rapport à 2009. Une progression plus importante a été enregistrée en 2011, selon François Laxalt, le chiffre d'affaires du premier semestre ayant notamment crû de 70% par rapport au premier semestre 2010. La société compte parmi ses clients des groupes comme Crédit Agricole, Carrefour, Caisse d'Epargne, EMI, Fnac, Galeries Lafayette, La Redoute, Nespresso, Orange ou Voyages SNCF.
La filiale américaine de Neolane est installée depuis 2008 à Boston et dirigée par Stéphane Dietrich, l'un des trois autres co-fondateurs de la société avec Benoît Gourdon, responsable des opérations Europe et Thomas Boudalier, le directeur de la R&D. Sur les 240 collaborateurs employés par Neolane, 60 se trouvent aux Etats-Unis, l'équipe commerciale étant répartie sur le territoire. « Nous allons beaucoup embaucher en 2012, signale François Laxalt. Notre effectif devrait augmenter au moins de 40% au niveau global ».
L'UE veut accélérer le paiement électronique
La Commission européenne a lancé un livre vert dédié aux obstacles qui peuvent entraver l'amélioration du système de paiements électroniques dans l'espace européen. Les commerçants, les fournisseurs de services de paiement mais aussi les consommateurs sont invités à donner leur avis à ce sujet jusqu'au 11 avril prochain, qu'il s'agisse de paiements par carte sur internet ou sur téléphone mobile.
Bruxelles ambitionne d'identifier « les obstacles à lever pour parvenir à un marché des paiements pleinement intégré, ainsi que les sources de ces obstacles ». Ce livre vert compte poser la question de la sécurité des paiements et la protection des données, la transparence et l'efficience de la tarification des services de paiement.
La Commission européenne précise que d'autres étapes sont prévues avant l'été 2012 pour améliorer le système de paiements électroniques au sein de l'Union européenne.
(...)
La normalisation des avis consommateurs planifiée
A compter du mois de décembre prochain, les avis des consommateurs seront certifiés par une norme développée par l'Afnor, spécialiste de la question. Après la réunion d'une première commission le 10 janvier, le groupe de normalisation annonce qu'un calendrier a été établi pour rendre plus fiables les commentaires d'internautes, publiés sur des produits ou des sevrices.
La Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), le site de communauté de voyageurs TripAdvisor, Voyages SNCF et 17 autres entreprises ou organismes ont accepté de participer à l'élaboration d'une norme, établie pour les avis de consommateurs sur internet.
Après plusieurs réunions de travail, la parole sera donnée aux internautes qui pourront faire part de leurs idées et de leurs commentaires via une enquête publique, relayée via le site Internet Enquetes-publiques.afnor.org. Cette consultation publique commencera dès le mois de juillet, pour un dépouillement des avis en septembre prochain.
(...)
Nouveaux noms de domaine, l'Icann démarre son Big Bang
L'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann), « l'organisation de droit privé à but non lucratif chargé d'allouer l'espace des adresses de protocole Internet (IP), d'attribuer les identificateurs de protocole, de gérer le système de noms de domaine de premier niveau pour les codes génériques (gTLD) et les codes nationaux (ccTLD), et d'assurer les fonctions de gestion du système de serveurs racines, » lance son programme pour les nouveaux codes génériques du domaine de premier niveau (Top-Level Domains - TLD). Les demandent doivent être déposées auprès de l'organisme régulateur dans les trois mois, soit au plus tard le 12 avril 2012. Selon les experts, ce programme visant à instaurer de nouveaux gTLD est le plus grand changement intervenu dans le système de nommage de l'Internet depuis 1998, c'est-à-dire au moment de la création de l'Icann lui-même. « C'est un changement important, » déclare Fred Felman, directeur marketing chez MarkMonitor, qui fournit des services de protection de marque en ligne à des entreprises américaines, comme FedEx et DuPont. « C'est probablement le plus grand changement depuis le premier élargissement de l'Internet, passé d'un petit nombre de registres à 23 registres. »
Aujourd'hui, les noms de domaine couvrent 280 domaines, depuis les dénominations génériques telles que .com pour les sites commerciaux, jusqu'aux codes de pays comme .de pour l'Allemagne par exemple. Selon le dernier rapport Brief Domain Name Industry de Verisign publié en décembre 2011, il y a actuellement environ 220 millions de noms de domaine enregistrés dans le monde. Le domaine .com, réservé à l'origine pour les entreprises, continue à dominer : il représente environ 100 millions de tous les noms enregistrés. « Je pense que le nombre de nouveaux domaines va se situer autour de 1 000... Nous parlons donc ici d'une multiplication par 5 du nombre de domaines disponibles, » explique Roland LaPlante, vice-président senior et directeur du marketing chez Afilias, qui gère les registres .info, .org, plus 13 autres registres de noms de domaine. Mais pour lui, « le plus gros changement va concerner l'ajustement du comportement des consommateurs et la manière dont la confiance dans ces nouveaux TLD va évoluer. »
Des centaines de nouveaux domaines
Le projet de l'Icann d'ajouter des centaines de nouveaux domaines, en chantier depuis six ans, n'a pas suscité que des approbations. À deux reprises, l'Icann a tenté d'étendre l'espace des noms de domaine Internet : une fois en 2000, quand l'organisation a ajouté sept extensions, dont .biz et .info, et une nouvelle fois en 2004, quand elle a ajouté huit extensions plus comme .asie et .emploi... Mais aucune de ces nouvelles extensions de nom de domaine n'a vraiment eu de succès. Si la dernière tentative de l'Icann d'élargir l'espace des noms de domaine réussit, cela pourrait changer fondamentalement la façon dont les noms de domaine sont utilisés.
Parmi les nouvelles catégories de noms de domaine qui devraient être approuvées, on trouve les noms de domaine internationalisés dans des écritures non-occidentales; les noms de domaines localisés géographiquement pour des villes et des régions; les noms de domaine liés à des intérêts spécifiques, ainsi que les noms de domaine liés à des entreprises individuelles et des marques. « L'innovation sera présente dans le nom lui-même et la façon dont il sera utilisé, avec un objectif plus marketing, » explique le vice-président senior d'Afilias. « D'une manière générale, la plupart des demandes seront techniquement évidentes. Mais, il y aura quelques vérifications d'éligibilité intéressantes et utiles à suivre. Cela va aussi donner lieu à de nouveaux services de registres pas encore disponibles aujourd'hui. Mais la plupart des nouveaux registres fonctionneront comme ils le font aujourd'hui. »
Le support des caractères chinois, arabe et cyrillique
Dans le cas des nouveaux codes génériques de premier niveau gTLD, la plus grande innovation sera sans doute l'apparition de noms de domaine internationalisés. On pourra trouver des caractères comme l'arabe, le chinois et le cyrillique dans l'extension de nom de domaine. Cela signifie que les entreprises américaines qui veulent vendre leurs produits à l'étranger pourront acheter pour leurs marques des noms de domaine à 100% dans le caractère de la langue originale du pays, comme le Chinois simplifié. « Les personnes qui ne savent pas lire, écrire et parler dans notre langue veulent avoir la possibilité de naviguer sur le web en utilisant leur langue maternelle, » explique Fred Felman. « Cela va être très utile par exemple pour la population d'utilisateurs chinois toujours plus nombreuse. Mais d'une manière générale, cette innovation est bonne pour l'ensemble de l'Internet. »
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Ainsi, malgré les oppositions, le projet de l'ICANN va de l'avant. Mais les représentants de l'administration américaine et certaines entreprises ont fait part de leurs inquiétudes. Ils craignent que le prix à payer pour enregistrer des noms de domaines dont la fonction est de protéger la propriété des marques n'augmente. Sans compter que, selon eux, cela risque d'engendrer sur le Web une certaine confusion pour les consommateurs. De nombreuses entreprises américaines qui possèdent d'importants portefeuilles de noms de domaine redoutent la mise en oeuvre de ces nouveaux gTLD par l'ICANN. Elles pensent qu'elles vont devoir consacrer plus d'argent pour acheter des noms de domaines pour défendre leur marque, lutter contre le squattage éventuel de leurs noms de domaine, source de litiges et de marchandages, et qu'elles devront faire davantage de publicité pour éviter la confusion chez les consommateurs. « Chaque fois que l'on a introduit de nouveaux gTLD, les marques ont eu des problèmes. Elles ont du lutter contre l'appropriation de leurs noms, assumer des couts supplémentaires en termes d'enregistrements défensifs et résoudre des problèmes avec les cybersquatteurs, » ajoute Fred Felman. « Les mécanismes de protection des droits qui sont proposés pour les nouveaux gTLD ne sont probablement pas proportionnellement suffisants. Alors, elles continuent à être préoccupées par ce système qui est source pour elles de couts supplémentaires. »
Les entreprises américaines disposent de quelques semaines seulement pour faire la demande d'une extension de nom de domaine reprenant l'appellation de leurs marques. Le processus est compliqué : les candidats doivent fournir des business plans détaillés, des données financières et une documentation technique expliquant comment ils comptent gérer leur nouveau registre de nom de domaine. Les frais d'inscription s'élèvent à 185 000 dollars. Quelques sociétés américaines pionnières, comme le cabinet d'experts-comptables Deloitte Touche et le géant de l'informatique IBM, ont fait savoir qu'elles demanderaient un TLD pour leurs entreprises.
Beaucoup de demandes en préparation
Mais les experts pensent que de nombreuses entreprises, qui font du commerce en ligne, préparent discrètement leurs candidatures pour bénéficier des nouveaux gTLD. « Beaucoup de grandes entreprises nous ont appelés pour protester sur la mise en oeuvre de ce programme, mais elles travaillent quand même à couvrir leurs arrières. Elles seront prêtes à postuler dans le délai imparti, » a déclaré Roland LaPlante. « On voit des entreprises de distribution... mais il y a aussi des banques et des sociétés de services financiers. N'importe quelle grande marque susceptible d'être copiée sur le Web se penche aussi sur le sujet. »
Selon le vice-président senior d'Afilias, les entreprises peuvent trouver deux avantages à exploiter leur propre registre de nom de domaine. D'abord, le fait de contrôler l'utilisation du domaine leur permet de mieux se protéger en matière de sécurité et elles peuvent ajouter de nouvelles fonctionnalités comme des extensions de sécurité DNS, qui empêchent l'usurpation de leur site web. Ensuite, elles peuvent mieux sensibiliser les consommateurs sur leurs marques en valorisant leur présence en ligne autour de leurs propres noms, plutôt qu'avec une extension générique de type .com. « La plupart des consommateurs connaissent déjà bien les grandes marques. Par exemple, ils achèteront plus facilement une Rolex en ligne si la boutique affiche un nom de domaine .rolex, qu'ils ne le feraient sur une boutique avec un nom en .com, » a expliqué Roland LaPlante. L'ICANN devrait rendre ses premières décisions pour les nouveaux gTLD d'ici la fin de l'année 2012, et les nouvelles extensions seront opérationnelles sur Internet en 2013.
(...)(12/01/2012 14:27:31)Free mobile : décryptage des offres et riposte concurrentielle
Passé l'effet whaou, place à un peu de pragmatisme en analysant la grille tarifaire de Free Mobile. Si les deux offres, 20 euros mensuels (16 pour les abonnés Freebox) pour de l'illimité voix, SMS et MMS, data jusqu'à 3 Go en Fair Use , l'autre offre est à 2 euros par mois ( gratuit pour les abonnés Freebox) pour 1h d'appel et 60 SMS, sont les meilleures du marché, la brochure tarifaire apporte quelques détails supplémentaires. Première précision sur le prix de la carte SIM : l'envoi vous coûtera 10 euros quel que soit le forfait choisi si vous ne faites pas l'inscription sur Internet avec la portabilité du numéro. Attention à ceux qui oublient leur code PIN et qui bloque leur carte SIM, ils leur en coûteront 5 euros pour s'en sortir, le changement de la carte est facturé 5 euros. Le paiement des forfaits privilégie le prélèvement bancaire, pour d'autres moyens de paiement un dépôt de garantie de 200 euros est demandé. L'illimité pour les SMS et les MMS est bloqué à 10 destinataires par envoi. Sur la partie voix, l'illimité n'est pas contraint, mais renvoi à une utilisation de « bon père de famille ». Cette notion est difficile à cerner et la justice sera certainement amenée à la préciser en cas de conflit.
Les appels internationaux illimités vers les mobiles concernent : Canada et Etats Unis. Pour les autres destinations hors illimités, il faudra bien analyser la grille tarifaire de Free Mobile pour savoir s'il est vraiment moins cher (prix + crédit temps), ce qui n'est pas toujours le cas par rapport à la concurrence. Enfin en matière de résiliation, un préavis de 10 jours est demandé par l'opérateur. A noter que pour les abonnés Freebox, les offres ne concernent qu'une seule ligne par foyer et ils perdent le bénéfice de l'offre en cas de résiliation de leur abonnement Freebox.
La concurrence riposte
Les services clients des opérateurs traditionnels et les MVNO ont été sous tension après les appels d'abonnés leur demandant leurs réponses à Free Mobile. Virgin Mobile a été le premier à dégainer en envoyant un SMS à ses abonnés en leur disant « Tout illimité à 19.99 euros sur votre ligne Virgin Mobile: c'est possible et c'est maintenant ! ». Il semble que ce forfait ne s'adresse pour l'instant qu'aux anciens abonnés pour éviter leur départ chez Free. Le MVNO devrait officialiser prochainement cette offre et la compléter par une offre à 6 euros pour 2h d'appels et SMS illimités.
Le deuxième opérateur, Orange, a présenté sa contre-offensive avec Sosh, son offre low cost dévoilée en septembre 2011. La marque a adapté sa grille tarifaire à la baisse. Ainsi, la gamme ne comprend plus que trois forfaits, de 9,90€ pour deux heures de communications à 24,90€ pour les communication illimitées en France et un usage internet de 1 Go.
Grille tarifaire de Sosh d'Orange
Du côté de SFR, l'opérateur annonce une refonte de sa gamme low-cost Red, qui prendra effet la semaine du 16 janvier. Red va se décomposer en trois forfaits de 9,90€ pour deux heures de communications, 24,90€ pour les communication illimitées en France et vers 46 destinations et un usage internet 3G de 1 Go, se rapprochant ainsi de ce que propose maintenant son rival Sosh (Orange) mais pas encore de Free (le tout illimité, communication et internet à 3 Go, pour 19,99€).
Grille tarifaire de Red de SFR
On attend maintenant les propositions de Bouygues Telecom. Le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani, a néanmoins averti les opérateurs traditionnels qu'ils vont voir leur marge baisser. Une solution proposée par le président de l'Autorité est de « réduire les sommes versées aux actionnaires ». Pas sûr qu'il soit entendu.
(...)
CES 2012 : Windows 8 en catimini sur les stands
Le site spécialisé The Verge a mis en ligne la vidéo d'une démonstration de Windows 8 sur l'un des stands du CES de Las Vegas. Certains exposants n'hésitent pas à faire tourner leurs machines sous la dernière version pré-bêta disponible au téléchargement. Windows 8 présente une interface entièrement repensée et adaptée aux nouveaux usages mobiles.
Windows 8 a été prévu afin de s'intégrer parfaitement à tous les nouveaux usages, liés notamment aux écrans tactiles et aux tablettes. L'interface "Metro", personnalisable, permet d'accéder rapidement à ses applications, qu'elles soient installées sur un ordinateur (défilement à l'aide de la souris) ou sur un terminal mobile tactile. Une version bêta plus stable devrait être mise en ligne au mois de février. Le lancement de Windows 8 est attendu pour l'automne prochain.
En attendant, les premiers appareils tournant sous Windows 8 font par ailleurs leur apparition, à l'image du Lenovo IdeaPad Yoga.
(...)(12/01/2012 12:11:19)Lenovo Yoga, encore un hybride tablette/PC
A l'occasion du CES 2012, le constructeur chinois Lenovo présente l'IdeaPad Yoga, un savant mélange d'ultrabook et de tablette tactile. Rabattable à 360 degrés, il associe l'ergonomie d'une tablette à la puissance d'un ultrabook, pour quatre modes d'utilisation : portable, tablette, verticale et "tente".
Cet ultrabook convertible dispose d'un écran de 13,3 pouces HD (1.600x900 pixels) pour une épaisseur de seulement 16,9mm et un poids de 1,47kg. Il suffit de le replier pour transformer l'ordinateur en tablette tactile, Windows 8 lui permettant de passer d'un usage à l'autre en toute souplesse. Ni le prix ni la disponibilité de cet appareil hybride n'ont encore été communiqués.
(...)(12/01/2012 14:04:11)Brevets : IBM toujours n°1 est désormais talonné par les groupes asiatiques
Les fabricants asiatiques de produits électroniques grand public, tels que Samsung et Canon, se constituent des portefeuilles de brevets qui pourraient bientôt rivaliser avec ceux des grands groupes américains de l'informatique. Pour l'instant, IBM arrive toujours en tête dans ce domaine. Pour la 19e année consécutive, il a de nouveau dépassé toutes les autres entreprises high-tech en 2011 avec le dépôt de 6 180 brevets auprès du bureau américain des brevets et des marques (l'United States Patent and Trademark Office, USPTO). C'est ce que fait apparaître la liste publiée cette semaine par l'IFI (Information for Industry) Claims Patent Services qui classe les 50 premiers groupes ayant déposé le plus de brevets dans le monde sur l'année écoulée.
Toutefois, juste derrière IBM, le Sud-Coréen Samsung aligne 4 894 brevets. Viennent ensuite trois groupes japonais, Canon, Panasonic et Toshiba, avec respectivement 2 821, 2 559 et 2 483 brevets. A la sixième place, Microsoft totalise 2 311 brevets. L'an dernier, l'éditeur de Windows occupait la troisième place de ce classement. De la même façon, des groupes américains tels que Hewlett-Packard (14e), Intel (16e) et Cisco (22e), se sont vu accorder moins de brevets qu'en 2010.
Les groupes asiatiques occupent la moitié du Top 50
Parmi les dix premiers du classement 2011 figurent d'ailleurs sept groupes japonais (on y trouve aussi Sony, Seiko et Hitachi) et un taïwanais, Hon Hai Precision Industry. A eux seuls, les fournisseurs japonais, coréens et taïwanais occupent la moitié du Top 50. Ces dernières années, les groupes asiatiques ont augmenté leurs demandes de dépôts de brevets, confirme Mike Baycroft, PDG d'IFI Claims. En fait, Samsung en a même soumis davantage qu'IBM. En 2011, le Sud-Coréen a déposé près de 5 600 demandes quand IBM en soumettait 5 000. Dans ce contexte, la première place de Big Blue ne semble plus aussi assurée pour les prochaines années, souligne Mike Baycroft.
Au total, l'USPTO a accordé 224 505 brevets en 2011, soit 2% de plus que l'année précédente, selon IFI Claims. Au total, l'USPTO a accordé 224 505 brevets en 2011, soit 2% de plus que l'année précédente, selon IFI Claims. Parmi les groupes américains, Oracle/Sun en a déposé 918, Apple, 676, EMC, 282, Symantec, 275 et Amazon en compte 192.
Les 16 premiers du Top 50 livré par IFI Claims Patent Services (Cliquer ici pour agrandir l'image)
Des brevets sur WebSphere Commerce pour IBM
En 2011, les brevets accordés à IBM couvrent un large éventail d'inventions qui seront mises à profit, explique le groupe, dans ses « smarter solutions » pour le commerce de détail, la banque, la santé, les transports et d'autres secteurs d'activités. Elles concernent diverses technologies de traitement informatique pour développer des systèmes.
IBM en cite quatre en particulier, dont le brevet #8,019,992 qui concerne une méthode pour allouer des autorisations dans les domaines du commerce électronique. Avec cette invention, on peut installer, à partir du logiciel WebSphere Commerce, des mécanismes d'authentification applicables à travers plusieurs boutiques en ligne. Ces fonctionnalités permettront aussi à plusieurs entreprises d'exploiter une instance unique de WebSphere Commerce. Un brevet délivré aux inventeurs Victor Chan, Darshanand Khusial, Lev Mirlas et Wesley Philip, d'IBM.
Langage naturel, simulation du cerveau
Parmi les autres exemples de brevets déposés par Big Blue, une invention qui décrit une méthode pour construire, de façon dynamique, des explications en langage naturel à partir des résultats d'analyse en utilisant des modèles définis par des experts du domaine concerné (ce brevet #8,037,000 a été accordé aux collaborateurs Robert Delmonico, Tamir Klinger, Bonnie Ray, Padmanabhan Santhanam and Clay Williams).
Le brevet #8,005,773 décrit une méthode pour développer un système de simulation du cerveau qui pourrait imiter les fonctions cognitives du cortex. IBM a travaillé sur des prototypes de puces expérimentales conçues pour émuler les capacités de perception, d'action et cognitives d'un cerveau (un brevet accordé aux inventeurs Dharmendra Modha and Rajagopal Ananthanarayanan).
Enfin, le brevet #7,882,219 concerne une invention permettant aux utilisateurs de concevoir et mettre en oeuvre des analyses en continu très complexes à partir de sources de données volumineuses et disparates (inventeurs IBM : Alexander Pikovsky, David Pennell, Robert McKeown and Colin Putney).
Symantec est accusé de vendre des produits micro trompeurs
Dans un procès engagé devant un tribunal de Californie, Symantec est accusée de concurrence déloyale et d'incitation frauduleuse pour avoir utilisé une tactique visant à faire peur aux utilisateurs et les inciter à acheter des licences pour ses utilitaires de protection. La plainte, qui peut déboucher sur une action collective, a été déposée mardi devant la Cour américaine du district nord de l'État de Californie au nom de James Gross, un client de Symantec, lui-même résident de l'État de Washington. Le litige implique trois produits du vendeur de solutions de sécurité : PC Tools Registry Mechanic, PC Tools Performance Toolkit et Norton Utilities. Les deux premiers produits sont développés par PC Tools, filiale de Symantec depuis 2008.
Tous ces programmes sont conçus pour détecter et surveiller le système d'exploitation aussi bien pour contrôler la sécurité que pour vérifier les performances, et être attentif à toute menace qui pourrait affecter le fonctionnement d'un ordinateur. Symantec distribue des versions d'évaluation de ces produits pour permettre aux utilisateurs de scanner gratuitement leurs ordinateurs à la recherche de problèmes éventuels. Selon la plainte déposée par James Gross, une équipe d'experts informatiques, mandatée par ses avocats, a établi que les versions d'évaluations avaient été programmées par le vendeur pour détecter systématiquement des problèmes de sécurité, même si l'ordinateur n'en présentait aucun. « Symantec a intentionnellement conçu des produits scareware (trompeurs) afin qu'ils détectent à chaque auscultation, et de manière extrêmement inquiétante pour l'utilisateur, des erreurs potentiellement graves, des risques de confidentialité et d'autres problèmes informatiques, indépendamment de l'état réel de l'ordinateur du consommateur, » revendique la plainte.
Des erreurs abusivement montées en épingle
Une fois l'analyse terminée, les utilisateurs sont informés que la version d'évaluation ne leur permet pas de corriger toutes les erreurs. Pour remédier à tous les problèmes identifiés, ils sont invités à acheter une licence complète. Pour cette raison, James Gross affirme que les produits vendus par Symantec tombent dans la catégorie des scareware, parce qu'ils exagèrent la réalité des dangers pour pousser les utilisateurs à acheter ces logiciels. L'équipe d'experts en informatique a également établi que les erreurs signalées comme « hautement prioritaires » par les produits de Symantec, n'étaient pas, « très loin s'en faut, des menaces crédibles susceptibles de perturber le fonctionnement d'un ordinateur, » comme l'ont précisé les avocats de James Gross dans la plainte. « À chaque fois, sur tous les ordinateurs analysés, les produits incriminés font état d'un problème sur le système, émettent des alertes sur la confidentialité et l'état des disques durs, sans effectuer aucune évaluation réelle des problèmes, » disent les avocats. « Symantec a profité et continue à profiter des modalités frauduleuses décrites ici, trompant les consommateurs et leur faisant croire que leurs ordinateurs sont gravement endommagés, et/ou présentent des risques, et que l'achat de ses scareware est nécessaire pour « corriger» ces problèmes, » disent-ils encore.
James Gross demande des dommages à Symantec, pour lui et pour tous ceux qui, particuliers ou institutions, ont acheté PC Tools Registry Mechanic, PC Tools Performance Toolkit, et Norton Utilities.
(...)(12/01/2012 11:43:32)Free Mobile : Xavier Niel évoque des forfaits 3G pour tablettes
Dans une interview accordée à Univers Freebox, Xavier Niel explique que des forfaits "data" seront lancés dans les prochaines semaines. Il confirme également que les abonnés à Free Mobile pourront bientôt se connecter automatiquement au réseau FreeWiFi, composé de plus de plus de quatre millions de Freebox réparties partout en France.
Xavier Niel affirme que des offres purement "data", accompagnées d'une clé 3G, sortiront d'ici quelques semaines, qui concerneront tous les terminaux mobiles y compris les tablettes tactiles. Contrairement à la téléphonie mobile, le fondateur de Free n'entend pas encore casser les prix, les échanges de données en 3G étant encore relativement chers.
Une connexion FreeWifi automatique
En ce qui concerne le trafic internet mobile du forfait illimité présenté le mardi 10 janvier, Xavier Niel explique qu'au-delà de 3Go de données téléchargées, le débit sera réduit mais en aucun cas bloqué. Il explique également que le réseau FreeWiFi va très prochainement être modifié, de façon à ce que les cartes SIM puissent s'y connecter automatiquement et profiter du partage de connexion de plus de quatre millions de Freebox à travers le pays.
Enfin, Xavier Niel avoue avoir travaillé un temps sur l'idée d'un téléphone maison, mais qu'au final, il reste persuadé que les gens préfèrent aujourd'hui miser sur les marques (Apple, Samsung, HTC...) plutôt que sur un terminal Free. (...)
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