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(12/01/2012 11:33:50)
La banque BBVA passe ses 110 625 employés sur Google Apps
BBVA (Banco Bilbao Vizcaya Argentaria), l'un des plus grands groupes bancaires dans le monde, a annoncé aujourd'hui sa migration sur Google Apps comme solution de communication et de collaboration, dans le cadre de sa stratégie d'innovation. Au cours de l'année, plus de 110 625 collaborateurs de l'établissement adopteront progressivement des applications telles que Gmail, Google Calendar ou Google Docs. La banque espagnole explique vouloir ainsi augmenter son efficacité, faciliter la collaboration entre ses diverses entités mondiales du groupe et stimuler l'innovation au sein du groupe. La banque hispanique, fortement présente en Amérique latine va également créer un réseau social pour ses employés, afin d'améliorer la communication et d'explorer de nouvelles manière de travailler.
Un accord important pour GoogleLe contrat signé avec BBVA est important pour Google à plusieurs titres. Tout d'abord parce qu'il s'agit de son plus grand accord dans le domaine de l'entreprise. Ensuite, parce qu'il s'agit d'un établissement bancaire, qui plus est européen. Des atouts symboliques quand on sait les réticences du secteur financier à l'égard du cloud et ses craintes quant à la fiabilité des services et la confidentialité des données. Sébastien Marotte, responsable des applications d'entreprise pour Google en Europe, ne s'en cache pas: «Pour nous, le fait que BBVA, l'une des entités financières les plus importantes du monde, décide de faire le saut vers Google App renforce notre stratégie de miser sur le cloud computing».
Selon la BBC, les données du groupe bancaire hispanique ne seront pas hébergées sur des serveurs dédiés, ou un cloud privé, mais distribuées au sein du cloud public constitué par les centres de données de Google. Les responsables de Google et BBVA ont toutefois insisté sur le fait que cette solution satisfait tant aux exigences règlementaires du secteur bancaire, qu'à celles qui concernent la protection des données.
(...)(12/01/2012 11:23:43)Les marchés du mobile et du haut débit toujours dynamiques en France
Le nombre de clients des services sur réseaux mobiles, qui correspond au nombre de cartes SIM en service, s'élevait à 67 millions fin septembre 2011, soit un taux de pénétration record de 103,3%, selon l'Observatoire du marché des services de télécommunications concernant le troisième trimestre 2011 publié le mercredi 11 janvier par l'Autorité de régulation des communications électronique (Arcep).
Si le nombre d'abonnés mobiles ne cesse de croître, les volumes mobiles consommés sont eux aussi tous orientés à la hausse. Au total, 25,6 milliards de minutes (+2,7% en un an) ont été consommées et 35,7 milliards de SMS envoyés pendant le trimestre (+41,6%). Quant au volume de données consommé par les clients des réseaux mobiles, il a tout simplement doublé en un an selon les données de l'Arcep.
Le haut débit progresse et le très haut débit aussi
La France compte 22,4 millions d'abonnements internet à haut et très haut débit (+7,3% en un an) selon l'observatoire du régulateur. Parmi tous ces abonnements, 597 000 concernent le très haut débit (+41,7%).
(...)
Les Suisses aimeraient bénéficier d'offres similaires à celles de Free Mobile
Le PDG et fondateur d'Iliad, propriétaire de Free et Free Mobile, Xavier Niels a frappé un grand coup hier en France. En précisant que les opérateurs de téléphonie mobile prenaient leurs clients pour des "pigeons", il a dévoilé des forfaits sans engagement qui risquent bien de faire du tort à ses concurrents (Bouygues Telecom, SFR et Orange). Free Mobile propose donc désormais un forfait à 19,99 euros par mois sans engagement, voire même 15,99 euros par mois pour les abonnés à la FreeBox. Il comprend les appels illimités vers les fixes et/ou mobiles de 40 destinations (Europe et États-Unis), les SMS et MMS illimités, l'internet 3G jusqu'à 3Go (et un débit réduit au-delà), l'accès aux bornes FreeWiFi est également illimité. Concernant les tarifs de roaming voix et data à l'étranger, l'offre est aussi très alléchante avec 0,5 centime d'euros la minute aux USA, Japon et Australie par exemple. A ce prix, l'appareil n'est toutefois pas compris et il faudra par exemple débourser près de 20 euros par mois pendant 36 mois pour disposer d'un iPhone 4S.
Free Mobile a aussi conçu une offre pour les utilisateurs et les revenus modestes à 2 euros pas mois avec 60 minutes d'appels et 60 SMS par mois, avec des dépassements de forfait facturés 0,05 centime la minute et 0,01 centime le SMS supplémentaire. Ce forfait est même gratuit pour les clients de la FreeBox. Le site du nouvel opérateur est saturé depuis hier.
Des tarifs suisses incomparablesCette annonce n'a pas manqué de faire réagir en Suisse. Il faut dire que les offres qui pourraient lui être comparées des trois opérateurs sont nettement plus élevées: pour Orange, qui propose une offre sans téléphone, l'abonnement s'élève à 100 francs avec seulement 1 Go de données ; chez Sunrise, l'offre Sunrise sunflat 6sans téléphone se monte à 120 francs ; et pour Swisscom, qui ne propose pas d'offre sans téléphone, le tarif de l'abonnement Natel BeFree est à 169 francs (ou 129 francs pour les abonnés Vivo Tutto (TV, Internet, réseau fixe)). A noter que Swisscom réduit la vitesse de transmission des données si l'utilisateur dépasse 2 Go en un mois. Enfin les trois opérateurs exigent un engagement minimum de 12 mois.
Des offres incomparables sur tous les pointsSur la RSR, le porte-parole de Swisscom Christian Neuhaus a estimé que l'offre n'était pas comparable. Sur ce point, on ne peut qu'être d'accord avec lui mais probablement pas pour les mêmes raisons. Si le consommateurs suisses s'arrêtera sur le prix, Christian Neuhaus lui parle en terme de marché: «On ne peut pas comparer le marché français et le marché suisse parce que les règles y sont différentes. Tout cela a une répercussion sur les prix. Il faudra d'abord voir si cette offre est aussi alléchante qu'elle n'y paraît.» Il a rappelé que Free ne couvrait que 25 à 30 % de la population contre 99% pour Swisscom et que cette offre était pour le moment limitée à trois millions de clients. «Les clients suisses ont peut-être d'autres habitudes que les clients français. Au moment de renouveler leur abonnement, les clients veulent très souvent changer d'appareils. Ces appareils sont très fortement subventionnés et ce subventionnement à un coût.» Il rappelle par ailleurs que la concurrence est très vive en Suisse et que les prix ont déjà fortement baissé et que cela allait continuer.
Du côté des utilisateurs, les réactions sont aussi assez vives. Une page Facebook « Pour que Free vienne s'installer en Suisse » a déjà vu le jour. A 16h aujourd'hui, elle comptait déjà 240 fans.
ICTJournal.ch
Pour mettre en place un PRA mondial, la Perla a choisi Arcserve Backup
La Perla est un fabriquant italien de lingerie haut de gamme. Il possède 3 To de données critiques (e-mails et données Lotus Domino, données commerciales, intranet partagé avec les distributeurs...) réparties sur 50 serveurs Windows ou Unix dans le monde entier. S'il existe des procédures de continuité, la sauvegarde des données est considérée par l'entreprise comme l'ultime rempart en cas de catastrophe informatique. La fiabilité de la sauvegarde est donc fondamentale. Celle-ci est opérée sur le site du siège, à Milan.
Or les serveurs sont virtualisés avec VMware et les volumes en jeu impliqueraient, normalement, des temps de sauvegarde avec blocage des serveurs absolument incompatibles avec les obligations opérationnelles. Le système d'information de l'entreprise ne cesse d'évoluer et de croître en volume.
Pour résoudre son problème, la société a choisi Arcserve Backup de CA Technologies intégrée par Emilia Informatica. Cette solution permet une sauvegarde quotidienne utilisant les fonctions natives de VMware pour éviter les sauvegardes intégrales brutes. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)
Quadria propulse deux logiciels de Sage dans le SaaS
Deux logiciels de comptabilité Sage, les gammes 30 et 100, qui ne sont pas nativement en Saas, le deviennent avec la plateforme de Quadria. «Nous avons développé une plateforme qui permet de rendre ces deux logiciels accessibles en mode SaaS », nous explique Jean-Pierre Leconte, PDG de Quadria. C'est le deuxième accord, signé par l'éditeur en moins d'un an. Au mois d'avril dernier, l'intégrateur se voyait confier en exclusivité, le développement des offres cloud pour PME de Dell.
Sage propose une licence locative, mais pas l'infrastructure
Sage propose certes la licence locative, la dsu, mais pas l'infrastructure. Et ses revendeurs restent concentrés sur la formation, le paramétrage, l'accompagnement, mais ne s'occupent pas, et ne souhaitent évidemment pas s'occuper, de cet aspect plateforme. Le contrat que leur propose Quadria correspond au dsu et leur permet d'accéder à une infrastructure cloud privative.
C'est une offre d'ampleur nationale (comme l'était l'accord Dell Quadria). « Nous avons mis en place un interlocuteur Sage par région, en découpant la France en six grandes régions » souligne Jean-Pierre Leconte. Le support technique est assuré par Quadria dans deux de ses centres : Toulouse pour le niveau 2 et Montpellier pour le niveau 3. « Ils fonctionnent 24h sur 24 et 7 jours». L'offre a été bâtie grâce à la filiale de Quadria, ASPline, qui travaille avec Sage depuis des années (et antérieurement avec Saari).
Les contrats sont sans engagement, « on ne souhaite pas lier les partenaires comme le font les opérateurs télécoms », note Jean-Pierre Leconte, « pour sa part, Sage préconise notre plateforme, et organise des webcasts ».
(...)
G-Cloud, une plate-forme privée partagée entre plusieurs ministères français
La DILA (Direction de l'Information Légale et Administrative) est issue essentiellement de la fusion de la Direction des Journaux Officiels et de la Direction de La Documentation Française. Outre les publications officielles, elle s'occupe également d'assurer la production informatique d'applications soit pour elle-même soit en inter-ministériel ou pour le compte d'autres administrations (par exemple la DGME). Dans ce cadre, elle vient de décider de mettre en oeuvre et d'opérer un cloud privé destiné aux administrations d'Etat, G-Cloud. Ce cloud est intégré par Accenture avec des technologies Cisco, NetApp et VMware (FlexPod).
La DILA opère sur un budget annexe de l'Etat (comme la DGAC) et non pas sur le budget général. Elle doit donc avoir un budget équilibré, voire faire des bénéfices, et vend ses services, notamment ses publications et ses services d'exploitation informatique, notamment aux autres administrations.
Une activité 24 h/24 et 7 j/7
« La DILA a une activité obligatoirement 24 heures 24, 7 jours sur 7, mais nous n'avons pas en interne la masse critique nécessaire pour rentabiliser au mieux les ressources mobilisées » explique Jean-François Imokrane, responsable du département SI de la DILA. Cette administration gère déjà l'exploitation d'applications pour le compte d'autres administrations. La logique actuelle est de réinternaliser au sein du secteur public et de mutualiser entre administrations un maximum d'applications. Les services d'e-administration mis en oeuvre par la DGME ont ainsi vocation à être progressivement hébergés par la DILA. De plus, les services actuellement hébergés ont tendance à connaître une forte croissance.
La salle serveur de la DILA n'était plus à la hauteur des besoins. Une nouvelle salle a donc été livrée à l'été 2011 et est actuellement en cours d'équipement. Le G-Cloud y sera hébergé. Jean-François Imokrane précise : « l'architecture de type cloud a été choisie pour sa flexibilité et son extensibilité, donc sa capacité à absorber la croissance des services que nous hébergeons déjà et l'arrivée éventuelle d'autres services ». Mais, cependant, ce cloud opéré par la DILA ne sera pas forcément le seul service de ce type dans les administrations d'Etat. « Nous opérons un cloud d'Etat, pas forcément le seul cloud d'Etat » confirme Jean-François Imokrane.
Le montant du marché n'a pas été communiqué et n'était pas disponible parmi les notifications de marché public du BOAMP. (...)
La filiale PME de Keyrus rachète l'intégrateur breton SBI
La filiale du groupe Keyrus dédie aux PME, Absys-Cyborg, rachète un intégrateur breton SBI (Services Bretagne Informatique). C'est un partenaire Sage, en particulier autour de X3 et de la gamme 100. SBI est certifié, CCS, pour les lignes X3, 100 et CRM de Sage.
Créé il y a vingt ans, SBI réalise 1,3 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2011, en croissance de 7%, et compte 12 collaborateurs. Absys-Cybord, se situe à 28,4 ME de CA, toujours en 2011. Jean-Yves Lavalou, le P-dg de SBI devient directeur régional de Absys-Cyborg. Ce rapprochement a été présenté lundi dernier aux collaborateurs de la société, il le sera aux clients courant mars.
(...)
EBP renforce sa distribution à destination des PME
Depuis son démarrage il y a trois ans avec le lancement du PGI Open Line, intégré ensuite dans la Ligne PME créée en 2010, l'activité d'EBP sur le segment des entreprises de 50 à 200 salariés progresse chaque année. L'éditeur a ainsi vendu 440 de ses solutions pour petites et moyennes entreprises en 2011, contre 350 en 2010 et 200 en 2009. Outre le nombre de produits vendus, c'est aussi la taille des configurations qui progresse. En 2009, les produits étaient commercialisés avec en moyenne deux licences utilisateurs contre dix l'an dernier. « Pour 2012, notre objectif est de boucler 700 nouveaux projets. Si nous maintenons une moyenne de 10 licences utilisateurs par entreprise, nous serons satisfaits», anticipe Frédéric Dannery, le directeur commercial d'EBP. L'éditeur croit d'autant plus en sa capacité à accroître le nombre des clients de sa Ligne PME qu'il vient d'enrichir son PGI d'un module de paye. Ce dernier vient s'ajouter aux modules de comptabilité et gestion commerciale qui préexistaient dans la gamme PME d'EBP.
Une nouvelle certification dédiée à la ligne PME
EBP devrait également profiter d'une évolution dans l'organisation de son réseau de partenaires visant bien marquer leur spécialisation. Jusqu'ici, l'éditeur ne leur proposait qu'une certification autour de sa gamme pour petites entreprises, l'une de ses offres historiques, baptisée Centre de Compétence PE. Désormais, ils peuvent opter pour la nouvelle certification Centre Agréé Ligne PME. « Avant que la certification PME ne voit le jour, les revendeurs qui voulaient commercialiser la Ligne PME devaient être certifiés PE. Cela nous permettait de compter sur notre réseau de distribution existant pour faire décoller les ventes de nos nouveaux produits, explique Frédéric Dannery. Toutefois, nous avons fini par constater que seule une partie de nos partenaires certifiés PE s'impliquait vraiment sur le marché des PME. » Résultat, parallèlement au lancement du label Centre Agréé Ligne PME, EBP a décidé que ses revendeurs ne pourraient opter, à quelques exceptions, que pour l'une ou l'autre des certifications qu'il propose. L'éditeur se retrouve ainsi avec deux réseaux de distribution bien distincts, l'un constitué de 185 intégrateurs pour la Ligne PME, l'autre de 190 revendeurs pour l'univers petites entreprises.
Les rangs des partenaires certifiés sur la Ligne PME, sont constitués de nouveaux revendeurs ainsi que d'anciens membres du réseau de distribution petites entreprises. Ce déplacement de troupes a fait passer le nombre de revendeurs PE de 330 à 190 aujourd'hui. « Cela va nous amener à devoir reconstituer ce canal de vente tel qu'il était auparavant. C'est l'objectif qui a été fixé à Stéphanie Dauvilliers, la responsable des ventes de la division PE », indique Frédéric Dannery. Philippe Chesneau, le responsable des ventes de la division PME ne va pas chômer lui non plus. En 2012, il a pour mission d'enrichir de 50 membres la population des revendeurs certifié sur la Ligne PME.
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