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(10/09/2009 16:07:56)

Inop's veut rapprocher les SSII spécialisées des grands comptes

Depuis une dizaine d'années, afin de réduire leurs coûts, les grands comptes ont industrialisé leurs procédures d'achat, y compris dans l'informatique. Conséquence : elles référencent ou déréférencent leurs fournisseurs, en particulier les SSII. Les grandes SSII sont sorties gagnantes de cette pré-sélection, les moyennes et petites SSII, et toutes celles qui occupent des niches, sont écartées des appels d'offres. Ce schéma est largement connu. Des SSII de la taille d'une PME, pourtant très expertes, sont éjectées d'office des procédures d'appels d'offre. Ce processus de sélection a entraîné un effet pervers. Les grandes SSII, faute de compétences ou d'implantations géographiques suffisantes, ont parfois sous traité une partie des contrats obtenus dans les grands comptes. Les petites SSII et les SSII spécialisées gardent ainsi du business, mais sans être maître des contrats et sans gagner la reconnaissance technique et tarifaire de leurs engagements. A l'opposé, les grands comptes donneurs d'ordre ne s'y retrouvent plus. « Ce phénomène de sous traitance des grandes SSII vers les SSII plus spécialisées s'est même accéléré, note Laurent Lévy, l'un des associés fondateurs d'Inop's. C'est devenu une sous-traitance à outrance. » D'un côté, les donneurs d'ordre perdent de vue la teneur du contrat, de l'autre, la SSII spécialisée qui assure ce contrat ne perçoit pas la marge qu'elle devrait. De cette double frustration est née l'idée de créer Inop's. Une plate forme destinée à mettre en relation, d'une part les opérationnels des grands comptes soucieux de traiter avec des sociétés référencées dans des contrats clairement menés, de l'autre, des SSII qui n'entendent pas se faire laminer encore plus en période de crise. Elles voient en effet s'envoler entre 15 et 40% de la marge réalisée sur les contrats. Un marché devenu très opaque [[page]] Un marché devenu très opaque « Il règne une grande opacité sur ce marché » analyse Laurent Lévy. Pour y remédier, il propose aux deux parties d'adhérer à sa plate forme. Côté grands comptes, Inop's leur propose un fonctionnement industriel, avec 80 points d'engagements, sur les prestations qui leur seront proposées via Inop's. Six à sept grands comptes sont prêts à la rejoindre, les premiers noms seront dévoilés d'ici un mois. Côté SSII, Laurent Lévy et ses associés ne sélectionnent que des sociétés spécialisées, pas de généralistes donc. Ils ont créé une cartographie des SSII et de leurs prestations et souhaitent avoir une cinquantaine d'adhérents de ce type d'ici la fin de l'année en couvrant l'ensemble de la France. « Nous allons leur ouvrir un marché auquel elles n'avaient plus accès », souligne Laurent Lévy. Lancé officiellement le 2 septembre, Inop's est en gestation depuis plusieurs mois. La société, une sas au capital de 131 450 euros, ambitionne de réaliser un chiffre d'affaires de 5 millions d'euros sur le premier exercice de neuf mois. Inop's devrait compter une quinzaine de collaborateurs en 2010. Actuellement, la société travaille sur deux types de prestations : infrastructure et production, application et intégration. Dans un second temps, elle traitera deux autres sujets : les télécommunications et la haute technologie. (...)

(10/09/2009 15:33:15)

Christine Lagarde veut associer TIC et développement durable

Sous l'inspiration d'un rapport remis par Pascal Faure, vice-président du CGIET (Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies), Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a préconisé mardi dernier plusieurs axes d'action pour favoriser la prise en compte, par ses services, des technologies numériques dans le développement durable. Ces déclarations ont été faites deux jours avant la tenue, ce jeudi 10 septembre, du séminaire organisé par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'économie numérique, sur le thème « Numérique : investir aujourd'hui pour la croissance de demain », au cours duquel intervient notamment Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie. Réalisé sous la présidence de Michel Petit, ingénieur général des Mines, le rapport remis au ministère de l'Economie et de l'Industrie insiste sur la nécessité de favoriser la R&D autour des systèmes électroniques à basse consommation et de renforcer les usages des TIC, par exemple dans les réseaux électriques 'intelligents'. En s'appuyant sur ces propositions, Christine Lagarde et Christian Estrosi demandent que l'apport du numérique au développement durable soit pris en compte dans la sélection des programmes d'aide à la R&D technologique de leur ministère (programmes Eureka ou suivis par les pôles de compétitivité). Un effort particulier sera mis sur la conception conjointe matériel/logiciel des systèmes embarqués. Insérer l'éco-conception dans la formation initiale L'utilisation des TIC pour le développement de solutions 'éco-responsables' sera aussi favorisée dans le cadre du programme Cap'Tronic. Rappelons que ce dernier vise à améliorer la compétitivité des PME par l'intégration de solutions électroniques dans leurs produits. Il est aussi question d'optimiser la chaîne logistique par le recours aux technologies RFID. Un volet 'formation initiale' prévoit par ailleurs que les futurs ingénieurs du numérique soient sensibilisés à ces thématiques d'éco-conception, telles que l'efficacité énergétique ou la co-conception matériel/logiciel. Les deux ministres demandent aux Ecoles des Mines et de l'Institut Télécom d'intégrer ces notions dès 2010. Le dernier point évoqué concerne les centres de calcul du futur, dans la perspective du développement du cloud computing. Les services du ministère de l'Economie devront présenter, d'ici fin janvier 2010, des propositions sur le développement de ces centres. (...)

(10/09/2009 12:06:06)

Première apparition publique de Steve Jobs depuis janvier

'Standing ovation' pour Steve Jobs, hier à San Francisco, lors de sa première apparition publique officielle depuis le début de l'année et son congé maladie. Le patron d'Apple s'est avancé ce mercredi 9 septembre sur une scène du centre d'art contemporain Yerba Buena de San Francisco pour présenter les nouveautés de sa célébrissime gamme de baladeurs iPod. Mais il a tout d'abord tenu à revenir sur le combat qu'il vient de mener. « J'ai subi une greffe du foie il y a cinq mois, a-t-il rappelé à l'assistance. J'ai désormais le foie d'une jeune personne décédée dans un accident de la route et qui s'est montrée assez généreuse pour faire don de ses organes. Je ne serai pas ici sans une telle générosité », a poursuivi le co-fondateur d'Apple en rappelant l'importance du don d'organes. Steve Jobs est revenu à la tête de sa société fin juin, après une absence de cinq mois et demi, nécessitée par des complications de santé consécutives au traitement d'un cancer du pancréas. Tant son départ en congé maladie, en janvier, que son retour, en juin, avaient suscité des inquiétudes chez les investisseurs. Les analystes financiers se sont d'abord demandé si son absence n'allait pas nuire à la croissance de la société. Tim Cook, directeur opérationnel d'Apple, et Phil Schiller, directeur marketing, ayant montré leurs capacités à assurer l'interim, le marché s'est ensuite inquiété de la capacité de Steve Jobs à reprendre les commandes fin juin. L'homme d'affaires Warren Buffet avait notamment regretté qu'Apple n'ait pas communiqué davantage sur l'état de santé de son PDG, en particulier en n'informant pas qu'il avait subi une greffe du foie. « C'est une information essentielle » qu'Apple était légalement tenu de signaler à ses investisseurs, avait-il alors estimé. (...)

(10/09/2009 10:24:19)

Après une chute de 6% en 2009, les dépenses IT repartiront en Europe en 2010, selon Forrester

Selon Forrester Research, l'année 2009 sera celle du grand décrochage pour le marché professionnel de l'IT en Europe. Le cabinet d'études anticipe une chute de 6,3% à 296 Md€ des dépenses des entreprises d'Europe Centrale et de l'Ouest en PC, logiciels, équipements de communication, externalisation et conseil et intégration. Il faut remonter à 2006 pour trouver un montant d'investissement quasi identique, à la différence près que celui-ci résultait d'une progression de 6,1% des achats. Le tableau brossé pour l'industrie IT en 2009 est à mettre directement en relation avec la baisse du PIB des pays de la zone euro qui devrait atteindre 4,9% d'après l'OCDE. Principales économies de l'Europe de l'Ouest, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne représentent 55% des dépenses IT des entreprises en Europe. Dans l'Hexagone, la baisse des investissements est attendue à 2,9% pour 49,4 Md€, comme en Allemagne où les revenus devraient s'établir à 57,5 Md€. S'agissant de la Grande-Bretagne, on peut parler de véritable dégringolade sur un marché pour lequel Forrester anticipe une décroissance de 13,1% (57,4 Md€) en 2009. Comparée au reste de l'Europe, la décroissance est contenue en France En France, sur l'ensemble des segments de produits et de services étudiés par Forrester, celui des équipements de communication enregistrerait la plus forte décroissance, soit -7%. Les ventes de PC, de logiciels, de prestations de conseil et d'intégration reculeraient de 2% chacune. Le marché de l'externalisation baisserait quant à lui de 3%. La pilule est amère, mais les difficultés des différents segments du marché français de l'IT restent relativement contenues, à l'exception des ventes de licences logicielles, comparées aux résultats enregistrés dans l'ensemble des pays d'Europe Centrale et de l'Ouest. Sur les 26 pays étudiés, le segment des équipements de communication devrait, là aussi, être le plus touché avec des revenus en baisse de 9,2% à 57 Md€. Sur le marché des PC, les prévisions de décroissance se situent à 6,8% pour des ventes de l'ordre de 78 Md€. Ce qui, selon Forrester, s'explique notamment par l'adoption croissante des technologies de virtualisation, l'arrivée des netbooks à prix réduits, ainsi que la volonté des responsables informatiques de baisser leurs investissements sur le poste de travail en temps de crise. De leur côté, les éditeurs doivent s'attendre à une chute de 5,4% des ventes de licences et ne plus se partager qu'un gâteau de 68 Md€. Pour les prestataires qui proposent des services de conseil et d'intégration, le recul des marchés sur lesquels ils évoluent devrait atteindre 4,2% à 54 Md€. Et, alors que l'on pourrait s'attendre à ce que le marché de l'externalisation profite de la baisse des investissements dans d'autres domaines, il n'en devrait être rien puisque Forrester lui prédit une baisse de 6% pour 297 Md€ de revenus. Dans cette situation, les fournisseurs et les prestataires de services devraient pousser un ouf de soulagement à l'annonce, par Forrester, d'une remontée du marché de l'IT en Europe en 2010. Sa croissance devrait repartir sur un rythme annuel de 4% à 309 Md€. Mais plutôt que d'une reprise, il faudra alors parler de rattrapage, et uniquement comparé à 2009. Il sera en effet nécessaire d'attendre plus longtemps pour revenir au niveau d'une année comme 2007 où les dépenses IT des entreprises avaient atteint 319 Md€. (...)

(10/09/2009 09:43:20)

Des informaticiens internes et externes de Calyon protestent à La Défense

Des informaticiens de Calyon, salariés de l'entreprise mais aussi prestataires de services, se sont donné rendez-vous ce jeudi matin à La Défense pour distribuer des tracts. Les revendications sont quelque peu différentes entre les deux catégories de personnels. Au recto, les salariés des grandes SSII (Altran, Accenture, IBM, Logica, Capgemini, Atos, ER, CSC, GFI et Steria) protestent contre la précarité, dont ils rendent responsables en premier lieu le Syntec, mais aussi les donneurs d'ordre, c'est-à-dire les grands groupes français. « En l'espace d'une décennie, le métier de consultant s'est totalement métamorphosé, peut-on lire sur le tract. L'instabilité professionnelle fait désormais partie intégrante du parcours des jeunes diplômés. Pire, avec la crise, ce sont aujourd'hui les premières victimes. » Au verso du tract, les salariés de Calyon s'opposent au projet de déménagement vers le site de Montrouge décidé par la direction du Crédit agricole, ainsi qu'aux grandes orientations de la banque. (...)

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