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(09/09/2009 15:38:25)
Dell s'attaque aux PME avec une offre serveur plus onduleurs
Dell décline une offre complète regroupant serveurs, stockage, administration et même - pour la première fois - onduleurs, pour faciliter l'utilisation de ces environnements par les PME. Pour commencer, le Texan présente quatre serveurs PowerEdge de 11e génération. Deux machines au format tour, les T110 et T310, et deux machines au format rack, R210 et R510, s'appuient sur les Xeon 3400 d'Intel et sont équipés de Windows Server 2008 R2. Le T110 et le R210 sont proposés aux PME qui souhaitent réaliser un premier achat de serveur. Il est possible de leur connecter des disques eSata pour faciliter la transition vers une configuration serveur. Le châssis du T110 n'occupe pas plus de place qu'un poste de travail mais il est équipé des outils d'administration et de sécurité nécessaires. Selon Dell, le R210, outre son format destiné au gain de place, affiche la plus faible empreinte énergétique de la gamme PowerEdge (il serait à 88% plus efficace que la génération précédente). Ces deux modèles seront disponibles en Europe le 30 septembre respectivement à partir de 629€ et 759€ avec une garantie de 3 ans. Le PowerEdge T310 dispose de fonctions avancées d'administration, à distance, avec redondance, et des options RAID (disponibilité européenne le 30 septembre à partir de 839 €). Dell a aussi adapté tous ses outils de configuration de système, de contrôle et de maintenance sur l'ensemble de sa gamme de serveurs PowerEdge. Lifecycle Controller 1.2 automatise le déploiement de l'OS sur des serveurs distants aussi bien que locaux. Le module s'intègre avec les plateformes d'administration BladeLogic Operations Manager de BMC et System Center Configuration Manager de Microsoft. Plus original, Dell présente aussi 28 onduleurs (UPS en anglais, uninterruptible power supply) avec un taux d'efficacité de 95%. Ces modules peuvent être administrés au travers de la console OpenManage, s'intègrent dans des configurations en rack et ont un impact sonore réduit. Ils seront disponibles à partir de 200€ le 30 septembre. (...)
(09/09/2009 14:25:46)Lenovo s'éloigne de l'influence du gouvernement chinois
Le lien entre le 4e fabricant mondial de PC, Lenovo, et le gouvernement chinois tend à se relâcher de plus en plus. Un fonds d'investissement privé, China Oceanwide Holding Group, vient ainsi d'acquérir 29 % du capital de la maison mère du constructeur, Legend, pour la somme de 2,76 milliards de yuan (soit 279 millions d'euros). Avec 36 % de parts dans le capital de la société, l'Académie des Sciences chinoise reste le plus gros actionnaire de Legend, mais elle compte passer sous la barre de 35 % (et donc la minorité de blocage) d'ici à la fin 2010. « Plusieurs de nos clients à l'étranger pourraient penser que Lenovo est une compagnie nationalisée », explique Liu Chanzhi, président de Lenovo et récemment nommé président de Legend, « l'entrée de China Ocenwide rend encore plus clair le fait que Lenovo est bel et bien une entreprise privée. » (...)
(09/09/2009 13:00:12)Le trafic Internet depuis les mobiles multiplié par 6 en un an
Cet été, les visites de sites Internet en provenance de terminaux mobiles (téléphones mobiles, smartphones, baladeurs Wi-Fi, etc.) ont été multipliées par 6 (+493%) par rapport à août 2008, selon les dernières mesures CybereStat du trafic Internet publiées par l'institut Médiamétrie. Les vacances loin de tout PC aidant, le trafic des accès mobiles a représenté en août 2009 1,3% des visites globales contre seulement 0,3% il y a un an. Dans le même temps, le trafic Internet global, quel que soit le système d'exploitation utilisé (accès PC, mobiles, consoles, etc.), a enregistré une progression de 36% par rapport à août 2008. A noter que plus de 6 visites sur 10, 63% des accès mobiles exactement, proviennent de l'iPhone ou de l'iPod Touch d'Apple. Parmi les sites les plus visités au mois d'août, on retrouve en tête Skyrock.com avec près de 161 millions de visites, devant L'Equipe.fr et 60,3 millions de connexions, et Lo.st avec 58,4 millions de visites. (...)
(09/09/2009 12:58:00)MonExTel propose une réutilisation durable des téléphones mobiles
La jeune pousse française Recommerce Solutions incubée par l'Institut Télécom, accompagnée par la start up Tic Ethic, a mis au point le système MonExTel pour donner une deuxième vie aux mobiles (mise à jour). Il suffit à l'internaute d'enregistrer son mobile sur le site pour en connaître la valeur, pour faire bénéficier une association des fruits de cette vente et d'envoyer sans frais son téléphone vers un circuit de réutilisation qui emploie des personnes handicapées. Modèle économique durable, réduction de l'impact environnemental et accompagnement social, tous les ingrédients du green IT sont là. Et la démarche s'applique aussi bien aux entreprises qu'aux particuliers. L'internaute qui souhaite se débarrasser de son portable sans le jeter à la poubelle, ni le voir partir dans des circuits de recyclage qu'il ne maîtrise pas, commence par saisir les caractéristiques sur le site MonExTel. Un moteur de calcul établit alors la valeur de reprise de l'appareil. « Cette technologie de Real-Time Pricing, explique Benoît Varin, gérant de Tic Ethic et fondateur de MonExTel, analyse de manière automatique les transactions effectuées sur les différentes places de marché C2C comme eBay et B2B. Une approche sémantique permet d'identifier les spécificités de chaque vente et le prix d'un même modèle peut varier sensiblement en fonction d'une multitude de facteurs tels que l'état, la garantie, les accessoires fournis, le 'désimlockage' éventuel, etc. » « Favoriser le réemploi des téléphones et rendre facile le geste de renvoi du produit » Les téléphones sont vendus au prix ainsi déterminé à des boutiques d'occasion, à des associations d'insertion ou encore à des pays en développement en particulier en Afrique. Le produit de la vente est presque totalement reversé à l'association préalablement choisie par l'internaute parmi celles proposées par MonExTel. L'autre partie de la somme sert à rembourser les frais de fonctionnement et de logistique de la jeune pousse. Les associations inscrites (une dizaine actuellement) sont sélectionnées pour leurs actions environnementales, sociales, humanitaires, etc. Le propriétaire du mobile reçoit ensuite rapidement une enveloppe pré-affranchie (il peut aussi imprimer un bordereau d'affranchissement) dans laquelle il glisse le mobile sans autre frais avant de le renvoyer. Le matériel arrive alors dans un atelier de tri (recyclage ou réemploi) qui n'emploie que du personnel handicapé. Bien sur, conformément à la directive européenne sur les DEEE (déchets d'équipements électriques et électroniques), les distributeurs de produits électroniques ont l'obligation de reprendre, pour le compte des fabricants, les anciens mobiles lors d'un nouvel achat. Mais Benoît Varin rappelle que rien ne leur impose d'envoyer les produits vers un circuit de réutilisation. « Notre initiative vise justement à favoriser le réemploi de téléphones portables usagés, explique-t-il, mais aussi à rendre facile le geste de renvoi d'un produit. » Le principe (rachat de téléphone, envoi de dons aux associations, etc.) existe déjà par exemple sur le site « mobile-recyclage »mais il s'appuie généralement sur des points de collecte physiques, obligeant le propriétaire du téléphone à s'y rendre. « Au sein de Tic Ethic, nous développons cinq ou six autres projets dans les mêmes domaines de déchets électroniques, raconte Benoît Varin. Nous en étudions tous les enjeux juridiques, économiques, techniques, organisationnels et autres. » L'entreprise, créée en 2005, a développé une expertise du sujet qui lui vaut d'être consultée par l'Ademe, le Programme des Nations-Unies pour l'environnement (PNUE), et même de piloter pour l'Unesco un programme concernant le recyclage des PC. (...)
(09/09/2009 11:58:45)22 anciens brevets Microsoft renforcent le bouclier pour Linux érigé par l'OIN
L'Open Invention Network (OIN) continue de renforcer le bouclier protecteur qu'il forge autour de Linux avec le rachat de 22 brevets originaires de Microsoft. Les droits de propriété intellectuelle avaient été rachetés à la firme de Redmond par Allied Security Trust (AST), une organisation à but non lucratif dont le but est de mettre les brevets hors de portée des « patent trolls », ces sociétés qui n'achètent des brevets qu'afin de multiplier les injonctions et les procès. L'OIN a acquis ces brevets auprès d'AST en expliquant qu'ils « pourraient concerner Linux ». Le but de l'OIN, présidé par Keith Bergelt (que nous avons interviewé il y a un an), est d'accumuler, par donation ou acquisition, des brevets ayant trait à l'Open Source en général, et à Linux en particulier, afin de mettre les développeurs et éditeurs de logiciels libres à l'abri des menaces judiciaires. (...)
(09/09/2009 09:29:46)Les services autour de SAP dominent les services applicatifs
Selon le cabinet PAC, la TMA et l'intégration liées à SAP représentent 27,4 milliards d'euros dans le monde en 2008. Ce montant représente 9% du total des services informatiques (hors hébergement) et constitue ainsi le premier marché autour d'une application. Géographiquement, l'Europe reste en tête avec 50% du marché (Allemagne : 17% ; Grande Bretagne : 7% ; France : 5%; Reste de l'Europe : 21%) tandis que le Continent américain compte pour 38% et la zone Asie-Pacifique pour 12%. Si on excepte certains pays émergents comme le Brésil (+5,3%) et la Chine (14,4%), les ventes de licences sont en chute libre. Mais l'éditeur compense avec les services de maintenance pour continuer sa croissance. Selon PAC, il continue d'exister malgré tout dans les entreprises de grands projets de transformation basés sur SAP et le marché du secteur public (projet Chorus, Noyau Commun de Paye, etc.) est en pleine effervescence. Malgré la forte augmentation du nombre de modules disponibles (la gestion de la relation fournisseur et le contrôle de la conformité ont le vent en poupe), la comptabilité-finance domine toujours les déploiements avec 25% tandis que le décisionnel représente 20%. Face à la complexité grandissante des projets, les entreprises préfèrent découper les implémentations en étapes claires pour limiter les risques et voir le début des retours le plus tôt possible. La TMA sur la pente ascendante La migration vers ECC 6.0 constitue une autre source de ventes de licences comme de services d'intégration. En 2008, entre 10 et 15% des entreprises avaient procédé à cette évolution. Un taux qui devrait atteindre entre 25 et 30% en 2009. Mais il reste à justifier sur le plan économique une telle opération qui, d'ailleurs, pour limiter les risques, est en général purement technique et iso-fonctionnelle. Conseil et intégration dominent encore le marché des services autour de SAP face à la TMA mais cette dernière voit ses parts croitre. En 2008, elle représentait 28% contre 72% pour le conseil et l'intégration. En 2013, selon PAC, ces proportions devraient atteindre respectivement 34% et 66%. « Le problème de la TMA classique est la gestion dans la durée du patrimoine applicatif mais ce sujet est désormais, en général, intégré au contrat, tout comme les déploiements de nouveaux sites » explique Eang Ang Ong, consultant intégrateur SAP chez IBM Global Business Services. Pour lui, « la TMA est même intégrée dans le plan du projet dès l'origine et on passe ainsi directement de la phase projet à celle où la maintenance est externalisée, sans phase de gestion interne de la maintenance ». Une maintenance toujours trop chère [[page]]La TMA coûte en général de 10 à 25% du coût global de mise en oeuvre initiale du projet. Mais il convient de ne pas oublier les 22% de la maintenance directement liée à l'éditeur SAP. Ce taux s'applique sur le seul coût des licences qui représente en moyenne de 20 à 50% du coût total du projet. Mais Eang Ang Ong refuse d'établir un ratio global, même sous forme de fourchette, car les situations sont trop variables. Si on prend les extrêmes cités, il est vrai que le coût récurrent annuel va de 14% (10% du coût total du projet + 22% du cinquième de celui-ci) à 36% (25% + 22% de la moitié) du coût initial du projet, ce qui est très large... « Les PME exigent des solutions pré-configurées, très packagées, qui tirent les leçons des implémentations depuis l'origine de l'éditeur, mais le coût de licence leur semble tellement élevé qu'elles ne comprennent pas le coût élevé de la maintenance, y compris la seule maintenance corrective » admet Eang Ang Ong. (...)
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