Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 10331 à 10340.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/09/2009 16:49:34)

22,5 millions de Français ont acheté sur Internet au 2e trimestre, selon la Fevad

La France a totalisé 22,5 millions de cyberacheteurs au deuxième trimestre 2009, soit 7% de plus qu'au deuxième trimestre 2008, selon le baromètre trimestriel publié hier jeudi 10 septembre par la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance). Cette croissance est trois fois plus rapide que celle du nombre d'internautes (+2%), souligne la Fédération. En un an, le nombre de personnes ayant déjà acheté en ligne a progressé de 1,4 million. Pour Marc Lolivier, délégué général de la Fevad, l'attractivité de l'achat en ligne est toujours forte chez les Français et le potentiel de progression reste important. Parmi les nouveaux cyberacheteurs, le baromètre note une forte augmentation dans la catégorie des 50 ans et plus (+25%), qui représente désormais plus du quart des acheteurs en ligne, et des CSP- (+16%), qui comptent pour le tiers des cyberacheteurs. Sur l'ensemble du premier semestre 2009, la Fevad souligne que 110 millions de transactions ont été enregistrées par les sites e-commerce (+35%), soit 5,7 commandes effectuées par cyber-acheteur. En revanche, le montant moyen de la transaction est désormais de 89 euros contre 93 euros il y a un an. Les internautes achètent donc plus souvent qu'avant, mais pour des montants moins élevés. Pour la Fevad, cette croissance est en partie liée à l'augmentation du nombre de cyber-acheteurs ainsi qu'au développement des sites marchands en France. On en compte désormais 56 000, contre 43 700 il y a un an. Le classement de l'audience des sites marchands français au deuxième trimestre 2009 est dominé par eBay avec 12,5 millions de visiteurs uniques, devant PriceMinister (10 millions), les 3 Suisses (8,34 millions), Amazon (7,87 millions), La Redoute (7,51 millions), la Fnac (7,32 millions) et CDiscount (7,28 millions). (...)

(11/09/2009 16:17:08)

Oracle promet d'investir plus que Sun dans Sparc et Solaris

Oracle a décidé de dissiper enfin les craintes des clients de Sun, inquiets du sort des processeurs Sparc et du système d'exploitation Solaris. La société de Larry Ellison, qui a vu son rachat de Sun approuvé fin août par les autorités américaines, a choisi d'afficher ses engagements par le biais d'une page de publicité. Parue notamment dans le Wall Street Journal, celle-ci déroule quatre promesses. Oracle prévoit d'investir dans le développement de Sparc davantage que Sun ne le fait en ce moment. L'éditeur offre la même garantie sur Solaris. Oracle prévoit aussi d'avoir deux fois plus de spécialistes que Sun pour vendre et assurer le service autour des systèmes Sparc et Solaris. Enfin, il compte améliorer sensiblement les performances des matériels de Sun en les intégrant étroitement avec ses propres logiciels.

Larry Ellison a hâte d'affronter IBM

En fin de publicité, une citation de Larry Ellison conclut en substance : « Nous sommes là pour gagner. » Au passage, le fondateur d'Oracle prévient IBM qu'il a hâte d'entrer en concurrence avec lui sur le terrain du matériel. Nulle mention de HP en revanche dont on sait qu'il avait montré de l'intérêt, lui aussi, pour le matériel de Sun

Certains analystes font remarquer que ces engagements n'ont rien de vraiment significatifs, les investissements actuels de Sun ayant probablement subi d'importantes coupes si l'on en juge par l'effondrement de ses ventes. Le Californien est celui qui a enregistré le recul le plus fort parmi les constructeurs sur son chiffre d'affaires serveurs au deuxième trimestre.

Le rachat de Sun par Oracle est toujours en cours d'examen par la Commission Européenne, en raison des problèmes de concurrence qu'il pourrait soulever sur le marché des bases de données. L'Europe a jusqu'au 20 janvier 2010 pour rendre son avis.

(...)

(11/09/2009 15:38:13)

Twitter change ses conditions d'utilisations pour attirer la publicité

Le site de microblogging Twitter a changé hier, jeudi, ses conditions d'utilisation pour permettre aux publicitaires de diffuser officiellement leurs messages aux 45 millions d'utilisateurs mensuels du site. Comme Biz Stone l'a exprimé sur son blog officiel, « nous laissons la porte ouverte à la publicité. Nous aimerions conserver toutes nos options ouvertes, nous l'avons déjà dit auparavant. » Un revirement de tendance par rapport au mois de mai dernier où Biz Stone soutenait que cette source de revenus n'était pas assez intéressante pour son réseau et craignait que l'apparition de publicités ne fasse fuir les utilisateurs. Pour autant, le site s'engage à encadrer ces pratiques en prenant notamment des mesures pour lutter contre le spam, et en renforçant sa sécurité pour éviter l'apparition de comptes tenus par des robots et la diffusion de malware. (...)

(11/09/2009 12:39:27)

L'économie numérique française plaide sa cause devant les arbitres du Grand emprunt

Le Grand emprunt décidé par Nicolas Sarkozy suscite évidemment bien des convoitises dans les ministères et les différents secteurs de l'économie. A commencer par les acteurs du monde de l'informatique et du numérique, qui ont plaidé leur cause hier, jeudi 11 septembre, lors d'un séminaire organisé par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, à la Maison de la Chimie. De nombreux responsable politiques et représentants de l'industrie se sont efforcés de démontrer quel intérêt supérieur cela serait de leur confier de l'argent public pour l'investir dans les projets de NTIC qu'ils défendent, sous le regard amusé de Michel Rocard et d'Alain Juppé, qui président la Commission de réflexion sur les priorités stratégiques d'investissement et l'emprunt national. Même le Premier ministre François Fillon, en clôture de cette journée, les a appelés à « regarder de près les modalités de mobilisation des ressources de cet emprunt pour accélérer le déploiement du très haut débit sur notre territoire » [nous vous proposons en téléchargement ci-dessous des résumés et discours fournis par les services du ministère]. François Fillon : « Le numérique compte pour 40% des gains de productivité » Tous les acteurs de ce séminaire étaient d'accord pour convenir que l'investissement dans les grands projets de NTIC représente à la fois une nécessité, pour éviter d'élargir la fracture numérique, et un levier énorme pour la croissance et la compétitivité de l'économie française. « En Europe, le numérique est la source d'un quart de la croissance, a ainsi rappelé François Fillon. Il compte pour 40% des gains de productivité. » De même, en introduction de cette journée, Paul Hermelin a concaténé des chiffres de diverses sources pour affirmer ce potentiel. Disposant étrangement d'un temps de parole d'un quart d'heure sitôt après le discours de bienvenue de NKM, le directeur général de Capgemini a ainsi rappelé que « les TIC ont 3 fois plus d'impact sur la productivité que les investissements hors TIC », et qu'elles génèrent une grande proportion d'emplois indirects : « 20 Md€ investis dans les TIC génèrent environ 800 000 emplois. » Autre exemple : « Entre 1995 et 2006, la croissance de la productivité aux Etats-Unis a été de 50% supérieure à celle de l'Europe, et on estime que deux tiers de cet écart sont imputables aux TIC ». Un facteur essentiel à ce gain en productivité venant de l'accroissement des possibilités de communication : « Une augmentation de 10 points du taux de couverture haut-débit d'un pays augmente sa croissance économique de 1,3 point. » Malheureusement, le reste de l'intervention du DG de Capgemini s'apparentait davantage à de la réclame pour son groupe ; ainsi cet appel à renforcer les initiatives TIC du secteur public, où Capgemini, a expliqué Paul Hermelin, dispose déjà de nombreux contrats et de fortes compétences... Plusieurs autres acteurs de l'industrie n'ont pas hésité non plus à prêcher pour leur paroisse, allant parfois jusqu'à, sinon la désinformation, du moins une présentation fortement subjective de la réalité. On aura ainsi appris que Mandriva est « à peu près » la seule distribution Linux qui tienne la route sur le poste de travail. Novell et Ubuntu, notamment, apprécieront. Malgré cet aspect quasiment inévitable dans un tel séminaire avec tant d'intervenants, la journée a permis de dégager des axes de travail et quelques consensus, notamment sur le déploiement du très haut débit, qui est apparu comme la pierre angulaire des efforts à fournir. Une loi pour couvrir 100% de la population en très haut débit [[page]] Pour Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'Aménagement du territoire, qui présidait la première table ronde de la journée, il s'agit d'un chantier obligatoire : « En France, seuls 25 000 foyers français sont équipés de la fibre, contre 1,5 million en Europe. [...] On ne peut pas laisser la population et les PME de 80% du territoire ne pas bénéficier d'accès au très haut débit. » D'autant, comme l'a souligné le président de l'Association des maires de France, que le développement des services en ligne permettrait de pallier « la disparition des services publics dans certaines communes ». Bruno Retailleau, sénateur de Vendée et rapporteur de la proposition de loi relative à la lutte contre la fracture numérique, a abondé, expliquant que l'objectif à terme était de couvrir 100% de la population en très haut débit, que ce soit au travers de la fibre optique, du satellite, des technologies sans fil de 4e génération... Une facture de 40 Md€ pour couvrir la France en très haut débit Or, comme l'a honnêtement rappelé Yves Le Mouel, président de la Fédération française des télécommunications (et donc représentant des opérateurs sur cette table ronde), l'investissement demandé représente « un saut quantique » par rapport au déploiement de l'ADSL (selon Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations -CDC, la facture pour le déploiement du haut débit se montait à 2 Md€, alors que celle du très haut débit devrait avoisiner les 40 Md€). Les opérateurs sont des entreprises privées, a indiqué Yves Le Mouel : ils ne seront donc prêts à relever ce défi que dans les zones d'une certaine densité urbaine, gage d'une rentabilité future de leurs investissements. Voilà pour la zone 1 (les grandes agglomérations, soit 5 millions de Français environ). Pour les zones 2 (villes de quelques milliers d'habitants) et 3 (le reste du territoire), il faudra, a-t-il expliqué, « faire preuve de beaucoup de lucidité ». Autrement dit, envisager « des investissements publics ou mixtes ». La CDC pourrait aider au financement d'opérateurs mutualisés dans les zones moyennement denses Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes), a indiqué que cette dernière émettrait ses recommandations en la matière d'ici à la fin de l'année. Néanmoins, il appelle déjà les opérateurs à considérer les choses sous l'angle d'un déploiement sur l'ensemble du territoire, plutôt que d'une façon séquencée, en commençant par la zone 1 (et sous-entendu en repoussant les autres chantiers aux calendes grecques). Augustin de Romanet penche lui aussi pour une solution ne laissant aucune zone dans l'ombre. Fort de l'expérience de la CDC dans le financement du déploiement du haut débit, son DG estime qu'il faudrait « mener des opérations coup de poing » dans la zone 2, associant des opérateurs privés à la puissance publique. En effet, a-t-il expliqué, seule cette zone pose vraiment problème. La zone 1 est suffisamment dense pour laisser faire le marché et le jeu de la concurrence. Tandis que la zone 3 ne présentant qu'une « rentabilité socio-économique », il faudra obligatoirement une subvention des pouvoirs publics, voire un système de délégation comme celui mis en place pour l'ADSL, pour amener la fibre optique ou du très haut débit mobile. Michel Rocard : « Le Grand emprunt ne pourra pas l'être par son montant » [[page]] En zone 2 en revanche, les collectivités locales sont « trop riches pour recevoir des aides, mais trop pauvres pour investir elles-mêmes sur le long terme », a remarqué Augustin de Romanet. Il envisage donc, pour cette zone, une mutualisation entre opérateurs, « avec un éventuel concours de la puissance publique, afin d'éviter les doublons, et de favoriser la transparence financière ». Cela nécessiterait un petit sacrifice de la part des opérateurs, mais aurait le mérite, a-t-il dit, d'augmenter rapidement le nombre de clients potentiel pour des services en très haut débit : « la valeur d'un réseau est égale au carré du nombre de ses membres ». Un Plan Cloud computing pour remplacer le Plan Calcul ? Par comparaison, la deuxième table ronde, consacrée aux logiciels et services, a paru plus faiblarde. Même si Marc Simoncini, PDG de Meetic, a mis les pieds dans le plat dès le début en disant qu'il ne servait à rien de réfléchir à de nouvelles infrastructures si on n'y associait pas des services, de préférence offerts par des sociétés hexagonales. « Si le gouvernement aide le très haut débit pour que Google ait plus de trafic, qu'eBay vende plus d'armoires et Amazon de livres, cela a peu d'intérêt. » Pour lui, le Grand emprunt devrait venir renforcer les actions déjà en place pour favoriser la création d'entreprises et l'innovation. Mais sur quels sujets ? Didier Lamouche, PDG de Bull, qui se disait fier que son entreprise ne soit plus associée au Plan calcul (lancé par le Général de Gaulle pour assurer l'indépendance informatique de la France et de l'Europe) mais à des serveurs de pointe, a illico proposé un projet d'implantation de centraux informatiques en Europe... pour assurer son indépendance informatique dans le monde du cloud computing. Président du pôle de compétitivité Cap Digital, Henri Verdier a intelligemment complété cette table ronde, en expliquant que les acteurs français avaient tout intérêt à s'orienter vers des services et des technologies « où il n'y a pas encore de position inexpugnable », des domaines en devenir comme l'Internet mobile, l'Internet des objets, les technologies vertes, la e-santé, les transports intelligents... Le Grand emprunt favorisera les projets ayant une dimension développement durable Face à tous ces projets et ces velléités de recevoir des subsides publics, Alain Juppé et Michel Rocard se sont employés à rafraîchir les ardeurs et temporiser. « Le Grand emprunt ne pourra pas l'être par son montant, car les finances publiques ne le supporteraient pas », a ainsi expliqué l'ancien Premier ministre socialiste. En outre, il devra « être unique, non répétitif », car cela « créerait une dérive catastrophique ». Autrement dit, même si Michel Rocard reconnaît qu'il faut essayer de réparer les dégâts causés par « une gestion à l'économie depuis 15 ans » sur l'innovation, il a précisé qu'il y avait « une concurrence sérieuse » et donc pas d'argent pour tout le monde. Le système éducatif français, par exemple, pourrait bénéficier de subsides : « Il faut relancer le savoir en France, sortir les universités de leur médiocrité. » Autre concurrent important : tout ce qui a trait à la « croissance verte ». Comme l'a souligné Alain Juppé : « Il faut stimuler la croissance, mais une croissance différente. Faut-il l'appeler verte ? Durable ? Sobre ? » En tout cas, l'ancien Premier ministre a indiqué que pour être éligibles, les projets présentés à la Commission devraient prendre en compte cette dimension. Or, a-t-il ajouté, « le numérique est au coeur du débat : vous avez toutes vos chances ». Lui non plus n'a pas voulu donner d'indications sur le montant de l'Emprunt. Il a toutefois précisé que s'il devait consacrer 35 ou 40 Md€ à la couverture totale du territoire en très haut débit, il ne resterait plus grand-chose de l'Emprunt... (...)

(11/09/2009 12:31:23)

Microsoft crée une fondation Open Source à partir de CodePlex

Adossée à Microsoft, la CodePlex Foundation qui a vu le jour hier, jeudi 10 septembre, se voit attribuer par ses promoteurs la mission de faciliter l'échange de code et un dialogue constructif entre les éditeurs de logiciels et les communautés Open Source. Elle reprend le nom déjà bien identifié de CodePlex, le portail communautaire que Microsoft a ouvert en 2006 pour héberger ses projets Open Source. Outre l'abandon de ce nom à la fondation, l'éditeur de Windows a versé à celle-ci une contribution de 1 M$. De façon plutôt cocasse, la nouvelle organisation va donc fournir une licence d'utilisation de son nom au site Web Codeplex pour qu'il puisse continuer de se nommer ainsi. Créée sous la forme d'une association à but non lucratif, la CodePlex Foundation est présentée comme un forum de développeurs ayant pour objectif d'accroître la participation aux projets menés par les communautés Open Source, en complément des fondations et organisations qui existent déjà. Sa présidence par interim est assurée par Sam Ramji, actuellement responsable de la stratégie plateforme chez Microsoft. Lors d'une conférence de presse, hier, celui qui fut aussi chargé de la stratégie Open Source et Linux de l'éditeur, a indiqué qu'il quitterait Microsoft le 25 septembre pour rejoindre une start-up de la Silicon Valley. Il affirme néanmoins qu'il poursuivra sa collaboration avec la fondation CodePlex pendant ses cent premiers jours d'existence. Sa mission consiste à encourager la participation des éditeurs traditionnels aux projets Open Source, leurs développeurs n'y participant pas suffisamment pour l'instant, estime-t-il. Davantage d'éditeurs se demandent en ce moment comment travailler avec les communautés Open Source. « Nous y voyons une opportunité à saisir pour faire avancer les choses », conclut Sam Ramji. Le succès de CodePlex reposera sur sa capacité à prendre son indépendance Le président de cette toute nouvelle fondation est assisté d'un bureau (par interim) de cinq directeurs parmi lesquels figurent notamment Shaun Walker, architecte du framework DotNetNuke, et Miguel de Icaza, le créateur de l'environnement Gnome et de Mono, adaptation de .Net à Linux. Les autres membres du bureau sont des collaborateurs de Microsoft. Ensemble, ils recherchent maintenant le directeur qui gérera les opérations au jour le jour. Le poste de directeur adjoint est pour l'instant occupé par Mark Stone, qui a notamment collaboré à VA Linux Systems (désormais SourceForge). Un bureau permanent de directeurs doit également être constitué. « L'indépendance que la fondation pourra conquérir vis-à-vis de Microsoft sera l'élément clé qui pourra décider les développeurs à la soutenir », a commenté Stephen O'Grady, analyste de RedMonk, à nos confrères d'IDG News Service. Par comparaison, il cite la fondation Eclipse qui a, elle aussi, commencé à exister en s'appuyant sur un éditeur, IBM en l'occurrence, mais qui a depuis été capable de fonctionner de façon indépendante, Big Blue lui conservant son soutien sans lui imposer de surveillance rapprochée. « Ce sera intéressant de voir quand CodePlex pourra acquérir une identité distincte de Microsoft », ajoute-t-il. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >