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(09/07/2009 15:45:53)
L'usage de C# dans Linux libéré par Microsoft
Ceux qui utilisent ou distribuent du code C# et son environnement d'exécution (la CLI) dans des programmes couverts par des licences libres n'ont désormais plus rien à craindre : Microsoft a indiqué que les spécifications de ses technologies, respectivement ECMA 334 et ECMA 335, sont maintenant couvertes par le programme « Community Promise ». Selon les termes de cette promesse, Microsoft s'engage à ne rien demander et à ne pas poursuivre ceux qui « conçoivent, utilisent, vendent, importent ou distribuent toute implémentation » basée sur les technologies couvertes par cette licence très particulière. Cette décision a été prise à la demande de Miguel de Icaza, le créateur de Mono, implémentation de la CLI et de C# pour Linux. Désormais employé de Novell, Miguel de Icaza voulait clarifier la situation pour les développeurs utilisant Mono. Récemment, le grand avocat du Libre Richard Stallman avait critiqué la décision des auteurs de Debian, qui proposait d'installer des applications conçues pour Gnome grâce à Mono (une des applications étant écrites en C#). Pour lui, « le logiciel libre ne doit pas dépendre de Mono ou de C# », ce serait prendre un trop gros risque, en s'exposant à des décisions arbitraires de la part de Microsoft, écrivait-il fin juin dans un billet de blog. La promesse faite par Microsoft élimine le danger autour de C#. Pour Mono, la situation est plus complexe, comme le reconnaît Miguel de Icaza, car cette implémentation de la technologie .Net de Microsoft va bien au-delà de C#. Le vice-président de Novell explique que les prochains mois seront consacrés à la scission du code source de Mono en deux distributions, l'une reprenant exclusivement les spécifications ECMA, l'autre incluant les implémentations diverses, comme celles d'ASP.Net ou d'ADO.Net. (...)
(09/07/2009 12:58:46)EMC met la main sur Data Domain à la barbe de NetApp
C'est la fin du feuilleton de l'été. Appâté par les 2,1 Md$ offerts en espèce par EMC, Data Domain aura attendu seulement trois jours pour tourner définitivement le dos à NetApp, alors qu'il lui avait formellement dit oui à la mi-mai. L'entêtement et la politique de surenchère de Joe Tucci, patron d'EMC, auront donc fini par payer. Cette pirouette de dernière minute coûtera 57 M$ au spécialiste de la déduplication de données pour frais de résiliation de l'accord, une bagatelle largement couverte par les 200 M$ de suppléments proposés par EMC (soit 33,50 $ par action). Dan Warmenhoven, PDG de NetApp, a officiellement renoncé à surenchérir, arguant que cette guerre finirait par diminuer l'aspect stratégique et les avantages financiers du rachat. Cette offre, a-t-il dit, était « essentiellement axée sur la création de valeur ajoutée pour les actionnaires ». Avec cette acquisition, EMC diversifie ses outils de déduplication (un secteur sur lequel il est positionné depuis le rachat d'Avamar, en novembre 2006), des outils traditionnellement orientés sur la préparation des données à la source et sur la réduction des besoins en bande passante. La technologie développée par Data Domain complète son offre, puisqu'elle permet d'éliminer les doublons également au niveau des cibles d'archivage, et donc de diminuer les besoins en espace de stockage. Les autres gagnants de cette transaction sont les actionnaires de Data Domain. Sans le moindre effort de sa part (hormis les refus répétés des avances d'EMC), l'éditeur conclut cette transaction avec une plus value de 600 M$, l'offre initialement proposée par NetApp étant de 1,5 Md$. (...)
(09/07/2009 10:44:53)Le G9+ se penche sur l'avenir des TIC à l'horizon de 2015
L'entité Prospective 2012 du G9+ a publié un livre blanc dans lequel elle émet une série de onze conseils pour aider l'industrie des TIC (SSII, opérateurs télécoms, éditeurs) à se développer à l'horizon de 2015 (les données utilisées ont été récoltées dans les 3 dernières années). L'association, qui réunit les anciens diplômés en TIC de grandes écoles françaises, a présenté cet ouvrage mercredi 1er juillet lors d'une conférence qui réunissait des DSI, des dirigeants de SSII, de Syntec Informatique, du Cigref et des analystes du cabinet d'études PAC (Pierre Audoin Consultants). Ce livre blanc rappelle que les industries TIC et leurs marchés représenteront à l'échelle mondiale plus de 2 500 Md€ à l'horizon 2015. L'écosystème français des TIC pèse de son côté plus de 150 Md€ de chiffre d'affaires et plus de 1,2 millions d'emplois (dont 60% de cadres). Le document souligne également que le secteur est le premier recruteur d'ingénieurs et de cadres dans l'Hexagone, avec 50 000 embauches en 2008, et que quelques groupes français apparaissent parmi les leaders mondiaux. Les SSII doivent se spécialiser, innover et se regrouper Le groupe Prospective 2012 souligne que le secteur des SSII est constitué de centaines d'entreprises employant entre 10 et 500 salariés et pas seulement de poids lourds. Le groupe de travail les encourage à « croire en leur avenir dans un monde économique qui évolue fortement ». Pour cela, elles doivent développer trois axes : investir dans la R&D et innover (dans les usages, les services et les technologies), privilégier la spécialisation métier (santé, sécurité civile, développement durable, transports...), et ce quelle que soit sa taille, et protéger leurs qualités propres, comme les relations de proximité avec les clients. Autre conseil publié dans le livre blanc, les petites et moyennes SSII doivent se regrouper si elles veulent éviter d'être avalées par les géants américains ou nippons. Comme toujours en période de crise, des leaders émergent alors que d'autres sociétés disparaissent. Le groupe Prospective enjoint les SSII à faciliter les restructurations en France, mais aussi à l'échelle européenne. Selon les participants de la table ronde, ces mouvements ne se feront pas avant 2010, voire 2011, le marché étant encore immobilisé dans un attentisme craintif. Elles subissent toutefois relativement bien la concurrence internationale puisqu'elles contrôlent 60% du marché français (contre 90% pour les opérateurs de télécommunication). L'accélération du SaaS et du cloud et le ralentissement de l'ERP « Les informations que nous avons analysées n'ont pas énormément changé avec la crise, explique Jean-François Perret, animateur du groupe et vice-président de PAC. La récession a essentiellement servi de catalyseur pour précipiter des tendances déjà en marche. » Des phénomènes comme l'industrialisation des services (un secteur qui génère 60% des revenus des SSII, soit trois fois plus qu'en 1980) et des technologies comme le SaaS, le cloud computing, le M2M (machine to machine), les applications 'x.0' (comme les réseaux sociaux) ou encore l'Internet mobile et les systèmes embarqués s'accélèrent. « Ces projets, prévus sur le long terme dans les entreprises, sont devenus des priorités à moyen terme voire à court terme », précise encore Jean-François Perret. Leur généralisation nécessite toutefois un effort de collaboration transverse de la part des acteurs IT (SSII, opérateurs, éditeurs), de manière à faciliter l'ouverture de nouvelles technologies et de nouveaux usages professionnels et domestiques. Bien positionnée sur le marché mondial de l'Open Source, la France est appelée à exploiter ses capacités en industrialisant une production qualifiée de « quasi artisanale » par le G9+. Toujours dans le logiciel, le groupe encourage les éditeurs à se concentrer sur deux autres secteurs : les applications développées pour les PME ainsi que les applications domestiques orientées jeux. La France excelle sur ce marché, mais il reste encore trop cantonné à l'univers de l'ordinateur et des consoles alors qu'il pourrait être déployé dans des applications au quotidien. D'autres secteurs en revanche ont tendance à ralentir, comme celui des ERP traditionnels ou l'externalisation. Même si l'offshore s'accapare toujours une partie du marché, il ne bénéficie plus du même engouement aveugle que les années précédentes. « Les entreprises sont à la recherche de modèles plus raisonnables, elles veulent améliorer leur rentabilité avec des solutions de proximité », relève Jean-François Perret chez PAC. Environ 250 personnes assistaient à la table ronde animée par 34 personnes et présidée par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. Le G9+ devrait publier une deuxième version de son livre blanc à l'automne prochain. (...)
(08/07/2009 17:17:51)Le Centre d'analyse stratégique imagine la société numérique de 2025
En 2025, les Français, lassés de l'insécurité régnant sur Internet, bouderont le réseau. A moins que, mus par une culture éco-citoyenne s'appuyant sur les TIC, ils embrassent largement la sphère du numérique et en font une part essentielle de la croissance. C'est sur ces hypothèses qu'a planché le Centre d'analyse stratégique à la demande de Nathalie Kosciusko-Morizet, pour aboutir à la remise, ce 8 juillet, d'un rapport intitulé 'la société et l'économie à l'aune de la révolution numérique'. Le document passe en revue six scenarios présentant l'état de la société numérique à l'horizon 2025, selon que des politiques publiques auront, ou non, été mises en place pour accompagner l'évolution de l'usage des technologies. Parmi les trois scenarios principaux, le premier est baptisé 'cloisonnement' et repose sur une extrapolation de la situation actuelle : situation macro-économique dégradée, fracture numérique importante et recours modéré aux TIC par toutes les composantes de la société. Plus sombre, le scenario qualifié 'Hypertoile omnipotente avec blocage sociétal' envisage un futur dans lequel très peu de règles encadrent le monde du numérique, contribuant ainsi à faire des TIC une jungle de moins en moins fréquentée par les citoyens et les entreprises, décrépitude qui s'illustre dans une croissance du PIB de seulement 1,3% par an. A l'inverse, le scenario de 'Renouveau' s'appuie sur les TIC placés au coeur de l'activité économique, avec une conscience écologique largement diffusée et des mécanismes de régulation internationale. Dans cette hypothèse, le PIB progresserait de 2% par an. Six leviers d'action « Rien ne dit qu'on va vers un développement harmonieux de la société numérique, souligne NKM. Mais, rien ne dit l'inverse. » En d'autres termes, la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique rappelle qu'il n'existe pas de déterminisme de la technologie, qu'il n'est « pas d'avenir donné, qui serait la conséquence de l'évolution de la technologie ». L'avenir n'étant que le fruit de politiques publiques et d'efforts de gouvernance, c'est sur ces deux voies que doivent s'orienter les pouvoirs publics pour tendre vers le scenario le plus optimiste élaboré par le Centre d'analyse stratégique. Ce dernier a entendu éclairer la lanterne de NKM en lui soumettant six leviers d'action à long et court terme, s'appuyant sur les acteurs privés et publics. Parmi les moyens d'action suggérés, le premier a trait à l'éducation et la formation. Les auteurs du rapport plaident pour la mise en place d'une politique d'enseignement qui permettrait à tous de maîtriser les outils numérique. A brève échéance, cela passe par le renforcement des TIC dans le système éducatif, non seulement pour les élèves mais aussi pour leurs enseignants. Autre piste : l'action au niveau européen. Seule, la France ne pourra jouer un rôle déterminant dans un monde numérique ; il convient donc d'organiser un marché européen unique des produits et des services numériques et d'accorder la priorité aux TIC dans l'Espace européen de la recherche. Des voies qui peuvent s'appuyer sur la création d'un small business act communautaire tourné vers l'innovation ou sur l'adaptation de la protection de la propriété intellectuelle aux exigences de l'économie numérique. De nombreuses propositions complètent cet aperçu, comme la recherche d'une gouvernance mondiale d'Internet pour accroître la confiance, ou le déploiement à grande échelle du très haut débit. Il est évidemment illusoire d'imaginer que toutes ces mesures soient mises en place, ni même qu'elles contribueront à concrétiser les promesses qu'elles portent. Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, ce rapport « très centré sur les usages [...] est un regard dynamique sur le monde du numérique en pleine effervescence », mais pas une pas une feuille de route. Si certaines propositions trouveront sans doute leur place dans les futures politiques publiques, nombreuses seront celles qui resteront à l'état d'idée. Ne serait-ce qu'en raison du temps nécessaire pour toutes les appliquer : « il faudrait plusieurs ministres du numérique pour les mettre en oeuvre », a glissé NKM. (...)
(08/07/2009 15:22:14)Le Portail des métiers de l'Internet voit le jour
Flasheur, e-marketer, net planer, etc. Autant d'intitulés de postes qui, nés avec l'avènement des TIC, restent sibyllins, voire totalement inconnus aux yeux de nombreuses entreprises, des pouvoirs publics et même de certains instituts de formation. Pour accompagner ces professions récentes, Nathalie Kosciusko-Morizet a dévoilé ce 8 juillet le Portail des métiers de l'Internet, un site Web conçu comme un vaste espace collaboratif destiné à décrypter ce que sont ces nouveaux postes, dont certains n'existaient pas il y a seulement un ou deux ans. In fine, ce portail, qui s'inscrit dans le cadre du plan France numérique 2012, a vocation à « servir de référence pour la communauté d'Internet », comme le souligne Bernard Benhamou, le délégué général aux Usages de l'Internet. Elaboré avec des professionnels de la formation et des entreprises du secteur des TIC, il permet aux internautes de consulter des fiches présentant des métiers et des formations répartis autour de douze grandes familles : gestion de projet, maîtrise d'ouvrage, éditorial, marketing et commerce, etc. La catégorie 'suivi Web', par exemple, contient des fiches présentant les métiers d'analyste de trafic et de responsable help desk. Pour chacun de ces postes, le portail propose un descriptif, plusieurs instituts dispensant des formations débouchant sur ces métiers, et des entreprises susceptibles d'embaucher des salariés les exerçant. Le portail des métiers de l'Internet ne prétend pas s'appuyer sur un contenu exhaustif. Au contraire, les internautes, entreprises et autres universités sont invités à enrichir la base de connaissances en détaillant les fiches déjà existantes, en suggérant de nouveaux métiers pas encore recensés, en présentant de nouvelles formations, etc. Au final, Nathalie Kosciusko-Morizet nourrit l'ambition de « fédérer un écosystème autour du portail et de contribuer à le rendre interopérable avec d'autres plateformes autour d'un langage commun : le référentiel ». Ainsi, la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique prévoit-elle déjà de faire du portail des métiers de l'Internet un élément incontournable du paysage de l'emploi dans les TIC, non seulement pour les recruteurs et leurs futurs salariés, mais aussi pour les grands services publics. Selon NKM, le portail doit devenir « la référence autour de laquelle s'agrègent les services de l'éducation nationale et de recherche d'emploi ». (...)
(08/07/2009 11:31:23)Plaidoyer pour une prise en compte du capital logiciel dans le bilan des entreprises
« Pour encourager la mise à niveau et la valorisation du 'patrimoine logiciel' des entreprises, nous proposons que les grands groupes soient tenus à publier, annuellement, à côté de leur bilan financier et de leur bilan RSE, un troisième bilan rendant compte de la gestion de leurs systèmes informatiques. » Dans une lettre adressée au président de la République, Pierre Bonnet, directeur du conseil d'Orchestra Networks, qui a fondé la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture), et Saïd Elinkichari, PDG du cabinet Générale Europe Consultants, demandent que la France plaide auprès de ses partenaires européens pour créer une agence de notation indépendante, qui serait chargée d'apprécier « l'intelligence logicielle » des entreprises. Envoyée fin mai, la lettre vient d'être publiée sur l'Observatoire de l'immatériel, un portail fondé par des dirigeants de l'IT française dont l'ambition est d'offrir aux entreprises « les informations, méthodes et outils qui leur permettront d'étudier et de valoriser leurs actifs immatériels ». Cette publication est un premier pas encourageant pour Pierre Bonnet, qui dit « faire du lobbying auprès de différents réseaux, dans la sphère informatique et au-delà ». Pour lui, en effet, omettre ces actifs immatériels dans le bilan des entreprises est un non-sens économique. La lettre ouverte stipule : « Opacité, obsolescence et complexité excessive des systèmes informatiques empêchent aujourd'hui nos plus grandes entreprises d'optimiser leur fonctionnement, de déployer de nouvelles activités, de gagner en agilité et de répondre rapidement à de nouvelles normes ou contraintes internationales. Cette situation est dangereuse : elle est source de fragilité et de risques pour les entreprises engagées dans la bataille de la mondialisation. » Or, poursuivent les auteurs, « les directions générales ont aujourd'hui du mal à saisir l'importance de ces enjeux. Elles considèrent, en effet, l'informatique comme un coût et non comme un actif. » Pour encourager les chefs d'entreprise à mieux considérer leur capital logiciel, Pierre Bonnet pense qu'il est indispensable de mettre le bilan informatique au même niveau que le bilan comptable et le bilan social. Et pour encourager la rénovation, Pierre Bonnet propose d'étendre le dispositif de crédit impôt recherche à la refonte des systèmes d'information : « Actuellement, le CIR permet en fait de financer les activités des éditeurs de logiciels. Orchestra Networks en profite, d'ailleurs. C'est bien. Mais si les entreprises en face n'ont pas de projet, n'achètent pas, l'offre ne rencontrera pas la demande. » Pour l'instant, le Cigref n'a pas encore appuyé la proposition. (...)
(08/07/2009 11:26:27)Fin de bêta pour Gmail et les Google Apps
Après 5 ans, Google a annoncé le mardi 7 juillet que son service de messagerie en ligne n'est plus à l'état de bêta. Google Agenda, Google Docs et Google Talk ont eux aussi été débarrassés de leur étiquette bêta mardi, alors que Google mettait à jour les éléments de sa suite GAPE (Google Apps Premier Edition) vers un statut 'produit fini'. Pour autant, produit fini ne veut pas dire développement terminé. « Vous continuerez à voir ces applications évoluer et se doter de nouvelles fonctionnalités, mais ces dernières seront testées de manière très approfondies avant d'être implémentées », précise Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. C'est au niveau entreprise que ce changement pourrait avoir le plus d'impact, l'étiquette bêta en refroidissant plus d'une. « Pour beaucoup trop d'entreprises intéressées commercialement par Gmail, la mention 'bêta' était comme un néon qui clignotait 'Amateur, amateur'... fait remarquer Matt Cain, analyste Gartner. Les entreprises ne veulent pas mettre les parties les plus critiques de leur communications sur un code bêta. Supprimer cette étiquette enlève l'un des plus gros obstacles qui empêchaient encore Google de s'attaquer aux entreprises. » Gmail et Google Agenda disposent depuis 6 mois d'un support hors-ligne, d'un accès BlackBerry, de l'intégration des listes de contacts et de la synchronisation avec le logiciel Outlook. D'un point de vue sécurité, l'acquisition de Postini en 2007 répond au besoin des entreprises. Google y ajoute aujourd'hui des fonctionnalités à but professionnel, telles que la réplication de messages. Dans les semaines à venir, il sera possible de déléguer son compte mail à des assistants, et de mettre en place des politiques de conservation de mails. Ces nouvelles fonctionnalités n'auront pas de conséquences sur le prix actuel de GAPE (50 dollars par utilisateur). « Bien qu'ayant commencé un peu lentement dans le marché de l'e-mail commercial, Google apprend vite et prend de l'inertie. Dans 2 ans, ça sera un vrai, crédible et agressif concurrent pour Microsoft et IBM », estime Matt Cain. (...)
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