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(05/06/2009 15:27:01)

CA Expo : coup de jeune sur les mainframes et cap sur le Lean IT

CA s'attelle à rajeunir l'image du mainframe pour attirer les jeunes talents vers ces environnements. La question est d'importance car une forte proportion des « mainframers » est sur le point de partir en retraite, alors que ces plateformes restent privilégiées pour les applications critiques. Sur CA Expo, qui a rassemblé hier, au Cnit de Paris-La Défense, les utilisateurs et partenaires de l'éditeur américain, celui-ci a déroulé sa stratégie Mainframe 2.0 annoncée fin 2008 à l'occasion de CA World. Son premier volet s'illustre par l'arrivée du logiciel Mainframe Software Management, dont l'interface graphique permet de s'affranchir des écrans noirs 3270. Cet outil va progressivement être intégré par CA à ses différents logiciels d'administration de systèmes. Il doit contribuer, en réduisant la complexité de gestion du mainframe, à faciliter le passage de témoin entre ancienne et nouvelle génération d'ingénieurs systèmes investis sur les environnements z/OS d'IBM. Dans les prochaines semaines, 45 applications mainframe de CA seront livrées avec le logiciel, sans surcoût. « L'objectif est d'arriver rapidement à 100 produits intégrant Mainframe Software Management », a précisé Patrick Bojko, directeur des ventes de solutions chez CA. De son côté, Réginald Harbeck, directeur produit pour la stratégie mainframe, a rappelé que CA supportait les nouvelles versions de z/OS le jour même de leur livraison par IBM, en égrenant au passage les qualités toujours d'actualité des mainframes : fiabilité, encombrement réduit comparé au service apporté, disponibilité maximale, optimisation de la consommation électrique, capacité d'héberger des centaines, voire des milliers de serveurs virtuels. Il a précisé que CA était prêt à supporter les plus récentes évolutions : processeurs zIIP, zAAP et IFL, Linux sur systèmes z, fonction HiperDispatch... et protocole IPv6, déjà utilisé par le gouvernement américain, l'un des clients de CA. « Lorsque vous y passerez, nous serons là. » Lean IT : supprimer l'inutile... [[page]] Sur CA Expo, le fournisseur a aussi mis l'accent sur le Lean IT, l'un des mots-clés de sa journée. Cette démarche vise à optimiser les processus de production de produits ou de services en les épurant de ce qui leur est inutile avec, en ligne de mire, un objectif d'une plus grande efficacité et donc de réduction des coûts. Pour l'éditeur, qui a lancé une offensive sur ce terrain en avril dernier, c'est l'occasion de rappeler à ses clients qu'il dispose au bas mot d'une dizaine d'applications oeuvrant dans le sens du 'Lean'. On les trouve réparties dans différentes gammes, tant gestion de la performance applicative que gestion des services, suivi des projets, gestion d'infrastructures et solutions de sécurité. La dernière version de CA Wily APM, par exemple, contribue à réduire les temps d'indisponibilité des applications critiques. L'éditeur cite aussi les nouvelles fonctions de CA Service Catalog qui permettent de rationaliser les transformations de processus. Toutefois, devoir acheter plusieurs produits pour atteindre la simplicité promise par la stratégie 'Lean' paraît antinomique : il y a encore du travail à faire de ce point de vue. Outre l'espace d'exposition et les sessions consacrées aux mainframes, une trentaine d'ateliers et conférences ont permis aux participants de CA Expo de faire un point sur les thèmes phares de l'éditeur, en particulier la gestion des identités et la gestion des infrastructures avec, cette année, un éclairage datacenter. Dans ce domaine, CA a annoncé hier l'acquisition d'une partie des logiciels de l'éditeur Cassatt Corporation. L'éditeur récupère ainsi une offre consacrée à l'automatisation et l'optimisation à base de règles des datacenters. (...)

(05/06/2009 12:57:35)

Goojet lève 6 M€ et lance sa deuxième version de widgets pour mobiles

Goojet, éditeur toulousain d'une application de personnalisation des interfaces mobiles, vient de lever 6 M€, fruits d'un deuxième tour de table auprès de ses investisseurs historiques, Elaia Partners, l'IRDI-ICSO et Partech International, rejoints par un nouveau, Orkos Capital, grand habitué des investissements dans des sociétés média et télécoms. En un an et demi, la startup a ainsi récolté 8,3 M€. Créé début 2007 par Marc Rougier, fondateur de Meiosys, un spécialiste de la virtualisation racheté en 2005 par IBM, et Ludovic Le Moan, fondateur d'Anyware Technologies (spécialiste des technologies mobiles et M2M revendu à Openwave), Goojet revendique 300 000 utilisateurs en France. La société (16 salariés) n'est pas encore rentable, mais espère le devenir à l'horizon de 2010. La levée de fonds lui servira à développer un modèle économique fondé sur trois piliers : l'intégration de services sponsorisés par des opérateurs mobiles (des accords sont en cours de discussion mais Goojet refuse de communiquer à ce sujet), des campagnes de publicité ciblée et l'ouverture d'un accès payant à certains services premium (pour le moment l'application est entièrement gratuite). Goojet compte également sur ce financement pour se développer à l'international, notamment en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne. L'application est téléchargeable sur plus de 500 terminaux mobiles différents (dont l'iPhone et le Blackberry) et elle est référencée par Android MarketPlace. Goojet propose à l'utilisateur de sélectionner une série de widgets - les 'goojets' - pour personnaliser son interface mobile plutôt que de se servir de celle proposée par les opérateurs. Les goojets sont à la fois des services Web (comme Twitter, FlickR, YouTube...), des mini applications et des services mobiles (conference call par exemple). La nouvelle version se divise en trois onglets : MyGoojet (qui regroupe les favoris de l'utilisateur), Messages et News, la partie sur laquelle la R&D de la société a le plus planché. Cet onglet regroupe les flux RSS, les activités des contacts, les recommandations de la communauté... Le profil est par ailleurs entièrement modifiable depuis le mobile, la version accessible par le Web a été simplifiée et un système de notification par SMS avertit l'utilisateur lorsqu'il a dépassé un certain nombre de messages non lus. (...)

(05/06/2009 12:34:20)

Forrester IT Forum : « Les DSI doivent nager dans les mêmes eaux que la génération Y »

Comment les directions informatiques des grandes entreprises peuvent-elles économiser de l'argent et minimiser les risques ? C'est à cette question que se sont efforcés de répondre cette semaine les analystes de Forrester Research pendant trois jours, à Berlin, en abordant les grands thèmes du moment, comme les technologies de 'cloud', la stratégie 'lean', le Green IT... ou les réseaux sociaux et le Web 2.0. En ouverture de cet IT Forum européen, et même si cela commence à faire un peu tarte à la crème, le PDG de Forrester n'a pas manqué de rappeler que la crise actuelle constitue aussi l'opportunité de prendre des décisions radicales. Des décisions censées propulser les entreprises à des kilomètres devant leurs concurrents dès que la récession aura pris fin. Mais des décisions qui demandent de rajeunir considérablement les points de vue sur le métier des entreprises, sur les nouvelles générations de clients et les nouvelles générations de collaborateurs. Pour George Colony, CEO de Forrester Research, les DSI et autres décideurs IT doivent considérer et agir sur six points clés. 1) Quelle que soit l'activité de l'entreprise, tout va désormais passer par l'informatique ; autrement dit, il faut que les DSI ne considèrent plus seulement l'IT, mais les BT (« business technologies »), ou comment les nouvelles technologies s'articulent dans une vision orientée business. 2) Le temps où les clients étaient fidèles à une marque est révolu. Aujourd'hui, l'attachement à une marque ou un produit passe par les outils sociaux ; il faut donc que les BT prennent en compte les réseaux sociaux et autres outils de type Web 2.0. 3) « Les nouvelles générations de clients vous paraîtront étrangères », a aussi prévenu George Colony, en faisant référence aux habitudes de la génération Y (les 'digital natives', âgés de 18 à 27 ans), née avec le numérique. Son conseil : nager dans les mêmes eaux. 4) La bataille pour les talents va faire rage, et pour attirer les jeunes, justement issus de cette génération Y, il faudra que les systèmes d'information et les nouveaux projets soient attractifs. 5) La façon de vendre à cette nouvelle génération va changer ; là encore, c'est au département informatique de prendre les devants, et de proposer des solutions adaptées au département marketing. 6) Enfin, la façon dont les entreprises innovaient jusqu'à présent change également. Aujourd'hui, l'innovation provient de la collaboration avec les partenaires et les clients (plus tard pendant la conférence, un analyste a cité le cas de Starbucks, qui fait plancher ses clients sur leurs boissons préférées au travers d'un site Web communautaire. L'industrie automobile américaine a souffert de ne pas avoir compris cela, a expliqué George Colony. Permettre cette collaboration avec l'extérieur est un impératif pour les DSI, a conclu le fondateur de Forrester Research. (...)

(05/06/2009 12:25:10)

L'Aden expose à NKM les priorités d'un New Deal numérique

Plaidant pour un « new deal numérique à la française » qui marquerait le « retour de l'Etat stratège », l'Aden, association d'acteurs IT et d'institutionnels, a déroulé quatre priorités nationales pour la mise en oeuvre de programmes stratégiques, dans une lettre ouverte remise mercredi 3 juin à Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique. La première de ces priorités confirme la nécessité de mettre en place les « piliers » d'une économie numérique performante par le déploiement d'infrastructures très haut débit fixes et mobiles, et par le développement des outils permettant de dématérialiser les échanges en confiance entre individus, entreprises et administrations. L'Aden propose aussi d'élaborer une charte du numérique durable avec l'ensemble des acteurs industriels, associatifs et institutionnels concernés et de favoriser l'interopérabilité des réseaux d'interconnexion au niveau européen sur la base de standards ouverts. La seconde priorité énoncée par l'Aden reprend l'un des thèmes phares de l'association puisqu'elle concerne l'accélération de la diffusion des TIC dans les PME par une intervention de l'Etat. Cette volonté n'est pas neuve et plusieurs rapports, missions (comme celle du député Jean-Paul Charié) ou plans gouvernementaux (Plan TIC & PME 2010, Passeport pour l'économie numérique) n'ont eu que des effets pratiques assez négligeables, alors même que cette diffusion est au coeur de la compétitivité des entreprises. La lettre de l'Aden est muette sur les moyens concrets à mettre en oeuvre en dehors de nouvelles incitations fiscales dont la pertinence budgétaire est discutable en ces temps de déficit, comme l'a rappelé ensuite la secrétaire d'Etat, pendant le dîner du cercle de l'économie numérique organisé par l'Aden mercredi soir. Une vision industrielle pour le développement numérique [[page]] Au troisième rang des priorités, l'association place les mesures destinées à favoriser la croissance des entreprises du secteur des TIC. Encore une fois, l'Aden se fait le relai de demandes d'incitations fiscales diverses, issues de nombre d'organisations sectorielles (Syntec Informatique, Afdel, Fieec, Fien, Alliance Rics, Afnet, Medef...). Lors du dîner, Jean Mounet, président du Syntec, a réclamé la déduction fiscale des développements informatiques dit « innovants » sur le modèle du Crédit Impôt Recherche. La secrétaire d'Etat lui a rappelé que c'était la troisième fois qu'elle lui disait publiquement non. Enfin, en quatrième priorité, l'Aden a placé le développement d'une politique industrielle nationale pour le développement numérique. Olivier Midière, président de l'association, a publiquement regretté la disparition et le discrédit du concept même de stratégie politique industrielle d'Etat depuis les années 1970. Dans la foulée des travaux des économistes Kondratieff et Schumpeter, qui n'ont toutefois pas été mentionnés, l'Aden souhaite identifier les opportunités de marchés liés aux nouveaux besoins, identifier les forces et faiblesses de l'industrie TIC nationale, sélectionner les marchés sur lesquels les firmes françaises sont les plus pertinentes et, enfin, favoriser l'émergence de champions français en s'appuyant sur une capacité reconnue de formation. Si la démarche a rencontré un succès certain à l'époque de Jean-Baptiste Colbert, l'expérience Bull devrait refroidir les ardeurs pour ce qui concerne les TIC : le constructeur français a dû son salut et son développement à la fin de toute implication de l'Etat dans son capital et sa stratégie. En réponse à la lettre ouverte de l'Aden, Nathalie Kosciusko-Morizet a vu dans cette démarche un encouragement à sa politique, notamment le plan France Numérique. Après avoir répondu sans détour à certaines questions, elle a dû se rendre rapidement à l'Assemblée Nationale qui étudiait une évolution de la législation sur le télétravail. Elle n'a ainsi pas pu répondre de la cohérence de ces belles paroles avec la mise en oeuvre actuelle d'une législation interneticide (Hadopi, Loppsi...). (...)

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