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(22/05/2009 10:44:31)

La numéro deux de Xerox prend la direction opérationnelle du constructeur

Chez Xerox, une femme succède à une autre femme au sommet de la société, avec le départ d'Anne Mulcahy, remplacée par Ursula Burns. Si Anne Mulcahy cède ses fonctions opérationnelles de PDG, elle conserve en revanche la présidence du conseil d'administration. Sa remplaçante, qui prendra ses nouvelles fonctions le 1er juillet, ne débarque pas en terrain inconnu. Elle travaille chez Xerox depuis 1980, où elle a géré diverses facettes de l'activité comme la gestion des chaînes de production, le marketing ou la R&D. En avril 2007, elle était nommée présidente du groupe. La direction opérationnelle dont elle hérite la place à la barre d'un navire en meilleure condition qu'il ne l'était en 2001, quand Anne Mulcahy était nommée à ce poste. Celle-ci a régulièrement été félicitée pour avoir redressé Xerox financièrement et contribué à lancer de nouvelles gammes de produits. C'est également elle qui a initié la création de Xerox Global Services, une division qui a généré 3,5 Md$ l'an passé. Ursula Burns pourra s'y appuyer pour endiguer la perte des revenus que connaît le groupe en raison de la récession, qui freine les entreprises dans leurs dépenses en équipement d'impression. Le mois dernier, Xerox a publié un chiffre d'affaires de 3,55 Md$, en baisse de 18% sur un an. En revanche, le bénéfice de 49 M$ contraste avec la perte de 244 M$ enregistrée à la même époque de 2008. Dans un effort de réduction des coûts, le groupe s'apprête à supprimer 3000 postes dans les six prochains mois. (...)

(20/05/2009 18:37:16)

Le moteur Kumo de Microsoft visible dès la semaine prochaine

Kumo, le nouveau moteur de recherche de Microsoft devrait faire ses premiers pas publics la semaine prochaine, à l'occasion de la conférence D : All Things Digital (du 26 au 28 mai prochain à San Diego). Ce moteur de recherche se veut une modernisation de Live Search, non seulement au niveau de l'affichage (sur une même page apparaissent des résultats sous forme de vidéo, de son ou de lien), mais également de la façon dont l'utilisateur formulera ses requêtes. Il devrait en effet bénéficier des avancées en recherche sémantique de Powerset recherche , achetée en juillet dernier. Testé depuis mars en interne, Kumo fait l'objet de tests depuis une semaine auprès d'un groupe restreint d'internautes, en dehors de Microsoft. Il sera surtout l'occasion pour Microsoft de rattraper son retard dans un domaine où il est largement distancé par Google (64,2 % de part de marché en avril aux États-Unis selon comScore) et Yahoo (20,4 % de part de marché). Son Live Search ne comptabilise que 8,2 % de part de marché. Les innovations récentes de Google, et Yahoo qui vient de présenter une manière de mieux classer les résultats (en incluant des extraits sonores ou vidéos pour illustrer un lien par exemple), risquent fort de compliquer la tâche de Microsoft. (...)

(20/05/2009 18:34:27)

Le gouvernement lance une consultation publique sur l'Internet du futur

Valérie Pécresse, Luc Chatel et Nathalie Kosciusko-Morizet (*) lancent une consultation publique en ligne sur l'Internet du futur ouverte jusqu'au 13 juillet 2009. Il s'agit d'ouvrir au plus grand nombre les questions qui se posent autour des évolutions d'Internet en France, en termes de technologie, d'usage et même d'organisation. Les sujets évoqués sont organisés en six thématiques : technologies du coeur de réseau, réseaux d'accès, réseaux spontanés, Internet des objets, contenus, usages et services. Les questions sont soit très pointues, soit très larges (« Pensez-vous que le thème de l'Internet du futur justifie la mise en place, en France, d'un 'pôle académique' de recherche de haut niveau consacré exclusivement à ce sujet et ayant vocation à fédérer les efforts français dans ce domaine ? ») et nécessitent clairement une connaissance du secteur. Les annexes qui accompagnent le questionnaire sont très détaillées mais également très techniques. « Le spectre des répondants est assez large néanmoins, nuance Pierre Bonis, conseiller technique au cabinet de NKM. Et il est certain que les spécialistes ou les chercheurs sont concernés directement. Mais nous acceptons aussi que l'on ne réponde qu'à deux ou trois questions. Des entreprises qui ne sont pas dans le secteur mais ont un intérêt dans tel ou tel sujet peuvent donner leur point de vue, par exemple. » Cette consultation doit permettre de remonter des informations et les sujets d'intérêts des internautes. Mais c'est aussi un moyen de jauger l'intérêt du public pour ces sujets. Enfin, si rien n'est encore figé sur ce plan, Pierre Bonis confirme que les résultats pourraient servir aussi bien à définir des mesures d'accompagnement des entreprises par exemple en formation pour le passage à IPv6 qu'à une réorganisation des pôles associés à la recherche sur les thématiques étudiées, ou à de nouveaux types de financement de la R&D. A suivre ! (*) Respectivement, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, secrétaire d'état auprès du ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargé de l'industrie et de la consommation, et secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée de la Prospective et du développement de l'Economie numérique. A noter d'ailleurs que Nathalie Kosciusko-Morizet interviendra lors du Forum Green IT organisé le 26 mai prochain par LeMondeInformatique.fr. (...)

(20/05/2009 18:14:17)

Orange parie un pan de son avenir sur l'activité M2M

Orange a décidé d'ouvrir un centre exclusivement réservé à ses activités de M2M (machine to machine). Situé à Bruxelles, il s'appuiera sur l'entité belge Mobistar de l'opérateur. Il s'agit pour Orange de développer un marché qu'il considère comme essentiel pour son avenir. Le M2M regroupe toutes les technologies qui permettent à des objets de communiquer entre eux, avec ou sans fil, à distance et en temps réel. Orange avait déjà lancé une 'business unit' sur ces technologies en France dès 2005 avant de racheter Silicomp en 2006 et Data & Mobiles l'an dernier. Aujourd'hui il compte sur son nouveau centre pour développer l'activité. L'entité M2M sera au service des forces de vente d'Orange, « depuis l'avant-vente jusqu'à la signature du contrat et à la livraison du service dans les 29 pays dans lequel l'opérateur est présent et au delà ». Deux autres objectifs sont au programme du centre annoncé hier : la mise au point de la carte SIM renforcée qu'attendent les applications de M2M et la participation aux organismes de standardisation associés à cette technologie. Ainsi, Orange préside-t-il l'ETSI (European telecommunications standards institute), une initiative qui existe depuis un an et a justement pour mission la définition d'une carte SIM dédiée. Celle-ci devra avoir une durée de vie plus longue. Dans les compteurs électriques intelligents, par exemple, il n'est pas possible de changer la carte trop souvent. Le passage de 20 000 cycles de traitement par carte environ aujourd'hui à quelque 50 000 cycles devrait permettre d'atteindre une durée de vie de 10 ans. Bien sûr, ces cartes SIM devront aussi fonctionner dans des environnements dits hostiles comme une automobile ou un milieu humide voire aquatique. Orange travaille aussi au sein de Wavenis sur la comparaison de technologies radio basse consommation plus adaptées à ces développements. Enfin, au sein du GS1, un autre organisme de standardisation, il étudie une définition plus ouverte du routage des communications entre les objets. « Nous voulons devenir le leader mondial du M2M » Orange considère le M2M comme indispensable à sa stratégie. Outre le caractère prometteur du marché (IDC prédit des croissances entre 8,9 et 16,5% des matériels, communications et services associés au domaine), l'opérateur pense disposer de trois des clés principales pour se positionner dans le domaine. « IPv6, les technologies radio, les cartes SIM, tout cela c'est notre métier, insiste Barbara Dalibard, directeur exécutif d'Orange Business Services. Et grâce à cela, même si nous ne sommes pas dans le business du matériel, nous voulons devenir le leader mondial du M2M. » L'opérateur dit ainsi être le premier acteur à avoir mis sur le marché une offre commerciale IPv6 mondiale. Contrairement au protocole Internet actuel IPv4, qui atteint ses limites aujourd'hui en nombre d'adresses possibles, la nouvelle version assure un adressage pour un nombre d'objets quasiment illimité ; il est donc indispensable au déploiement du machine to machine. Orange s'attèle aussi à la connectivité entre fixe et mobile qui assure la continuité de service du M2M et au temps réel. Le développement durable, moteur incontestable du M2M [[page]] A noter qu'il est un besoin en vogue qui tire le M2M aujourd'hui : le développement durable. La gestion des ressources comme l'électricité ou l'eau par exemple passe systématiquement par l'installation de capteurs capables de relever la consommation, mais aussi d'échanger entre eux ou avec un système central, voire d'agir ensuite pour réguler la consommation. Le compteur électrique intelligent est l'exemple le plus concret. Il réalise des relevés sans intervention humaine, et les transmet à un système central. Chez Primagaz, la télémesure évite l'émission de 48 tonnes de CO2 par an Certaines communes testent aussi des éclairages reliés à des capteurs de présence. Une partie des lampadaires de rue restent éteints la nuit tombée mais s'allument au passage d'un promeneur ou d'un camion. Les informations sur la consommation sont par ailleurs récoltées pour être analysées là-encore dans un système central. Orange a par exemple équipé les citernes de Primagaz de systèmes de télémesure sur 3 400 sites différents des clients de l'entreprise. Tous les matins, l'opérateur en charge de la logistique vérifie le niveau de toutes ces citernes et définit ainsi précisément la tournée des intervenants. Résultat : en 2009, Primagaz devrait éviter un total de 80 000 km de trajet et par conséquent, l'émission de 48 tonnes de CO2. Enfin, l'application la plus mûre, elle aussi porteuse par ricochet de protection de l'environnement, est la gestion de flottes de véhicules. Ces derniers sont équipés de puces capables d'échanger des données concernant entre autres leur trajet au système d'information. Orange dit être l'un des trois premiers sur ce marché en France. De nombreux acteurs travaillent depuis longtemps sur le M2M. Et les opérateurs n'en sont pas les pionniers. Les industriels fabricants de puces et d'environnements embarqués, mais aussi les industriels utilisateurs comme les constructeurs automobiles par exemple. Orange a conclu des partenariats avec certains et travaille sur ces sujets avec quatre pôles de compétitivité : System@tic pour les systèmes embarqués en Ile de France, Minalogic pour l'embarqué et les nanotechnologies en Rhône Alpes, Tenerrdis pour les énergies renouvelables en Rhône Alpes également et SCS pour les solutions communicantes sécurisées en PACA. (...)

(20/05/2009 17:29:30)

Microsoft et la Linux Foundation luttent côte à côte contre la garantie des logiciels

Le 19 mai, l'American Law Institute (ALI) a adopté une position de principe sur les garanties contractuelles des logiciels qui contrarie grandement Microsoft et la Linux Foundation. L'éditeur et l'organisme défenseur de l'Open Source avaient même pris soin, quelques jours avant le vote de l'ALI, de signer une lettre ouverte commune dénonçant les conséquences de cette position et invitant l'ALI à en discuter avec eux. Institution respectée, composée de juristes et d'universitaires américains, l'ALI travaille à la clarification de sujets juridiques, afin d'aider les juges à prendre leurs décisions. En l'espèce, l'American Law Institute se penche sur le sujet de la garantie des logiciels depuis 2004, et vient d'aboutir à un document qui, selon Microsoft et la Linux Foundation, crée plus d'incertitudes qu'il n'en résout. Le document stipule en effet que l'éditeur d'un logiciel ne peut s'exonérer de garantir le logiciel en cas de défaut, ce qui est actuellement la coutume : dans les fameux paragraphes « disclaimers » des licences, il est généralement dit que le logiciel est livré « as is », tel quel. Toujours selon les principes de l'ALI, les logiciels obtenus gratuitement seraient exclus de cette disposition, ce qui ne rassure guère les acteurs du logiciel libre. L'OSI (Open Source Initiative) et la Linux Foundation avaient déjà critiqué cette façon de voir les choses, car cela n'exclut pas totalement les logiciels Open Source : quid des logiciels libres livrés sur un support payant, arguent par exemple les signataires de la lettre ouverte. De la flexibilité pour ne pas entraver le marché Pour Microsoft et la Linux Foundation, le texte de l'ALI est dangereux car il pourrait « faire dérailler un marché qui fonctionne bien, accroître l'incertitude pour les développeurs de logiciels et augmenter les risques de contentieux ». Pour eux, il vaudrait mieux laisser au marché une certaine flexibilité. « Les licences logicielles et les modèles économiques évoluent constamment - certaines sociétés font payer leurs logiciels, d'autres facturent les services et le support, d'autres encore comptent sur les revenus de la publicité. Un cadre juridique statique - qui supposerait par exemple que tous les logiciels seront livrés en boîte plutôt que via Internet - deviendrait rapidement obsolète. [...] Les deux parties [client et fournisseur, NDLR] devraient pouvoir choisir ce qui leur convient le mieux, dans la mesure où ils connaissent le cadre de leur transaction. » En Europe, c'est actuellement la commissaire européenne chargée de la consommation qui réfléchit au fait de doter les logiciels d'une garantie de deux ans. (...)

(20/05/2009 17:11:07)

Encore en baisse au T2, HP prévoit 6 400 suppressions de poste de plus

HP continue l'année 2009 à la baisse. Et sans la prise en compte d'EDS, racheté l'été dernier, HP aurait vécu un deuxième trimestre bien pire. En fait, le CA baisse de 3% et le résultat net de 17%. Dans la foulée de ces mauvais résultats, dont l'annonce a poussé l'action à la baisse, le groupe a annoncé la suppression de 6 400 emplois supplémentaires. Cette réduction s'ajoute aux 25 000 suppressions de postes dans le cadre de l'intégration d'EDS à HP. Sur le continent américain, HP a vu son CA augmenter de 9% (44% du CA). Mais l'activité en Europe (39% du CA total) a baissé de 11%. Mark Hurd, PDG du groupe, affirme ne pas voir d'embellie à l'horizon. D'où des prévisions très conservatrices pour le troisième trimestre. Il anticipe un CA stagnant, voire en baisse légère. Les perspectives de CA annuelles sont aussi en berne (- 4 à 5% de CA). Ce trimestre, ce sont encore les activités centrées autour du matériel qui affichent les plus mauvais résultats. Sur l'ensemble de ses divisions, HP constate une baisse du CA plus nette sur les produits professionnels que sur ceux destinés au grand public. Les services sauvent la mise Sous l'effet de l'intégration d'EDS, l'activité services d'HP voit son CA bondir de 99%. HP se garde bien de communiquer des chiffres à périmètre comparable. L'activité service représente désormais 31% du CA total d'HP et, grâce à une marge de 13,8%, génère plus de 38% de son résultat opérationnel. L'impression reste la vache à lait Même si la division impression affiche une très nette baisse d'activité (-22%), elle contribue à hauteur de 21% au CA total. 69% de son activité en provenance de la vente de consommable propriétaire lui permet d'afficher une marge record de 18% et de contribuer à hauteur de 35% au résultat opérationnel. La division entreprise sauvée par le stockage La division entreprise, qui regroupe tous les types de serveurs commercialisés par HP et ses systèmes de stockage, enregistre la plus forte baisse d'activité (-27%). Sur fond d'une marge en nette baisse à 7%, son résultat opérationnel s'effondre de plus de 61%. Si cette division contribue à hauteur de 12% au CA total, elle n'apporte que 8% au résultat opérationnel. L'activité centrée sur les serveurs X64, qui génère un quart du CA de cette division, a enregistré une baisse d'activité de 29%. A noter que les serveurs lames ne subissent qu'une baisse de 12% de leur CA. Le stockage, qui représente 57% du CA de cette division, enregistre la baisse de CA la moins importante (-22%). L'informatique personnelle sauvée par les portables La division systèmes personnels enregistre une baisse de près de 19% de son CA alors que le volume des livraisons reste étal. Les portables, qui pèsent 57% du CA de la division, enregistrent une baisse de CA de 13% malgré une hausse de 14% des livraisons. Côté PC de bureau, c'est la chute sur les deux tableaux : -24% du CA et -13% des livraisons. Cette division, qui représente 30% du CA total du groupe, ne contribue qu'à hauteur de 12% à son résultat opérationnel en raison d'une marge de moins de 5%. Le logiciel baisse mais pèse davantage dans le résultat opérationnel Quant à l'activité logiciel, si son CA en baisse de 15% pèse moins de 4% du CA total, elle voit, grâce à une marge de 17,8%, son résultat opérationnel progresser de 51%. Ce qui porte sa contribution au résultat opérationnel total à 5%. (...)

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