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(15/05/2009 17:37:15)

Les patrons de l'IT française face à la crise #4: Jean-Louis Henriot, PDG et fondateur de Lascom

Des bases solides, des capacités d'anticipation et d'adaptation. Telles sont les éléments sur lesquels l'éditeur de PLM, Lascom bâtit sa résistance à la crise. Jean-Louis Henriot, qui a fondé l'éditeur il y a plus de 20 ans, s'est préparé avec ses équipes dès le mois de septembre 2008. Malgré un carnet de commandes bien rempli et un premier trimestre positif, il a pris plusieurs dispositions pour ne pas subir le vent de face. Nous vous proposons de rencontrer Jean-Louis Henriot dans le cadre de notre série d'entretiens vidéos de patrons français de l'IT (Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software, Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet, Bertrand Diard, CEO et cofondateur de Talend) afin qu'il nous détaille sa stratégie. Il nous explique comment il développe des projets simples et ajuste ses tarifs pour ne pas perdre les clients ou comment il resserre sa politique de ressources humaines pour cette année. Lascom vend des logiciels de PLM (Product lifecycle management) qui ont la particularité de ne pas contenir d'outil de CAO et de s'appuyer sur la gestion de processus. Il s'est distingué de ses concurrents très tôt en abordant des marchés comme l'agro-alimentaire ou le bâtiment, dans lesquels il n'est nul besoin d'outils « auteurs » mais où, pour autant, les informations produits nécessitent une gestion pointue. La recette d'un yaourt peut parfois être aussi complexe que la description d'une pièce de mécanique... Lascom se situe juste à la 51e place du classement Truffle des 100 premiers. La vidéo de 7 minutes est à voir ici. (...)

(15/05/2009 17:23:29)

Les plateformes de virtualisation représentent près de 20% des serveurs livrés

En 2008, le nombre de serveurs livrés en Europe pour servir de plateforme de virtualisation a augmenté de 26,5% en 2008, affirme IDC, pour atteindre le chiffre de 358 000 unités, soit plus de 18% des livraisons totales (19,5 millions). En 2007, les serveurs destinés à la virtualisation ne représentaient que 14,6% des livraisons. En 2010, IDC estime que ce taux devrait atteindre 21%. Sachant que les dépenses en serveurs baissent mais que chacun peut faire tourner plusieurs VM (machines virtuelles), IDC pense que dès cette année, on comptera 10% de plus de VM que de serveurs physiques livrés. C'est, bien sûr, le développement de la virtualisation sur l'architecture X64 qui explique cette forte accélération. IDC souligne que l'accroissement du parc virtualisé entraîne la nécessité de s'équiper en outils d'administration adéquats. Sans une gestion précise, la virtualisation peut entraîner une dangereuse prolifération ("sprawling") des VM. Les directions informatiques risquent de perdre le contrôle de leur création et de leur utilisation. La virtualisation a aussi des conséquences sur la répartition des rôles et des tâches au sein des équipes informatiques. Les barrières physiques disparaissant, les responsables des différentes activités (administration, gestion des serveurs, du réseau et du stockage) doivent ré-inventer des organisations et des méthodes de travail adaptées. IDC constate aussi que les fournisseurs, conscients que la virtualisation va entraîner une diminution relative du nombre de machines vendues, révisent leur stratégie en conséquence afin de trouver d'autres sources de revenus. (...)

(15/05/2009 17:02:21)

WWDC sans Steve Jobs, mais avec l'iPhone ?

C'est officiel ! Steve Jobs ne fera pas son retour à la tête d'Apple à l'occasion de la WWDC (Worldwide Developer Conference). Apple vient d'annoncer que ce sera Philip Schiller, directeur marketing de la société, qui présentera le keynote d'ouverture le lundi 8 juin. Du coup, les rumeurs vont bon train et les analystes révisent leurs attentes à la baisse. La société ne parlant, dans son communiqué de presse officiel, que de nouveautés logicielles (Snow Leopard et iPhone OS 3.0), Gene Munster, analyste chez Piper Jaffray, précise qu'il ne s'attend pas à une annonce matérielle à cette occasion. Surtout pas à l'annonce d'un nouveau modèle d'iPhone. Il préfère parier sur une annonce dédiée fin juin ou début juillet pour coïncider avec le retour de Steve Jobs aux commandes. Pour Gene Munster, cette conférence serait l'occasion de présenter non pas un mais différents iPhone pour couvrir toute la gamme des téléphones : des iPhone d'entrée de gamme pour contrer les modèles de smartphones peu chers dédiés entre autres au marché chinois, et des modèles haut de gamme améliorant les capacités du modèle actuel. Étant donné que les nouveaux modèles - téléphones ou ordinateurs - devront pouvoir tirer parti des nouveautés logicielles annoncées lors de la WWDC, cette absence probable d'annonce matérielle semble logique. D'un autre côté, Apple a toujours eu tendance à prendre les rumeurs à contre-courant. Qui sait, la WWDC sera peut-être l'occasion de découvrir un « tablet Mac » ? (...)

(15/05/2009 16:54:18)

Sapphire : Hasso Plattner prône le stockage vertical et en mémoire

L'information au bout des doigts. SAP, comme les autres, l'avait promis. Au final, les doigts doivent patienter des minutes voire des heures pour obtenir l'information. Hasso Plattner, cofondateur de SAP et président du conseil d'administration, l'a reconnu lors de son intervention à la conférence Sapphire de l'éditeur allemand à Orlando, le 13 mai dernier. Mais il a fait une promesse : si les bonnes technologies sont adoptées d'ici 18 à 24 mois, le patron d'une entreprise de la taille de SAP devrait pouvoir accéder à n'importe quelle donnée du progiciel en moins d'une seconde. Trois piliers technologiques sont nécessaires pour parvenir à ce résultat, selon Hasso Plattner : le multicoeur (et des applications parallélisées), des bases de données en mémoire et du stockage en colonne. Le docteur Plattner a fait précéder son intervention d'une série d'affirmations interpellant l'auditoire (voir en encadré ci-dessous). Son but était de pointer le fait que la puissance de calcul continue d'augmenter, mais que cette puissance est gâchée, du fait de solutions de stockage totalement inadaptées. Le stockage en colonnes, ignoré par tous - « y compris par SAP » Comme Hasso Plattner ne peut guère intervenir sur les supports de stockage, il a fait part d'une expérience menée avec des étudiants d'une faculté scientifique allemande sur la façon de ranger les données en base et d'y accéder. Hasso Plattner a ainsi découvert une technologie « qui existe depuis 15 ans, mais que les éditeurs comme SAP ont ignorée jusque là », le stockage en colonne (ou stockage vertical). Cette technique, mise en oeuvre par quelques bases spécialisées comme Sybase IQ ou Vertica, consiste à accéder aux données par colonnes et non par lignes. Selon les experts du domaine, cette méthode accélère grandement les accès lorsqu'il s'agit de lire les données. C'est pourquoi Sybase l'a implémentée, par exemple, dans sa base destinée aux solutions décisionnelles, ou pourquoi Google s'en est inspiré pour concevoir sa base BigTable qui stocke les éléments de ses pages Web. Vu le taux de compression du stockage vertical, tout peut tenir en mémoire [[page]] En outre, a indiqué Hasso Plattner, le stockage vertical affiche « des taux de compression 10 fois supérieurs à ceux du stockage traditionnel ». Sachant qu'une carte-mère actuelle peut accueillir jusqu'à 144 Go de RAM, « et que cela devrait monter à un demi-téraoctet dans 18 mois », cela ouvre des perspectives intéressantes pour monter toute une base de données en mémoire vive. En revanche, le stockage vertical donne des résultats bien moins bons lorsqu'il s'agit de mettre les données à jour, c'est pourquoi - malgré les rodomontades du fondateur de Vertica, Michael Stonebraker - il n'est pas utilisé pour les applications transactionnelles. Dès lors, les données de production doivent passer par le filtre de l'ETL pour alimenter un entrepôt de données qui servira de support à des applications analytiques ; autant dire, a expliqué Hasso Plattner, que l'information date un peu quand on la présente sous une forme lisible au dirigeant de l'entreprise. Un accès dans la seconde à toute donnée dans 250 millions d'enregistrements Avec son équipe universitaire, Hasso Plattner a décidé de passer outre les traditionnelles objections. « Nous avons étudié les solutions dont on disait qu'elles ne marcheraient jamais. » Au final, ils ont abouti à un prototype dont la démonstration sur scène était plutôt bluffante : une interface Excel 2007 couplée au système de recherches de données T-REX, de SAP, et à une variante - développée pour l'occasion - du langage de requête SQL, permettait d'accéder dans la seconde à des données de production (une base empruntée à un gros client, totalisant 250 millions d'enregistrements). Pour parvenir à ce résultat, Hasso Plattner est parti du principe que les bases transactionnelles avaient rarement besoin de mettre des données à jour : « dans 15% des cas pour les applications de prise de commande, dans 5 à 10% des cas pour les applications financières ». Du coup, la chose peut être réglée grâce à des insertions, ce qui permet de ne jamais verrouiller la base. Parmi les autres avantages, le stockage vertical élimine la nécessité de réaliser des agrégats (sous-ensembles présélectionnés de la base), et élimine aussi la redondance des informations : reprenant des champs couramment dupliqués, Hasso Plattner a expliqué qu'il y a un nombre limité de pays, de devises... ou de sexes. Au final, la base s'en trouve réduite d'un facteur 20. Arguant bien du fait qu'il n'est pas un dirigeant exécutif de SAP, Hasso Plattner s'est refusé à prendre tout engagement sur la transformation de ce prototype en produit. Il espère bien néanmoins pouvoir revenir sur scène dans un an avec un projet mené cette fois par la R&D de SAP. (...)

(15/05/2009 14:57:16)

L'Open Database Alliance veut fédérer les énergies autour de MySQL

A l'initiative de Monty Widenius, l'un des fondateurs de MySQL, l'Open Database Alliance (ODA) vient de voir le jour. Alors que MySQL se retrouve dans giron d'Oracle à l'occasion du rachat de Sun Microsystems, cette association à l'ambition de devenir un lieu d'échange pour tous les acteurs gravitant dans l'écosystème de la base données en Open Source. ODA veut ainsi faciliter la coordination des développements et des évolutions autour de ce SGBD. A l'initiative de la création d'ODA, on trouve deux sociétés. D'une part, Monty Program ab, spécialiste de l'ingénierie sur MySQL, qui développe MariaDB, une variante libre de MySQL. D'autre part, Percona, société fondée par Monty Widenius qui propose des prestations de service et de support sur MySQL. (...)

(15/05/2009 14:40:42)

IBM analyse en temps réel les flux de données avec System S

IBM vient d'annoncer la disponibilité de son logiciel System S, conçu pour analyser en temps réel de très importants flux de données simultanés. Ce produit est issu de cinq années de recherche et développement mené notamment par le centre de R&D T.J. Watson et de technologies reposant sur quelque 200 brevets déposés par Big Blue. Il a été présenté le 13 mai dernier lors du rendez-vous annuel d'IBM avec ses investisseurs. A cette occasion, Big Blue a également annoncé l'ouverture d'un centre européen de 'stream computing', à Dublin. Celui-ci couvrira la recherche, le support des clients et les tests avancés. System S met en oeuvre des algorithmes spécifiques pour analyser en continu « des centaines ou des milliers de flux simultanés, souligne IBM, provenant de sources multiples (cotations boursières, ventes au détail, bulletins météorologiques) afin de prendre des décisions en une fraction de seconde ». Des principes qui s'apparentent à ceux du CEP (complex event processing), traitement d'événements complexes, utilisé notamment dans les secteurs financiers et industriels. Un domaine dans lequel IBM a notamment acquis en janvier 2008 l'éditeur Aptsoft, s'octroyant la quatrième place de ce petit marché prometteur. Comprendre la météorologie spatiale ou les écosystèmes marins fragiles IBM System S est déjà installé chez certains clients. IBM cite en exemple l'Université Uppsala et l'Institut suédois de physique spatiale qui utilisent le logiciel pour mieux comprendre la météorologie spatiale qui peut influencer la transmission d'énergie et les communications (radio, signal TV, satellites...). L'Institut de la Marine irlandais prévoit d'utiliser System S pour mieux comprendre les écosystèmes marins fragiles. IBM conduit également des tests avec l'Institut de technologie de l'Université d'Ontario (UOIT) pour déterminer comment System S peut aider les médecins à détecter les changements imperceptibles intervenant dans l'état des grands prématurés. (...)

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