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(13/05/2009 17:46:07)
Oracle s'offre Virtual Iron
C'était dans l'air. Oracle vient d'annoncer le rachat de Virtual Iron, le dernier des spécialistes indépendants de l'hyperviseur. Cette acquisition, dont le montant reste confidentiel, confirme qu'Oracle, indépendamment de son rachat de Sun, voit dans l'hypervision un moyen d'accroître son indépendance vis-à-vis des fournisseurs de systèmes d'exploitation. Dans un monde où plus de neuf serveurs sur dix reposent sur l'architecture X64, le géant californien devrait utiliser la virtualisation pour s'émanciper de Windows Server, le principal OS sur ce type de machines. L'éditeur s'étant déjà positionné depuis deux ans sur le marché Linux en proposant un clone de RHEL, tout comme l'hyperviseur maison Oracle VM, Virtual Iron utilise la technologie de Xen. Sa dernière version, baptisée Extended Enterprise Edition 4.5, n'a pas grand-chose à envier aux autres itérations de Xen en terme d'administration et de gestion des machines virtuelles. Virtual Iron a bénéficié de 65 M$ de capital-risque. Il revendique 2000 clients, essentiellement des PME-PMI américaines, qu'il touche au travers d'un réseau de distribution. En France, les principaux distributeurs de Virtual Iron sont au nombre de trois : Realisations Microelectroniques et Informatiques SA (RMI), en Meurthe et Moselle, Tryade, en Loire-Atlantique, et, en région parisienne, Non Stop Systems.
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Hadopi : le Sénat met un point final à l'examen parlementaire de la loi
Les sénateurs ne sont pas contrariants. Alors qu'il avait fallu une bonne cinquantaine d'heures de débats pour que les députés achèvent, après deux lectures, leur examen du projet de loi Création et Internet, les élus de la chambre haute n'ont eu besoin que d'une matinée pour approuver le texte. Déjà, lors de la première lecture, les édiles du Palais du Luxembourg s'étaient montrés conciliants en votant le projet comme un seul homme à l'issue de débats tranquilles. Le second passage de la loi devant l'institution, ce mercredi, aura été une simple formalité, les élus s'étant contentés de déposer six amendements, rapidement rejetés. Au final, 189 sénateurs ont voté en faveur du projet de loi dans des termes identiques à ceux approuvés hier par l'Assemblée nationale. Les élus du groupe socialiste (formé de membres du PS et des Verts), qui avaient joint leurs suffrages à ceux de la majorité lors de la première lecture, se sont, cette fois, abstenus, à l'exception de six d'entre eux. Une poignée d'autres sénateurs frondeurs a entaché le bel unisson de la chambre, portant le total des votes contre le projet de loi à 14. Le Conseil constitutionnel saisi par les députés socialistes En dépit de ces voix discordantes, le Sénat pave la voie à une application très rapide des mesures prévues par le texte, riposte graduée en tête. En effet, en prenant soin de ne pas modifier la version adoptée par les députés, les sénateurs évitent au projet de loi de reprendre la navette parlementaire. La promulgation de la loi, qui la rend exécutoire, n'est donc désormais plus qu'une question de semaines : seule la saisine du Conseil constitutionnel, d'ores et déjà annoncée par les députés socialistes, s'élève encore comme un obstacle face au texte tant décrié. La mise en oeuvre des mesures les plus critiquées prévues par la loi - suspension de l'abonnement, double peine, installation de logiciels mouchards, recours non suspensif - tient donc aux conclusions que rendront les Sages dans le mois qui suivra leur saisine. S'ils déclarent une disposition inconstitutionnelle, elle sera simplement abrogée. Plus tard, peut-être, le travail du législateur européen pourra également s'ériger en rempart contre la loi Création et Internet. Plusieurs conditions devront cependant être réunies : l'amendement 138 au Paquet Télécoms devra avoir été approuvé par le Parlement et le Conseil européens afin de se muer en directive prenant le pas sur les législations des Etats membres. Cet amendement, qui condamne en substance la suspension de l'abonnement à Internet par une simple autorité administrative, vise en réalité à prévenir toute atteinte aux droits fondamentaux. Pour qu'il ait une valeur contraignante, il faudra donc que l'accès à Internet acquière, soit par la voie jurisprudentielle, soit par un levier législatif, la valeur de droit fondamental. (...)
(13/05/2009 16:32:00)Oracle s'entr'ouvre aux hyperviseurs tiers
Oracle a, très discrètement, adouci son attitude vis-à-vis des hyperviseurs concurrents du sien, selon le Burton Group qui cite l'éditeur. Le cabinet fonde son constat sur une mise à jour sur le site de support d'Oracle. Mais, seuls les clients de l'éditeur qui disposent d'un droit d'accès peuvent le consulter. Selon Burton Group, Oracle admet que son PGI (ERP) E-Business Suite, versions 11i et R12, porté sur un environnement virtualisé concurrent (VMware ESX, Microsoft Hyper-V, etc.) est désormais "supporté", mais pas "certifié". Oracle s'explique : en cas de problème sur une plateforme virtualisée, ses équipes de support tenteront de le reproduire sur une plateforme physique afin d'aider les clients à résoudre leurs difficultés. Si le problème n'est pas résolu -c'est-à-dire si Oracle met en cause la plateforme de virtualisation - le client devra alors se tourner vers le fournisseur de son hyperviseur. Les optimistes peuvent considérer cette annonce d'Oracle comme un premier pas vers une politique de licence équitable qui prendra en compte les processeurs virtuels pour toutes ses applications. Les pessimistes ne peuvent que constater que le SGBD proprement dit d'Oracle n'est pas concerné par ce signe d'ouverture et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir. Le rachat de Sun, et de ses technologies de virtualisation, n'indique pas cette direction. Pas plus que la toute récente absorption de Virtual Iron.
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En moyenne, un administrateur gère près de 80 machines virtuelles
Combien de machines virtuelles un administrateur système est-il capable de gérer ? En ces temps de vaches maigres et de mutation technologique dans les datacenters, la question vaut de l'or puisque plus de 53% des responsables informatiques interrogés par le cabinet d'étude américain EMA (Enterprise management associates) voient dans la virtualisation le moyen crucial de réduire les coûts d'administration et de gestion. 43% d'entre eux la jugent "importante". De plus, le ratio administrateur/machine virtuelle est un bon indicateur de l'efficacité d'un service informatique. C'est aussi le poste budgétaire le plus facilement ajustable. Le coût salarial de l'ajout d'une machine virtuelle varie entre 452 $ et 3770 $ Selon les données recueillies par Andi Mann, consultant chez EMA, il faut, en moyenne, un administrateur pour 77 machines virtuelles. Mais l'écart type derrière ce chiffre est significatif. Ainsi, un ratio de 155 machines virtuelles par administrateur n'est pas rare. Mais certains responsables ne s'occupent que de 18 machines virtuelles quand d'autres ont la charge de 1800. Passé au crible d'un coût salarial de référence de 68 000 $ pour l'administration d'un datacenter, le ratio machine virtuelle / administrateur se traduit par d'importants écarts sur le coût unitaire d'ajout d'une machines virtuelle. Pour les services informatiques les plus automatisés, l'ajout d'une machine virtuelle revient à 452 $. Pour ceux qui sont moins performants, une machine virtuelle supplémentaire revient à 880 $ et peut atteindre la somme vertigineuse de 3 770 $ dans le pire des cas. Selon Andi Mann, les outils d'administration jouent un rôle important dans la "productivité" des administrateurs. 39% des entreprises interrogées utilisent des logiciels de suivi des configurations, ce qui évite les modifications sauvages. 37% font appel à des outils d'inventaire pour vérifier l'utilisation des équipements et des licences logicielles achetés. 36% se servent d'outils de gestion de capacité pour optimiser la répartition de charge des machines virtuelles. 27% n'hésitent pas à s'équiper de systèmes de télétravail pour intervenir à distance jusqu'au niveau matériel le plus bas des serveurs. Enfin, 24% administrent leurs environnements virtualisés avec les outils de VMware (Infrastructure, vCenter), de Citrix (XenCenter) et de Microsoft (VMM). Un taux étonnamment bas. (...)
(13/05/2009 15:10:48)Google lève le voile sur ses futurs outils de recherche
Google n'arrête plus d'innover. Quelques jours aprèsle lancement de SearchWiki , et alors que de nouveaux acteurs, comme Wolfram Alpha, arrivent sur le marché des moteurs de recherche, le leader actuel a présenté, lors de la deuxième journée de la conférence Searchology, les options qui viendront bientôt enrichir son moteur de recherche. Cette opération de communication veut montrer aux utilisateurs de Google, mais également à ses partenaires commerciaux, les fruits des travaux du géant du Web. La première nouveauté, Search Option, est déjà disponible pour la version américaine du moteur. A la manière de Twitter, lorsque l'utilisateur sélectionne « Show Options » dans une page de résultats, une colonne de filtres s'affiche à gauche de l'écran pour affiner sa recherche, notamment en affichant les résultats des dernières 24 heures ou sous forme d'un cercle pour voir des résultats connexes. La deuxième innovation, « Google Squared », se veut la réplique à Wolfram Alpha, et sera disponible d'ici à la fin du mois dans les Google Labs. L'affichage des résultats d'une recherche ne se fait plus sous forme d'une liste de liens, mais d'un tableau avec des informations directement utilisables dans chaque case. Dans l'exemple présenté, une recherche sur les petites races de chiens, « small dogs » en anglais, renvoie non seulement des photos des différentes variétés canines, mais également des informations sur le poids et la taille des spécimens ainsi que leur origine. Enfin, « Rich Snippet » permet d'afficher des résultats plus détaillés en se basant sur la requête exacte des internautes et sur les meta-données contenues dans les pages Web. (...)
(13/05/2009 14:39:03)SAP se renforce dans le green avec le rachat de Clear Standards
SAP vient de procéder au rachat de Clear Standards, un jeune éditeur américain spécialisé dans les outils de mesure des émissions de gaz à effet de serre et de maîtrise de la consommation d'eau. En marge de la fusion Sun/Oracle ainsi que des spéculations autour d'une future grosse acquisition par Microsoft, l'éditeur allemand poursuit ses petites emplettes, pour se renforcer dans les technologies vertes cette fois. Pour Leo Apotheker, PDG du groupe allemand, il ne s'agit pas d'un simple phénomène de mode : « Il est essentiel que les entreprises aient une vision de l'impact de leurs émissions de carbone et de leur consommation d'eau sur l'environnement. » Les solutions de Clear Standards seront intégrées dans SAP Business Suite 7 ainsi que dans les applications métiers de l'éditeur (SAP environnement, santé et gestion de la sécurité). Elles seront disponibles en mode Saas (software as a service). Fondé en 2007, Clear Standards a levé 4 M$ auprès de deux fonds d'investissement, Kinetic et Novak Biddle Venture Partners, un an après sa création. L'éditeur américain a par ailleurs développé Carbon Tracker, son logiciel phare, de manière à pouvoir l'adapter à l'iPhone. Depuis le début de l'année, SAP a racheté plusieurs sociétés, dont le Français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexe. Lors de la publication de ses résultats trimestriels, l'éditeur allemand a précisé qu'il disposait de 2,95 Md$ de cash pour réaliser diverses acquisitions. (...)
(13/05/2009 12:56:21)Antitrust : Intel condamné à plus d'un milliard d'euros par la Commission européenne
La Commission européenne a reconnu Intel coupable de violation des lois antitrust sur le marché des microprocesseurs et l'a finalement condamné à 1,060 milliard d'euros d'amende. La Commission, qui aurait pu infliger une amende allant jusqu'à 10% du chiffre d'affaires du fondeur - soit plus de 3 Md€ - a aussi ordonné à l'Américain de cesser ses pratiques illégales. Le montant de l'amende dépasse de loin les 899 M€ infligés à Microsoft en 2008 pour abus de position dominante sur le marché du logiciel (qui s'ajoutent aux 497 M€ payés par l'éditeur en 2004). L'enquête de la Commission portait sur les rabais accordés illégalement par Intel à certains constructeurs informatiques en échange de l'achat en nombre de ses puces x86. L'entreprise était aussi accusée de payer certains fournisseurs pour annuler ou retarder le lancement de machines utilisant des processeurs de son concurrent AMD, et de vendre ses puces serveurs à des prix très bas à de grands clients comme les gouvernements ou les universités. Intel a immédiatement réagi en affirmant que ses pratiques commerciales "ne contreviennent pas au droit européen". Le numéro un des processeurs a également fait part de sa décision d'interjeter appel de sa condamnation. (...)
(13/05/2009 12:11:20)Les débats autour d'Hadopi se propagent sur Wikipedia
Le gouvernement aime beaucoup Wikipedia. Suffisamment en tout cas pour participer à la rédaction d'articles de l'encyclopédie libre. Ainsi, celui consacré à la loi Création et Internet a fait l'objet de modifications apportées par un utilisateur dont l'adresse IP pointe vers une machine du ministère de la Culture, comme le révèlent nos confrères de l'Expansion. Le 14 février, cet internaute a reformulé un paragraphe présentant le désormais fameux amendement 138 adopté par le Parlement européen dans le cadre de l'examen du Paquet Télécoms. L'amendement prévoit l'intervention d'un juge judiciaire lorsqu'une liberté ou un droit fondamental est menacé de restriction. La version originale de l'article de Wikipedia interprétait cette disposition en indiquant que « pour couper l'accès internet d'un abonné il faut d'abord passer par un tribunal (ce qui remet en cause la suspension de l'accès Internet de la riposte gradué) ». Revu et corrigé par le ministère de la Culture, le passage devient : « Cet amendement a été interprété par certains de ses promoteurs - et notamment le député socialiste français Guy Bono - comme faisant obstacle à la suspension de l'accès à Internet sans décision judiciaire : selon Guy Bono en effet, la possibilité de disposer d'une connexion Internet à domicile devrait être qualifiée de liberté fondamentale. Ce point de vue reste discuté, aucune juridiction d'aucun pays de l'Union européenne n'ayant pour l'instant conféré un tel statut à l'accès Internet. » Le militantisme n'a pas sa place sur Wikipedia Si l'utilisateur d'un ordinateur du ministère de la Culture n'a pas totalement contredit la version d'origine, il a néanmoins apporté une large nuance à la portée de l'amendement concerné. Cet exemple illustre la difficulté d'aboutir à un contenu neutre et équilibré sur l'encyclopédie en ligne pour les sujets susceptibles de faire naître des polémiques. En guise d'introduction à la fiche consacrée à la loi Hadopi, Wikipedia précise ainsi que « cet article provoque une controverse de neutralité ». La lecture des discussions entre les contributeurs permet de constater que la pondération devant théoriquement entourer l'article est mise à mal à la fois par les militants pro-Hadopi que par ceux qui s'opposent à la loi. « Le militantisme est louable, mais pas sur Wikipedia », résume un internaute. Les ordinateurs du ministère de l'Intérieur, eux aussi, sont utilisés pour modifier le contenu de l'encyclopédie. En l'occurrence, il s'agit de l'article consacré à Alan Marleix, le secrétaire d'Etat aux collectivités territoriales, et en particulier d'un passage évoquant sa mise en cause dans la désignation de sa fille à un poste d'enseignante à la Sorbonne. Révélée par le site Rue89, cette affaire est évoquée sur la fiche du ministre, dans une section baptisée « controverse ». L'historique des modifications apportées à l'article montre qu'une machine dont l'adresse IP est issue du ministère de l'Intérieur a été utilisée à plusieurs reprises pour supprimer totalement le paragraphe. A chaque occurrence, cependant, le texte a été rétabli dans sa version d'origine par d'autres contributeurs. (...)
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