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(24/03/2009 17:36:28)
Les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher, prédit Gartner
Selon le cabinet d'études Gartner, les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher en 2009 et 2010. Gartner a mesuré la baisse sur quatre métiers : services datacenter (-5 à -10%), services de desktop et de help desk (-5 à -10%), services réseaux (-10 à -15%), applications externalisées (-10 à -20%). Le cabinet attribue cette baisse des prix à la concurrence entre anciens acteurs de l'outsourcing et nouveaux entrants. La crise a eu pour effet de reporter un certain nombre de décisions, observe le cabinet. Mais les clients sont bien décidés à entrer dans d'intenses discussions et à renégocier les termes et conditions des contrats, les niveaux de services, les volumes de l'outsourcing. Un exemple est donné avec le marché indien : Gartner explique que les SSII ont dû baisser leurs prix, leurs clients se plaignant des attaques terroristes de Bombay, du scandale Satyam, des fluctuations du cours de la roupie, etc. (...)
(24/03/2009 17:17:39)TomTom se place sous le parapluie de l'OIN
La plainte de Microsoft envers TomTom pour violation de sa propriété intellectuelle dans son implémentation de Linux aura au moins eu un effet bénéfique pour la communauté Open Source : le fabricant de GPS a spontanément décidé d'adhérer à l'Open Invention Network (OIN), un organisme dont le but est d'accumuler les brevets liés à l'Open Source en général et à Linux en particulier afin d'en protéger les utilisateurs. Quiconque adhère à l'OIN s'engage en effet à ne jamais attaquer Linux, et obtient en contrepartie une licence gratuite pour tous les brevets détenus par l'OIN. Soutenu par des entreprises comme IBM, Novell, Red Hat ou Sony, l'OIN dit détenir plus de 275 brevets (enregistrés ou en cours d'examen). Outre ce portefeuille, l'OIN peut fournir une aide juridique appréciable à tout membre qui serait attaqué en justice. Le patron de la propriété intellectuelle de TomTom, qui déclare dans un communiqué que cette adhésion « encouragera le développement de Linux », omet pudiquement de préciser ce point, alors que TomTom est engagé dans une bataille juridique avec Microsoft. (...)
(24/03/2009 16:34:10)vCMA administre VMware à partir d'un téléphone mobile
En avril, VMware proposera la version bêta de vCenter Mobile Access (vCMA) pour administrer un environnement VMware à partir d'un simple téléphone mobile. Le logiciel disposera d'alarmes diverses, de la localisation de machines virtuelles, de la gestion de leur déplacement à chaud, du lancement d'une sauvegarde, etc. vCenter Mobile Access (vCMA) est associé à l'appliance virtuelle vCMA server, qui réside sur le serveur. L'application web vCMA pourrait fonctionner sur les principales plateformes de Smart GSM : Symbian, iPhone, BlackBerry, Android et Windows Mobile. Si tant est que l'on accepte de s'en remettre à un écran de quelques centimètres de diagonale pour réaliser des tâches cruciales. (...)
(24/03/2009 15:16:32)IBM s'intéresse à la sauvegarde de l'eau
IBM était présent au Forum mondial de l'eau à Istanbul la semaine dernière. Et à cette occasion, il a tenu à prouver son intérêt pour cette ressource naturelle vitale et son évolution. Pour commencer, il a raconté un de ses projets les plus concrets dans la baie de Galway en Irlande. SmartBay s'appuie sur un système de capteurs, qui récupèrent un grand nombre d'informations en temps réel sur l'état de l'eau, et sur des portails qui en publient l'analyse. Le projet étudie les conditions climatiques sur la côte, la vie marine, les niveaux de pollution, etc. Il peut par exemple identifier un débris à un endroit donné, signalé par un capteur ou une personne, et à partir des mouvements de marées, des courants, etc., en calculer le trajet pour prévenir d'éventuels dangers. Les capteurs intelligents de SmartBay sont capables de réaliser une mesure à un moment ou à un autre, mais aussi d'exécuter des ordres qui leur sont envoyés. Les données récoltées pourraient accompagner des tests de prototypes de convertisseurs de vagues en énergie. Trop peu d'informations sur l'eau dans le monde Pour traiter les données issues de SmartBay, IBM a déployé Infosphere Stream, son environnement d'analyse en temps réel de larges volumes de données. « Cet outil a été développé dans nos laboratoires et le projet de Galway a permis de le tester en réel », raconte Pascal Bécache, responsable du secteur Energie et Utilities chez IBM. Le logiciel est spécifiquement destiné aux réseaux (énergétiques, routiers, télécoms) qui peuvent être instrumentés avec des capteurs et sur lesquels il est important de réagir en temps réel. Afin de travailler sur un point de vue plus macroscopique de l'état de l'eau dans le monde, Big Blue organise depuis deux ans une série de colloques sur l'ensemble de la planète pour confronter les meilleurs experts internationaux du domaine. Le GIO (Global Innovation Outlook) cherche à donner une vision prospective de l'innovation mondiale sur ce thème. Il s'agit d'une fondation interne réunissant aussi bien des clients d'IBM, des institutions publiques, des chercheurs, etc., tous compétents dans le domaine. Premier constat, quasi-unanime, au sortir de ce tour du monde de l'eau, on ne dispose que de très peu de données sur l'état de cette ressource dans le monde. Or, comme le signale le rapport, « il est impossible de bien gérer ce que l'on ne peut pas mesurer. » Et bien entendu, pour surveiller et mesurer les problèmes de l'eau, la solution se trouve dans les TIC. Pascal Bécache évoque plus particulièrement un équipement dont on entend déjà beaucoup parler pour optimiser la consommation électrique et qu'il serait donc intéressant de déployer pour s'atteler à la question de l'eau : le compteur intelligent. Et ce, aussi bien à destinations des personnes, des entreprises ou des exploitations agricoles, tous concernés. « Le compteur connecté ne se contente pas d'enregistrer la consommation, il la détaille en fonction des demandes et il prend les décisions adaptées, complète Pascal Bécache. Quand un fontainier est informé de votre déménagement, par exemple, le compteur intelligent pourra fermer instantanément les vannes au moment de votre départ. » Modéliser les circuits de l'eau mais aussi la structure de son prix [[page]]« Dans notre économie moderne, l'eau intervient partout, rappelle par ailleurs Pascal Bécache. L'agriculture et l'industrie en consomment beaucoup plus que l'homme pour ses besoins immédiats. Or, dans ces domaines, les déperditions sont énormes et on dépense, qui plus est, beaucoup d'énergie pour optimiser les circuits. » Et c'est la deuxième conclusion issue des colloques GIO. Là-encore, la solution se trouve au moins en partie, dans l'informatique. Et plus précisément, dans la modélisation de ces circuits de l'eau pour mieux informer les entreprises et les Etats et leur permettre de prendre des décisions plus efficaces. Enfin, le GIO a constaté - même si il n'est pas le premier - que le prix de l'eau n'est pas le même partout dans le monde, et surtout qu'il n'est pas lié à la valeur réelle de la ressource. Il est très bas sous le soleil de Mexico et bien plus haut à Berlin où l'hygrométrie est pourtant plus élevée. Une situation qui peut conduire à du gaspillage, si l'on en croit le GIO. Là encore, le rapport conseille le recours à la modélisation des systèmes, pour combiner au mieux « les droits d'accès à l'eau et des structures de prix qui évitent le gaspillage. » Des membranes résistantes au chlore basées sur les nanotechnologies Enfin, pour aider à sauvegarder l'eau sur Terre, IBM est allé jusqu'à développer des membranes de filtration d'eau plus résistantes, pour alimenter certaines région en eau potable. Big Blue serait-il en train de changer de métier et de troquer les serveurs pour les filtres à eau ? En réalité, l'explication est beaucoup plus simple et se trouve dans la politique de recherche menée par le géant dans les nanotechnologies depuis plusieurs années. En collaboration avec l'université d'Austin au Texas, l'industriel japonais Central Glass et l'organisation scientifique King Abdul Aziz City for Science and Technology (KACST) en Arabie Saoudite, il vient ainsi de mettre au point une technologie capable de mieux résister au chlore. Un produit très couramment utilisé pour éliminer les bactéries dans l'eau. IBM a déposé le brevet de cette technologie, mais en laisse la fabrication aux industriels compétents. Ces annonces rejoignent une tendance évoquée dans les récents rapports respectifs du gouvernement français et de l'Union européenne à l'intention du secteur des TIC. Les deux documents incitent l'ensemble de l'économie à réduire son impact environnemental en utilisant davantage l'électronique, l'informatique et les télécommunications. (...)
(24/03/2009 14:22:28)Suse Linux Entreprise 11 sous le signe de la cohabitation avec Microsoft et de la virtualisation
Novell livre la version 11 de Suse Linux Entreprise (SLE), deux ans après la version 10. Issue d'OpenSuse 11, SLE est la distribution supportée par Novell auprès des entreprises. Elle traduit à la fois les liens qui unissent Novell à Microsoft et l'effort de l'éditeur pour s'adapter à la virtualisation des serveurs. SLE est proposée en deux versions. Une pour serveurs, Suse Linux Enterprise Server (SLES), et une pour poste individuel, Suse Linux Enterprise Desktop (SLED). Les deux reposent sur la version 2.6.27 du noyau Linux. Deux fonctions de SLE 11 s'expliquent par la collaboration entre Novell et Microsoft. On y trouve ainsi pour la première fois Mono, qui permet de faire tourner sur Linux des applications écrites pour le framework .Net, ainsi que son dérivé MoonLight, version Linux de Silverlight 2.0, client riche que Microsoft pose en concurrent de Flash/Flex d'Adobe. Novell confirme aussi son attachement à l'hyperviseur open source Xen 3.3 soutenu à la fois par Citrix et Microsoft. Une façon de se démarquer de Red Hat qui a annoncé le mois dernier faire de l'hyperviseur KVM (Kernel-based virtual machine) son prochain cheval de bataille. Toujours dans le domaine de la virtualisation, SLES 11 devrait prochainement recevoir le Studio Appliance Toolkit qui permettra à des entreprises ou des éditeurs tiers de créer des 'appliances' virtuelles avec un JeOS (Just Enough Operating System), version minimaliste de SLES. Moonlight, OpenOffice et Firefox en standard dans Sled 11 Novell compte aussi enrichir ses pilotes paravirtualisés (Virtual Machine Driver Pack) pour Windows Server 2003 et 2008, Windows XP, Vista et, également, pour REHL 4 et 5. SLES 11 intègre aussi de nouvelles extensions pour la haute disponibilité. Quant à la version desktop, SLED 11, elle marque un net progrès en termes de facilité d'utilisation, en particulier dans la dimension multimédia avec la présence de Banshee et, aussi, de MoonLight. Elle est aussi livrée avec la dernière version d'Evolution, client mail professionnel compatible avec Microsoft Exchange. SLED utilise la version 2.24 de l'interface Gnome et la 4.1.3 de KDE. L'OS est livré avec les versions 3.0 d'OpenOffice et de Firefox. (...)
(24/03/2009 14:29:20)Intel prévoit de revaloriser les stock-options de ses employés
Les rémunérations des dirigeants qui n'augmentent pas, mais des stock-options revalorisées pour les employées : c'est un programme très social que va présenter Intel à ses actionnaires le 20 mai prochain. Dans un document ('proxy statement') remis à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, Intel annonce en effet son intention de demander à ses actionnaires d'approuver un plan d'échange des stock-options, afin de compenser la perte virtuelle due à la baisse du cours de l'action. Comme l'explique Intel dans le 'proxy statement', « environ 95% des employés » se voient attribuer des stock-options en fonction des performances annuelles de l'entreprise. A ce jour, 73 100 personnes (soit 87% des employés d'Intel) en détiendraient encore. Elles peuvent exercer leurs stock-options - c'est-à-dire acheter des actions à un tarif moins élevé que le cours de Bourse, généralement pour les revendre en empochant une confortable plus-value - pendant un laps de temps déterminé, sachant que le prix d'exercice est celui du cours de Bourse au jour où les stock-options sont attribuées. Il n'y a donc plus-value que si l'action monte. Or, vu la situation économique, Intel constate que 99% des stock-options ont des prix d'exercice plus élevés que le cours actuel de l'action : les stock-options auraient des prix d'exercice compris entre 13,59 $ et 72,88 $, pour un cours de Bourse à fin décembre 2008 de 14,18 $. Le fabricant de processeur souhaite donc mettre en place un programme, dit « Option Exchange », qui permettra à ses collaborateurs d'échanger leurs stock-options contre de nouvelles, plus attractives. Ce qui « est dans le meilleur intérêt des actionnaires », explique Intel, puisque le but des stock-options est de « motiver et retenir les collaborateurs talentueux ». La rémunération du PDG Paul Otellini plafonnée à 12,7 M$ Ce programme, précise encore Intel, ne sera pas accessible aux cinq principaux dirigeants de l'entreprise. La plupart ont vu leur indice de rémunération grimper en 2008, mais celui-ci ne bougera pas en 2009. Le cours de l'action compte en effet davantage que les 5,3 milliards de bénéfices de 2008. « Etant donné la performance financière d'Intel en 2008 ainsi que l'environnement économique incertain, le comité [établissant les rémunérations] a décidé de conserver en l'état les salaires de base et les primes annuelles en 2009 pour tous les dirigeants. » Le pauvre Paul Otellini, président et CEO d'Intel, avait déjà plafonné à 12,7 M$ en 2008, malgré une hausse de son salaire de base de 30% et de sa prime annuelle de 40%, à cause de la baisse de l'action. Les autres dirigeants devront se contenter d'une rémunération tournant autour des 5 M$, le directeur financier étant le plus mal loti avec 2,5 M$. (...)
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