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(23/03/2009 18:29:49)
Oracle rachète un spécialiste de la pharmacovigilance
Avec sa toute dernière acquisition, Oracle vient renforcer la partie verticale de son catalogue destiné aux professionnels des secteurs de la santé et de la pharmacie. L'éditeur racheté, Relsys, est une société californienne qui développe des logiciels appliqués à la pharmacovigilance et à la gestion des risques dans ce domaine. Plusieurs grands acteurs mondiaux de l'industrie pharmaceutique ont déjà adopté ses solutions. En combinant cette offre avec ses propres solutions, Oracle compte livrer la seule suite qui supportera de tout en bout les processus de suivi des risques liés aux médicaments, depuis les développements cliniques jusqu'à la surveillance après la mise sur le marché et les soins aux patients. Ce rachat, dont les modalités financières n'ont pas été communiquées, sera finalisé à la fin de ce premier semestre. Jusque-là, Relsys conserve son autonomie. (...)
(23/03/2009 17:57:12)L'UE invite les TIC à collaborer sur le développement durable avec les autres secteurs
Après le ministère de l'Ecologie et du développement durable en France, qui s'est vu remettre son rapport sur les TIC et le développement durable le 12 mars, c'est au tour de l'Union européenne de publier un document sur le sujet (*). Celui-ci, à l'instar du texte français, constate que malgré son impact négatif important et croissant sur l'environnement, le secteur des TIC est aussi l'un des meilleurs moyens de réduire les effets néfastes des autres industries. Il fait ainsi mention de la désormais célèbre proportion de 2% contre 98% : les TIC représentent 2% des émissions de carbone en Europe mais, en conséquence, les autres comptent pour 98%. Or, les TIC ont les moyens de réduire le volume représenté par ces 98%. Pour autant, elles doivent rester attentives à leur propre impact, à sa mesure et à sa réduction. La communication de la Commission liste un ensemble de propositions destinées aux TIC mais aussi aux autres secteurs afin qu'ils exploitent les TIC pour réduire leur empreinte écologique. Des objectifs pour le secteur des TIC, des actions avec les autres secteurs et le changement de comportement « Il s'agit de définir un cadre d'action qui installe clairement les TIC au coeur des moyens mis en oeuvre pour faire face aux crises actuelles. (...) La présente communication présente un ensemble de mesures ambitieuses centrées sur des objectifs pouvant être réalisés à court terme, à la fois par le secteur des TIC proprement dit et en exploitant pleinement l'effet catalyseur des TIC dans tous les secteurs de la société et de l'économie. Elle dessine les contours d'une recommandation que la Commission devrait adopter au second semestre de 2009, et qui énoncera les tâches, les objectifs et les délais impartis aux acteurs privés et aux États membres pour accélérer les progrès dans ce sens. » La commission propose d'ores et déjà trois volets de mesures. En premier lieu, elle souhaite que le secteur des TIC « fixe ses propres objectifs et s'accorde sur des méthodes de mesure communes » pour réduire à la fois sa consommation énergétique et son empreinte carbone. Les TIC représenteraient environ 7,8% de la consommation électrique de l'UE, une proportion qui pourrait atteindre 10,5% d'ici à 2020. Ensuite, l'Union compte encourager les partenariats entre les TIC et les autres secteurs gros consommateurs d'énergie afin d'évaluer comment les premiers peuvent efficacement aider les seconds. Enfin, les Etats membres sont invités à déployer des outils basés sur les TIC dans l'ensemble de l'UE pour provoquer un changement de comportement. S'appuyer sur les instruments juridiques existants pour réduire l'impact des TIC [[page]]Pour ce qui est de l'impact stricto sensu des TIC sur l'environnement, l'Union compte développer certains instruments juridiques existants comme la directive sur l'écoconception des produits consommateurs d'énergie, Energy Star ou le label écologique. Mais le rapport met davantage l'accent sur l'aide que le secteur peut apporter au reste de l'activité économique pour laquelle il peut mesurer la consommation énergétique et les émissions de carbone, récolter ces informations, les analyser et optimiser la performance en retour. Et l'UE veut même circonscrire cette action en incitant le secteur informatique à travailler plus particulièrement avec les deux gros consommateurs d'énergie que sont le bâtiment et les transports. Les TIC devraient permettre de réduire la quantité d'énergie nécessaire pour fournir un service donné : jusqu'à 17% de la consommation des bâtiments et jusqu'à 27% de celle des transports (Rapport Smart 2020). Les TIC pourraient réduire l'empreinte carbone des autres secteurs de 7,8 milliards de tonnes. Le bâtiment et les transports concernés au premier chef Le secteur du bâtiment représenterait 40% de la consommation finale d'énergie dans l'Union européenne. La régulation électronique de l'éclairage, les capteurs intelligents, les logiciels d'optimisation de la consommation sont autant d'outils qui peuvent, en effet, augmenter la performance énergétique des bâtiments. Mais le communiqué invite aussi les acteurs de ces marchés à élaborer une vision globale et systémique de cette dernière, prenant en compte aussi bien les nouveaux matériaux que l'électronique et l'informatique. La Directive sur la performance énergétique des bâtiments (DPEB) prévoit déjà un cadre général pour une méthode de calcul globale. Du côté des transports (26% de la consommation européenne d'énergie), la Commission évoque par exemple le déploiement de Systèmes de transport intelligents (ST) avec « des mesures spécifiques destinées à favoriser le transport modal » (corridors pour les marchandises, planification d'itinéraires multimodaux pour les personnes). Là encore, le partenariat entre ce secteur et celui des TIC sera favorisé. Les compteurs intelligents réduiraient de 10% la consommation énergétique [[page]]Le document s'arrête également sur l'utilisation de l'électronique et de l'informatique pour une mesure plus efficace de la consommation énergétique des ménages et des entreprises. Les compteurs intelligents, par exemple, répondent directement à cette question. Mais le rapport évoque aussi des environnements logiciels plus pointus capables d'estimer les performances énergétiques de systèmes dans leur ensemble (une ville, un réseau routier) et non uniquement de chacun des éléments qui les composent. Déjà exploités, les « compteurs intelligents » font l'objet d'un chapitre à part entière. Celui-ci cite les résultats d'une étude réalisée dans plusieurs Etats membres selon laquelle de tels équipements réduiraient de 10% au maximum la consommation énergétique. Pourtant, comme le rappelle le rapport européen, ces compteurs ne sont pas encore exploités au maximum de leurs possibilités. La plupart du temps, ils ne sont utilisés que pour récupérer des informations pour le consommateur ou le producteur. Il serait pourtant essentiel d'exploiter ces boîtiers intelligents pour réguler la consommation énergétique en fonction des données récoltées. Pour finir, ces équipements constituent les premiers noeuds de ce que seront les réseaux énergétiques intelligents. Essentiels pour une meilleure gestion de la consommation d'énergie, mais aussi, comme nous le signalait Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, pour intégrer des énergies renouvelables dans ce réseau. Une consultation publique et une structure de travail Pour la Commission qui a rédigé ce document, l'utilisation des TIC pour réduire l'empreinte carbone et la consommation énergétique pourrait de plus, donner un drôle de pionnier à l'Europe. Comme elle le rappelle, « dans le cadre de la politique de cohésion 2007-2013, un montant approximatif de 86 milliards d'euros est prévu pour des investissements dans la R&D et l'innovation, comprenant l'utilisation et le développement technologique des TIC. » Les États membres seront donc « encouragés à utiliser ces fonds pour soutenir le développement de solutions TIC améliorant les performances énergétiques. » Parmi les premières actions qui vont suivre la publication de ce document, l'Union européenne a prévu une consultation publique (dont les modalités ne sont pas communiquées pour l'instant), la création d'une structure de travail pour atteindre les objectifs, la mise en place d'un portail Web européen d'information et un guide pratique pour les autorités régionales et locales. (...)
(23/03/2009 17:10:44)Le marché du décisionnel progressera de 5,9% en France en 2009 selon IDC
L'étude bisannuelle du cabinet IDC sur le décisionnel (ou BI, business intelligence) prévoit 5,9% de croissance en France sur ce marché pour 2009. Ce sera trois fois la croissance du logiciel en général. Rien de surprenant, depuis des années la même tendance se retrouve. Mais, avec la crise, « le décisionnel prend une dimension contracyclique », analyse Cyril Meunier, consulting manager. Les entreprises ont encore plus besoin d'investir dans un outil de reporting et de simulation. Le marché reste dynamique pour tous les acteurs. C'est la deuxième grande conclusion de l'étude. 40 à 50% du marché est représenté par de petits acteurs. Eux aussi vont garder leur dynamique, voire l'accentuer, en proposant du décisionnel métier. « Tout le monde ne voit que les têtes d'affiches, mais le marché est aussi constitué d'acteurs très verticaux », note Cyril Meunier. Ce dynamisme du marché devrait se prolonger pour d'autres raisons. D'abord, l'Open Source et le SaaS vont bénéficier aux entreprises de petite taille et donc étendre la cible du décisionnel. Ce qui va de pair avec sa démocratisation, réservé auparavant aux directions financières, le décisionnel est étendu à d'autres départements de l'entreprise. Cette catégorie de solutions restant un produit complexe, les acteurs capables d'offrir des produits accessibles auront également toutes leurs chances. Des acteurs encore peu connus vont émerger. La BI pourrait même se développer sur Internet ou sur le mobile avec des versions pré-packagées. En 2008, le marché du décisionnel se montait à 2,052 milliards d'euros en France. Globalement, il a progressé de 6,2%. La partie édition, 704 millions d'euros, est en hausse de 8,6%, alors que l'autre partie, celle des SSII et intégrateurs, progresse de 5%. Dans la partie édition, les ventes de licences se situent à +4% alors que la maintenance est à +13,7%. 2007 fut une très bonne année, en terme de ventes de licences, ce qui, tout naturellement, a profité aux éditeurs l'année suivante sur la partie maintenance. Ce faisant, ce sont les activités de maintenance des éditeurs qui ont porté le marché du décisionnel en 2008. Les ventes de licences étant moins fortes en 2008, la progression de la maintenance sera moins forte en 2009. (...)
(23/03/2009 17:00:45)Appear et Netfective partenaires de Logica à l'issue d'un concours d'innovation
Par le biais de son concours international d'innovation (Global Innovation Venture Partner Program), la SSII Logica identifie des PME ayant développé des solutions innovantes pour les combiner avec ses propres offres. Le gagnant peut alors, dans une démarche définie avec Logica, présenter sa solution aux clients de la SSII à l'échelle internationale. Cette année, la dernière étape du concours vient de distinguer la PME suédoise Appear pour sa technologie de diffusion d'informations contextuelles, en temps réel, à des utilisateurs mobiles. Appear a été choisie parmi sept autres candidats, finalistes des concours réalisés par les antennes de Logica, en France, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, au Danemark, en Finlande, au Portugal et en Inde. Tous ces candidats, issus de phases de présélection nationales, ont de toute façon acquis l'assurance d'un partenariat avec la SSII dans leurs pays respectifs. Ainsi, dans l'Hexagone, le jury de Logica France avait de son côté retenu l'éditeur Netfective, parmi cinq autres finalistes français.
Une solution basée sur les modèles
Créée en 2000, Netfective propose depuis quatre ans la suite Blu Age, conçue pour générer automatiquement des applications Java et .Net en s'appuyant sur une approche MDA/MDD, c'est-à-dire une architecture et un développement basés sur des modèles. L'éditeur a choisi une approche qui permet de se concentrer sur la construction fonctionnelle de l'application, en utilisant le langage de modélisation UML (Unified modeling language), indépendamment de la plateforme technologique utilisée. A partir de la modélisation UML détaillée de l'application, de la maquette sous forme de fichiers XHTML, du descriptif de l'architecture technique cible et de l'environnement de déploiement, Blu Age permet de fournir un package constitué du code source généré, de la documentation de l'application et du script de création de la base de données. L'offre de Netfective est notamment utilisée pour faire évoluer les applications existantes et, dans ce domaine, l'éditeur s'apprête à lancer une solution pour moderniser les systèmes PacBase. « Nous cherchions un partenaire qui puisse faire bénéficier Logica d'une dynamique d'innovation et apporter de la valeur à nos clients, explique Ivan Bertrand, directeur chez Logica Management Consulting et président du jury. Parmi les dossiers examinés (une quarantaine), nous avons également découvert des acteurs de niche qui n'étaient pas sélectionnables à l'échelle de notre groupe mais qui peuvent nous permettre d'alimenter cette dynamique. » Sur le choix de Blu Age, Ivan Bertrand explique que la PME est sortie du lot en raison de la transversalité de la solution et de son approche globale.
Logica France et Netfective vont réfléchir à la façon dont leurs expertises peuvent être associées dans une offre commune. « Nous pensons que la valeur est dans le savoir et nous essayons de faire en sorte que la technique se mette au service du savoir », a commenté Christian Champagne, PDG de Netfective, lors de la sélection de sa société par la SSII. « Or, il n'est pas évident de vendre de l'innovation en France », a-t-il aussi regretté en poursuivant : « Pour avoir travaillé outre-Atlantique, je ne serai pas mécontent qu'un acteur français réussisse dans le secteur du logiciel. »
SoftFluent, Obeo, Exo Platform et EBM Websourcing en finale
Parmi la cinquantaine de clients que compte déjà Netfective figurent notamment Orange et un certain nombre d'acteurs de la distribution, dont Intermarché et Système U. Dans le secteur de la distribution en particulier, Christian Champagne estime que sa société a su combiner savoir-faire métier et technologie pour pouvoir s'affranchir des coûts de production. A noter aussi, Jacques Attali siège au conseil d'administration de la PME. « Il nous aide à valoriser les investissements que nous faisons », apprécie Christian Champagne.
Netfective rassemble 150 collaborateurs entre Paris et Bordeaux, dont 43 qui se consacrent à la R&D. L'éditeur poursuit ses recrutements : « Nous cherchons des ingénieurs mathématiciens et des architectes, précise son dirigeant. Nous recrutons quarante collaborateurs. » La société réalise un chiffre d'affaires d'environ 10 M€. Elle est membre de l'OMG, fait partie de la communauté Eclipse et a été identifiée par Gartner. Elle vend déjà son offre à l'international, notamment sur Component Source, ou par l'intermédiaire de distributeurs, par exemple en Russie. Aux côtés de Netfective, Logica France avait retenu cinq autres finalistes dans le cadre de son « Global Innovation Venture Partner Program » : SoftFluent (créée par d'anciens collaborateurs de Microsoft et membre du programme Idées) et son produit CodeFluent (fabrique logicielle pilotée par les modèles), Obeo, qui édite des outils pour industrialiser le cycle de vie des applications informatiques, Exo Platform, qui a développé une suite de travail collaboratif basée sur un portail Web, et EBM Websourcing, qui propose des solutions d'échange de services Web au sein d'un système d'information. NB : En dehors d'Appear, grand gagnant, et de Netfective pour la France, les PME retenues par Logica dans les autres pays sont Cognisco pour le Royaume-Uni, Pallas Athena pour les Pays-Bas, WPA Mobile pour le Danemark, KLG Systel pour l'Inde, OutSystems pour le Portugal et Ravensoft pour la Finlande.
(...)(23/03/2009 15:25:48)SAS prépare son propre cloud pour l'an prochain
SAS, un des principaux acteurs du marché du décisionnel, se lance dans le cloud computing avec ses propres armes. Plutôt que de profiter de plateformes génériques déjà opérationnelles, comme celle d'Amazon, l'éditeur préfère investir dans la construction d'un datacenter de 3 500 m² en Caroline du nord. L'enveloppe globale atteindra 70 M$, dont 20 à 22 M$ consacrés à la construction proprement dite du site qui intègrera toutes les dernières innovations en matière d'économie d'énergie et de développement durable. La première tranche de serveurs, qui occupera 1 000 m², sera opérationnelle à la mi-2010. La seconde commencera à entrer en service d'ici trois à cinq ans lorsque la première aura atteint 80% de sa capacité de traitement. Dans la continuité de SAS OnDemand Le choix par SAS de mettre en place son propre environnement de cloud computing s'explique à la fois par l'ampleur de la quantité des données à manipuler et par la haute confidentialité qui doit entourer les données traitées. De plus, ce projet, s'inscrit dans la continuité de l'offre SAS OnDemand, prestation de logiciel en ligne qui croit de 30% par an. SAS OnDemand repose sur une infrastructure composée de serveur Sun, d'équipements de stockage NetApp et EMC. Les choix technologiques pour l'équipement informatique du nouveau datacenter n'ont pas encore été arrêtés, mais SAS utilise depuis quatre ans les logiciels de VMware pour supporter l'infrastructure de ses équipes de développement. 22% du chiffre d'affaires investis en R&D Plus gros éditeur détenu par des actionnaires privés, SAS revendique un chiffre d'affaires de 2,26 Md$ pour 2008 (+5%), dont 43% en provenance de l'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. La société affirme aussi investir 22% de son CA 2008 en recherche et développement. Elle compte plus de 11 000 salariés. En janvier dernier, Gartner Group plaçait SAS Institute parmi les sept principaux acteurs dans le monde du décisionnel (business intelligence) aux côtés d'IBM/Cognos, de Microsoft, de SAP/Business Intelligence, d'Oracle, d'Information Builders et de MicroStragegy. SAS se démarque en étant le mieux placé sur l'échelle des "visionnaires". En revanche, il figure en bas du classement des sept premiers sur celle de la "capacité à exécuter". Il y côtoie tous les autres éditeurs spécialisés, le Gartner accordant plus de crédit dans ce domaine aux éditeurs généralistes. (...)
(23/03/2009 14:43:02)Deux nouveaux SSD pour l'entreprise chez EMC
EMC lance sa deuxième génération de disques SSD (Solid State Disk, à base de mémoire flash). Un an après la commercialisation de ses deux premiers modèles (73 et 146 Mo), le numéro un mondial du stockage d'entreprise propose un disque de 200 Go et un autre de 400 Go pour ses baies de stockage Symmetrix DMX-4. Il a aussi promis de proposer dès cette année, pour la première fois, des disques SSD sur ses baies de milieu de gamme Clariion et sur ses Celerra. EMC ne communique aucun prix pour ces produits qui coûtent 10 à 20 fois plus cher que les disques magnétiques, mais souligne que leur prix au Go aurait baissé de 76% en un an par rapport à des disques durs à interface Fibre Channel. La société précise que ses ventes de SSD dépassent ses attentes. Tout comme Hitachi Data Systems, Sun Microsystems et, probablement, HP et IBM, EMC est client de STEC pour ses disques flash. STEC propose notamment les disques ZeusIOPS à interface SAS, FC ou SATA (jusqu'à 512 Go), les ZeusEPS (interface SATA, jusqu'à 512 Go) et les Mach8 (SATA, jusqu'à 256 Go). Malgré un quatrième trimestre avec « seulement » 7,4% de croissance, STEC a clos fin décembre son exercice 2008 sur un CA en hausse de 20,5% à 227,4 M$. Ses disques haut de gamme ZeusIOPS ont vu leurs ventes progresser de 300% en 12 mois à 53 M$. Elle doit compter avec des concurrents de plus en plus nombreux. Intel, Hitachi, Seagate, Samsung et Micron lorgnent tous le marché lucratif des systèmes de stockage. (...)
(23/03/2009 11:05:51)Les nouveaux racks de serveurs Rackable supportent jusqu'à 40°C
Pour limiter la consommation électrique des datacenters et les coûts associés, il est possible, entre autres, de réduire la surface occupée et le niveau de refroidissement. Rackable Systems, constructeur de serveurs et de solutions de stockage, a décidé d'exploiter ces deux solutions simultanément. Son nouveau châssis, le CloudRack C2 intègre ainsi jusqu'à 320 processeurs, soit 1280 coeurs, par cabinet en s'appuyant sur sa technologie MicroSlice. Et surtout, il supporte des températures montant jusqu'à 40°C. Ainsi, plutôt qu'un ventilateur par serveur, seuls quelques uns sont nécessaires à l'arrière du rack. La version 23U en compte 18 et la version 46U en comprend 42. La part de consommation énergétique liée au refroidissement est ramenée à 8 % contre 25 % dans les cabinets traditionnels. Pour réduire encore davantage la consommation énergétique, le CloudRack C2 utilise des redresseurs de courant pour transformer le courant alternatif entrant en courant continu de 12 volts, et mieux rediriger ainsi l'alimentation électrique à l'intérieur de la machine, avec une efficacité annoncée de 99 %. Outre les futurs processeurs pour serveurs Nehalem d'Intel, les processeurs classiques déjà présents sur le marché des serveurs, et ceux utilisés par l'architecture MicroSlice, le constructeur envisage également d'adapter des puces pour netbook à son CloudRack C2. Il rejoint ainsi la vision développée récemment par Microsoft. (...)
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