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(20/03/2009 18:28:45)
Nathalie Kosciusko-Morizet parle green IT
Début mars, la secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet a accordé au MondeInformatique.fr un entretien vidéo sur la thématique « TIC et développement durable ». Elle a évoqué avec nous le télétravail, le Grenelle des antennes, les réseaux électriques intelligents, l'impact des TIC sur l'environnement, etc. Pour ceux d'entre vous qui préfèrent lire plutôt que visionner une vidéo, nous mettons aujourd'hui en ligne une retranscription intégrale chapitrée de cette entrevue. Accédez à (et podcastez) la vidéo de l'entretien Accédez au texte de l'entretien (...)
(20/03/2009 18:13:20)Le CE d'HP France consulté sur la baisse des salaires
Les 17 et 18 mars, un projet de baisse des salaires basé sur le volontariat a été présenté aux comités d'entreprise d'HP France. La direction du groupe envisage de diminuer la rémunération de base de ses principaux managers de 5 à 10%, à compter du 1er mai. De plus, et à partir du 1er octobre 2009, une baisse de 5% sera suggérée aux cadres et une diminution de 2,5% aux non cadres. Les comités d'entreprise seront consultés pour chaque étape du projet. Reste que les salariés français ne seront pas tenus d'accepter comme l'a précisé la direction d'HP. Chaque salarié restera libre d'accepter ou non la proposition de modification de son contrat de travail et aucun licenciement pour motif économique consécutif à ce refus n'est donc envisagé. Tous les salariés d'HP se verront proposer la modification de leur contrat de travail par courrier recommandé. Ils disposeront d'un délai de réflexion d'un mois pour faire connaître leur réponse. L'absence de réponse dans un délai d'un mois vaudra acceptation de la modification proposée. Une proposition rejetée en bloc par la CFTC Cette proposition a été rejetée en bloc par la CFTC d'HP, qui a exprimé son refus en appelant la profession à participer massivement à la journée d'action du 19 mars. Sur son blog, la fédération estime que le côté définitif et disproportionné de ces propositions par rapport aux rémunérations des dirigeants est inacceptable. La CFTC a fait le calcul et estime qu'on va demander aux non cadres et aux cadres de baisser respectivement leurs salaires de 2,5% et 5%, alors que les 20% de réduction « apparente » du salaire de Mark Hurd ne représenteraient en fait que 0,7% de réduction de ses revenus 2008. Le syndicat considère également que ces mesures de restriction salariales toucheront plus durement les bas salaire, déjà mis à l'écart du système de bonus et de stock options, et toutes celles et ceux qui n'ont pas bénéficié d'augmentation de salaire. D'ailleurs, la CFTC d'HP a sondé les salariés sur cette proposition de baisse des salaires, et d'après les résultats, 92% (sur 1 000 votants) se sont déclarés contre. Le syndicat, qui s'est appuyé sur le bilan social 2008 d'HP France, constate que si les dix salaires les plus bas ont augmenté de 2,6%, ceux des dix managers les plus hauts ont augmenté de 27% soit dix fois plus relativement. Sans oublier les menaces qui pèsent actuellement sur l'emploi (580 suppressions de postes) à la suite du rachat de l'entreprise EDS. (...)
(20/03/2009 18:13:38)Forrester souligne la maturité de la conférence Web et du CRM en SaaS
Avec la multiplication et la diversification des offres de logiciels fournis en ligne comme un service, en mode SaaS -software as a service-, toute entreprise peut désormais être amenée à choisir, à un moment ou un autre, entre des solutions hébergées et des solutions classiques, à installer en interne. Or toutes les catégories d'applications hébergées n'ont pas atteint le même degré de maturité. Le cabinet d'études Forrester s'est penché plus particulièrement sur quatorze d'entre elles pour guider le choix de ceux qui, dans l'entreprise, prennent les décisions d'achat de logiciels. En décembre dernier, une enquête du même cabinet, mené en Europe et en Amérique du Nord, révélait que 21% d'acheteurs de logiciels en entreprise utilisaient déjà ou devaient superviser la mise en place d'un logiciel en mode SaaS, contre 18% en 2007. En revanche, des entretiens plus poussés mettaient en évidence le manque fréquent de connaissance et de visibilité des acheteurs sur les solutions SaaS. Une large palette de fonctions disponibles en mode SaaS De fait, au-delà des applications de gestion de la relation client (CRM), marché où les offres SaaS ont été popularisées par un éditeur comme Salesforce.com, on peut maintenant recourir à des applications en ligne dans presque tous les domaines, y compris pour gérer l'ensemble des processus métiers d'une entreprise, l'éditeur SAP lui-même s'étant lancé dans le développement et l'hébergement d'un ERP en mode SaaS (offre Business ByDesign). Dans son étude, Forrester a toutefois restreint sa sélection en se basant sur trois critères. Le cabinet analyse exclusivement des applications SaaS destinées aux entreprises, susceptibles de concerner la plus large cible d'acheteurs et de s'adresser indifféremment à tous les secteurs d'activité. Ainsi, volontairement, les analystes qui ont mené l'enquête (Liz Herbert, avec Christine Ferrusi Ross et Philipp Karcher) n'ont pas retenu de logiciels SaaS spécifiquement développés pour un métier. Seuls le CRM et la conférence Web en phase de croissance Le TechRadar de Forrester reste par ailleurs très centré sur les fournisseurs américains. On y trouvera donc peu d'offres proposées par des éditeurs européens, hormis SAP. Les quatorze catégories d'applications retenues couvrent les logiciels d'archivage et de récupération de données, les solutions décisionnelles, les outils de collaboration, les logiciels de CRM, les solutions de gestion des actifs numériques, les applications de gestion de contenu d'entreprise, les ERP, les logiciels de gestion des ressources humaines, les outils d'intégration de données, les solutions de help-desk et de gestion de parc informatique, les solutions de sauvegarde de données, les logiciels de gestion de la chaîne logistique, les logiciels de gestion de contenu Web et, enfin, les solutions de conférence sur le Web. Pour Forrester, sur l'ensemble de ces catégories, seuls les outils de conférence sur le Web et de CRM sont jugés en phase de croissance sur leur marché. A leur suite, le cabinet place la sauvegarde en ligne, la gestion de contenu Web et la gestion des RH. Pour ces derniers, en dehors d'acteurs comme ADP, on trouve beaucoup de solutions de niche, note le cabinet, et consolidation du marché aidant, désormais des suites plus élargies. Parmi les cinq catégories qui se détachent, trois seulement apporteraient une valeur ajoutée moyenne (sauvegarde et CRM) ou importante (conférence Web) à l'entreprise. Pour Forrester, les autres catégories ne sont pas encore sorties de leur phase de création et leur valeur ajoutée pour l'entreprise reste donc faible. Le SaaS bouleverse les règles d'achat des logiciels Le SaaS continue à investir d'autres domaines, note Forrester et, surtout, il bouleverse les règles du cycle d'achat des logiciels en permettant aux utilisateurs métiers d'en maîtriser le processus. Il devient possible de rechercher les applications en ligne, de les tester dans la foulée, puis de les déployer et de les administrer en ligne. Il est même possible, souvent, de leur ajouter des développements spécifiques, certaines plateformes proposant des outils de développement d'applications. Au départ, le volet services des applications SaaS était limité. Le succès du modèle aidant, Forrester fait remarquer que des acteurs reconnus du service, comme Accenture ou CapGemini ont développé des offres. Le cabinet d'études rappelle qu'une multitude de nouveaux entrants se bousculent au portillon du SaaS (start-up, fournisseurs soutenus par des investisseurs tout autant qu'acteurs bien établis de la IT). Un certain nombre d'entre eux disposent d'un incontestable potentiel, mais toutes ces offres sont encore bien neuves et n'ont pas fait leur preuve sur le marché. La sauvegarde en ligne prisée par les PME [[page]]Dans son TechRadar, Forrester a considéré chacune des catégories en fonction de deux axes, l'un figurant le stade de développement commercial des applications, l'autre exprimant la valeur ajoutée qu'elles apportent à l'entreprise. Ce deuxième axe prend en compte différents facteurs, en particulier les retours d'expérience, l'investissement requis, la capacité à permettre une transformation de l'activité, le caractère critique de l'application par rapport à l'activité, les problèmes liés à la gestion du changement et les conséquences sur le réseau. En se penchant sur chaque catégorie de façon indépendante, le cabinet d'études note qu'une offre comme celle d'Autonomy, sur l'archivage et la récupération de l'information, a été bien adoptée sur le marché des services financiers. La sauvegarde en ligne est prisée, surtout par les PME, mais, note Forrester, la récupération rapide de grandes quantités de donnés inquiète toujours. Le potentiel de la BI en SaaS est important du point de vue collaboratif Du côté des offres décisionnelles en mode SaaS, à côté d'un acteur reconnu comme Business Objects, on trouve beaucoup de petits éditeurs, peu connus. Néanmoins, juge Forrester, le potentiel de la BI en ligne est important car il permet notamment de déployer des scénarios de reporting collaboratif. Les offres de collaboration comme MS SharePoint en sont encore à faire leurs premiers pas en mode SaaS, tout comme les solutions d'ECM. Quant aux outils de gestion des actifs numériques en ligne, ils tentent encore peu. Seuls 7% d'entreprises envisagent d'investir dans une de ces solutions. Les outils d'intégration, une catégorie à part Outre Atlantique, des offres ERP comme celle de NetSuite ont rencontré un certain succès, mais dans la frange basse du marché. Les autres offres sont en phase de démarrage. Les outils d'intégration sont une catégorie à part. Ils ne sont pas nécessairement proposés en mode SaaS eux-mêmes, mais ils facilitent l'intégration de données entre applications internes et applications SaaS. Informatica, par exemple, permet une intégration de données avec le CRM de Salesforce.com. Sur le terrain de la gestion logistique, certains domaines ont adopté le SaaS. C'est le cas de la gestion des relations avec les fournisseurs (SRM), la gestion des événements au sein de la chaîne logistique (SCEM) et la gestion du transport. Enfin, Forrester évalue le délai nécessaire à chaque catégorie d'applications pour passer de la phase de création à la phase suivante : survie sur son marché, croissance ou équilibre sur la base installée. Dans la majorité des cas, le cabinet d'études estime qu'il faudra encore une à trois années à la plupart des applications pour passer à l'étape suivante. (...)
(20/03/2009 18:20:36)Ballmer : Microsoft est fier de ce premier Windows post-Bill Gates
Windows 7 est le premier OS Microsoft à voir le jour en-dehors de la supervision de Bill Gates. Et c'en est presque un soulagement, à écouter Steve Ballmer. Interrogé par le rédacteur en chef de BusinessWeek lors de la conférence new-yorkaise McGraw-Hill 2009 Media Summit, le patron de Microsoft a expliqué que depuis le départ du fondateur et architecte en chef de la société, « beaucoup de gens montent et prennent de l'importance », y compris lui. Le résultat de ce nouveau partage des responsabilités serait Windows 7, dont Microsoft est « fier », a indiqué Steve Ballmer. « C'est un sacré travail, qui a été conduit par une équipe indépendante de Bill. Et je crois que nous sommes tous plutôt satisfaits. Il doit être encore finalisé, mais je crois que ça va être énorme. » De fait, il est vrai que la bêta de Windows 7 actuellement en circulation a reçu un accueil plutôt favorable. Pourtant, à y regarder de près, les différences sont relativement légères avec Vista, conçu pendant 5 ans sous l'ère Bill Gates et universellement décrié. Si on devait résumer, on pourrait même dire que Seven est une version aboutie de ce qu'aurait dû être Vista. Si Steve Ballmer ne l'a pas clairement dit, il a laissé entendre que lui et ses collègues n'avaient pas les coudées franches tant que Bill Gates était là. Or, depuis que le fondateur de Microsoft a quitté ses fonctions opérationnelles pour s'occuper à plein temps de la fondation philanthropique créée avec son épouse Melinda, s'est instauré un tout nouveau mode de prise de décision. Les responsabilités de Bill Gates sont en effet désormais assumées par Ray Ozzie, architecte en chef, et Craig Mundie, responsable de la recherche et de la stratégie. « J'avais beau être le CEO, il était LE Bill » « Le principal changement », justement, selon Steve Ballmer, est la façon dont ce triumvirat prend les décisions. Car Bill Gates avait quoi qu'il arrive le dernier mot. « C'était le fondateur. J'avais beau être le CEO, il était LE Bill. S'il pensait que quelque chose devait être fait, alors... Il ne donnait pas tant d'ordres que ça, mais - disons-le ainsi - s'il pensait que quelque chose devait être fait, vous saviez que ce serait compliqué pour vous de ne pas être d'accord. » Bien entendu, Steve Ballmer a aussi ajouté que ses collègues et lui-même seraient ravis de voir Bill Gates revenir - tout en précisant que cette perspective ne serait pas la meilleure chose à faire. « Il nous manque. Si vous demandiez au responsable technique senior moyen s'il vote pour le retour de Bill, il dirait probablement oui, ce serait génial. D'un autre côté, Bill accomplit un travail important, salué par tous, et je pense que tout le monde apprécie l'opportunité de grandir et de prendre davantage de responsabilités. » (...)
(20/03/2009 16:10:17)Manifestation du 19 mars : une mobilisation sans précédent dans l'IT
Le PDG d'IBM France n'avait pas aimé la manifestation commune HP-EDS-IBM du 29 janvier et l'avait fait savoir. Qu'importe, celle du jeudi 19 mars a rassemblé encore plus d'informaticiens : un chiffre historique dans le secteur IT, puisqu'ils n'étaient pas loin de 500 à battre le pavé hier à Paris entre République et Nation : salariés et syndicalistes d'IBM, d'HP et d'EDS, rejoints par les informaticiens d'Altis, de Sun Microsystems, de Bull et d'Ilog, s'étaient rassemblés en masse pour défendre leurs emplois et leurs salaires. Preuve de leur ras-le-bol, le slogan commun « A nous la crise, à eux les profits, ça suffit ». « Nous sommes descendus dans la rue pour obtenir des garanties sur les emplois, à l'heure où les délocalisations sont de plus en plus présentes, indique Gérard Chameau, délégué syndical central de l'antenne CFDT d'IBM. Nous voulons également mettre fin à l'explosion du stress et des pathologies qui en découlent, et nous dénonçons également la politique salariale qui entraîne des pertes cumulées du pouvoir d'achat, alors que les bénéfices et les dividendes atteignent des sommets. » Des centaines d'informaticiens dans la rue à Grenoble et à Lyon La question des salaires a également conduit les salariés d'HP à participer à une nouvelle journée d'action, le CE ayant été officiellement informé par la direction d'une baisse des rémunérations suggérée à l'ensemble des salariés. « Nous rejetons la proposition de la direction qui vise à baisser la rémunération de base de ses principaux managers de 5 à 10%, et à appliquer à tous les autres salariés une baisse allant de 2,5% à 5% », s'insurge Jean-Paul Vouiller, délégué syndical CFTC chez HP. De son côté, la CFTC Altis (anciennement IBM Semi-conducteur à Corbeil) défilait avec une banderole avec pour mot d'ordre "Altis SC 3 000 salariés sans avenir, merci IBM", tandis que chez Bull, les revendications portaient sur la dénonciation par la direction d'un accord d'entreprise portant sur la suppression de jours de congé. Le mouvement a également été suivi en province, où des rassemblements avaient été lancés à l'initiative des syndicats d'HP, d'EDS et d'IBM : ainsi, à Grenoble, une centaine d'informaticiens ont manifesté sous les bannières respectives des organisations CGT, CFDT, CGC, CTFC, de même qu'à Bourgoin-Jallieu et Villefontaine (Isère), et aussi à Lyon, preuve du durcissement du climat social dans la filière IT. LeMondeInformatique.fr attend vos réactions sur le Forum. (...)
(20/03/2009 15:42:35)Un Linux Wind River pour certains serveurs Sun Niagara
Wind River System va porter sa distribution Wind River Linux 3.0 sur certains serveurs Niagara de Sun (processeur T2) réservés aux opérateurs télécoms. Il s'agit du modèle rack Netra T5220 et de la lame Netra CP3260 au format AdvancedTCA*. Wind River pallie la défaillance d'Ubuntu qui avait annoncé mi-2006 le portage de sa distribution sur les processeurs Niagara T1. Sun n'a donné aucun signe qui indiquerait qu'il envisagerait de soutenir un portage de Linux sur ses autres serveurs Niagara. *La spécification AdvancedTCA (Telecom Computing Architecture) pour serveurs lames a été développée par les opérateurs télécoms afin de répondre à leurs contraintes d'exploitation. Elle n'a a priori pas été retenue pour les lames x86 en raison du surcoût qu'elle engendrerait. Mais, au moins, il s'agit d'un standard. (...)
(20/03/2009 12:22:28)LaCie s'offre le service de stockage en ligne Wuala (MAJ)
LaCie se diversifie, tout en restant dans le stockage : le fabricant français de solutions de stockage a conclu un « un contrat d'acquisition portant sur 100% du capital de la société Caleido, société suisse spécialisée dans le stockage sécurisé de fichiers en ligne grâce à son logiciel Wuala ». Wuala propose un stockage en ligne à la mode Web 2.0, c'est-à-dire permettant de partager du contenu avec des internautes choisis. Le premier gigaoctet est gratuit (Google et Microsoft, pour ne citer qu'eux, sont donc largement plus accommodants), puis plusieurs formules payantes sont proposées pour étendre le stockage. Il faut compter entre 15 € / an pour 10 Go et 640 € / an pour 1 To. Sachant que le prix d'un disque dur externe LaCie, justement, de 1 To, démarre à environ 120 euros, le stockage en ligne revient donc beaucoup, beaucoup plus cher. Toutefois, insiste Caleido, la souplesse qu'il propose est sans égal. A tel point que l'éditeur du service en ligne propose une autre option pour étendre sa capacité de stockage : échanger de la capacité sur son propre disque contre de la capacité en ligne. En clair, cela signifie que les fichiers sur son disque dur seront accessibles en ligne, comme s'ils étaient sur les serveurs distants de l'éditeur. Une option intéressante - surtout vu le prix de location du gigaoctet - mais qui est déjà aussi proposée par de nombreux services gratuits. Des « conditions suspensives usuelles pour ce type de transaction » doivent être levées avant que la transaction ne puisse se clore. Cela devrait intervenir « dans le courant du deuxième trimestre 2009 ». LaCie indiquera alors précisément ce qu'elle compte faire de Wuala. Mise à jour : LaCie a publié un communiqué indiquant que cette acquisition d'un service de stockage dans le 'cloud' transformait le fabricant en "fournisseur de solution", d'où le nouveau logo. (...)
(20/03/2009 12:01:01)TomTom attaque à son tour Microsoft pour violation de brevets
Echange de bons procédés : trois semaines après la plainte déposée par Microsoft contre TomTom pour violation de brevets, c'est au tour du fabricant de GPS de porter plainte pour les mêmes motifs contre le géant de Redmond. Fin février dernier, Microsoft avait mis en émoi le monde de l'Open Source en accusant TomTom d'enfreindre sa propriété intellectuelle dans ses produits reposant sur Linux. Microsoft s'était alors justifié en expliquant qu'il n'attaquait pas Linux, mais bien la façon dont TomTom implémentait son noyau. De son côté, TomTom argue que Microsoft viole quatre de ses propres brevets - sciemment, puisque TomTom l'aurait déjà mis en garde - dans Microsoft Streets and Trips. L'éditeur américain dit être parfaitement ouvert à des accords de licence concernant ses brevets, et l'aurait fait savoir à TomTom. Il est donc tout à fait possible que les deux entreprises s'entendent, retirent leurs plaintes, et signent des accords de licence croisés. (...)
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