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(20/03/2009 09:21:15)

Pour la première fois, Oracle verse des dividendes à ses actionnaires

Le monde est en crise, mais pas Oracle. Et l'éditeur souhaite que cela se sache : taux de change mis à part, « nous avons vendu plus de nouvelles licences au troisième trimestre de cette année que lors du troisième trimestre de l'année dernière », s'est réjoui Larry Ellison, en présentant les résultats financiers du trimestre clos le 28 février dernier. Et le patron d'Oracle d'ajouter que vu la récession actuelle, « c'est un résultat plutôt remarquable ». Du coup, le conseil d'administration d'Oracle a même décidé de débuter un programme de rétribution des actionnaires. Comme l'indique Safra Catz, la directrice financière du groupe, Oracle avait l'habitude de « donner de la valeur à ses actionnaires au travers de l'innovation technologique, des acquisitions stratégiques, des rachats de capital ». Mais pas par des dividendes, aussi étrange que cela paraisse. Désormais, ce sera le cas, à hauteur de 5 cents par action et par trimestre. « Nous avons généré 8 Md$ de cash flow sur les 12 derniers mois, a-t-elle expliqué, et nous dégageons des marges opérationnelles record. Nous avons toujours été attachés à récompenser les investissements de nos actionnaires dans Oracle, et le conseil d'administration a décidé que c'était le bon moment pour offrir des dividendes à nos actionnaires. » Oracle incrimine les variations de taux de change qui font apparaître une baisse de 6% par rapport à l'an dernier sur ses ventes de nouvelles licences (1,5 Md$) au troisième trimestre fiscal (clos le 28 février 2009). A taux de change constant, ces ventes ont progressé de 3%, précise l'éditeur américain. Globalement, ses revenus logiciels ont néanmoins progressé de 5%, à 4,4 Md$, le chiffre d'affaire issu des mises à jour et de la maintenance ayant progressé de 11% à 2,9 Md$. Le chiffre d'affaires total s'établit à 5,5 Md$ (+2%) incluant des ventes de services en retrait de 8% à 1 Md$. A taux de change constant, souligne encore Oracle, la progression du CA se serait élevée à 11%. Quant à la marge opérationnelle, elle a progressé de 4% à 1,9 Md$ et le niveau de la trésorerie sur douze mois glissants s'est élevé à 8,5 Md$ (+17%). (...)

(19/03/2009 20:14:56)

IBM-Sun : Le monde Java inquiet et HP menacé

Et si IBM achetait Sun pour 6,5 Md$ ? Depuis hier que la rumeur circule, le grand bal habituel des réactions et analyses a débuté. Bien qu'aucune des deux firmes n'aient encore souhaité commenté cette hypothèse, plongeons au coeur de ses possibles conséquences. Pour commencer, et sans surprise, le monde Java s'agite. Même si on peut supposer que MySQL et Glassfish constitueraient des offres Open Source d'entrée de gamme satisfaisantes pour IBM, c'est plutôt l'inquiétude qui domine. Sur le site Javalobby, par exemple, certains s'inquiètent de voir IBM favoriser son environnement de développement Eclipse face au Netbeans de Sun. "Quel intérêt pour un même fournisseur d'avoir deux IDE ? " peut-on lire. "A peine Sun acheté, IBM annoncera qu'il arrête NetBeans pour des questions de budget. Et il en ira de même pour toutes les offres pour lesquelles il a déjà une solution." Pour d'autres commentateurs du blog, le serveur d'applications GlassFish, concurrent de WebSphere, est aussi en danger. « Et quid du support commercial de MySQL ? » s'interroge-t-on. La communauté Java partagée A l'opposé, certains estiment qu'IBM aurait un impact positif sur Java. « Il pourrait injecter davantage d'argent dans son développement, » estime ainsi, sur son blog, Fabrizio Giudici, architecte Java. Pour lui, « les produits Open Source de Sun ont une bonne réputation dans leurs communautés et ils pourraient intégrer de nouveaux projets. Cela pourrait augmenter notre charge de travail (non payée) au début, mais les opportunités de marché arrivent quand on les attend le moins. » En outre, la gestion d'Eclipse par IBM a suscité moins de polémique que la gestion du Java Community Process par Sun. Pour Matt Aslett, analyste du 451 Group, la communauté Sun ne devrait en aucun cas craindre qu'IBM fasse disparaître les logiciels Sun. « Bien sûr, les portefeuilles se chevauchent, mais cela ne devrait pas être un problème parce qu'IBM peut utiliser l'offre de son rival pour générer du revenu. Et Big Blue "a déjà de multiples OS et bases de données dans son offre. Il pourrait reprendre son mantra : 'donner le choix à l'utilisateur.' » Jeffrey Hammond de Forrester Research tempère : « La division logiciels d'IBM devra faire face à certains défis importants pour monétiser le portefeuille Open Source de Sun. IBM ne vend pas à des développeurs mais à des patrons de divisions. Or, ce ne sont pas eux qui décident quand on parle d'Open Source. Ce sont bien les développeurs. Nos études le confirment. Sans oublier qu'IBM va devoir réconcilier son modèle économique middleware avec celui de Sun. Et ils sont très différents. » Enfin, la division logiciels de Big Blue n'est pas « structurée pour monétiser un modèle économique basé sur le support de l'Open Source. Et je me demande s'ils arriveraient à atteindre le niveau de service exigé par les clients en la matière. » Le marketing logiciel d'IBM est décentralisé, divisé en multiples marques et ce serait un vrai « défi pour eux d'appliquer le modèle resserré que Sun met en place pour doper l'adoption de l'Open Source ». Ce qui est sûr, selon un autre observateur, « c'est qu'une union IBM-Sun sera positive pour les clients des deux entreprises, mais il est peu probable qu'elle donne naissance à de nouvelles directions majeures dans le monde du logiciel. » Les serveurs, les datacenters et même le cloud [[page]]Et si le logiciel seul n'était pas la raison de l'acquisition ? Nombre d'observateurs voient dans cette hypothétique opération la création du futur géant des datacenters. Et pourquoi pas du cloud, d'ailleurs. IBM est sans nul doute à la tête d'une des gammes de serveurs les plus denses et les plus complètes du marché. De la machine x86 la plus basique jusqu'au grand système (sous Linux aussi, s'il vous plait) en passant par des serveurs Unix et les inépuisables iSeries (toujours connus sous le nom d'AS/400 malgré d'innombrables changements de nom). Sun apporterait sa technologie de containers pour les datacenters IBM exploite ses propres processeurs Power, spécifiques, mais aussi des cartes électroniques reines du supercalcul, les BlueGene. Et malgré ses performances récentes, le Sparc de Sun pourrait bien être la première victime du mariage, s'il a lieu. Peut-être juste avant Solaris... qui aurait du mal à trouver sa place au milieu des nombreux OS d'IBM dont son propre Unix, Aix. Là encore, le salut de la technologie pourrait venir de la stratégie Open Source entamée avec OpenSolaris. Big Blue a aussi développé depuis quelques temps une forte compétence dans le datacenter qu'il s'est fait une spécialité d'optimiser en matière d'efficacité énergétique (matériel, logiciel, climatisation, service, etc.). Sun a lui aussi déployé beaucoup d'efforts en la matière. Et il apporterait entre autres les technologies de son container qu'il a été le premier à maîtriser. Des qualités essentielles en ces temps d'économie d'énergie et de respect de l'environnement. Les deux géants fondus en un seul pourront par ailleurs facilement mixer leurs clouds car ils n'en sont qu'à leurs balbutiements. Mauvais plan pour Cisco, mais surtout pour HP Ces expertises complémentaires des deux Américains dans le monde des centres serveurs, distribués ou non, associées à leurs compétences logicielles, doit sérieusement inquiéter la concurrence. A commencer par HP qui a choisi de son côté d'avaler une énorme société de services, EDS. Il se tord pour l'instant dans des difficultés qui le conduisent à réduire ses effectifs et diminuer les salaires. Que dire de Cisco ? Qu'il se fait voler la vedette de son entrée dans le monde des serveurs par une simple rumeur ? Mais au delà de ça, l'union du Texan et du Californien pourrait lui barrer la route du datacenter pendant quelques temps. Même si un futur IBM-Sun le met moins en danger que HP. Interrogé par Business Week, Steve Ballmer, le patron de Microsoft, a estimé de son côté que l'opération « donnerait à Microsoft un avantage compétitif pendant toute la durée nécessaire à l'intégration des nombreux actifs de Sun dans une seule entreprise. » Une chose est sûre. L'union d'IBM avec Sun donnerait naissance à une famille recomposée de taille avec quelques enfants indésirables. Les doublons seront légion et les choix, cornéliens. Et c'est sans parler pour l'instant, de la réorganisation commerciale. Enfin, aucune fusion ne va jamais sans réduction d'effectifs. Si elle a lieu, celle-ci se concrétisera en pleine tempête économique et n'échappera pas à des coupes massives. Ce ne sera pas le moindre des maux. (...)

(19/03/2009 16:34:35)

10 programmes de relance par les industries à valeur ajoutée

Les infrastructures numériques et électriques, l'e-santé, l'e-éducation, l'e-administration, l'éco-responsabilité énergétique, la haute définition ou encore la régulation du trafic routier, figurent au coeur des dix projets présentés dans le plan de conquête pour les industries à valeur ajoutée que le Fieec (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication) et l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) ont dévoilé hier, mercredi 18 mars, avec 27 autres organisations professionnelles. Pour soutenir ce plan, ses signataires souhaitent la création, par le gouvernement, d'un fonds d'investissement spécifique, le Fivat (fonds d'investissement pour les industries à valeur ajoutée technologique), qui disposerait d'une mise initiale de 1 milliard d'euros. Piloté par le gouvernement, mais co-géré par différents acteurs publics et privés (incluant des centres de recherche et des pôles de compétitivité), ce fonds serait ensuite alimenté par les investissements privés et par « les économies réalisées par les programmes mis en place ». A plusieurs reprises, les acteurs des nouvelles technologies, et en particulier de l'IT (Syntec Informatique et Afdel notamment), avaient souligné que le plan de relance du gouvernement ne mettait pas suffisamment l'accent sur l'innovation et le numérique. Quant au plan France Numérique 2012, conduit par l'ancien secrétaire d'Etat Eric Besson, il n'impliquait pas assez l'industrie du logiciel. Un accès à 10 Mbps pour tous d'ici à 2012, à 100 Mbps d'ici à 2020 Le plan d'investissement présenté hier débute par deux programmes sur les infrastructures numériques et électriques ; programmes sur lesquels viennent s'appuyer les huit autres chantiers proposés, axés sur les contenus et les projets innovants. Le premier d'entre eux vise, d'ici à 2012, un accès à 10 Mbps pour tous (« citoyens et entreprises ») et à 100 Mbps pour 2020, en améliorant la capillarité du réseau de fibres optiques et en mixant les technologies (sans fil, ADSL...) jusqu'à l'abonné. Les signataires invitent à réunir collectivités, opérateurs et fournisseurs de technologie pour définir le rôle de chacun. Le deuxième programme concerne le réseau électrique : « en route pour le smart grid », affiche le document communiqué par le Fieec, l'Afdel et leurs co-signataires. Tout en suggérant des mesures à court terme (extension du crédit d'impôt pour les travaux de mise en sécurité, création d'un guichet unique pour réduire la complexité de déploiement de solutions solaires...), un objectif est fixé pour 2015 : sécuriser 120 000 km de lignes électriques contre les aléas climatiques. Et d'ici à 2018, travailler à un réseau électrique intelligent pour tous, facilité par la convergence des réseaux électriques et de communication. Télémédecine, bâtiments intelligents [[page]] Le programme 3 s'accompagne de l'ambition de faire de la France un leader mondial de l'e-santé : en s'appuyant sur les outils domotiques, en fixant les conditions d'exercice de la télémédecine, notamment, ou encore en agissant sur l'interopérabilité des solutions dans un cadre international. Pour chaque programme, le plan indique quels sont les secteurs d'activité et les industries qui bénéficieront des investissements consentis : l'électronique, les professionnels de l'électricité, de l'informatique, des télécommunications, etc. Dans le domaine du Green IT et de l'éco-responsabilité énergétique, le programme 4 pousse à accélérer la mise en oeuvre des décisions du Grenelle de l'environnement sur la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et résidentiels. En bonne place figure la gestion de la consommation d'énergie des bâtiments par l'intermédiaire de technologies innovantes. Le programme 5 s'applique plus spécifiquement aux systèmes d'éclairage avec la rénovation de 80% des installations publiques et privées les plus dégradées et énergivores d'ici à 2015. Capitaliser sur les atouts français dans le jeu vidéo Les questions culturelles sont abordées sous l'angle des technologies de haute définition. Le programme 6 envisage, à court terme, une aide à l'équipement et à la formation de la filière à l'utilisation de la HD dès cette année. Il invite aussi à capitaliser sur les atouts français dans le jeu vidéo pour favoriser les studios de développement. Le programme 7 vise la régulation du trafic routier et la réduction des bouchons en généralisant les infrastructures intelligentes et le rechargement électrique. Deux mesures à court terme sont proposées : un programme de coordination entre pôles de compétitivité pour créer une structure de pilotage qui permettrait de lancer un pilote grandeur nature dans une collectivité avant la fin de l'année. Accélérer la dématérialisation des procédures administratives Le 8e programme est estampillé « sécurité ». Il concerne l'identification des personnes : accélérer l'introduction de la carte nationale d'identité électronique et de la carte Sésame Vitale 2 à base de puce. Le 9e programme sur l'e-éducation est assez général mais suggère de partager les bonnes pratiques existantes dans la lignée du rapport Lepetit de mars 2007. Enfin, le programme n°10 propose d'amplifier le programme de dématérialisation des procédures administratives. En n'oubliant pas, ici, de mentionner le soutien aux PME qui interviennent comme fournisseurs des outils (logiciels, matériels, services). Tout récemment, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à la Prospective et à l'Economie numérique, avait elle-même indiqué qu'elle travaillait de son côté à un volet numérique du plan de relance, en collaboration avec Patrick Devedjian, ministre de la Relance. (...)

(19/03/2009 16:22:39)

Fujitsu supprime 2 000 emplois aux Philippines

La crise économique continue de frapper les industriels de la high-tech, dans divers secteurs d'activité et pays. Dernier en date dans la liste des plans de licenciements, derrière Nokia, Fujitsu Computer Product, la filiale du constructeur japonais spécialisée dans la conception d'unités de stockage prévoit en effet de supprimer entre 1 750 et 2 000 emplois sur son site philippin (4 800 personnes) spécialisé dans la fabrication de disques durs. Selon le site économique philippin Businessmirror.com, seuls les salariés de la Special Export Processing Zone, zone franche située dans la province de Laguna, seront concernés par ces coupes qui devraient s'effectuer sur la base du volontariat. Ernesto Espinosa, porte-parole de Fujitsu aux Philippines, a expliqué que les mesures déjà prises, telles que la réduction des heures de travail, n'avaient pas été suffisantes pour permettre à la société de sauver ses emplois. 800 000 pertes à prévoir dans l'électronique et l'habillement Le ministre du Travail philippin Marianito Roque, a indiqué, pour sa part, qu'il avait été informé de cette restructuration et que celle-ci prendrait effet à compter du 18 avril. D'après le gouvernement, 45 000 philippins ont déjà perdu leur emploi l'an dernier suite à la crise financière, et 800 000 pertes d'emplois supplémentaires sont à prévoir aux Philippines dans les secteurs de l'électronique et de l'habillement. Près de neuf millions de Philippins, soit 10% de la population, sont actuellement sans emploi ou sous-employés, a également indiqué le gouvernement. (...)

(19/03/2009 16:09:42)

La réponse de Software AG à la crise : réutilisez !

« Nous avons le portefeuille de produits parfait pour la crise ! » Le patron de Software AG parlait cette semaine devant un parterre de ses utilisateurs français et de prospects grands comptes, réunis pour la convention annuelle de l'éditeur à Paris, le Business Innovation Forum. Et s'il n'est pas un tribun, Karl-Heinz Streibich sait toutefois trouver les mots justes pour expliquer aux entreprises comment les architectures orientées services et la gestion des processus métier (SOA & BPM) peuvent les aider à optimiser leurs investissements déjà réalisés et à se distinguer de la concurrence. « Une crise, c'est comme un projet : cela a un début, et une fin. Et cette crise finira tôt ou tard. Les entreprises qui investissent, modernisent et automatisent leurs processus seront les gagnantes lorsque la crise sera finie, prédit Karl-Heinz Streibich. Aucune entreprise ne peut gagner en réduisant son périmètre et ses investissements. » La bonne nouvelle, c'est que cette automatisation des processus s'accommode très bien de l'existant. « Ne remplacez pas l'existant, réutilisez-le ! » Le CEO de Software AG vante ainsi les capacités de ses produits middleware, la gamme WebMethods, à fournir une couche d'agilité au-dessus de l'existant, dans le but de concevoir des processus automatisés allant piocher dans telle ou telle application. Comme l'expliquait une fois Pierre Bonnet, directeur technique d'Orchestra Networks et animateur de la communauté Sustainable IT Architecture, lors d'un Forum SOA organisé par LeMondeInformatique.fr, cette approche présente un risque qualitatif, puisque les processus dépendent de la qualité du système d'information existant. Toutefois, on peut envisager une approche incrémentale - la seule qui soit permise, pourrait-on presque dire, en ces temps de crise où les projets ne peuvent dépasser 6 à 9 mois - où des portions du SI seraient remplacées au fur et à mesure. La couche d'agilité rend cela possible, en désolidarisant les processus du SI sous-jacent. Un service en ligne collaboratif pour capturer les processus de l'entreprise Dans tous les cas, crise ou pas, pour Karl-Heinz Streibich, on ne peut prononcer l'avis de décès des SOA. Pour lui, il s'agit d'un « changement de paradigme IT comme il n'y en a que tous les 20 ou 30 ans », qui a le grand avantage de « rendre les utilisateurs indépendants des monopoles des fournisseurs ». Une façon de souligner le caractère indépendant de Software AG - « qui ne vend pas d'applicatifs ni de matériel » - par rapport à des SAP, Oracle, IBM... Finissant son allocution sur un infime trait d'humour emprunté à un client russe, le patron de l'éditeur allemand a expliqué que « SOA est la perestroïka de l'industrie IT ». Côté annonce produit, Software AG a détaillé un projet évoqué lors du Cebit : Alignspace, un outil collaboratif pour capturer les processus et permettre à toutes les parties prenantes d'un département ou d'une entreprise d'agir dessus et de les commenter. Un outil en amont des outils classiques d'analyse des processus métier, censé remplacer les dessins réalisés avec Visio et promenés de service en service. Proposé en tant que service en ligne, Alignspace pourra aussi être accessible à des intervenants extérieurs, lors de phases de conseil par exemple. Puis, les processus ainsi créés pourront être importés dans des outils de BPM. Alignspace est ouvert aujourd'hui en bêta, pour une disponibilité générale prévue début 2010. (...)

(19/03/2009 15:59:41)

Seules les pages partenaires de Google News auront des liens sponsorisés

Google News, qui agrège les informations publiées par les médias en ligne, a suscité une polémique particulièrement vive en s'ouvrant aux liens sponsorisés. Les éditeurs de presse, qui voient déjà d'un mauvais oeil Google servir de portail d'information à leur frais, trouvent encore plus injuste qu'il puisse se rémunérer directement sur le travail de collecte, de tri, de validation et de mise en forme de leurs titres. Afin de couper court à cette polémique, Google France a tenu à préciser que « les liens sponsorisés ne concernent que les pages qui hébergent les dépêches des agences partenaires dans Google News et non les résultats de recherche Google News. » Le géant héberge en effet les dépêches d'agences de presse comme l'AFP, AP, UK Press Association ou Canada Press. En Europe, c'est désormais aussi le cas d'EPA (European Pressphoto Agency) qui regroupe une petite dizaine d'agences photographiques. D'un coté, les recherches classiques dans Google News renvoient une page de résultats, qui eux-mêmes renvoient vers les sites des médias auteur de l'article. Mais de l'autre côté, pour les agences de presse partenaires de Google, la dépêche s'affiche dans une page « hébergée » de type www.google.com/hostednews/afp et non sur le site de l'agence. « C'est sur ces pages que des liens sponsorisés seront affichés, ce qui leur permet de monétiser leurs contenus. », insiste donc Google France. (...)

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