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(15/12/2008 14:40:50)

Infor réduit ses effectifs de 5% au niveau mondial

Après Lawson Software en novembre dernier, c'est au tour de l'éditeur Infor de réduire ses effectifs pour, dit-il, se mettre en phase avec les 'réalités' du contexte économique global. Considéré comme le troisième fournisseur mondial d'ERP -progiciels de gestion intégrés- derrière SAP et Oracle, cet éditeur américain (basé en Géorgie) indique que ces réductions touchent 5% de son effectif mondial (environ 9 000 salariés). La direction française ne sait pas encore dans quelle mesure ces dispositions affecteront la filiale hexagonale. Celle-ci emploie 410 personnes. Infor, qui fait actuellement évoluer son offre vers une architecture orientée services (SOA), a présenté à ses utilisateurs français les dernières mises à jour de ses gammes à l'occasion de sa conférence Inforum, organisé à Paris en novembre. En France, 3 700 entreprises sont sous contrat de maintenance avec l'éditeur, dont la base installée mondiale ne compte pas moins de 70 000 clients. Une entreprise rentable Le communiqué diffusé pour confirmer les réductions d'effectifs mentionne qu'Infor est une entreprise saine et rentable. La société, non cotée, prévoyait en 2008 un chiffre d'affaires global de 2,2 milliards de dollars. Détenu par le fonds d'investissement Golden Gate Capital, Infor s'est constitué par croissance externe au cours des récentes années (avec un coup d'accélérateur en 2006) en récupérant les offres et bases installées d'éditeurs comme SSA, Baan, Mapics, Epiphany, Extensity, Systems Union... Le fournisseur se trouve donc à la tête d'un vaste catalogue qui rassemble non seulement des ERP (très implantés dans le monde AS/400-System i d'IBM), mais également des offres de gestion de la performance financière, du cycle de vie des produits (PLM), de la relation client (CRM) et des ressources humaines (notamment en France, avec Anaël). (...)

(15/12/2008 12:45:08)

Firefox et Flash en tête des applications classées les moins sûres pour les entreprises par Bit9

Entreprises, redoutez Firefox, Flash Player et VMware. Ces applications arrivent en effet en tête du top 12 des programmes les moins sûrs dans le cadre d'une utilisation professionnelle... d'après un classement établi par Bit9, spécialisé dans la confection de listes blanches d'applications et éditeur de Parity, un programme permettant la détection de code malveillant. Les douze applications recensées par Bit9 ont comme caractéristiques communes qu'elles fonctionnent sur Windows, sont populaires auprès du grand public et présentent au moins une faille critique depuis janvier 2008. Elles sont en outre souvent installées sur les postes de travail des salariés sans que le service informatique en ait connaissance ou puisse surveiller leur mise à jour. Elles constituent par conséquent, selon l'éditeur, les maillons faibles du SI, lequel étant dans l'impossibilité de déployer des correctifs de façon centralisée via les services Systems management server ou Windows Server Update Services de Microsoft, par exemple. Peu importe donc que les éditeurs des applications montrées du doigt par Bit9 mettent régulièrement en ligne des mises à jour pour leurs produits puisque l'installation de ces dernières ne repose que sur les utilisateurs - ce qui induit bien évidemment un biais dans le classement. Le top 12 des applications à redouter selon Bit9 1 - Mozilla Firefox 2 - Adobe Flash et Acrobat 3 - EMC VMware Player, Workstation et autres produits 4 - Sun Java Runtime Environment 5 - Apple QuickTime, Safari et iTunes 6 - Symantec Norton 7 - Trend Micro OfficeScan 8 - Citrix DNE, Access Gateway et Presentation Server 9 - Aurigma Image Uploader, Lycos FileUploader 10 - Skype 11 - Yahoo Assistant 12 - Microsoft Windows Live Messenger (...)

(12/12/2008 18:40:15)

L'analyse décisionnelle se généralise mais sa mise en oeuvre reste complexe

Même si les outils décisionnels migrent de plus en plus vers les postes des utilisateurs, leur mise en oeuvre reste complexe et le succès n'est pas garanti. C'est, en substance, ce que Boris Evelson, analyste chez Forrester, résume dans une récente conférence en ligne consacrée à la Business Intelligence (BI) et rapportée par nos confrères de ComputerWorld Canada. Les environnements BI font appel à des éléments distincts (outils d'extraction, de modélisation et de nettoyage de données) qui doivent correctement s'assembler. Avant de parvenir au format souhaité par l'utilisateur dans un rapport ou un tableau de bord, un travail considérable doit être réalisé pour faire fonctionner ensemble ces différentes composantes, rappelle Boris Evelson. Cette matrice complexe peut conduire à ce qu'une simple modification dans un système source requis pour un rapport affecte, par cascade, d'autres systèmes nécessaires à la production d'autres rapports. Pour l'analyste, une mise en oeuvre « BI » réussie tient davantage de l'art que de la science. Elle requiert de la part des départements informatiques le recours à de bonnes pratiques et une bonne dose d'expérience. Il ne suffit pas de quelques essais conduits avec succès pour comprendre des notions comme la gouvernance de données orientée métiers ou les différences entre les catégories d'utilisateurs. Les offres font néanmoins des progrès dans l'automatisation Toutefois, modère Boris Evelson, tout n'est pas si sombre. Si les environnements BI restent très complexes, les offres des fournisseurs font des progrès dans les domaines de l'automatisation, de l'unification et de l'insertion des fonctions BI dans les applications les plus utilisées. En matière d'automatisation, par exemple, les éditeurs travaillent sur des applications intégrant d'emblée l'expertise qui permettra de suggérer des actions aux utilisateurs, en se basant sur ce que des profils équivalents font dans des situations similaires. Par ailleurs, alors que la BI s'insère dans un nombre croissant d'applications, il reste encore des marges de progression pour propager davantage les fonctions décisionnelles, « par exemple en intégrant dans la BI des fonctions de recherche, de messagerie ou de gestion de contenus », explique Boris Evelson, en soulignant que ce type d'applications se développe déjà et va encore s'étendre. Dans la même veine, les utilisateurs vont vouloir accéder à des fonctions de BI à distance, en ligne ou en mode déconnecté, voies que les éditeurs explorent déjà. Les technologies Web 2.0, comme les mashups, aident à unifier les sources internes de données telles que les systèmes de gestion de la relation client et les sources externes comme les systèmes des partenaires. Les éditeurs de solutions travaillent aussi à unifier les fonctions d'analyse traditionnelles de la BI avec les fonctions d'analyse prédictives, pour le bénéfice respectif des deux types d'analyse. (...)

(12/12/2008 17:53:10)

SanDisk réduit ses effectifs de 10% dans le monde

SanDisk a annoncé, mercredi 10 décembre, qu'il prévoyait de réduire ses effectifs de 10% au niveau mondial, selon Reuters. Le fabricant de cartes mémoire flash, qui emploie 3 172 personnes, a également précisé qu'il poursuivrait la révision de ses dépenses à la baisse en 2009 pour mieux résister au ralentissement de la demande sur le marché des cartes mémoires, consécutivement à la crise économique actuelle. Sandisk investira 900 millions de dollars au cours de l'exercice 2009, à comparer aux 1,3 milliard de dollars prévus par le groupe au cours du mois d'octobre. Cette annonce a fait monter le cours de l'action SanDisk au Nasdaq, en hausse de +3,5%, celle-ci a atteint les 9,87 dollars. (...)

(12/12/2008 17:51:23)

Le nouveau DG d'Alcatel-Lucent détaille son plan stratégique

L'équipementier télécoms entame une nouvelle restructuration et taille dans ses effectifs. Il devrait arrêter certaines activités jugées non stratégiques. Il prévoit également la suppression de 1000 postes de managers. Ben Verwayyen, le nouveau directeur général d'Alcatel-Lucent a détaillé vendredi 12 décembre, le plan stratégique qu'il avait annoncé en septembre dernier peu après sa nomination. Conçu pour « renouer avec la profitabilité et faire d'Alcatel-Lucent, une entreprise normale », ce plan ne manque pas d'ambition mais il engage l'entreprise dans une vaste restructuration, la troisième depuis le rapprochement d'Alcatel et de Lucent en 2006. L'objectif est d'abord de « réduire le point d'équilibre financier du groupe d'un milliard d'euros par an en 2009 et 2010 » et de parvenir à « un résultat d'exploitation ajusté proche de l'équilibre en 2009». L'équipementier devrait supprimer 1000 postes de managers Comment Ben Verwayyen compte-t-il faire dans un marché des télécoms qu'il prévoit lui-même en baisse de 8 à 12% en 2009 et guère plus favorable en 2010 ? En réduisant les coûts partout où cela est possible. Ainsi, malgré les coupes claires déjà réalisées dans les effectifs (près de 16 500 personnes) par les dirigeants précédents -Serge Tchuruk et Patricia Russo - l'équipementier devrait supprimer près de 1000 postes de managers. Ben Verwayyen a refusé de préciser quelles régions seraient touchées par ces suppressions de postes mais la France ainsi que les Etats-Unis qui comptent la majorité des managers ne devraient pas être épargnés. Alcatel-Lucent souhaite également réduire son nombre de sous-traitants d'environ 5000 (sur un total de 10 000 environ) et estime pouvoir faire des économies en améliorant sa chaîne logistique et en diminuant ses coûts de production. Restructurer un porte-feuille d'activités trop diversifié [[page]]Par ailleurs, l'équipementier devrait récupérer un peu de liquidités grâce à la vente à Dassault de sa participation de 20,8% dans Thales, dont Ben Verwayyen a dit qu'elle était « bien engagée ». Mais c'est surtout en restructurant son portefeuille d'activités, jugé trop diversifié, que l'équipementier espère gagner en profitabilité et en compétitivité. « Nous allons investir sur quatre activités : l'IP, l'optique, le haut-débit fixe et mobile et les logiciels applicatifs ». L'accent sera mis sur les technologies IMS, GPON, VDSL, WCDMA (3G +) et surtout sur le LTE (Long Term Evolution), le réseau mobile de quatrième génération qui, selon Ben Verwayyen, « est la suite naturelle du GSM et du WCDMA ». Oublier le Wimax mobile pour l'instant Alcatel-Lucent veut également développer son offre de services à destination de ses clients entreprises et opérateurs. Par ailleurs, le groupe compte « rationaliser fortement » son offre de produits matures comme le GSM, l'ATM ou l'ADSL et veut réduire ses dépenses dans « le coeur de réseau traditionnel, les éléments du portefeuille NGN (new generation network) fixe qui ne sont pas basés sur l'IMS (IP multimedia subsystem) et dans le Wimax». Cette décision vise surtout le Wimax mobile car selon Ben Verwayyen « sur cette technologie, on ne voit rien venir d'ici plusieurs années ». Cette réorganisation du portefeuille devrait se traduire par une restructuration des centres de recherche d'Alcatel-Lucent. Si le nouveau directeur général a répété qu'il misait beaucoup sur la R&D, certains laboratoires pourraient néanmoins fermer ou être fusionnés afin de réduire les coûts administratifs. Reste que l'annonce de ce plan n'a guère convaincu les investisseurs. Ce soir l'action Alcatel-Lucent enregistre le plus mauvais score du CAC 40 en perdant près de 12%. (...)

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