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(12/12/2008 17:22:45)

Eric Besson lance un site Web pour le programme Ordi 2.0

Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, a inauguré hier un site Web pour son programme Ordi 2.0. Ce dernier, lancé en juin, favorise le réemploi d'ordinateurs de seconde main pour équiper les populations défavorisées. Un moyen à la fois de préserver l'environnement et de réduire la fracture numérique. Eric Besson a rappelé que « 2,5 millions d'ordinateurs amortis prennent le chemin de la déchetterie. Au moins 50% d'entre eux fonctionnent encore et pourraient être donnés à des personnes dans le besoin qui ne sont pas encore équipées. » Ordi 2.0 s'appuie sur les possibilités de dons de machines par les entreprises à leurs salariés et l'envoi de PC dans les pays du tiers-monde avec la mise en place d'une filière de reconditionnement. Une initiative soutenue par de grandes entreprises et associations Le site ordi2-0.fr a pour vocation de « soutenir cette filière nationale Ordi 2.0. C'est une plateforme Web qui recense et fédère, en un même lieu, les offres et demandes en matière de réutilisation d'ordinateurs de seconde main pour les personnes les plus en difficulté. » On pourrait penser, à cet énoncé, à une sorte de place de marché pour mettre en relation les différents acteurs du programme. Mais pour l'instant, le site se contente de présenter en détail le principe d'Ordi 2.0 et les réglementations associées. On y trouve aussi les entreprises déjà impliquées que sont Areva, Bollore, Casino, La Poste, Laser, Poweo, SNCF, Microsoft, SFR, Yahoo, Pagesjaunes.fr. Par ailleurs, l'initiative est soutenue par l'Afnet, l'Agence mondiale de la solidarité numérique, Renaissance numérique, Villes Internet et l'Association et l'Association Communication et Information pour le Développement Durable (ACIDD). (...)

(12/12/2008 17:05:32)

Passe d'arme entre opérateurs sur le déploiement de la fibre

Le ton monte entre l'Arcep et France Télécom sur le dossier de la fibre optique. Comme le soulignait en début de semaine Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la Consommation, le déploiement du très haut débit piétine en raison des divergences techniques opposant les opérateurs. Orange et SFR, signataires d'un accord en septembre, misent sur la technologie de fibre unique pour relier les logements, alors qu'Iliad table sur une approche multifibre. Le président sortant de l'Arcep ne veut pas de la fibre unique Interrogé par nos confrères du magazine Challenges, le président de l'Arcep a jeté de l'huile sur un feu déjà violent. Paul Champsaur, qui cèdera son fauteuil le 1er janvier prochain, estime ainsi que France Télécom « veut imposer sa solution : la pose d'une fibre unique à laquelle se raccorderaient les concurrents. » Or, ce choix, explique-t-il, empêcherait une concurrence saine entre les acteurs, en handicapant ceux qui ont fait d'autres choix technologiques. Et Paul Champsaur de citer Iliad - à qui il attribue ainsi implicitement le statut de victime de l'opérateur historique. Le président de l'autorité de régulation poursuit sa diatribe en stigmatisant le « blocage [...] des discussions sur le câblage terminal » résultant du comportement de France Télécom. Un blocage « entretenu [qui] freine le branchement effectif des domiciles. » France Télécom : c'est pas nous, c'est Free Réaction immédiate du mis en cause. Dans un communiqué, France Télécom souligne qu'« une offre d'accès [à son] génie civil, sans équivalent en Europe, est opérationnelle depuis plusieurs mois. » Selon l'opérateur, il n'existe qu'un coupable dans ce dossier : Iliad. « Free a refusé jusqu'à présent les propositions d'accord qui lui ont été faites, en exigeant le déploiement systématique de la solution multifibre non encore expérimentée », tempête France Télécom. Le blocage du groupe de Xavier Niel découlerait, explique le communiqué, sur l'impossible conclusion d'un « accord général sur la mutualisation du fibrage vertical, préalable indispensable au déploiement à grande échelle de la fibre. » La conclusion à en tirer est alors évidente, selon Orange : « Rien ne peut justifier d'imposer aujourd'hui aux acteurs du marché la solution [...] exigée par Free. » Le gouvernement propose une concialiation Face à des opérateurs incapables de s'entendre, la solution pourrait venir du gouvernement. Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique vient en effet de convier les acteurs de la fibre à un comité de pilotage, qui débutera mardi prochain et poursuivra ses travaux jusqu'au 31 mars 2009. Selon les Echos, rapportant une source restée anonyme, « chaque opérateur s'engage à participer à l'une et/ou à l'autre des deux expérimentations de déploiement », c'est-à-dire le mutifibre ou le monofibre. Une phase, pilotée par l'Arcep, à l'issue de laquelle sera retenu l'un ou l'autre de ces modèles, voire les deux. (...)

(12/12/2008 16:46:21)

Cisco préparerait des serveurs lames

Le Cisco qui se prépare pour fin janvier devrait en surprendre plus d'un. Le numéro un des réseaux d'entreprise peaufine une vague d'annonces centrée sur l'amélioration des capacités de traitement et la réduction de l'empreinte écologique de ses systèmes. Le point d'orgue pourrait être l'annonce de serveurs lames. Cisco se refuse à tout commentaire. Toutefois, cette incursion sur ce marché parait logique à l'heure où les serveurs, longtemps considérés comme les pièces maîtresses d'un système d'information, sont en passe de n'être plus qu'un sous-ensemble parmi d'autres. Le format lame illustre cette tendance puisqu'il ne conserve plus que le processeur et la mémoire. Seule la présence de châssis propriétaires chez les trois fournisseurs qui verrouillent le marché (HP, IBM et Dell) empêche ce type de serveurs de se banaliser davantage. Ces châssis imposent d'ailleurs à Cisco de redévelopper pour chacun d'entre eux ses interfaces réseau. A cette banalisation des serveurs s'ajoute la tendance générale à considérer le datacenter et toutes ses ressources (serveurs, stockage, réseau) comme une seule entité. Cisco oeuvre dans ce sens depuis plusieurs années et la généralisation d'une couche d'abstraction entre les matériels et le logiciel que permet la virtualisation pousse aussi dans cette direction. L'annonce de VDC-OS (Virtual datacenter OS) par VMware s'inscrit dans la même perspective. En partenariat avec cette société, une offre de serveurs lames Cisco avec le routeur virtuel Nexus 1000V serait du plus bel effet. (...)

(12/12/2008 16:28:17)

Le site de l'Insee bloqué par les statisticiens en colère

Bloqué depuis hier matin, 11 décembre, le site Internet de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) était toujours inaccessible cet après-midi. Il ne s'agit pas d'une panne informatique mais d'une action de blocage lancée à l'initiative des agents du service de statistique. Ces derniers sont mobilisés contre un projet gouvernemental de délocalisation d'une partie de la production des statistiques sociales, faisant suite à un rapport Cotis-Duport remis au Premier ministre par le Directeur général de l'Insee et le vice-président du Conseil national de l'information statistique. En stoppant l'accès à un portail qui compte quelque 50 000 visiteurs par jour, les statisticiens veulent alerter sur les menaces qui pèsent aujourd'hui sur les missions du service statistique public. Conséquence de cette action : la publication des statistiques de l'emploi salarié du troisième trimestre 2008, a été repoussée au 16 décembre. (...)

(12/12/2008 14:29:04)

Lenovo cherche un constructeur à acheter

Le numéro quatre mondial de la micro Lenovo l'admet, il est en quête d'une opération de croissance externe. En réponse à des rumeurs insistantes sur un éventuel rachat du constructeur brésilien Positivo Informatica, le constructeur chinois a confirmé qu'il abordait la phase préliminaire des négociations en vue d'un investissement éventuel. Mais il n'a pas confirmé si c'était avec Positivo Informatica. Le Brésil fait partie des pays désignés par l'acronyme Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui connaissent la plus forte croissance au niveau mondial. D'où l'intérêt pour Lenovo de mettre la main sur le champion national Positivo qui jouissait d'une part de son marché local de 57% en juin 2007, mais qui est descendue à 27% cette année. Sa capitalisation boursière, qui a chuté de 87% en un an, est de 215 M$. Des rumeurs évoquent le rachat d'une partie de Fujitsu Siemens Faute d'informations confirmées, les supputations vont bon train. D'un côté, on cite Dell parmi les autres candidats intéressés à la reprise de Positivo. De l'autre côté, on dit que la très probable mise en vente d'une partie de Fujitsu Siemens qui pourrait aussi intéresser Lenovo. Fujitsu, qui vient de reprendre l'intégralité de sa coentreprise à Siemens, aurait en effet le projet de se séparer de l'activité micro pour se concentrer sur la partie serveur et stockage. En tout cas, l'imminence d'une opération de croissance externe par Lenovo (qui dispose de 2 Md$ de liquidités) a fait bondir son titre de 27%. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas une acquisition, qu'elle soit de Positivo ou de Fujitsu Siemens, qui permettra à Lenovo de rattraper Acer. Le numéro trois de la micro, dont les derniers résultats montrent qu'il fait mieux son métier que Lenovo, talonne Dell et HP. Et distance largement Lenovo. (...)

(12/12/2008 14:27:28)

HP et Symantec victimes de vols de PC contenant les données d'employés

Chacun de leur côté, HP et Symantec ont averti leurs employés que certaines données les concernant, noms et numéros de sécurité sociale, étaient peut-être tombées entre de mauvaises mains à la suite du vol de deux ordinateurs portables. Pour HP, il s'agit de plusieurs milliers d'enregistrements sur ses employés qui se trouvaient sur un portable volé il y a plusieurs mois. Ce PC était alors en possession d'un de ses salariés dans la région de Houston. Après avoir pensé que l'ordinateur ne contenait pas d'informations sensibles, HP a dû se rendre à l'évidence après avoir vérifié les fichiers de sauvegarde du portable : le PC recélait les noms et numéros de sécurité sociale de certains de ses employés, actuels et anciens. « Le PC contenait les protocoles de sécurité standards de HP », explique le fournisseur. Toutefois, on peut penser que la société n'aurait pas eu à prévenir ses employés si les données du PC avaient été chiffrées. Seules 25 à 35% des entreprises américaines sécurisent leurs portables Chez Symantec, la perte est arrivée le 18 octobre et a touché une centaine d'employés qui étaient licenciés dans le cadre d'une restructuration des opérations informatiques de la société. « Des cambrioleurs ont dérobé le portable d'une personne qui travaillait chez lui sur le projet », explique Cris Paden, un porte-parole de Symantec, en précisant que sa société a pratiquement terminé le processus de chiffrement de tous ses portables d'entreprise. HP et Symantec collaborent aux enquêtes sur les vols et déclarent qu'ils n'ont pas de raison de penser que les données ont été utilisées à mauvais escient. Néanmoins, il est plutôt embarrassant pour deux sociétés vendant des produits censés protéger les données de devoir révéler qu'elles ont été elles-mêmes victimes d'une fuite d'information, a commenté à ce sujet Avivah Litan, analyste au Gartner. « Il n'y a pas d'excuse », juge-t-elle. Encrypter les données prend du temps, mais ne constitue pas un défi technique majeur. Or, il semble que ce ne soit pas une priorité pour de nombreux utilisateurs. Avivah Litan estime que seules 25 à 35% des entreprises américaines ont pris les mesures nécessaires pour sécuriser leurs ordinateurs portables. (...)

(12/12/2008 09:42:45)

PTC achète Synapsis et sa gestion de conformité environnementale pour l'industrie

L'éditeur de PLM (Product lifecycle management) PTC absorbe l'Américain Synapsis Technology. Cette petite entreprise américaine joue sur le même terrain que son acquéreur à une bien plus petite échelle. Mais ce qui a surtout motivé PTC dans sa décision, c'est que Synapsis, depuis 2004, propose un logiciel de mise en conformité des produits industriels aux réglementations environnementales. Les solutions de PLM sont entre autres, les garants de la gestion des informations produits depuis le design et la conception de ceux-ci jusqu'à leur fin de vie en passant par leur fabrication. Rien de plus logique que ces logiciels soient aussi les récipiendaires des informations réglementaires liées à l'environnement. Image et législation obligent, les industriels seront rapidement contraints d'intégrer l'environnement dans le cycle de vie de leurs produits. Or, sans automatisation, ce processus est lourd et coûteux. Il oblige les entreprises à surveiller les diverses réglementations et leurs déclinaisons internationales, à récupérer les informations idoines sur les matériaux qu'ils utilisent, etc. Suivre les réglementations et collectées les données techniques environnementales [[page]]Pour commencer, le logiciel Emars (Environmental Material Aggregation and Reporting System) de Synapsis s'occupe de l'ensemble des réglementations et de leurs mises à jour. Il gère par exemple la directive européenne DEEE (Déchets des équipements électriques et électroniques), RoHS (Restrictions on Hazardous Substances) en Europe et en Chine, ELV (End of Life Vehicles). Il facilite aussi la déclaration à REACH http://greenit.lemondeinformatique.fr/liens/lire-legislation-chimique-europeenne-reach-15.html qui contraint les entreprises qui utilisent des substances dangereuses (plusieurs milliers devraient être concernées) à en informer leurs clients. Mais surtout, Emars collecte et analyse les données techniques environnementales des produits à toutes les étapes de leur cycle de vie. Il suit la conformité aux normes et directives au niveau des substances, des matériaux, des pièces et des produits utilisés. Reste à PTC à procéder à l'intégration de Emars avec son offre de gestion de données techniques collaborative Windchill. Le logiciel communique déjà avec la plupart des PLM et des SGBD du marché. Il s'appuie sur des standards reconnus dans l'industrie pour l'échanges de données techniques et est développé en conformité à J2EE Aujourd'hui, Synapsis compte 80 personnes et dispose d'un centre de développement en Inde. PTC n'a pour l'instant indiqué ni ses intentions quant aux effectifs de Synapsis. (...)

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