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(28/11/2008 18:05:47)
Fermeture définitive pour Lycos Europe
Le petit chien noir de la recherche en ligne est définitivement enterré sur le Vieux Continent. Lycos Europe vient de mettre la clé sous la porte. L'entité était une filiale de Bertelsmann et Telefonica. « La meilleure option pour l'entreprise consiste à tenter de vendre nos noms de domaines », a écrit le groupe dans un communiqué. Fini donc les Caramail, Multimania et autre Jubii qui étaient tous censés suivre le chien le plus célèbre du web. Lycos laisse ainsi sur le tapis plus de 700 personnes dont une trentaine en France. Les actionnaires devraient quant à eux se partager un butin de 50 M€. Lycos Inc., qui appartient à un groupe coréen (et ne partageait plus que le nom et le logo avec Lycos Europe), continue ses activités dans le reste du monde. (...)
(28/11/2008 17:35:52)Riposte graduée : Paris obtient le retrait de l'amendement 138
Christine Albanel et les industriels de la culture peuvent se réjouir. Les internautes et les légalistes ont de quoi se lamenter. Le Conseil de l'Union européenne, dans le cadre de l'examen du 'Paquet télécoms', vient en effet de rejeter l'amendement 138. Ce texte, adopté à une majorité écrasante par les eurodéputés en septembre, étrillait implicitement le principe de riposte graduée prévu par le projet de loi français Création et Internet voté en octobre par le Sénat. L'amendement rappelait ainsi que les libertés des citoyens ne pouvaient être restreintes que sur décision d'une autorité judiciaire. Or, le projet de loi français qui vise à endiguer le téléchargement illicite, prévoit que les sanctions prononcées contre les internautes récalcitrants seront prononcées par l'Hadopi, une autorité administrative. Si le texte plébiscité par les élus du Parlement européen ne pouvait s'opposer directement aux desseins de Paris, il faisait mauvais genre. C'est pourquoi l'exécutif français a multiplié les initiatives pour forcer la main aux institutions européennes afin qu'elles rejettent l'amendement 138. Que ce texte soit légitime car voté par les seuls représentants du peuple au sein de l'UE semble n'avoir jamais ému la France. Une décision peu surprenante [[page]] Nicolas Sarkozy a pu profiter de son statut de président de l'Union européenne pour inciter les 27 à rejeter l'amendement. Comme nous l'annoncions au début du mois, la décision que vient de prendre le Conseil était largement pressentie par les observateurs. Guy Bono, l'un des auteurs de l'amendement 138, nous indiquait récemment que le président de la République avait exercé un « gros pressing » sur les membres du Conseil européen. Aujourd'hui, après que ce qu'il redoutait s'est réalisé, il s'indigne et estime que « le Conseil, à l'image de Nicolas Sarkozy, donne une piètre image de la démocratie européenne. » Partant, l'édile considère que son amendement « posait manifestement des problèmes [au chef de l'Etat] et à ses amis les majors. » « Une très bonne nouvelle » pour Christine Albanel De son côté, la ministre de la Culture, Christine Albanel se frotte les mains et félicite les Etats membres de l'UE d'avoir conduit au peloton d'exécution un amendement qui « se bornait à rappeler des principes très généraux [et qui] n'ajoutait rien au droit existant. » Surtout, estime la ministre, l'amendement comportait des termes imprécis « qui se prêtaient à toutes les manipulations ». Le ton est donc donné : selon la rue de Valois, le texte déposé par Guy Bono n'avait pour autre but que de s'opposer aux ayants droit. Désormais, précise Christine Albanel, « les ennemis des créateurs devront se battre à découvert. » [[page]] Et ce ne sont pas les critiques émises hier par la Commission européenne qui feront sourciller la préposée à la Culture française. Dans une longue lettre adressée à l'exécutif hexagonal, Bruxelles a fait la liste de ses observations sur le contenu de la loi Création et Internet. La Commission pose ainsi de nombreuses questions, notamment sur l'absence de proportionnalité entre le but - protéger les droits d'auteur et droits voisins - et les moyens - suspendre l'accès à Internet. En coupant l'abonnement au Web des internautes récalcitrant, l'Hadopi ne respecterait pas la directive européenne « service universel » qui impose aux Etats l'obligation de garantir l'accès de tous à Internet, ne serait-ce qu'en bas débit. Autre grief : en ne permettant pas aux internautes qui recevront les messages d'avertissement précédant la coupure de leur accès, le projet de loi français « pourrait mettre en danger le droit fondamental à un procès équitable ». Le calme avant la tempête Les admonestations bruxelloises n'ont certes pas de caractère contraignant pour Paris et ne remettent donc pas en cause le projet de loi Création et Internet. Elles viennent cependant rappeler, une nouvelle fois, que la Commission ne signera pas de blanc-seing à la France. Le Parlement réexaminera l'amendement 138 en deuxième lecture - Guy Bono assure qu'il déposera à nouveau un texte, peut-être encore plus précis et virulent que le premier - et l'adoptera sans aucun doute. Or, le texte final, qui sera adopté en 2009 par les 27, sera le fruit d'un compromis entre les eurodéputés et le Conseil, sous l'arbitrage de la Commission. Cette dernière a déjà fait état de ses réserves et le Conseil ne subira plus l'influence de la France, qui ne présidera en effet plus l'Union européenne et aura laissé sa place à la République Tchèque. Le retrait, hier, de l'amendement 138, pourrait donc n'être qu'un répit laissé à la France avant que l'Europe ne vienne définitivement contrarier le principe de la riposte graduée. (...)
(28/11/2008 17:29:29)Tribune libre : les 'digital natives' en coaches technos des managers
Et si, au lieu de les dénigrer, les managers d'entreprise valorisaient au contraire les jeunes, et apprenaient à tirer parti de leur façon d'utiliser les nouvelles technologies. Telle est l'idée soumise par Frédéric Soussin, consultant indépendant, dans une toute nouvelle tribune libre, publiée en vidéo dans notre blog Experts. Frédéric Soussin estime en effet que, du point de vue technologique, nombre de managers sont des analphabètes, qui gagneraient à se faire coacher par des 'digital natives'. (...)
(28/11/2008 17:03:01)Winshuttle transfère les données entre Excel et les applications SAP
Winshuttle s'est spécialisé sur les outils de productivité autour des ERP et en particulier dans l'univers SAP. Son produit transactionShuttle, 'logiciel compagnon' de l'ERP SAP Business Suite, a été conçu pour effectuer des transferts de données, de façon automatisée et sécurisée, entre Microsoft Excel et la suite de gestion intégrée de SAP (incluant, outre l'ERP, les applications de gestion de la relation client, de gestion du cycle de vie des produits et de gestion de la relation fournisseur). L'offre, qui répond à des besoins de saisie de masse, propose des modèles prédéfinis de transfert. Elle présente l'intérêt de pouvoir être mise directement entre les mains des utilisateurs, pour des besoins récurrents d'intégration de données, ce qui permet d'éviter de recourir aux équipes informatiques. Les cas d'applications sont variés, des processus métiers liés aux commandes et à la facturation, à la gestion des ressources humaines, en passant par le pilotage des processus de fabrication (secteur industriel), etc. SAP utilise lui-même l'outil Près d'une centaine d'entreprises françaises utilisent l'outil, notamment Bouygues Telecom, Yves Rocher, Bosch, Thalès Avionique, LVMH ou encore EDS pour son propre système d'information. La base installée comprend également des PME : « Notre plus petit client compte vingt utilisateurs SAP », donne en exemple Bernard Haddad, président de Winshuttle France. La licence du produit est facturée à l'utilisateur (à partir de 31 000 euros pour cinq licences). Dans le monde, quatre cents clients recourent à transactionShuttle, parmi lesquels SAP lui-même. Winshuttle doit prochainement livrer une autre solution, Query Shuttle, qui servira cette fois à extraire des données des tables SAP pour les verser dans Excel. (...)
(28/11/2008 17:07:30)Sondage flash : Les petites annonces restent le premier canal de recherche d'emploi
CV vidéos, blogs, réseaux sociaux, forums, salons virtuels. Le Web 2.0 a donné naissance à une panoplie de nouveaux canaux destinés au recrutement et à la recherche d'emploi.
Pourtant, les méthodes traditionnelles font encore partie des habitudes des recruteurs et de celle des candidats. Cette tendance se vérifie dans notre dernier sondage flash : d'après les résultats, 44% des candidats indiquent préférer la voie classique des petites annonces pour chercher un emploi. Pas plus tard qu'hier, le PDG du spécialiste de l'emploi Wanajob recommandait aux recruteurs de maîtriser les règles du référencement pour figurer dans les premières pages de Google de manière à assurer la visibilité de leurs offres d'emplois sur le Net...
Un tiers des candidats s'appuie sur son réseau de connaissances
Le deuxième canal utilisé par les candidats pour décrocher un job est le réseau de connaissances, qui réunit près d'un tiers des suffrages (32,9%). Le bouche à oreilles est une méthode sur laquelle s'appuient largement les candidats et leurs employeurs. Chez certains,
Crise oblige, Fujitsu-Siemens supprime 700 postes en Allemagne
Face à la crise, Fujitsu-Siemens va licencier sept cents personnes en Allemagne, soit 12% de ses six mille salariés dans le pays. Le groupe précise cependant que les employés à des postes de production ne seront pas touchés (mise à jour). Il ajoute que cette décision conjoncturelle n'a pas de lien avec la reprise de Fujistu des 50% de participation de Siemens dans cette coentreprise vieille de 10 ans. Toutefois, il semble avéré que le Japonais, qui détiendra à partir d'avril la totalité de Fujitsu-Siemens, compte se recentrer sur ses activités professionnelles. Autrement dit, les serveurs... (...)
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