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(28/11/2008 16:18:10)

La licence XP, un bon motif pour acheter des PC d'occasion

Ce qui a le plus de valeur dans un PC d'occasion ? Sa licence Windows XP, bien sûr ! Interrogé par notre confrère IDG News Service, David Daoud d'IDC confirme l'intérêt de disposer d'une machine sous XP prête à l'emploi. Un point de vue que partage aussi le Gartner Group. La demande pour ces micros sous XP vient surtout d'entreprises pour lesquelles acquérir un micro sous XP présente deux avantages. D'une part, la garantie d'une compatibilité à 100% avec le parc applicatif, d'autre part, le maintien de la cohérence de ce parc. Sans parler du fait que, pour des besoins professionnels habituels (bureautique, courriels...), il n'est pas nécessaire d'acheter un micro dernier cri. Celui-ci est non seulement plus cher, mais, en plus, il arrive avec Vista pré-installé. Le coût de mise en conformité avec le reste du parc s'ajoute à celui de son achat. Pour les chasseurs de XP pré-installés, la principale difficulté à surmonter consiste à s'assurer de l'authenticité de la version livrée avec la machine. Les modèles de grande marque, censés être plus fiables que les modèles génériques, arborent ainsi la fameuse étiquette COA (Certificate of Authenticity). Microsoft propose aussi un outil d'authentification en ligne. qui garantit l'authenticité du système d'exploitation présent. Il reste que le marché du micro d'occasion est loin d'être aussi structuré que celui d'autres biens durables. Et selon le Gartner Group, moins d'un PC sur deux entre sur le marché d'occasion. (...)

(28/11/2008 15:52:48)

Le CNRS se réorganise malgré les manifestations

C'est après un rocambolesque jeu du chat et de la souris entre la direction du CNRS, les syndicats, les manifestants et les CRS, que s'est tenu hier (jeudi 27 novembre) le conseil d'administration du Centre national de la recherche scientifique. Qui a avalisé le découpage en instituts prévu par Valérie Pécresse, ministre de la Recherche et de l'Enseignement supérieur. Dans un communiqué, le CNRS précise : « Au cours de sa séance du 27 novembre 2008, le Conseil d'administration du CNRS a voté le budget 2009 de l'organisme et a adopté, comme l'avait fait le Conseil scientifique le 18 novembre 2008, la structuration de l'organisme en 9 Instituts et 3 Pôles. Il s'agit d'une étape essentielle dans la réforme de l'établissement. En préalable, le Conseil d'administration avait exprimé le souhait que s'engage une réflexion sur la création d'un dixième Institut dédié aux sciences et technologies de l'information. » Toutes ces décisions devraient prendre effet « dès le premier trimestre 2009 ». Les syndicats s'étaient vivement opposés à cette réforme, accusant la ministre de vouloir démanteler le CNRS et soumettre la recherche au pouvoir politique. Fin juin, ils croyaient avoir fait revenir Valérie Pécresse sur ses intentions. Rassuré mais encore prudent, Jean-Luc Mazet, secrétaire général du syndicat SNCS-FSU, syndicat national des chercheurs scientifiques, nous expliquait : « La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche souhaitait faire sortir du CNRS un nombre important de disciplines. Elle entendait nommer les directeurs des nouveaux instituts et doter ces derniers de budgets indépendants, faisant du CNRS une coquille vide. » Les élus dénoncent le démantèlement du CNRS [[page]] Hier, les élus et personnels du CNRS étaient encore mobilisés pour s'opposer au projet de réforme. Tant et si bien que le conseil d'administration ne s'est pas tenu à l'endroit prévu, les élus étant convoqués au dernier moment par SMS dans les locaux du CNRS pour éviter les manifestants. Face à cette situation, ils ont refusé de siéger. Dans un communiqué commun (SGEN-CFDT, SGEN-CFDT, SNCS-FSU, SNTRS-CGT), les élus expliquent : « Suite à l'occupation du siège du CNRS rue Michel-Ange (16ème), Paris, par une manifestation de plus de 1000 personnels, le CA a été déplacé au dernier moment dans des locaux du CNRS, boulevard Exelmans (16ème). Les élus ont été informés à 8h30 par SMS sur leur téléphone portable de ce changement de lieu. De nombreuses forces de police ont empêché les manifestants de rentrer dans les locaux où avait été déplacé le CA. Les deux représentants nommés au CA, au titre du monde du travail (Simone Cassette, CGT, Jacques Fossey, FSU) ont aussi refusé de siéger derrière un tel cordon de police. » Valérie Pécresse condamne les manifestants La ministre a de son côté vilipendé cette attitude. Alors que l'intersyndicale demande au gouvernement « d'ouvrir de réelles négociations », Valérie Pécresse « condamne la tentative de blocage du conseil d'administration du CNRS, instance naturelle de dialogue et de décision de cet organisme. ». Et rappelle que le budget 2009 du CNRS est en augmentation de 4,6%. « Ce budget garantit le maintien du soutien de base aux laboratoires, permet le financement des grandes infrastructures de recherche dont le Synchrotron Soleil et la mise en oeuvre des mesures en faveur de l'amélioration des carrières des personnels de la recherche. » Direction et syndicats étant en réunion, LeMondeInformatique.fr reviendra plus tard sur le sujet avec des réactions des deux parties. (...)

(28/11/2008 15:20:44)

Le Green Grid soutient le code de bonne conduite pour les datacenters de l'UE

Le Green Grid, consortium d'entreprises qui cherchent à améliorer l'efficacité des datacenters et autres écosystèmes informatiques professionnels, a annoncé qu'il apportait son soutien au Code de bonne conduite destiné aux datacenters, présenté le 19 novembre dernier par la Commission européenne. Le centre de recherche de la Commission a opté pour l'indicateur DCIE (data center intrastructure efficiency), défini par le Green Grid, pour mesurer l'efficacité énergétique des datacenters. Cet indice, ratio inverse du PUE (power usage effectiveness) calcule le rapport entre les dépenses énergétiques de l'informatique et celles plus globales de l'entreprise. « A terme, la cohérence des unités de mesures de consommation énergétique utilisées par les entreprises améliorera la gestion de leurs dépenses, a commenté John Tucillo, administrateur du Green Grid dans un communiqué. C'est pourquoi le Green Grid soutient l'effort de l'Union Européenne et compte poursuivre sa collaboration avec cette institution. » Depuis le mois de février, la Commission européenne planchait sur l'adoption d'un code de bonne conduite pour les datacenters, dans le but de minimiser les conséquences de la consommation d'énergie sur l'environnement. Ce code a officiellement été lancé il y a quelques jours. Il a été accueilli avec satisfaction par Julian Hunt, ministre britannique du Développement durable et de l'Innovation en énergie : « si nous voulons lutter contre les dangers des changements climatiques, nous devons réduire les émissions de CO2. L'implication des entreprises est un élément clé pour relever ce défi. » La Commission européenne estime que grâce à ce code ce sont quelque 4,7 millions de tonnes de gaz à effet de serre qui pourraient être économisées en six ans. D'ici à 2050, la réduction devrait atteindre les 80%. (...)

(28/11/2008 13:50:29)

Carl Icahn double sa participation dans le capital de Yahoo

Carl Icahn n'a pas froid aux yeux : malgré les remous qui agitent le navire Yahoo, l'investisseur milliardaire a doublé sa participation dans le capital du portail Web en l'espace de trois jours. Il a déposé auprès de la SEC (Securities and exchange commission, le gendarme de la bourse américaine) une demande de rachat de 6,9 millions d'actions du portail, ce qui porte sa participation globale à 5,4%. Montant de la facture : près de 70 M€. Des actions achetées à bon prix Cette montée en puissance à de quoi surprendre. Yahoo étant en proie à de violentes secousses économiques et stratégiques. Le chiffre d'affaires croupit, le résultat net s'écroule (54 M€ au troisième trimestre 2008, soit - 64% par rapport à l'année dernière), les licenciements se succèdent, Yahoo vient même de brader Kelkoo, le site comparateur de prix acquis en 2004 pour 475 M€ et revendu moins de 100 M€ à un fonds britannique. Pas de quoi représenter l'investissement idéal. Mais à y regarder de plus près, la stratégie de Carl Icahn est loin de se limiter à un simple caprice de milliardaire. D'un point de vue financier tout d'abord. L'action de Yahoo mord aujourd'hui la poussière à moins de 10 $, alors qu'elle flirtait avec les 27 $ il y a tout juste un an et que Microsoft en proposait 33 $. Une affaire donc, à condition de croire en l'avenir de Yahoo. Et c'est apparemment le cas de Carl Icahn. Carl Icahn veut peut-être ouvrir une nouvelle porte à Microsoft Le milliardaire a toujours fait savoir qu'il désapprouvait l'entêtement de Jerry Yang à refuser l'offre en or de Microsoft. Fin stratège, il a même poussé le vice jusqu'à menacer Yahoo de se lancer dans un proxy fight (bataille de mandats) et de faire renouveler son conseil d'administration. Yahoo a fait profil bas lors de sa dernière assemblée générale en octroyant à Carl Icahn la place qu'il convoitait au sein du conseil d'administration. Mais cela ne suffit pas à Carl Icahn, qui n'a sans doute pas abandonné l'idée d'un rapprochement avec Microsoft. L'homme d'affaires dispose de beaucoup d'influence et ne risque pas de desserrer les griffes. Il a déjà poussé bon gré mal gré le conseil d'administration de BEA à accepter l'offre de rachat formulée par Oracle. Des analystes cités par Reuters ont récemment souligné que « Jerry Yang aura plus de mal à se sortir des griffes de Carl Icahn que de celles de Steve Ballmer », PDG de Microsoft. Les faits leur donnent raison : Jerry Yang a récemment abandonné son poste de PDG de Yahoo, peut-être légèrement poussé par des actionnaires. Quant à Steve Ballmer, il s'est récemment déclaré désintéressé par un rachat de Yahoo. Carl Icahn parviendra peut-être à renverser la vapeur... (...)

(28/11/2008 12:56:10)

Microsoft prête à 4,9% aux PME pour acheter ses logiciels

Microsoft a annoncé hier une offre de financement à 4,9% sur 36 mois, à partir de 7 500 euros d'achat, sur l'ensemble de ses gammes professionnelles vendues à travers les contrats de licences en volume Open et Open Value. Mi-novembre, il avait déjà lancé une offre de financement à 0% sur 36 mois pour les acquéreurs de ses solutions ERP (Dynamics NAV et AX) et de son progiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM (à partir de 15 500 et jusqu'à 775 000 euros). L'éditeur entend utiliser sa puissante trésorerie pour doper ses ventes vers des PME fragilisées par la dégradation du contexte économique. En préambule à son annonce, hier, Microsoft a rappelé que l'assureur crédit Euler Hermes SFAC prévoyait une augmentation de 25% du nombre de défaillances d'entreprises en 2008 et en 2009. Il a donc relancé l'organisme de crédit qu'il a créé en 2006 en France mais dont l'activité restait modeste : environ 15% des ventes de licences Open. L'objectif est de porter cette proportion à 40% avant deux ans. Le message aux grossistes, aux revendeurs, mais aussi aux banquiers, est clair : Microsoft est en mesure de prendre en charge le risque financier. Un offre valable jusqu'au 31 mars Le taux de 4,9% proposé « est quasiment inférieur de moitié à celui du marché », affirme Bertrand Launay, Directeur PME-PMI de Microsoft France. Cette offre de financement, soumise à l'approbation du dossier du client par Microsoft Financing, s'applique à l'ensemble de la gamme de produits de l'éditeur : Windows, la bureautique Office, Communications Server, l'offre de virtualisation, etc. Elle concerne l'ensemble des PME (dont l'effectif peut aller de 5 à 1 000 personnes selon les critères de Microsoft) et sera valable jusqu'au 31 mars 2009. Aucun impact sur la rémunération des partenaires [[page]] « Cela n'aura aucun impact sur la rémunération de nos partenaires », affirme Bertrand Launay. En fait, la principale différence est que les partenaires devront attendre l'accord de Microsoft Financing, « qui s'engage à répondre sous 24 heures ». Sur le fond, le discours de Microsoft est cohérent : « les PME ne peuvent pas se permettre d'arrêter d'investir dans des solutions qui leur permettent de réduire leurs coûts à cause de problèmes momentanés de trésorerie ». Ces taux avantageux concernent logiquement les produits Microsoft, mais l'éditeur va plus loin dans son nouveau rôle de banquier : il peut financer l'ensemble d'un projet, matériels, services et autres logiciels compris. Dans ce cas, les produits « non Microsoft » seront accessibles « au taux standard du marché ». Cerise sur le gâteau : Microsoft remboursera jusqu'à 5 000 euros aux entreprises qui avaient acquis des licences Open sur la gamme Office au prix fort. La remise correspond à environ 10% du prix d'une licence et est cumulable avec les nouvelles offres de crédit. (...)

(28/11/2008 11:55:57)

L'Europe divise par deux ses prévisions de croissance des TIC pour 2009

Thomas Mosch, président de Bitkom Research et membre de l'EITO (Observatoire européen des technologies de l'information), a livré hier les prévisions de l'EITO, à l'occasion de la présentation des thèmes retenus pour le prochain Cebit (ce dernier étant un sponsor de l'Observatoire). « Normalement, a expliqué Thomas Mosch, la mise à jour [des chiffres] aurait dû avoir lieu en mars, mais vu les événements actuels, nous avons décidé de réaliser une mise à jour en novembre. » Après avoir compilé des chiffres fournis par des cabinets dans tous les pays de l'Europe de l'Ouest (PAC et Idate en France), l'EITO a constaté une première inquiétante : quatre trimestres consécutifs « d'attentes mauvaises pour l'avenir ». Du coup, alors que la croissance prévue pour l'industrie IT de l'Europe de l'Ouest en 2009 était de 4% (ce qui était déjà relativement faible par rapport aux années précédentes), elle n'est plus que de 2%. Dans les télécoms, la correction est encore plus importante : 0,3% contre 1,3%. Car ce secteur sera touché « non seulement par la crise financière, mais aussi par la régulation du prix des télécoms », a expliqué Thomas Mosch, citant par exemple la récente décision de l'Union européenne de plafonner le montant des tarifs pour l'itinérance (roaming). 1,8% de croissance IT en France en 2009 contre 3,8% initialement prévus Présentant les chiffres pour la France, Frédéric Giron, consultant chez PAC, a lui employé le terme de « décélération forte pour 2009 ». Prévue à 3,8% lors des résultats présentés en mai dernier, la croissance dans l'IT en France en 2009 devrait n'être finalement que de 1,8%. Les télécoms étant plus à l'abri : la croissance pour 2008 devrait être meilleure que prévu (3,0% contre 2,4%), et la chute devrait être limitée en 2009 : 1,9% contre 2,2% initialement prévus. Pour Frédéric Giron, la baisse de l'activité devrait toucher d'abord les petites et moyennes SSII, auxquelles les grosses SSII sous-traitaient des affaires. Alors que ces grosses SSII souffraient d'une pénurie de compétences pour répondre à la demande, elles pâtissent « depuis septembre-octobre de carnets de commande un peu moins fournis ». Selon le consultant, « les grands projets en cours ne sont pas arrêtés, mais la grande différence [avec le premier semestre 2008], c'est que les nouveaux projets sont arrêtés ou mis sur pause ». Pour les analystes, la solution est à portée de main... du pouvoir politique [[page]] Les dépenses en équipement IT ne sauveront pas le secteur : « Le matériel était déjà en décroissance en 2008 à cause de la pression sur les prix. Et ce qu'on va voir [avec la crise], c'est que le taux de renouvellement va chuter. » Et d'ajouter que le seul segment porteur en volume, les netbooks, contribuera à faire baisser les prix. L'industrie IT vue comme une partie de la solution Pour Thomas Mosch comme pour Frédéric Giron, des politiques de relance étatiques (sous forme de commandes aux fournisseurs IT de la part du secteur public), pourraient soutenir le marché. Néanmoins, les deux analystes n'ont guère de billes à fournir sur le sujet. Thomas Mosch souligne toutefois que « contrairement à la crise de 2000, où c'était une crise IT, aujourd'hui l'industrie IT est plus perçue comme une partie de la solution », utile pour réaliser des économies. Pour lui, « c'est plutôt porteur d'espoir ». Finalement, la solution à la crise est peut-être venue du commissaire général du Cebit. Réagissant à la présentation de ces chiffres, Sven Prüser a expliqué, sans toutefois employer ce terme, que l'industrie était engagée dans une sorte de prophétie auto-réalisatrice. « D'après nos enquêtes, la majorité des entreprises n'ont pas vu d'effets directs de la crise, mais elles prennent leurs précautions. C'est un peu comme la prophétie qui s'avère juste : si tout le monde l'attend, ça va venir. » Il suffirait donc de rétablir la confiance, chose que les politiques peinent à faire. « On manque d'orientation, a déploré Sven Prüser. Or les améliorations ne sont possibles que grâce aux NTIC. » (...)

(28/11/2008 09:16:28)

Les tops et les flops du recrutement vus par trois spécialistes RH

La déferlante des nouveaux outils du Web 2.0 - réseaux sociaux, salons virtuels, blogs RH, vidéos - a entraîné un profond bouleversement des techniques de recrutement. C'est sur ce thème que trois spécialistes du recrutement - l'éditeur Taleo, l'agence RH TMPNeo et le moteur de recherche d'offres d'emploi Wanajob - ont débattu à Paris hier matin, 27 novembre, lors d'une conférence de presse intitulée « Les nouvelles pratiques des recruteurs ou l'art de réinventer son métier ». Premier enseignement : aux Etats-Unis, les réseaux communautaires (sites, cooptation) seraient devenus le principal vecteur d'approche utilisé par les entreprises pour trouver des candidats potentiels. Les flops : CV vidéo, sites d'emploi/mobilité, blogs RH et « viviers » Pour les trois experts, les réseaux sociaux, la vidéo et le monde virtuel de Second Life sont considérés comme les plus performants. A l'inverse, ils n'ont pas hésité à utiliser le terme de flop pour qualifier les CV vidéo, les sites d'emploi (jobboards)accessibles via la téléphonie mobile, les blogs RH et les « viviers » de candidatures. « Le principal problème du CV vidéo, c'est qu'il est fortement consommateur de temps, a souligné Thomas Delorme, responsable de la stratégie interactive chez TMPNeo. D'autant qu'au final, les contenus sont souvent d'un niveau qui frise le pathétique. » Le constat n'est guère meilleur s'agissant des blogs RH : « Ce type d'outil était considéré comme un must, voire une révélation, par les entreprises, rappelait Stéphane Labrouche, PDG de Wanajob. Encore fallait-il veiller à les alimenter et à assurer leur mise à jour régulière pour asseoir leur crédibilité, ce qui n'a pas été fait ». En outre, un blog d'entreprise ne doit pas se contenter de faire passer des messages dictés par la maison mère. « En tant que plateforme d'échanges, il doit s'ouvrir à la communauté et abandonner le contrôle sur son contenu, en acceptant les critiques et les commentaires des internautes », estimait également le PDG de Wanajob. Les bases de données (viviers) de CV ont également essuyé des critiques assez sévères de la part des trois interlocuteurs : « Les viviers de candidatures se contentent de fonctionner comme de simples composteurs de CV ! regrettait le responsable de la stratégie interactive de TMPNeo. La plupart du temps, les CV stockés dans les bases de données ne sont plus mis à jour par les recruteurs, qui se contentent de les numériser et de les archiver. » Les candidatures papiers résistent toujours [[page]] Malgré tout, certains bons vieux outils font encore partie des habitudes des recruteurs, comme des candidats. En 2008, une étude de Robert Half montrait que 42% des entreprises - tous pays confondus - préféraient recruter des candidatures papier. En France, ils n'étaient que 47 % à recruter sur format électronique ! Cette tendance se vérifie également dans notre dernier sondage flash : d'après les résultats de notre enquête, 44% des candidats indiquaient préférer la voie classique des petites annonces pour chercher un emploi. être visible sur les moteurs de recherche En 2009, les recruteurs devraient continuer à développer le sourcing et rechercher les candidats sur plusieurs plateformes avec des outils différents. Le défi des entreprises consistera également à être visibles dans les moteurs de recherche. D'après le PDG de Wanajob, les entreprises devront maîtriser les règles du référencement pour figurer dans les deux premières pages de Google de manière à assurer leur visibilité auprès des candidats potentiels. Crise oblige, Stéphane Labrouche pense que les employeurs auront également tendance à miser sur la mobilité interne. (...)

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