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(19/11/2008 12:30:31)

Le patron de Google encourage Barack Obama à miser sur les technologies

Energies renouvelables, aides aux entreprises innovantes, développement du haut débit, etc. Eric Schmidt, patron de Google et l'un des conseillers économiques du candidat Barack Obama, s'est fendu d'un discours, mardi à Washington, qui s'apparente à un programme politique. Mais inutile d'y voir les velléités d'appartenance à la future administration Obama : Eric Schmidt a clairement indiqué qu'il entendait continuer à diriger Google et n'ambitionnait pas devenir le prochain CTO du futur président des Etats-Unis. Pour autant, Eric Schmidt ne manque pas d'idées sur la politique que devra mener le 'président élu', notamment pour combattre la crise. « Pour régler nos problèmes économiques et créer des emplois, nous devons miser sur l'innovation », a-t-il expliqué. Et, dans cette optique, les pouvoirs publics doivent faire montre d'interventionnisme, contrairement aux huit années d'administration Bush au cours desquelles, selon lui, le secteur privé a été considéré comme le seul remède à de nombreux maux. 10 Md$ pour les énergies vertes Les initiatives publiques pourraient, en premier lieu, prendre la forme de mesures fiscales visant à inciter au développement d'énergies renouvelables et à réduire la dépendance américaine aux énergies fossiles. Un premier effort de 10 Md$ pourrait, assure Eric Schmidt, aider les producteurs d'énergies alternatives et encourager les constructeurs automobiles à développer des véhicules hybrides. Et le patron de Google de rappeler que son groupe a présenté, il y a quelques semaines, un plan pour sauver la planète, ou tout du moins pour défaire l'addiction des Etats-Unis au pétrole d'ici à 2030. « Nous pouvons réduire nos dépenses en énergie, créer des emplois et dégager d'énormes avantages économiques pour les générations à venir, a résumé Eric Schmidt. Le volontarisme politique était, jusqu'à présent, l'élément qui manquait pour y parvenir. » Relier 45% d'Américains à Internet [[page]] Au-delà des questions environnementales, le PDG de Google a également fait part de ses idées pour le numérique. L'une des priorités des Etats-Unis doit résider, selon lui, dans le développement du haut débit. Là aussi, des investissements sont nécessaires pour étendre le réseau large bande à l'ensemble du pays et offrir aux 45% d'Américains non connectés l'opportunité d'accéder au Web. « Nous avons inventé cette technologie et maintenant nous pointons à la 15e place mondiale », a déploré Eric Schmidt. Sur ce sujet, ses préoccupations rejoignent celles de Barack Obama. Le futur président a en effet évoqué, au cours de sa campagne, la nécessité d'étendre l'accès à Internet à l'ensemble du pays. L'outil, en plus d'ouvrir une porte sur la connaissance, est vu par les deux hommes comme une opportunité d'impliquer les citoyens dans les choix politiques, à travers une démarche participative. Barack Obama n'a d'ailleurs pas manqué d'utiliser la plateforme de partage de vidéos de Google, Youtube, pour soumettre ses discours au débat. Eric Schmidt est pressé de voir se généraliser cette adoption des technologies par les dirigeants : « Les pouvoirs publics n'ont, en règle générale, pas adopté les outils que nous utilisons tous les jours. Il est temps que cela change. » (...)

(19/11/2008 11:39:33)

Adobe Max : AIR 1.5 s'adapte aux capacités de Flash 10

Adobe a présenté aux développeurs la première mise à jour de son client AIR depuis son lancement en février dernier : AIR 1.5, le moteur d'exécution pour applications riches déconnectées, se met au niveau des nouvelles capacités de la technologie Flash, dont la version 10 vient de sortir. AIR 1.5 bénéficie ainsi de technologies de filtres vidéo (Pixel Bender), d'effets 3D, ou d'amélioration de la qualité de la diffusion de flux vidéo. Au menu aussi, de nouvelles capacités d'affichage des polices ; présent lors de la conférence développeurs Adobe Max qui se déroule en ce moment aux Etats-Unis, le vice-président R&D du groupe New York Times a présenté une application de ces capacités dans un client de lecture électronique développé pour l'International Herald Tribune. Ce client basé sur AIR 1.5 permet de se déplacer dans les pages à l'aide des flèches du clavier, et il est capable de reformater les pages automatiquement en fonction de la taille de l'écran. Salesforce.com réclame des interfaces AIR pour ses applications Selon Adobe, la place de marché AIR compte plus de 260 applications, et le nombre d'installations du client dépasse les 25 millions. Parmi les plus populaires, Adobe cite Twhirl, un client pour le service Twitter, qui aurait été téléchargé plus de 600 000 fois. Mais comme pour FedEx (FedEx Desktop), eBay (projet San Dimas) ou SAP (projet Muse), Adobe vise en priorité des utilisations professionnelles. Steve Fisher, vice-président exécutif de Salesforce.com, était ainsi invité sur scène pour encourager les développeurs à recourir à AIR et à Flex pour concevoir de meilleures interfaces pour les applications Salesforce.com. Parmi les autres nouvelles fonctions d'Adobe Integrated Runtime, il faut aussi noter une méthode de chiffrement plus simple et plus performante pour crypter les données stockées en local, et un interpréteur de code également mis à jour, qui accélérerait l'exécution du Javascript jusqu'à 35%, indique Adobe. (...)

(19/11/2008 10:48:17)

Le Libre se généralise dans les entreprises, selon Gartner

Seules 15% des entreprises n'utilisent pas encore de logiciels libres dans le monde, mais toutes prévoient de le faire d'ici un an. Les logiciels libres ont donc complètement investi les systèmes d'information des entreprises, tel est le résultat sans appel d'un sondage conduit par Gartner Group au début de l'été dernier auprès de quelque 300 entreprises réparties dans le monde. Pour autant, le cabinet est avare de précisions sur l'ampleur de cette présence au sein des DSI. Il garde pour ses clients les détails concrets. Il indique toutefois que, si le Libre est surtout utilisé au niveau des couches d'infrastructure, il étend son emprise aux couches applicatives. Pour l'avenir, les entreprises devraient opter pour le Libre autant dans des projets stratégiques que dans des chantiers de moindre importance. Gartner précise même que le nombre de projets Libres concernant la couche applicative est en croissance. Ces projets visent de plus en plus à remplacer une application propriétaire. Cette tendance est encore plus nette dans les domaines applicatifs qui manquent de maturité, là où l'effort de développement que réclame le Libre n'est pas plus lourd que celui pour paramétrer une application propriétaire complexe et coûteuse. Il s'agit des services à la clientèle qui regroupent le plus de projets Libres, suivi par l'intégration, la finance, l'administration et le décisionnel. Réduction des coûts et facilité de déploiement sont les moteurs de l'adoption du Libre Les motivations qui poussent à l'adoption du Libre relèvent à la fois des domaines économique et technique. Juste derrière le fameux TCO (coût total de possession), où la modicité relative des coûts de développement pèse de tout son poids, se profile la facilité d'entamer un nouveau projet avec du libre. Une souplesse renforcée par la possibilité de contourner la lourdeur des procédures internes qu'impose le choix d'un produit commercial. Gartner souligne que, malgré son adoption massive, les spécificités du logiciel libre ne sont toujours pas appréhendées comme telles par les entreprises utilisatrices. 69% d'entre elles n'ont pas développé de politique formelle pour sa gestion. Faute de pratiques rigoureuses en matière d'évaluation et de référencement, Gartner craint que les entreprises ne s'exposent à des risques d'ordre principalement juridique, un écueil encore aggravé par la profusion des licences. C'est d'ailleurs dans ce domaine que Gartner peut aider les entreprises. Ce cabinet, qui n'a rien d'une entreprise philanthropique, publie en plein tsunami économique le résumé de ce sondage qui remonte à cinq mois. Montrer les attraits du Libre et le besoin d'accompagnement qu'il réclame peut permettre d'échapper aux coupes budgétaires qui visent en priorité des postes comme le conseil. (...)

(19/11/2008 10:35:44)

Deux systèmes au-delà du Petaflops dans le Top500

Roadrunner plie mais ne rompt pas. En tête du précédent Top500, publié en juin dernier, IBM, Intel et Linux squattent le Top500, le supercalculateur petaflopique d'IBM garde la première place du classement des plus imposants monstres de calcul de la planète. Un peu plus performant qu'en juin, Roadrunner (en photo ci-dessus) affiche désormais un peu plus de 1,1 Pflops (un petaflops équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde). Le Jaguar de Cray, installé au Laboratoire national d'Oak Ridge aux Etats-Unis, bondit directement sur la deuxième marche du podium, talonnant Roadrunner avec 1,059 Pflops. C'est le deuxième à franchir le cap mythique du Pflops. Intel reste largement majoritaire avec près de 76% des configurations, mais c'est le couple PowerXCell d'IBM et Opteron d'AMD qui donne sa puissance à Roadrunner. Le Jaguar héberge, lui, les quadricoeurs du numéro 2 mondial des processeurs. AMD équipe cinq autres des 10 premiers et l'architecture PowerPC, deux. Un seul des 10 premiers systèmes est équipé par Intel. Certes, il s'agit du numéro 3 et d'un tout nouveau système SGI installé à la Nasa avec une performance proche de 500 Tflops. Par ailleurs, deux tiers des supercalculateurs intègrent désormais des quadricoeurs, modèle en passe de devenir un standard avec les sorties récentes du Core i7 d'Intel et du Shanghai d'AMD. Coté système, Linux n'est guère menacé, avec 88% des systèmes. Un numéro dix chinois équipé de Windows HPC Server [[page]]A l'exception de sa tête, le classement des dix premiers du Top 500 est bouleversé par rapport à la dernière liste, publiée cet été. Neuf machines sont installées aux Etats-Unis (dont 7 au DoE, Département de l'énergie). Exit l'Allemagne, l'Inde et la France (désormais respectivement 11e, 13e et 14e). Elles laissent la place à la Chine qui se glisse en 10e position avec son Shanghai Supercomputer Center équipé du tout nouveau Windows HPC 2008. L'Hexagone place 26 systèmes dans le classement et culmine à 128 Tflops avec le site du Genci (Grand équipement national de calcul intensif). Enfin, en attendant le Green500 (classement des supercalculateurs par efficacité énergétique) qui sera dévoilé le 20 novembre, le Top500 classe désormais aussi ses machines en fonction de leur consommation énergétique. A ce jeu là, IBM gagne encore. Selon l'organisme, les configurations les plus efficaces en la matière s'appuient sur des lames à base de Cell (536 Mflops/W) ou des systèmes BlueGene d'IBM. La consommation moyenne du classement est de 358 kWatt alors que l'efficacité énergétique moyenne se situe à 132 Mflops/Watt. Et seuls 14 systèmes dépassent le MWatt. (...)

(19/11/2008 09:54:02)

CA World 2008 : le Saas pour y voir plus clair dans l'offre

Des logiciels payables sous forme de souscription et accessibles en ligne, des fonctions packagées pour constituer des solutions globales : CA fait de gros efforts pour offrir à ses clients plus de simplicité. L'ex-Computer Associates est en effet connu pour l'extrême complexité de son offre, lui qui n'a cessé d'effectuer des rachats. A l'occasion de sa conférence utilisateurs 2008 CA World, qui accueille quelque 5 000 personnes à Las Vegas jusqu'à demain, CA s'efforce donc de montrer un visage plus simple à appréhender, afin d'aider les directeurs informatiques à mieux gérer la complexité de leurs systèmes. Ainsi, l'offre de gestion du support utilisateur Service Desk Manager 12 intègre désormais 7 produits en 1, « que d'autres fournisseurs vendent séparément », dit CA : gestion des changements, gestion des appels entrants, base de gestion des configurations (CMDB), cartographie des interdépendances entre applications, gestion des connaissances, automatisation du support et reporting. Pour l'analyste Jasmine Noel, de Ptak, Noel and Associates, cela va dans le bon sens. « CA simplifie la façon dont les entreprises peuvent acheter des capacités intégrées. Au lieu d'acheter plusieurs produits CA, vous avez un seul package, avec un ticket d'entrée moins élevé et que vous pouvez implémenter de façon standardisée. » Autre avantage, souligne l'analyste, cela correspond à la nouvelle philosophie de l'administration de systèmes, soutenue par les bonnes pratiques Itil, qui veut qu'on se préoccupe non de produits mais de processus. « Les clients passent d'une approche focalisée sur les tâches à une approche processus. Et ils ne veulent pas avoir à intégrer eux-mêmes tout un tas d'outils orientés tâches afin de constituer une solution capable de supporter un processus particulier. » Un troisième produit On Demand au catalogue de CA CA a également pris en compte un autre impératif d'Itil, la gestion par rôles, dans son produit. Un calendrier des changements est aussi désormais inclus dans la suite, afin de prévoir au mieux l'impact de chaque demande. CA a aussi annoncé qu'il élargissait son offre de Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne), avec la sortie de Clarity PPM (Project & Portfolio Manager) On Demand, une version hébergée de son logiciel de gestion de portefeuilles projets. L'offre On Demand de CA, qui comporte déjà GRC Manager et Instant Recovery, aurait séduit plus d'un millier de clients dans le monde. Comme HP, IBM ou BMC avant lui, CA dit avoir saisi que ses clients n'ont pas forcément les ressources pour installer et maintenir des applications qui doivent justement les aider dans leur travail d'administration de l'informatique. D'après Forrester, sur un marché des logiciels d'administration représentant 18 Md$ en 2008, les offres Saas représentent moins de 1%. Mais le cabinet d'analystes estime qu'en 2013, ce pourcentage devrait grimper à 10%. Il faudra du temps, toutefois, indique encore Forrester, pour que les éditeurs transforment leurs offres afin de répondre aux canons du Saas (paiement à l'usage, partage des instances entre les clients, interfaces de type Web 2.0, etc.). (...)

(19/11/2008 08:20:22)

PTC affiche de bons résultats et s'ouvre les portes d'EADS

Le numéro 3 du PLM (Product Lifecycle Management), PTC se porte bien malgré la crise. Il vient de clôturer son année fiscale avec un chiffre d'affaires de 1,075 Md$ en augmentation de 14% et un bénéfice de 160 M$. Il affiche par ailleurs le meilleur trimestre de toute son histoire avec un CA de 299,5 M$ (+12%). En ces temps difficiles, on comprend que l'éditeur se soit réjoui à l'occasion de son PTC World 2008 au Stade de France le 13 novembre dernier. A l'heure où l'industrie automobile, cliente traditionnelle des logiciels de gestion du cycle de vie des produits, bat sérieusement de l'aile, l'Américain rappelle ainsi qu'il a, lui, pris la précaution de ne pas placer tous ses oeufs dans le même panier. Son CA se répartit entre les secteurs aéronautique (20%), high-tech (25%), automobile (15%), équipement industriel (20%), produits de grande consommation (10%) et sciences de la vie (10%). Pour tenir face à la crise, PTC compte aussi sur ses revenus récurrents (la maintenance représente 47% de ses revenus et les services 25%). En revanche, 42% de son CA est européen. La baisse de l'euro par rapport au dollar devient donc un handicap pour l'éditeur, qui lui imposera de revoir quelque peu ses prévisions à la baisse. « Nous espérons un premier trimestre situé entre 250 et 260 M$ avec une croissance de seulement 3 à 4% », estime Richard Harrison, président et CEO de PTC. Ce qui n'empêche pas cet adepte de la croissance externe d'envisager de nouvelles acquisitions avant la fin de l'année. PTC équipera EADS et la plupart de ses filiales Mais ses revenus ne sont pas le seul motif de satisfaction de l'entreprise. Cet été, l'éditeur a en effet raflé un imposant contrat chez EADS au nez et à la barbe de SAP, Siemens PLM (ex-UGS) et surtout Dassault Systèmes, le rival de toujours. Après les déboires de l'Airbus A380, le géant industriel a décidé d'harmoniser l'ensemble de ses environnements de PLM. Le prestigieux avion avait en effet accusé de lourds retards et pertes financières à la suite d'erreurs de conception des circuits électriques. En cause, entre autres, des systèmes de gestion des données techniques disparates et pas forcément compatibles. Aujourd'hui, pour son projet d'harmonisation Phenix, EADS a donc choisi PTC. Un coup historique à plusieurs titres [[page]]Il s'agit d'un coup historique à plusieurs titres. Pour commencer, quand on est américain comme PTC, pas facile de déloger Dassault Systèmes d'un grand compte européen. EADS reste néanmoins équipé de la CAO Catia du Français. Mais, PTC va bel et bien équiper le géant de l'aéronautique et la plupart de ses filiales, en particulier Airbus, Eurocopter et Astrium, de son SGDT (système de gestion de données techniques) collaboratif Windchill. « Nous parlons de 65 000 utilisateurs, s'enthousiasme Marc Diouane, vice-président Europe de l'Ouest pour PTC, sans oublier toute la chaîne de sous-traitance. » Dans son projet d'harmonisation, Airbus devrait en effet, au minimum, inciter ses prestataires à travailler dans les mêmes environnements que lui. « Pour chaque utilisateur Airbus, on peut en compter trois ou quatre chez les sous-traitants. » Une version de Windchill native pour Sharepoint Côté produits, PTC a rappelé la sortie de son offre de PLM en mode natif au dessus de l'environnement collaboratif Sharepoint de Microsoft, Windchill ProductPoint. Il a également présenté sa modélisation humaine numérique en 3D Pro/Engineer Manikin et ses extensions. Cet outil permet de concevoir des mannequins 3D virtuels réalistes pour effectuer, par exemple, des tests ergonomiques de produits encore à l'état de prototype numérique. Enfin, interrogé sur la nouvelle rumeur de vente de son entreprise cet été, Richard Harrison a fait une réponse aussi cinglante que surprenante : « Demandez à Bernard Charlès (NDLR : patron de Dassault Systèmes), a-t-il asséné. A ce moment-là, nous avions passé avec succès plusieurs phases de tests de l'appel d'offre EADS, alors que Dassault Systèmes, lui, n'y arrivait pas. Voyant qu'il allait perdre le marché, Bernard Charlès a glissé à des journalistes à Londres que nous étions à vendre, alors que ce n'était pas du tout fondé. » Dassault Systèmes ne souhaite pas commenter pour l'instant. Gageons qu'il n'en sera pas longtemps ainsi. C'est au tour du Français d'organiser sa grand messe annuelle, l'ECF, les 26 et 27 novembre prochains à Disneyland Paris. (...)

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