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(17/11/2008 14:33:52)
HP met deux AMD Shanghai dans un rack DL385 aux stéroïdes
HP met à profit le support du dernier quadri-coeur d'AMD, l'Opteron 2300 Shanghai, pour modifier en profondeur son serveur rack 2U DL385 milieu de gamme. Outre le support de deux Opteron 2300 Shanghai (4 coeurs à 2,4, 2,6 et 2,7 GHz, 6 Mo de cache niveau 3 et 512 Ko de cache par coeur), cette variante G5p du DL385 se démarque par un doublement de sa capacité mémoire, de sa capacité de stockage et de ses entrées-sorties. Cette augmentation notable des caractéristiques de ce serveur indique clairement sa cible : les environnements virtualisés où l'utilisation optimisée des capacités de traitement du processeur se traduit par d'importants besoins en mémoire et une augmentation du débit des entrées-sorties. Le DL385 G5p accueille jusqu'à 128 Go de RAM sur 16 slots, soit deux fois plus qu'auparavant et quatre au lieu de deux ports Gigabit Ethernet. Côté disques, il peut recevoir soit six disques 3,5 pouces SCSI ou SATA (6 To), soit jusqu'à seize disques 2,5 pouces SAS. Dans un premier temps, les disques 2,5 pouces proposés sont des 146 Go et, bientôt, des 300 Go. (...)
(14/11/2008 16:41:25)Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes
Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)
(14/11/2008 16:22:15)Groovy passe dans le giron de SpringSource
Groovy, l'un des langages dynamiques les plus populaires, appartient désormais à SpringSource, éditeur de Spring, le framework de loin le plus populaire pour le développement d'applications Java, et principal contributeur au serveur d'applications Tomcat. Editeur de Groovy, G2One, a accepté l'offre d'achat de SpringSource (ex-Interface 21) suivant ainsi une stratégie préconisée par son fonds d'investissement, Bay Partners, qui se trouve également être au capital de l'inventeur de Spring. Mais comme le souligne Julien Dubois, représentant de SpringSource en France, le rapprochement était de toute façon naturel, les responsables de Spring et Groovy étant souvent invités de pair dans les conférences techniques. Cofondateur de G2One et artisan du développement de Groovy, Guillaume Laforge acquiesce. « Nous avons la même objectif, dit-il, simplifier la vie des développeurs. » Concrètement, pour Guillaume Laforge, « cela ouvre des possibilités, notamment dans le domaine des DSL (domain specific languages) ». Il imagine ainsi la possibilité pour des experts métier d'écrire des règles dans « un langage métier débarrassé de toute la complexité technique », qui s'exécuteraient sur le tout nouveau serveur d'applications Java Open Source proposé par SpringSource, dm Server. De même, celui qui est désormais responsable du développement de Groovy au sein de SpringSource estime que son langage pourrait très bien servir aux administrateurs à écrire des scripts gérant Spring. Fort de « 30 à 35 000 téléchargements par mois », Groovy est intégré dans beaucoup de projets, précise Guillaume Laforge, qui cite des produits d'Oracle, IBM ou JBoss, par exemple. Dans la transaction, SpringSource récupère aussi Grails, un framework pour Groovy inspiré de Ruby on Rails, dont le but est de simplifier les déploiements en adoptant une nomenclature précise. « SAP, par exemple, l'utilise dans un projet, dans le but d'agréger des services SAP. » (...)
(14/11/2008 16:40:26)Six entrepreneurs français créent un fonds d'aide à l'amorçage pour les start-up
Six entrepreneurs français se sont associés afin de créer un fonds d'investissement pour aider les start-up en particulier lors de la phase d'amorçage. Pierre Kosciusko-Morizet (fondateur de PriceMinister), Tariq Krim (créateur de Netvibes), Ouriel Ohayon (TechCrunch), Orianne Garcia (Terrafemina), Stéphane Treppoz (Sarenza) et Geoffroy Roux de Bezieux (Virgin Mobile) on ainsi fondé le regroupement de business angels ISAI. Son nom a été inspiré aux fondateurs par le « kanji japonais qui veut dire différent, remarquable, unique, talentueux », etc. Le fonds a pour vocation de soutenir des projets français (et ponctuellement européens) à hauteur de 500 000 € à 1,5 M€ ainsi que de les accompagner dans leur développement. Les startups seront sélectionnées en fonction de plusieurs critères, comme leur stade de développement (création, amorçage - avec un premier test de commercialisation en cours - et développement présérie, avec un chiffre d'affaires supérieur à 1 M€), la localisation géographique, les perspectives de croissance et le secteur d'activité (e-commerce, services Internet aux entreprises ou aux particuliers, applications mobiles et plateforme d'intermédiation). ISAI propose également des conseils pour réussir une levée de fonds. Un appel aux contribuables ISF qui cherchent des déductions d'impots A noter que, comme nombre de chasseurs de fonds à investir, les membres d'ISAI en appellent aux contribuables soumis à l'ISF (l'Impôt de solidarité sur la fortune). La loi Travail, emploi, et pouvoir d'achat, dite TEPA, permet en effet à ces derniers de bénéficier d'une réduction d'impôt s'ils investissent dans des entreprises innovantes (75% de leur investissement est déductible du paiement de leur impôt dans la limite de 50 k€ par an). (...)
(14/11/2008 16:05:04)Capgemini présente des résultats qu'il juge satisfaisants
Deux façons de lire les résultats de Capgemini. La première, mise en avant par le groupe, consiste à les apprécier déconnectés de la réalité économique mondiale. " A taux et périmètre constant", le CA du troisième trimestre progresse ainsi de 6,1%. La seconde façon de voir les résutats ramène la croissance du CA à un petit 0,5%. Toutefois, Capgemini affirme que l'infogérance, sa principale activité, connaît une croissance "organique" de 8,6%. Et c'est toujours à " à taux de change et périmètre constants" que la SSII, confirme une croissance "organique" annuelle entre 4 et 5%. La marge opérationnelle est prédite à 8,5%. Elle était de 7,4% en 2007. La société précise que son carnet de commande est en hausse de 3,4%. (...)
(14/11/2008 14:28:45)Microsoft lance le financement à 0 % pour ses offres de CRM et d'ERP
« En temps de crise en particulier, une bonne utilisation des systèmes d'information peut aider les entreprises à rester performantes. Microsoft voit cette crise comme une opportunité de changement pour les PME, mais aussi un frein à l'investissement », reconnaît Caroline Keene, directrice marketing solutions Microsoft Dynamics France, pour justifier le nouveau plan de financement à 0 % de l'éditeur. Celui-ci prévoit en effet d'étaler le paiement pour l'achat d'un progiciel de gestion intégré (ERP) ou d'une solution de gestion de la relation client (CRM) de Microsoft sur 36 mois sans frais, pour tout achat effectué entre le 19 novembre prochain et le 20 mars 2009. A partir de 15 000 euros Pour en bénéficier, la valeur de l'achat doit être comprise entre 15 500 et 775 000 euros. Cela donc tant les petites que les grandes PME. Deuxièmement, cette offre ne s'adresse qu'à des nouveaux clients. On ne pourra donc pas en profiter pour remettre à niveau son ERP ou son application de CRM si ceux-ci sont déjà fournis par Microsoft. « En revanche, un client ERP peut en profiter pour se doter d'une solution de CRM, ou l'inverse, » précise Caroline Keene. Enfin, il faudra que l'organisme de financement interne Microsoft Financing accepte le dossier. Selon Caroline Keene, celui-ci serait plus souple qu'un organisme de crédit classique ou qu'une banque : « Nous pouvons accepter des crédits basés à 100 % sur des actifs intangibles comme des logiciels ». Si cette offre de financement est commune à 12 pays, Microsoft France n'exclut pas de proposer d'autres solutions de financement pour d'autres de ses produits à ses clients si la crise perdure. (...)
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