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(05/11/2008 12:31:13)

Runmyprocess.com mixe BPM, Saas et 'cloud'

S'il existait des recettes magiques pour lancer des start-up et assurer leur succès, cela se saurait. Néanmoins, Runmyprocess.com semble avoir mis toutes les chances de son côté. Ce jeune éditeur de logiciels français a choisi d'aborder le marché du BPM (business process management, gestion des processus métier) sous l'angle du Saas (Software as a service, service applicatif en ligne). Matthieu Hug, jeune PDG de la société (lire l'interview), présentait le concept lors du dernier salon du BPM, à Paris. « Le modèle économique du Saas repose sur un abonnement mensuel - donc il n'y a pas de surprise - avec un train de versions chaque mois. » Ainsi, à partir de 500 euros par mois, un utilisateur de RunMyProcess.com a accès à toutes les fonctions du produit pour créer ses processus (avec une limite à 5000 processus par mois). Une interface simple, avec notation BPML, offre d'orchestrer des tâches, qui peuvent être des services accessibles sur le Web, des événements (envoyer un courriel, déclencher un autre processus, etc.), des tâches manuelles... D'ores et déjà, la base de l'outil recense plus de 300 services disponibles sur le Web, payants ou gratuits, auxquels l'utilisateur pourra ajouter ceux de son choix - notamment ceux de son entreprise, à partir du moment où ils disposent d'une méthode d'invocation en ligne. L'activité des processus peut être surveillée à l'aide de flux RSS [[page]]Parmi les services recensés, Matthieu Hug cite ceux d'Amazon, Salesforce.com, Flickr, Dassault Systèmes, Microsoft, Orange... Et insiste sur l'intérêt des services gratuits, toujours dans le souci de ne pas réinventer la roue, « comme le calculateur de taux de change fourni par la banque centrale européenne ». L'éditeur, fort d'une dizaine de personnes, en est encore à ses débuts. Ainsi, les outils de reporting ou de gestion du cycle de vie des processus sont encore frustes. Mais la start-up ne manque pas d'ambition et d'idées modernes. Ainsi, toutes les informations générées par l'outil sont disponibles via des flux RSS. On peut ainsi s'abonner à un flux indiquant des processus en erreur. Et il est tout à fait possible, dit Matthieu Hug, de se servir de l'outil pour « faire des processus qui surveillent les processus de supervision ». (...)

(05/11/2008 09:09:51)

Elections américaines : l'utilisateur de Blackberry le plus célèbre du monde l'emporte

Du point de vue de la société de l'information, l'élection de Barack Obama au poste de 44e président des Etats-Unis d'Amérique représente une certaine victoire. Le candidat démocrate est en effet crédité d'être un utilisateur patenté des moyens modernes de technologies de l'information et de la communication. On le dit inséparable de son Blackberry, à l'aise avec les ordinateurs, et son équipe a réussi à mobiliser des soutiens partout dans le pays grâce à Internet. Sans oublier que le patron de Google, Eric Schmidt, était un de ses conseillers économiques durant la campagne électorale. Le candidat Obama avait promis plus de moyens à la FTC pour lutter contre le spam et le phishing Son opinion sur le secteur des NTIC est quant à elle exposée dans la section Technology de son site BarackObama.com. Les trois points mis en avant concernent la neutralité d'Internet, l'accès des Américains au haut débit et la protection des entreprises et des chercheurs opérant sur ce secteur. Le prochain président des Etats-Unis (qui prendra ses fonctions en janvier) voudrait par ailleurs que les agences de régulation trouvent « des façons plus intelligentes, plus efficaces et plus imaginatives » d'utiliser les spectres de fréquences radio qu'elles gèrent, que l'agence de régulation du commerce (FTC, Federal trade commission) édicte des règles plus strictes en matière d'utilisation des données personnelles et combatte davantage le pollupostage (spam), le hameçonnage (phishing) et autres cybercrimes (ses moyens seraient alors réévalués). Barack Obama envisage aussi de supprimer les allègements fiscaux aux entreprises externalisant leurs emplois hors des Etats-Unis. Le nombre de ses partisans sur Facebook avoisine les deux millions et demi. Le site de campagne, myBarackObama.com, aurait de son côté attiré plus d'un million et demi d'inscrits, et suscité 600 M$ de dons. (...)

(04/11/2008 17:54:56)

Le gouvernement instaure une taxe seniors qui pourrait impacter les SSII

A partir de 2010, une sanction financière est prévue contre les entreprises qui n'auront pas négocié d'accord en faveur de l'emploi des seniors. Cette mesure pourrait avoir des conséquences non négligeables sur les SSII, secteur où la moyenne d'age se situe à 34 ans. L'annonce est désormais officielle et elle risque fort d'inquiéter les SSII installées sur le territoire : comme nous l'avions pressenti, toute entreprise qui n'aura pas mis en place un plan d'action portant sur l'emploi des seniors sera financièrement pénalisée. Cette mesure a été conjointement annoncée ce matin par Xavier Bertrand, ministre du Travail et Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, à l'occasion du coup d'envoi de l'opération « Bonnes pratiques seniors ». Elle prévoit qu'à défaut d'un accord conclu d'ici fin 2009, les employeurs qui ne seront pas proactifs en matière d'emploi des seniors seront taxés à hauteur de 1% de leur masse salariale. Le produit de cette amende sera affecté à la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Pour échapper à la pénalité, les entreprises de 300 salariés et plus non couvertes par un accord signé par les partenaires sociaux devront avoir élaboré un plan d'action relatif à l'emploi des salariés âgés a compter du 1er janvier 2010. Un plan d'action à défaut d'un accord de branche [[page]]Les entreprises de moins de 300 salariés n'échappent pas à la règle : elles ne seront pas pénalisées si elles sont couvertes par un accord de branche, par leur propre accord, ou à défaut en élaborant leur propre plan d'action. Les accords, comme les plans d'actions, auront une durée maximale de trois ans. Ils devront être chiffrés, et contenir notamment les modalités de formation des seniors présents dans la société. Les entreprises devront également montrer qu'elles sont favorables au maintien de l'emploi et au recrutement des seniors dans trois domaines d'actions choisis dans une liste fixée par décret : tutorat, aménagement des fins de carrière, bilan de mi-carrière, etc. Cette pénalité intervient dans un contexte où le marché du travail n'est pas très favorable à l'emploi des informaticiens seniors, formés dans les années 80. En effet, d'après les statistiques de l'emploi enregistrées ces dernières années, les quarante ans et plus semblent rencontrer d'importantes difficultés à trouver un emploi. Surtout dans les SSII, secteur où la moyenne d'âge se situe dans une fourchette de 30 à 35 ans. Dans une note d'octobre 2008 sur l'emploi et le chômage des 50-64 ans, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du travail) ne faisait d'ailleurs que confirmer la tendance : en 2007, sur 314 000 ingénieurs informatiques, 13% seulement avaient plus de 50 ans. Pourtant, le syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels estimait que le secteur IT ne faisait pas partie des plus discriminants. « Dans nos métiers, les plus de 50 ans sont plutôt fortement représentés en tant que chefs de projets très expérimentés, d'architectes ou de consultants de très haut niveau », estimait ainsi Alain Donzeaud, président de la commission affaires sociales et formation de Syntec Informatique. La question qui risque fort de poser problème est la différence notable de salaires entre un jeune développeur et un ingénieur expérimenté. (...)

(04/11/2008 18:04:10)

IBM et Sun livrent une version mainframe d'OpenSolaris

Une version du système d'exploitation OpenSolaris est disponible au téléchargement pour les mainframes d'IBM. Elle permettra notamment de faire migrer vers le System z des applications spécifiques développées en C/C++ sous Solaris. Cette version de l'OS s'appuie sur la technologie de virtualisation z/VM qui permet de créer des milliers d'images virtuelles dans un seul hyperviseur. Tant le système d'exploitation de Sun que les System z d'IBM sont très bien implantés dans le secteur financier et de nombreux clients devraient être intéressés par la possibilité de consolider les applications Solaris sur mainframe, estime Brad Day, analyste pour Forrester Research. Pour lui, le recours aux mainframes constitue déjà une solution pour consolider des projets Linux : « Pourquoi en effet ne pas prendre un mainframe et y virtualiser un ensemble de petits serveurs Solaris », décrit-il. Un appel aux développeurs Opensource IBM et Sun préviennent que le portage de l'OS sur mainframe est un prototype et engagent vivement les développeurs Open Source à participer au projet afin de les aider à l'améliorer. Ce prototype a été développé par Sine Nomine Associates, avec le support technique et financier d'IBM et Sun. Sine Nomine travaille également au portage de Java vers le mainframe qui devrait être disponible fin 2009 ou début 2010. Selon Brad Day, de Forrester, de nombreux utilisateurs de mainframes voudront télécharger et tester la version mainframe d'OpenSolaris, mais ils attendront sans doute le portage de Java avant de mettre quoi que ce soit en production. (...)

(04/11/2008 17:24:28)

Les seniors bel et bien compatibles avec le Web 2.0

Alors que certains réfléchissent déjà à repousser l'âge de la retraite à 70 ans, les entreprises ont encore du mal à embaucher des seniors . En France, seuls 38,3 % des 55-64 ans sont encore actifs, et en Europe ce taux atteint tout juste 44,7 %. La Commission européenne a donc lancé un projet, eSangathan, pour vérifier si ces populations étaient toujours adaptées aux technologies actuelles. L'étude qu'ils ont mené durant deux ans a montré que oui. Les chercheurs ont observé durant deux ans des groupes de travail mélangeant toutes les tranches d'âges, d'une part dans la région de l'Oresund, entre Suède et Danemark, et d'autre part, dans l'entreprise indienne Mahindra & Mahindra. Au sein de ces groupes, les seniors (50 ans et plus) n'avaient au départ qu'une compétence basique en informatique (bureautique et navigation simple). A la fin de l'expérience, ils avaient à 95 % intégré tous les outils de travail collaboratifs proposés (Wiki, VoIP et messagerie instantanée, blog, espace de travail collaboratif, fils RSS, etc) comme s'il s'agissait d'une seconde nature, les 5 % restant ayant assimilé le fonctionnement des outils mais de façon moins intuitives. Un langage commun pour gommer les différences d'âge [[page]]Selon Nicole Turbé-Suetens, coordinatrice du projet : « sur le lieu de travail, les TIC favorisent les relations intergénérationnelles. Les seniors ne les rejettent pas. Au contraire, ils ont la volonté d'apprendre et de partager leurs savoirs. » Elle dénonce au contraire le management des entreprises qui n'investit pas assez dans des plans de formation pour les plus de 40 ans et l'absence de réelle politique de partage de compétence : « Les seniors ne sont pas des handicapés ! Ils n'ont pas besoin d'outils adaptés. N'importe qui peut se servir du matériel informatique et des outils actuels, à condition qu'on lui laisse le temps d'apprendre. » Au contraire, elle constate que l'utilisation d'outils de travail communs, et le fait de développer ainsi des usages et un langage commun gomme les différences d'âge à l'intérieur d'un même projet. Elle signale également qu'il ne faut pas se focaliser sur la division seniors/juniors. La génération X (ndlr : ceux nés entre 1964 et 1977) sont les seniors de demain, et certains d'entre eux ont aussi des difficultés à utiliser les nouveaux outils. (...)

(04/11/2008 17:22:28)

IBM poursuit un ancien salarié tenté par Apple

Quand Mark Papermaster, un salarié d'IBM depuis 26 ans, décide de changer d'air et d'aller mettre ses compétences au service d'Apple, Big Blue voit rouge. A l'image de Microsoft, qui en 2005 s'était battu pour que Kai-Fu Lee ne parte pas travailler pour Google, IBM vient ainsi de poursuivre l'ex-vice président de sa division consacrée aux serveurs lames. Selon les termes de la plainte déposée par IBM, Mark Papermaster serait amené à succéder au père de l'iPod et à travailler auprès de Steve jobs, le patron d'Apple, afin de fournir « des conseils techniques et stratégiques sur différents sujets. » Or, estime le plaignant, l'apostat a connaissance « de secrets commerciaux hautement confidentiels » susceptibles de « nuire de façon irréparable » à IBM s'ils tombent dans les mains d'Apple. En filigrane, PowerPC contre PA Semi En 2006, Mark Papermaster avait rejoint 'l'Elite integration and value team', le cénacle réunissant les 300 cadres les plus importants d'IBM. A ce titre, il avait dû signer une clause de non concurrence lui interdisant de travailler pour un rival de Big Blue en cas de départ de l'entreprise. Surtout, le démissionnaire était fortement impliqué dans le développement des puces PowerPC, qui équipaient les serveurs d'Apple jusqu'en 2005. Quelques mois après qu'Apple a acheté PA Semi, un concepteur de processeurs basse consommation, IBM redoute que son ancien salarié ne rejoigne le groupe de Cupertino pour participer au développement de processeurs pour serveurs concurrençant ses propres produits. Dans sa plainte, IBM rappelle en outre que ses PowerPC et les puces de PA Semi sont également concurrents sur le terrain des processeurs pour consoles de jeu. Pour retenir le transfuge, IBM a vainement tenté la carte de la générosité en lui proposant « une augmentation substantielle » de sa rémunération ainsi qu'une année de salaire. Le lendemain de cette ultime main tendue, Mark Papermaster remettait sa démission. (...)

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