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(04/11/2008 17:13:41)

Le prix des mémoires flash en chute libre

Malgré une forte hausse des livraisons, le marché en valeur des mémoires Flash NAND va baisser en 2008 et, probablement, aussi en 2009. Pour iSuppli, l'âge d'or de ces mémoires est révolu. Alors que le chiffre d'affaires de ce secteur a progressé de plus de 100% entre la fin des années 90 et le début de ce siècle, il va, pour la première fois, baisser en 2008 pour descendre à 12 Md$ (-14%). L'an prochain, iSuppli prévoit une baisse d'ampleur similaire : -15%. Ce renversement de tendance est dû à une conjonction de facteurs. Le principal est le type de marchés auquel s'adressent les mémoires flash. A 80%, il s'agit de produits grand public. Or, pour ces produits, les réseaux de distribution disposent d'une importante marge de négociation. Celle-ci est d'autant plus efficace lorsque la concurrence entre fournisseurs conduit à une situation de surproduction. Les fabricants n'ont d'autre choix que de casser les prix pour, à la fois, continuer à faire tourner leurs usines et préserver leurs parts de marché. Au cours des cinq dernières années, la production (mesuré en Go) a augmenté chaque année de 192%. En 2008, cette hausse va atteindre 126% et elle sera encore de 71% l'an prochain. Ensuite, la morosité du marché grand public est aussi à incriminer. Les consommateurs vont d'autant plus avoir tendance à réduire leurs dépenses qu'ils ont, pour la plupart, procédé à leurs premiers équipements. Or, traditionnellement, les marchés de renouvellement sont moins dynamiques que ceux caractérisés par un premier achat. -68% en un an sur le Go de mémoire flash Le cercle vicieux au centre duquel se trouvent les producteurs de mémoires flash a toutefois des retombées positives du point de vue des consommateurs. Le prix de vente moyen d'un Go de mémoire flash aura chuté en un an de 68% à la fin de cette année. Il baissera encore de 38% en 2009. Espérons qu'une partie de cette baisse sera répercutée sur le prix de vente des produits finis. (...)

(04/11/2008 16:24:28)

Dreamforce : Salesforce s'accroche à Amazon et Facebook

A l'heure où les ténors de l'informatique se réclament tous du cloud computing, Salesforce.com ne voulait rester à l'écart, lui dont le modèle économique repose depuis l'origine sur la fourniture de logiciels en ligne. Marc Benioff, PDG fondateur de Salesforce.com, a débuté sa conférence annuelle Dreamforce (San Francisco, 2-5 novembre 2008) en annonçant deux partenariats, l'un avec Amazon et sa plateforme de 'cloud' EC2, (Elastic Compute Cloud), l'autre avec le réseau social Facebook. Depuis un an, Salesforce.com propose déjà un environnement de développement et d'hébergement d'applications indépendantes, Force.com, qu'il présente comme un environnement de cloud computing. C'est la même plateforme technologique qu'il exploite pour héberger ses applications de CRM en ligne. Désormais, son extension Force.com for Amazon Web Services va permettre d'exploiter les services informatiques proposés par Amazon EC2, notamment le service de stockage S3, pour des applications conçues sur la plateforme Force.com, avec les outils de développement de Salesforce.com (notamment le langage Apex et l'outil d'interface utilisateur Visual Force). Combiner entre elles les plateformes de cloud [[page]] Même type d'ouverture vers Facebook. Les développeurs vont pouvoir télécharger gratuitement des API pour bâtir sur Force.com des logiciels qui apparaîtront de façon native dans le réseau social. Sur sa conférence Dreamforce, Marc Benioff l'a illustré hier en montrant l'exemple d'une application de recrutement insérée par une entreprise dans sa page Facebook. L'application a bien été créée sur Force.com et elle y est hébergée, mais elle apparaît dans le réseau social comme un programme Facebook. Les entreprises gèrent déjà 300 000 pages sur ce site communautaire pourtant estampillé grand public, selon les chiffres communiqués hier par Sheryl Sandberg, DG de Facebook. Pour Marc Benioff, la période actuelle n'a jamais été aussi propice au développement du cloud computing, même s'il la perçoit aussi « folle, délirante et imprévisible ». Il brosse un paysage où les plateformes des différents acteurs se combinent pour créer de nouvelles opportunités. De fait, pour China Martens, analyste senior du cabinet américain 451Group, cette combinaison entre environnements de cloud est pertinente car chacun a sa propre spécialité. Selon elle, cela peut même débloquer certains freins à l'adoption pour les entreprises qui ne voudraient pas se sentir menottées avec un seul opérateur. En revanche, elle émet des réserves sur les implications que pourraient entraîner le mélange d'informations professionnelles avec des données personnelles stockées sur Facebook. Relier sites Web et applications métiers sur Force.com [[page]]Evidemment, Marc Benioff n'a pas manqué d'égratigner Azure, l'environnement de cloud computing présenté la semaine dernière par Microsoft. Il le qualifie de « vaporware », en sous-entendant que l'éditeur de Redmond risque d'enfermer les développeurs sur sa plateforme, dans son OS et son écosystème. Toujours à l'adresse des développeurs, Salesforce.com a également annoncé Force.com Sites, une extension pour créer des sites Web (intranets, extranets...) et les héberger sur Force.com. L'éditeur met en avant l'intérêt d'utiliser ses modèles de partage et ses règles de sécurité et de pouvoir publier des données sur ces sites à partir d'applications métiers créées sur Force.com. Salesforce.com a déjà convaincu ainsi 47 700 clients -représentant plus d'un million d'abonnés- d'utiliser son application hébergée de gestion de la relation client (CRM). (...)

(04/11/2008 12:26:48)

La start-up Ashelvea crée un PC biodégradable

La société Ashelvea est née fin 2007 à Graulhet, dans le Tarn, sur une idée très green IT. La jeune pousse propose des PC qui sont non seulement conçus avec des plastiques biodégradables et des composants recyclables, mais qui sont aussi destinés à être commercialisés dans une démarche complète de développement durable. Un plastique 100% biodégradable « A l'origine, nous avons contacté un grand constructeur du marché que nous souhaitions associer à notre projet, mais il a décliné notre proposition. Nous avons donc décidé de lancer notre propre marque, Evolutis, » raconte Hugo Sossah, co-fondateur et co-gérant d'Ashelvea avec Valentin Pineau. Concrètement, plus de six mois ont été nécessaires pour concevoir et réaliser ce premier PC vert. Son caractère innovant réside tout d'abord dans la matière bio plastique 100 % biodégradable, utilisée pour la fabrication des coques, et qui n'avait encore jamais fait l'objet d'application similaire dans le secteur informatique. Ni substances toxiques, ni déchets chimiques [[page]] D'autre part, les configurations Evolutis sont équipées de composants « éco-label », conformes la directive ROHS, qui ne contiennent aucune substance toxique dangereuse (plomb, cadmium, mercure...) et ne produisent donc pas de déchets chimiques et sont moins gourmands en énergie. Dans le même souci d'économie, Ashelvea fabrique exclusivement ses PC à la carte (dans un délai de deux à trois semaines), pour qu'ils soient parfaitement dimensionnés à l'utilisation. « Nous nous inscrivons dans une démarche environnementale globale qui couvre tout le cycle de vie du produit, depuis sa conception et sa fabrication jusqu'à son recyclage et à la valorisation de ses déchets, explique Hugo Sossah. A cette fin, nous sommes en train de tisser notre réseau de partenaires pour l'assemblage des machines et la distribution, sachant que les produits Ashelvea sont livrés sans emballage dans des caisses de transport rigides réutilisables. Nous avons également pris contact avec le broker toulousain Bis Repetita spécialisé dans la dépollution et le recyclage des équipements informatiques ». Des matériels vendus entre 650 et 1000 € avec rétrocession ou location Dotées d'une unité centrale avec une carte mère Intel, d'un écran 17'', d'un clavier et d'une souris optique sans fil, les configurations Evolutis sont proposées aux entreprises et aux collectivités dans une fourchette de prix comprise entre 650 et 1 000 €, dans le cadre d'une formule de vente avec rétrocession du matériel ou de location. Ainsi, après un premier cycle d'utilisation professionnelle de trois ans, les PC sont remis à niveau et entament une seconde vie au sein d'associations à vocation sociale ou d'insertion qui peuvent ainsi s'équiper pour un abonnement modique de 8 € par mois. En fin de vie, soit au-delà de cinq ans, Ashelvea boucle la boucle et confie ses équipements aux filières de recyclage et valorisation. (...)

(04/11/2008 12:15:41)

Le taux d'adoption des SOA en chute, selon Gartner

Le taux d'entreprises prévoyant de passer aux SOA n'est que de 25% cette année, alors qu'il était encore de 53% l'an passé. Depuis 5 ans que Gartner conduit une étude sur les plans d'adoption des architectures orientées services (SOA) par les entreprises, c'est la première fois que l'institut observe une chute. Gartner précise que dans le même temps, le nombre d'organisations ayant décidé de ne pas adopter les SOA est passé de 7% à 16%. Ce qui apparaît comme une désaffection, en partie liée à un contexte économique difficile, précise Gartner, peut aussi être considéré comme une certaine maturité du marché, ainsi que l'événement Forum SOA (organisé il y a un mois par LeMondeInformatique.fr) l'a montré. Les entreprises ne cherchent plus à faire migrer tous leurs systèmes, elles cherchent d'abord à évaluer le potentiel en termes de valeur ajoutée pour le métier, et s'assurent de disposer des ressources humaines nécessaires. Vers davantage d'architectures orientées événements Il faut noter aussi que, selon l'étude de Gartner, 53% des entreprises interrogées ont déjà des initiatives SOA en cours, et beaucoup s'intéressent aux architectures orientées événements : 20% déploient ces technologies actuellement et 20% prévoient de le faire dans les 12 prochains mois (IDC confirmait il y a peu le dynamisme de ce secteur). Or, comme le soulignait Tibco en présentant son offre de gestion des événements complexes, ce type de technologie doit s'appuyer sur une base solide, orientée services. Gartner précise encore que l'adoption est beaucoup plus forte en Europe que dans le reste du monde, la zone Asie-Pacifique étant particulièrement à la traîne dans ce domaine. (...)

(04/11/2008 10:37:31)

Fujitsu bientôt propriétaire à 100% de Fujitsu-Siemens

Le divorce entre Fujitsu et Siemens est prononcé. Pas loin de 10 ans après s'être associés dans Fujitsu-Siemens, les deux industriels ont convenu de se séparer, le Japonais acceptant de payer environ 450 M€ à l'Allemand pour racheter sa part de 50% dans la co-entreprise. La décision sera effective au 1er avril prochain, date à laquelle le constructeur européen deviendra une filiale à 100% de Fujitsu. Cette décision intervient avec quelques mois d'avance sur le calendrier : scellé en 1999, le partenariat entre Fujitsu et Siemens devait arriver à son terme en octobre 2009. Le patron de la co-entreprise, Bernd Bischoff, a toutefois d'ores et déjà « démissionné pour des raisons personnelles ». Il sera remplacé dans l'immédiat par le directeur financier. Il semble que Bernd Bischoff se soit opposé aux plans de restructuration avancés par Fujitsu. Si ce dernier gagne ainsi une base solide pour opérer sur le marché européens des serveurs au moment où les ventes de ces matériels reculent au Japon, il est possible que la division PC soit revendue après la transaction. Une occasion que pourrait saisir Lenovo qui s'était fait souffler le fabricant européen de PC Packard Bell par Acer. Fujitsu-Siemens a clos sa dernière année fiscale sur un chiffre d'affaires de 6,6 Md€, en baisse de 4,9%, « qui reflète des changements de la stratégie de l'entreprise et d'un contexte commercial difficile ». (...)

(04/11/2008 09:41:36)

Elections américaines : 9 Etats épinglés pour leur gestion des machines à voter

Forcément, certaines des machines à voter utilisées aux Etats-Unis lors de l'élection présidentielle auront des problèmes, comme cela s'est passé « pour tous les scrutins nationaux depuis 2000 ». Or, tous les Etats ne sont pas préparés à surmonter ou contourner ces problèmes. Le Brennan Center for Justice, organisation américaine de défense du droit en général et de la démocratie en particulier, a publié une enquête sur l'état de préparation des systèmes de vote des Etats américains. Si la conclusion n'est pas alarmiste (les enquêteurs pensant que les différences de voix entre John McCain et Barack Obama seront assez importantes pour éviter les psychodrames), elle pointe tout de même du doigt de possibles défaillances qui pourraient « causer la perte de milliers de votes, ou miner la confiance des gens dans la sincérité du scrutin ». Aidés de plusieurs cabinets juridiques et organisations de surveillance (notamment la Fondation Verified Voting), les enquêteurs du Brennan Center ont passé au peigne fin les procédures mises en place dans tous les Etats, et épinglé neuf d'entre eux : Caroline du Sud, Colorado, Kentucky, Louisiane, New Jersey, Tennessee, Texas, Utah et Virginie (Etats en rouge sur l'image). Quatre critères sont passés en revue au long de cette enquête, résumée en un document de 188 pages : Les mesures pour assurer la continuité du scrutin en cas de souci technique. Comme le souligne le rapport, 24 des 50 Etats proposent des machines à voter ne recourant pas au papier, les autres offrant des systèmes scannant les bulletins des électeurs. En cas de panne d'un scanner, lit-on dans le rapport, les bulletins peuvent être déposés et lus plus tard par la machine. En cas de panne d'une machine à voter, il faut soit la réparer sur place - au risque de voir s'allonger des files d'électeurs pour un temps indéterminé - soit pouvoir la remplacer par une machine fonctionnelle. Les enquêteurs ont étudié si de tels plans de continuité d'activité existaient. Et préconisent, pour les Etats dont les procédures sont jugées insuffisantes, de prévoir des urnes traditionnelles en plan de secours. Les méthodes pour recompter les votes et mesurer les écarts éventuels. Les auteurs de l'enquête précisent en effet qu'on a vu, par le passé, des différences notables entre le nombre d'électeurs qui se sont présentés au bureau et le nombre de votes enregistrés par les machines. Ils vérifient donc que des « meilleures pratiques » soient recommandées et suivies dans les différents Etats. Le recours à des récépissés papier. Dix-neuf Etats ne donnent aucun reçu aux électeurs, note le rapport. Qui indique qu'ainsi il n'y a aucun moyen, en cas de litige, de vérifier qu'il n'y ait pas eu de bug logiciel ou autre erreur de programmation. Le Brennan Center demande instamment que toutes les machines délivrent des reçus. La conduite d'audits a posteriori. Vérifier un pourcentage des récépissés papier avec ce qui a été enregistré par la machine constitue, selon les enquêteurs du Brennan Center, « un des meilleurs moyens de s'assurer de la précision des totaux fournis par les machines à voter ». Dans tous les cas, les responsables locaux des élections ont été interrogés et informés. Le rapport souligne d'ailleurs qu'ils ont effectué un immense travail d'amélioration de leurs procédures, ces dernières années. Toutefois, « comme le démontre ce rapport, il y a encore beaucoup de travail à faire », dans les quatre catégories. (...)

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