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(01/10/2008 16:56:12)

Signal Spam et la Cnil s'attaquent aux entreprises émettrices de spam

La lutte contre les pourriels adopte enfin une attitude volontariste. L'association Signal Spam et la Cnil, partenaires depuis octobre 2007, sont en effet sur le point de s'attaquer frontalement aux entreprises émettrices de spams et d'aboutir éventuellement sur des sanctions. Les deux organisations s'appuient pour cela sur des extensions aux principaux clients de courriels permettant aux internautes de signaler en un clic les pourriels qu'ils reçoivent. « A ce jour, nous comptons environ 41 000 utilisateurs, qui signalent entre 20 000 et 25 000 spams chaque jour. Au total, notre base de données recense plus de 11 millions de messages non sollicités », explique Francis Bouvier, chef de projet au sein de Signal Spam. Chaque pourriel signalé est analysé puis transmis aux partenaires de l'association, notamment les FAI qui peuvent fermer les comptes des émetteurs ou procéder au blocage des spams sortants. Depuis le début 2008, les pourriels les plus signalés sont également communiqués à la Cnil. Si, jusqu'à présent, la Commission nationale de l'informatique et des libertés n'intervenait pas directement, les choses ont changé. Le mois de septembre 2008 marque en effet le passage à l'offensive pour l'autorité administrative. Elle mène ainsi « un travail de contrôle qui peut aboutir à des condamnations », indique Francis Bouvier. Plus précisément, la Cnil s'intéresse aux entreprises à l'origine de larges envois de spams. Des enquêteurs se déplacent dans les sociétés suspectes afin de contrôler les méthodes de collecte des adresses électroniques utilisées, le respect de l'opt-in (consentement préalable des personnes démarchées) et du droit de s'opposer à la réception de nouveaux messages. Bien entendu, seules les entreprises françaises sont susceptibles d'être contrôlées. Le spam franco-français ne représente qu'entre 5 et 8% de la totalité, « mais s'y attaquer et parvenir à l'endiguer serait déjà une belle victoire », souligne le chef de projet. « Pour l'heure, il n'y a pas encore de condamnation car les contrôles ont lieu depuis seulement quelques semaines, rapporte Francis Bouvier. Mais, la Cnil va s'autosaisir et pourra prononcer des sanctions allant jusqu'à 300 000 € d'amende. » Sans compter, dans les cas les plus sérieux, que le parquet peut être contacté pour des suites pénales. (...)

(01/10/2008 16:52:41)

Fujitsu Siemens ajoute des lames de stockage dans ses châssis

Fujitsu Siemens se démarque des autres fournisseurs de serveurs lames en proposant d'intégrer dans ses châssis Primergy des lames dédiées au stockage. En apparence paradoxale, puisque le design des serveurs lames induit une séparation entre le stockage et la partie CPU des serveurs, cette offre a été élaborée pour répondre à la demande du marché. Conçue pour le châssis BX600 S3 (7U, 10 emplacements), la lame de stockage SX650 s'enfiche aux côtés d'un serveur lame BX620 S4 (deux Xeon bi ou quadri-coeurs). On peut donc avoir jusqu'à cinq lames de stockage pour cinq serveurs lames. Une gestion en Raid de cinq matériels jusqu'à 730 Go Ce serveur, qui dispose de cinq emplacements pour des disques 2,5 pouces, est doté d'un contrôleur disque LSI MegaRAID doté de 512 Mo de mémoire cache, qui permet de gérer en RAID cinq matériels jusqu'à 730 Go. La double connexion SAS peut d'atteindre un débit théorique de 3 Gbps. Au niveau des disques, le choix est laissé entre les modèles à interfaces SAS ou SATA, sachant que la dernière donne accès à des modèles de disques moins coûteux, moins performants, mais de plus grande capacité. Ce couplage original de lames serveur et de stockage peut répondre aux besoins de serveurs installés en dehors des datacenters, dans des sites distants ou pour des PME. Toutefois, avec ses dix emplacements, le châssis BX600 S3 paraît un peu surdimensionné pour ce type d'usage. Fujitsu Siemens serait bien inspiré de proposer un châssis lame de plus petite taille. (...)

(01/10/2008 16:30:31)

Le CCE de SFR s'oppose au projet de réorganisation de SFR/Neuf Cegetel

Avis défavorable : c'est le verdict rendu par le comité central d'entreprise (CCE) de SFR à propos du projet de réorganisation du nouvel ensemble SFR/Neuf Cegetel . Le CCE a rendu son avis en fin de semaine dernière, par opposition aux mesures d'accompagnement proposées par le groupe et à ses conséquences sociales. Le CCE constate au vu des conclusions de l'expert comptable - que la direction n'aurait pas remises en cause - que le projet de suppression de postes n'a pas vocation à permettre à SFR de financer ses investissements futurs (FTTH ou 4G-LTE). D'après le comité central, le groupe SFR - Neuf Cegetel dispose largement des moyens financiers nécessaires, indépendamment de cette réduction de sa masse salariale. En outre, les économies nettes attendues de l'application du plan de départs volontaires (21 M€) seraient marginales par rapport aux synergies recherchées dans le cadre du rapprochement entre SFR et Neuf Cegetel (315 M€) : elles sont estimées, par le CCE, à 6% du total sur la période 2008 -2010. La révision à la baisse des objectifs de suppressions de postes, proposée par l'expert du CCE, n'aurait donc pas de conséquence significative sur la capacité de SFR à maintenir ou développer une profitabilité déjà très élevée (38% du CA au niveau de SFR). Des suppressions inégales selon les régions Même si la qualité des informations sociales s'est améliorée, le CCE estime que les données sociales ne comprennent pas toutes les suppressions de poste : elles seraient en fait supérieures à 500, compte tenu des suppressions de postes vacants. De plus, des incertitudes demeurent sur la pérennité de certaines équipes en régions. Le CCE rappelle en effet que 43% des suppressions brutes des postes sont envisagées, au niveau du groupe SFR - Neuf Cegetel, dans des catégories professionnelles où plus d'un tiers des salariés devront se porter volontaires pour que les objectifs soient atteints. Au niveau des sites de Toulouse, Metz et Nantes le taux de suppressions nettes est supérieur à 56%. Il est de 100% pour le site de Pau (11 salariés), et de 43% pour Aix et Marseille. Le volontariat n'a donc pas le même sens en fonction des sites. (...)

(01/10/2008 16:26:21)

ARM fournira le design des SoC 32 et 28 nm à IBM, Samsung et Chartered

ARM, qui conçoit les processeurs éponymes, s'associe à IBM pour développer des SoC (System on a chip) en 32 nm et 28 nm au profit de la Common Platform Alliance (CPA). Chartered Semiconductor et Samsung sont aussi membres de cette dernière. Tout comme elle le faisait déjà pour des procédés en 65 nm et 45 nm, la société anglaise fournira à l'alliance la conception et la licence d'une plateforme de SoC (logique, mémoire, interface). Réputés pour leur frugalité ainsi que leur performance, les processeurs ARM sont intégrés aux GSM de sociétés comme RIM (BlackBerry), Samsung, Nokia, HTC, LG et Motorola. (...)

(01/10/2008 16:10:25)

AMD avance la sortie de Shanghai pour effacer les déboires de Barcelona

Selon AMD, la cohorte de problèmes rencontrés avant la sortie de Barcelona appartiennent désormais au passé. L'avenir s'annonce radieux et a pour nom de code Shanghai. Ce nouveau processeur quadri-coeur conçu en 45 nm est destiné à rivaliser avec le Nehalem d'Intel. Il s'annonce à ce point prometteur que la société a décidé d'en avancer la date de sortie. Prévue initialement pour le premier trimestre 2009, la puce devrait faire son apparition dès la fin de cette année. Elle devrait alors avoir passé tous les tests pour que les problèmes de conception rencontrés avec Barcelona ne se reproduisent pas. Un ingénieur expérimenté, Raghuram Tupuri, a été recruté afin de combler les lacunes dans les processus de tests et de validation du fondeur. Pat Patla, directeur général du groupe serveurs et stations de travail, assure : « le produit que nous avons remis à nos partenaires est suffisamment stable pour qu'ils puissent réaliser de nombreuses validations avancées. » Une performance augmenté de 35% , et une consommation réduite d'autant En passant d'une gravure à 65 nm pour Barcelona à un procédé en 45 nm pour Shanghai, AMD espère accroître la performance moyenne de ses puces de 35 % et réduire d'autant la consommation énergétique. Shanghai s'installera en effet sur le même chipset que Barcelona. La consommation énergétique des premiers modèles ne devrait pas dépasser 75 watts. Ils seront destinés au marché des serveurs traditionnels. Il sera suivi en 2009 d'une version à 55 watts pour les serveurs lames et d'un modèle à 105 watts dédié pour le calcul haute performance (HPC). (...)

(01/10/2008 16:06:51)

4e licence 3G : la décision du gouvernement attendue début 2009

La décision d'attribuer une quatrième licence 3G devrait être prise dans les premiers jours de 2009. C'est François Fillon qui l'affirme, ce matin, dans les colonnes de nos confrères des Echos. Cette information fait suite à la publication par l'Arcep, la semaine dernière, des résultats de sa consultation publique sur l'attribution de licences 3G dans la bande 2,1 GHz. Les contributeurs (au nombre de 23) penchent tous pour la réservation de fréquences à un nouvel entrant. On trouve dans cette liste les futurs concurrents du nouvel entrant (Orange, SFR et Bouygues Telecom) ainsi qu'Iliad, la maison mère de Free, candidat malheureux au dernier appel à candidatures. Sont donc mises en avant des procédures conservant une priorité sur tout ou partie des fréquences à un nouvel entrant, selon des modalités analogues aux précédents appels à candidatures. En avril 2008, l'échec de l'appel à candidatures avait été entériné par le gouvernement pour l'attribution des fréquences encore disponibles dans la bande 2,1 GHz. Selon le Premier ministre, la décision de permettre à un nouvel opérateur d'acquérir une licence 3G devra répondre à trois objectifs : favoriser la concurrence pour faire baisser les prix, ne pas brader les intérêts de l'Etat et assurer une couverture maximale du territoire. (...)

(01/10/2008 15:31:59)

VMware Workstation 6.5 améliore principalement l'affichage

VMware rend disponible la version 6.5 de son offre VMware Workstation. Les nouveautés de cette mouture concerne principalement l'affichage. Elle supporte ainsi DirectX 9 3D graphics et le "Unity mode" qui permet de ne montrer, sous un OS donné, que la fenêtre de l'application active et non l'ensemble de l'interface. Une fonction intéressante par exemple avec un poste sous Linux qui utilise Microsoft Outlook. VMware Workstation 6.5 commence aussi à intégrer la gestion des versions 64 bits des OS déjà supportés précédemment. (...)

(01/10/2008 14:56:42)

Risc Group se réorganise en deux divisions PME et grand comptes

Après 8 rachats en seulement deux ans, Risc Group comptait 11 structures juridiques différentes, ce qui imposait une nouvelle organisation. La SSII se retrouve désormais autour de ses deux grands marchés : d'une part les TPE et PME (entreprises de moins de 100 postes) avec la division « Risc Group Inbox », et d'autre part les grands comptes et les grandes PME avec l'entité « Risc Group IT Solutions». La première regroupe les anciennes entités : BESDI (activité de sauvegarde, distribuée en indirect), Risc Security (sécurité, ventes directes), Itemos (web agency). Cette division tourne autour de la Risc box lancée il y a dix huit mois et devrait fournir également des connexions réseaux. La seconde, Risc Group IT Solutions, réunit les anciennes filiales Ornis (hébergeur, saas), Backup Avenue (sauvegarde en ligne), monDSI.com (sécurité en saas avec 350 revendeurs). « Cette activité, qui représente 28 millions d'euros de chiffre d'affaires (sur le dernier exercice), devrait passer à 40 ou 45 millions d'euros lors de l'exercice annuel en cours », nous explique Loïc Péquignot, président du groupe. Pour cette division, Risc Group compte également procéder à des acquisitions. Une troisième entité prévue en 2009 Une troisième division devrait même voir le jour début 2009, du moins dès que les conditions financières permettront à Risc de prendre le contrôle de l'opérateur Normaction dont il détient déjà 20% du capital. Elle formera la division Risc Group Télécoms. A l'international, la division Inbox est présente dans plusieurs pays : France, Belgique, Espagne, Allemagne, Italie, Suisse et devrait s'ouvrir dans 2 à 3 autres pays d'ici un an. IT Solutions en revanche est présente uniquement en France. Pour l'exercice annuel en cours, qui se termine au 30 juin 2009, Risc Group prévoit de réaliser 106 à 108 millions deuros, par croissance organique nous explique Loïc Pequignot. Il envisage de doubler ce chiffre par la croissance externe. (...)

(01/10/2008 12:43:23)

Les PME aussi s'intéressent à l'informatique verte

Une étude réalisée par KRC Research pour le compte de Microsoft met en évidence l'intérêt, pour les entreprises, de mettre en place des procédures respectueuses de l'environnement. Et, dans ce cadre, d'avoir recours à l'IT. Réalisée auprès de 250 petites entreprises américaines, l'étude indique que les technologies sont un levier important pour tendre vers une activité respectueuse de l'environnement. La bonne conscience écolo des décideurs n'est bien évidemment pas le seul facteur déclenchant : pour 60% des responsables interrogés, le recours aux technologies vertes permet de réaliser des économies. Cet intérêt se traduit dans le nombre croissant d'entreprises visant à rendre leurs méthodes de travail plus vertes. Ainsi, 38% des structures sondées déclarent porter davantage d'importance au respect de l'environnement qu'il y a un an. Bureau sans papier, télétravail et technologies mobiles Parmi les pratiques mises en place pour tendre vers un comportement écolo-responsable, le bureau sans papier arrive en tête. Il est également cité comme l'instrument le plus susceptible de générer des économies. Suivent l'adoption de mesures visant à une meilleure gestion de la consommation énergétique du matériel informatique, le recours au télétravail, la mise à jour des infrastructures serveurs avec des technologies vertes, et l'utilisation de technologies mobiles. Sans surprise, Microsoft, en tant que commanditaire de l'étude, rappelle qu'il dispose de tous les outils permettant d'arriver à ces fins. (...)

(01/10/2008 12:42:04)

HP condamné à verser 2,3 M€ pour licenciements abusifs

HP vient d'être condamné à verser plus de 2,3 M€ à 292 ex-salariés de son site de l'Isle-d'Abeau pour licenciements abusifs. En cause : le rachat, au printemps 2002, de leur usine par le sous-traitant américain Sanmina-SCI. Dans son délibéré, le conseil des Prud'hommes de Vienne (Isère) a décidé de contraindre le géant informatique à payer à chacun des plaignants 7 000 euros de dommages et intérêts au titre du préjudice moral subi, et 1 000 euros en application de l'article 700 du nouveau code de procédure civil (qui prévoit les remboursements des frais inhérents à la procédure, hormis les dépens). En revanche, aucune collusion frauduleuse n'a été démontrée. Les 325 anciens salariés du site isérois d'HP qui réclamaient 30 000 euros de dommages et intérêts au motif d'une fraude à l'article L 122-12 du code du travail (qui prévoit de protéger les salariés et de les transférer, notamment lors de la vente d'une entreprise.) n'ont pu obtenir réparation. Rappelons qu'HP vient d'annoncer la suppression de 25 000 emplois dans le monde, dont près de 10 000 en Europe. (...)

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