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(30/09/2008 18:06:20)
Les clubs d'utilisateurs de SAP sondent les clients sur le contrat « Enterprise Support »
A la suite de la substantielle modification par SAP des contrats de maintenance de ses applications de gestion, 31 clubs nationaux d'utilisateurs de ces logiciels, regroupés par le SUGEN (SAP User Group Executive Network), mènent de front une enquête auprès des clients de l'éditeur allemand.
En France, c'est l'USF qui soumet le questionnaire aux utilisateurs francophones de SAP. Que pensent-ils de la généralisation du contrat « Enterprise Support » qui s'accompagne d'une hausse des tarifs de la maintenance ? Les avis doivent être communiqués par les entreprises avant le 10 octobre 2008.
En savoir plus :
- Accéder au questionnaire sur le site de l'USF
- Des détails sur le SUGEN (...)
Syntec lance un journal dédié à l'apprentissage dans les entreprises du secteur
Syntec informatique poursuit son action de promotion en faveur de l'apprentissage. Après les offres diffusées sur le service gratuit Campus Syntec Informatique, le syndicat professionnel a décidé de publier ApprenTIC, un journal entièrement dédié à ce mode de formation dans l'IT. Disponible en deux éditions (étudiants et centres de formation et entreprises), ApprenTIC est une publication trimestrielle qui aborde le thème de l'apprentissage dans les entreprises des logiciels et services. Il propose des thèmes tels que les différentes étapes du cursus scolaire où il est possible de faire de l'alternance, les avantages d'un contrat d'apprentissage pour les entreprises, l'actualité juridique concernant ce type de contrat, les démarches à entreprendre pour embaucher un contrat d'apprentissage, notamment. La publication expose également des témoignages de jeunes en contrat d'apprentissage, d'opérationnels accueillant des contrats d'apprentissage, et de responsables des ressources humaines. Journal papier, ApprenTIC contribuera cependant à alimenter la nouvelle rubrique apprentissage du site passinformatique.com, dédié aux métiers de la high-tech. Ce dernier sera relayé par le site changeursdemonde.com, initiative lancée en mars 2007 par Syntec informatique pour renforcer l'attractivité des métiers informatiques auprès des jeunes. Le lancement d'ApprenTIC sera en outre suivi d'une première journée dédiée à l'apprentissage informatique, qui aura lieu le 7 novembre prochain. (...)
(30/09/2008 17:34:04)Microsoft défend les formats multiples et l'interopérabilité
Il peut exister plusieurs formats, l'important est qu'il y ait interopérabilité entre eux. Voici résumé, en une phrase, le message que défend Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, dans une tribune publiée sur LeMondeInformatique.fr. « La seule chose qui compte n'est pas l'unicité des formats ou des protocoles, écrit-il, mais la capacité pour l'utilisateur de pouvoir échanger librement et simplement des données, des informations, etc. entre différents programmes, différents systèmes, etc. en fonction de ses besoins. C'est pour cela que l'interopérabilité est importante, que celle-ci repose sur des standards, des normes, des coopérations industrielles ou toute autre méthode appropriée. » Avec cette tribune, Bernard Ourghanlian inaugure un nouvel espace du site, le 'blog experts - invités par la rédaction', qui a vocation à accueillir les débats d'idées. (...)
(30/09/2008 17:05:45)Douche froide pour les valeurs technologiques après le rejet du plan Paulson
Le Dow Jones en berne, le Nasdaq dans les abîmes, c'était un lundi noir à Wall Street. Alors que la planète entière attendait avec fébrilité l'adoption du plan Paulson - qui vise à injecter quelque 700 Md$ dans l'économie américaine - le Congrès a finalement rejeté le principe d'une intervention étatique pour palier des errements privés. Dans la foulée de ce coup de bambou imprévu, les places boursières du monde entier se sont drapées de noir pour afficher des baisses spectaculaires. A Wall Street, le Dow Jones enregistre ainsi le recul en valeur le plus important de son histoire, en perdant près de 800 points. Si le marasme concerne avant tout le secteur bancaire et financier (citons la faillite de Lehman Brothers, les nationalisations en urgence de Fortis et de Bradford & Bingley, le renflouement d'AIG ou les incertitudes planant autour de Dexia), aucun domaine d'activité n'est épargné par la sinistrose. Les valeurs technologiques ne font donc pas exception et affichent une baisse généralisée. Symbole de ce cataclysme, le Nasdaq connaît la 3e diminution la plus importante de son histoire, à -9,2%. Apple chute de 23% Parmi les acteurs de l'IT, nul ne tire son épingle du jeu. La principale victime est indubitablement Apple, dont le titre perd 23% ; les géants du Web Google et Yahoo décrochent de plus de 10% ; les grands constructeurs comme HP et Dell baissent de plus de 7% ; Oracle affiche -9% et Microsoft -8%. « C'est la douche froide pour tout le monde », commente Frédéric Giron, directeur des études au sein de Pierre Audoin Consulting France. Faut-il, en observant ces effondrements de valeurs, lire une quelconque rationalité des investisseurs ? Rien n'est moins sûr, selon l'analyste : la crise concerne essentiellement le secteur de la finance, et n'est donc pas directement liée au domaine de l'IT. Les réactions immédiates seraient donc plus épidermiques que logiques, les porteurs anticipant un ralentissement des investissements et des dépenses des consommateurs en vendant leurs titres pour se rabattre sur des valeurs refuges comme les bons du trésor ou les métaux. Pourtant, rappelle Frédéric Giron, la crise ne menace pas le monde de l'IT. « Dans le secteur des logiciels et des services, les carnets de commandes sont pleins pour 2008. En 2009, même si un ralentissement plus ou moins prononcé se fera sentir selon les secteurs et les pays, la croissance devrait perdurer. En France, par exemple, les logiciels et services devraient générer un revenu en hausse de 5%. » 20% des dépenses IT reposent sur le secteur bancaire [[page]] Pour autant, il serait vain de déconnecter totalement crise financière et marché technologique. D'abord parce que l'échec du plan Paulson conjugué aux faillites de plusieurs établissements de crédit implique une disponibilité des capitaux en diminution. Soit un recul des montants qui permettent aux entreprises d'investir et aux consommateurs de dépenser. Ensuite parce que « le secteur bancaire en tant que client va avoir des conséquences négatives sur le monde des technologies », souligne Frédéric Giron qui rappelle que 20% des dépenses IT reposent sur le secteur financier. Un chiffre certes important mais qu'il convient de relativiser. En effet, « d'autres secteurs vont jouer le rôle de tampon, précise l'analyste. De plus, des investissements vont être déclenchés grâce aux rapprochements de sociétés, aux optimisations afférentes - dans les infrastructures et les applicatifs, notamment - ou aux futures nouvelles réglementations censées éviter qu'une telle crise ne se reproduise. » Seul le marché du matériel IT risque de connaître une décroissance durable en valeur, mais sans qu'un lien de causalité avec la crise actuelle puisse être mis en évidence : ce recul en valeur était largement perceptible avant les premiers soubresauts liés à la crise née des subprimes. Apple, Microsoft et Oracle, simples victimes collatérales On peut donc estimer, sans véritablement jouer les cartomanciens, que l'effondrement des valeurs technologiques s'avère simplement ponctuel pour la majorité des acteurs IT. Apple, Microsoft ou Oracle ne seraient finalement que les victimes collatérales de la versatilité des marchés boursiers. Ce qu'on ne peut pas dire d'une autre catégorie d'acteurs : les géants indiens. Frédéric Giron rappelle en effet que « ces groupes réalisent 30 à 40% de leur chiffre d'affaires grâce au secteur financier. Ils ont donc réellement du souci à se faire. » D'ailleurs, eux qui sont les champions du recrutement, commencent à donner des signes d'essoufflement. Satyam, par exemple, est le sujet de plusieurs rumeurs faisant état de plusieurs milliers de licenciements. A l'inverse, les SSII hexagonales regagnent des couleurs après avoir tutoyé le marasme. Steria, Sopra ou Capgemini ont ainsi regagné aujourd'hui presque tout le terrain abandonné hier à la bourse de Paris. (...)
(30/09/2008 16:28:15)Entrepôt de données HP Oracle : les concurrents réagissent
A côté d'éditeurs comme Teradata, implantés depuis longtemps sur les grands entrepôts de données (datawarehouses), ces dernières années ont vu des acteurs de niche tels que Netezza et Datallegro investir le terrain des appliances décisionnelles (couplant matériel et logiciel) avec des technologies brevetées. Pour certains d'entre eux, la réaction ne s'est pas fait attendre à l'annonce de la 'HP Oracle Database Machine', une solution associant dans le même châssis des serveurs de bases de données et des serveurs de stockage. Par communiqué, Christian Raza, directeur des opérations de la filiale française de Netezza (ouverte en juin dernier), estime ainsi que le produit d'Oracle « n'est rien d'autre que du packaging autour de la base de données traditionnelle Oracle 11g ». Une offre, juge-t-il, conçue pour profiter du secteur en pleine expansion « des appliances décisionnelles dont on nous reconnaît la paternité ». Ce fournisseur américain est effectivement installé sur ce créneau depuis sa création, avec une technologie propre d'alimentation rapide de datawarehouse (streaming analytics) et de traitement massivement parallèle. « Nous sommes partis d'une feuille blanche », poursuit Christian Raza, tant sur le matériel que sur le logiciel, soulignant ainsi qu'Oracle n'aurait fait qu'installer sa base sur un serveur HP. Créer un marché de volume sur les appliances décisionnelles [[page]] Indéniablement, le secteur du datawarehouse bouge. « Datallegro, qui ne fonctionne que sur matériel Bull et Dell, a été racheté par Microsoft cet été, et Sun a fait le chemin inverse avec MySQL », rappelle Jean-Michel Franco, directeur des offres chez Business & Decision. Il y a quinze jours, des rumeurs de rachat par SAP ont fait monter l'action de Teradata. Cette hypothèse qui aurait semblé saugrenue il y a quelques semaines apparaît plausible désormais, évalue cet expert en solutions décisionnelles. Tout cela révèle un sérieux changement du marché et préfigure peut-être de nouvelles consolidations, juge-t-il. L'arrivée d'Oracle sur les appliances décisionnelles montre que les grands éditeurs n'entendent plus laisser les petits acteurs seuls sur ce terrain, souligne Jean-Michel Franco. « Il s'agissait d'un marché de niche, même si Teradata y est depuis longtemps et s'il y a beaucoup de nouveaux entrants, comme Greenplum, Vertica ou Cognito de Neocog. Les grands acteurs vont faire en sorte qu'il se transforme un peu plus en marché de volume. » Pour le directeur des offres de B&D, la solution d'Oracle va cibler les datawarehouses de 5 à 10 To pour lesquels Teradata apparaît trop haut de gamme. Il considère qu'en France, les produits de Teradata et Netezza concernent une trentaine de gros prospects. Et d'ajouter : « Microsoft a bien joué aussi, ils vont approcher les très gros ». Teradata : « Notre cible n'est pas tout à fait la même » Interrogé sur la HP Oracle Database Machine, Michel Bruley, directeur marketing de Teradata France, reconnaît qu'il s'agit forcément d'une offre concurrente, « même si notre cible n'est pas tout à fait la même, pas tant en termes de volumes que d'usage, précise-t-il. Nous cherchons à construire des entrepôts de données d'entreprise couvrant l'ensemble des départements -direction commerciale, marketing, logistique, finance, ressources humaines- pour effectuer des croisements et réaliser des analyses transversales. Ce n'est donc pas tant un problème de volumétrie que de complexité de l'usage. » [[page]] A sa création, Teradata s'est effectivement positionné sur les gros volumes (comme l'atteste d'ailleurs son nom). « Jusqu'à la fin des années 90, il y avait peu de systèmes au-dessus du Téraoctet, rappelle Michel Bruley. En France, nos grands datawarehouses atteignent 10 To comme chez Leroy Merlin, et les très gros gèrent entre 50 et 100 To -chez SFR et IBP, par exemple. Mais à l'étranger, nous en avons constitué d'énormes, dépassant les 200 To, et celui d'eBay monte jusqu'à 1 500 To. » Ce dernier, d'ailleurs, viendra témoigner le 19 novembre, lors de la conférence utilisateurs de Teradata. Par rapport aux datawarehouses qui autorisent des analyses de données sur une fonction de l'entreprise (la gestion de la relation client par exemple), Teradata insiste sur sa capacité à permettre à différents profils d'utilisateurs d'accéder simultanément à un entrepôt d'entreprise, insiste Michel Bruley. « Les uns effectueront de l'analyse standard, tandis que d'autres feront du datamining, éditeront des tableaux de bord préparamétrés ou lanceront des requêtes ad hoc, énumère Michel Bruley. Pendant que d'autres utilisateurs, encore, dans un centre d'appels, par exemple, effectueront du scoring sur des clients et que, dans le même temps, il sera possible de lancer des traitements par lots sur certains types de données. » Des traitements qui requièrent que le système supporte une mise à jour des données en temps réel. (...)
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