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(22/09/2008 17:11:56)
Bonus-malus écologique : Nicolas Sarkozy demande un groupe de travail
Le bonus-malus écologique n'est pas mort. Son extension à d'autres produits que l'automobile n'est pas non plus annulée, mais simplement reportée. Après une série d'annonces visiblement mal contrôlées par le ministre de l'Ecologie, Nicolas Sarkozy a convoqué vendredi soir Jean-Louis Borloo et sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet. Le ministre du Budget, Eric Woerth, était également convié. Le succès du bonus-malus automobile pèse sur les finances publiques, et le ministre s'oppose à des taxes supplémentaires. A l'issue de ce rendez-vous, Nicolas Sarkozy a finalement confirmé son soutien au principe du bonus-malus écologique, tout en s'opposant à la mise en place de nouvelles taxes. Un communiqué de l'Elysée précise ainsi que : "Compte tenu de la situation économique et des tensions actuelles sur le pouvoir d'achat, le président de la République réaffirme son opposition à la mise en place de toute nouvelle fiscalité sur des produits de grande consommation". La contradiction subsiste donc. Réunir les parlementaires, les associations de consommateurs, les ONG environnementales et les représentants des industriels Mais selon l'AFP, le président de la République a aussi demandé la mise en place d'un groupe de travail sur l'extension du dispositif à d'autres familles de produits que l'automobile. Il devra réunir notamment les parlementaires, les associations de consommateurs, les ONG environnementales, les représentants des industriels, etc. Il est à noter que, parmi d'autres, Jean-Louis Borloo avait évoqué les produits électroniques et informatiques comme cible de son bonus-malus. La cacophonie continue de plus belle. La réunion de vendredi a tout autant inquiété les tenants du Grenelle de l'environnement que les adeptes de la diminution de l'impôt. Même Nicolas Hulot s'apprêterait à revenir dans le débat, selon l'AFP, pour « défendre la croissance verte et rappeler ses engagements au chef de l'Etat. » (...)
(22/09/2008 17:13:34)Emploi des seniors : les entreprises en défaut pourraient verser une pénalité
Les entreprises et les branches qui n'auront pas conclu d'accords sur la gestion des âges et l'emploi des seniors d'ici au 31 décembre 2009 verseront une pénalité de 1% de leur masse salariale. C'est l'une des mesures prévues par le gouvernement pour inciter les entreprises à conserver ou à embaucher leurs salariés seniors. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand avait déjà évoqué la question avec les partenaires sociaux dans le cadre du plan en faveur de l'emploi des seniors présenté au début de l'été. Mais aucune sanction n'avait été évoquée avant ce texte préparatoire du budget 2009 de la Sécurité sociale, cité par l'AFP 1% des rémunérations versées par l'employeur serait affecté à la Cnav des travailleurs salariés En effet, selon l'agence de presse qui s'est appuyée sur un document transmis aux partenaires sociaux, «les entreprises sont soumises à une pénalité à la charge de l'employeur lorsqu'elles ne sont pas couvertes par un accord ou un plan d'action relatif à l'emploi des salariés âgés. Le montant de cette pénalité est fixé à 1% des rémunérations versées par l'employeur et son produit est affecté à la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés ». Cette possibilité de pénalité intervient dans un contexte où le marché du travail n'est pas très favorable à l'emploi des informaticiens seniors, formés dans les années 80. En effet, d'après les statistiques de l'emploi enregistrées ces dernières années, les informaticiens de quarante ans et plus, semblent rencontrer d'importantes difficultés à trouver un emploi. Surtout dans les SSII, un secteur où la moyenne d'âge se situe autour de 30, 35 ans... (...)
(22/09/2008 16:18:25)Toshiba ampute ses objectifs de moitié pour 2008/2009
Touché par le ralentissement économique qui frappe le marché des semi-conducteurs ainsi que par l'âpreté de la concurrence, Toshiba revoit ses prévisions semestrielles et annuelles drastiquement à la baisse. Alors qu'il tablait sur un revenu d'exploitation de 70 Md¥, le fabricant japonais devra finalement éponger une perte de 30 Md¥ pour le premier semestre de l'année, dont l'exercice fiscal se clôture le 30 septembre. Le résultat net devrait subir le même sort, en basculant dans le rouge à -50 Md¥ contre un bénéfice de 15 Md¥ attendu. L'avertissement est sévère, et Toshiba ne prévoit pas d'amélioration pour l'ensemble de l'année. Le groupe nippon devra se contenter d'un bénéfice net de 70 milliards de yens contre les 130 milliards initialement pronostiqués et les 127,7 milliards engrangés un an plus tôt. En un an, le chiffre d'affaires devrait quant à lui se maintenir avec peine, en passant de 7 668 à 7 700 milliards de yens. C'est également moins bien que les 8000 milliards prévus par les analystes. Toshiba explique ce revers de fortune par « l'érosion des prix des mémoires flash NAND », dont la production est en inadéquation avec la demande réelle, en particulier pour les produits grand public. Le constructeur japonais a d'ailleurs récemment décidé de délaisser ce type de mémoires pour se consacrer au développement des mémoires 3D, en association avec SanDisk - qui vient de rejeter l'OPA de Samsung, numéro un des mémoires flash, devant Toshiba. (...)
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