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(23/09/2008 15:23:12)
McAfee met la main sur Secure Computing, spécialiste de la sécurité des réseaux d'entreprise
McAfee, numéro deux du marché de la sécurité derrière Symantec, va acheter Secure Computing, spécialiste des équipements de sécurité pour les réseaux. L'offre s'élève à 465 M$. Les 22 000 clients de Secure Computing viendront étoffer les "quelques milliers" que compte McAfee dans le domaine de la sécurité des réseaux (pare-feu, passerelles web et mail sécurisées). De plus, Secure Computing, qui emploie 900 salariés, compte beaucoup de grandes entreprises parmi ses clients. Les analystes saluent la dimension stratégique du rapprochement. Le marché de la sécurité s'oriente vers des suites logicielles et des offres de plus en plus globales. Le temps où McAfee ne proposait qu'un antivirus est bien loin. Toutefois, ils n'en émettent pas moins quelques réserves sur la reprise de Secure Computing. D'une part, ils attendent de voir comment et dans quels délais les deux lignes de produits vont fusionner. D'autre part, ils soulignent que Secure Computing, né dans le giron d'Honeywell pour répondre aux besoins de sécurité de la NSA (National Security Agency), peine sur un secteur de plus en plus concurrentiel où il doit désormais se colleter à des mastodontes comme Cisco ou Juniper. La société a perdu la moitié de sa valeur en bourse en 2008. Dave deWalt arrivé à la tête de McAfee au printemps 2007, en provenance d'EMC, conduit depuis une active politique de croissance externe (rachats de Onigma, Reconnex et SafeBoot). Jon Oltsik, analyste à l'Enterprise Strategy Group prédit que McAfee devrait encore étendre ses compétentes dans les domaines de la sécurité de la gestion des informations, de celle des applications et des bases données, voire même dans la gestion des identités. Dans cette perspective, il cite les cibles potentielles suivantes : ArcSight, Application Security, Chosen Security, Courion et LogRhythm. (...)
(23/09/2008 14:10:36)Les budgets IT condamnés à stagner, prédit Datamonitor
Datamonitor prévoit que plus de la moitié (51,4%) des DSI fonctionneront à budget constant en 2009. Cette étude, fondée sur les réponses de 8100 DSI relève que seul le secteur de la santé va échapper à la morosité ambiante. Dans ce domaine, 57% des DSI tablent sur une hausse de leur budget. Les analystes de Datamonitor soulignent le fait que la stagnation des budgets informatiques n'est pas seulement conjoncturelle, mais qu'il s'agit d'une tendance lourde sur les quatre dernières années. Ils en veulent pour preuve que si 20% des DSI tablaient en 2006 sur un budget en hausse, elles ne sont plus que 9% pour 2009. Le fait que "seulement" 13% des DSI annoncent une réduction de leur budget pour 2009 semble aussi confirmer que l'évolution globale des budgets informatiques n'est pas directement liée à la crise économique actuelle. Le sondage conduit par Datamonitor a d'ailleurs eu lieu avant le marasme boursier en cours. Cependant, le marché britannique, où la finance et les services pèsent lourd, était déjà le marché national le plus touché avec le record de budgets en baisse et en stagnation. (...)
(23/09/2008 13:55:39)Baisse de 46% des investissements liés à Internet en Europe
Pour le premier semestre 2008, la somme totale investie par les capitaux-risqueurs français atteint en Europe 470 M€, contre 397 M€ l'an dernier. C'est toutefois inférieur de 17% aux chiffres du deuxième semestre 2007 : 367 M€ avaient été injectés par 51 sociétés de capital-risque dans 312 entreprises. Chausson Finance relativise ce ralentissement en précisant que les premiers semestres sont toujours plus modestes que les seconds. Pour le cabinet de conseil, ces résultats prouvent par ailleurs que les investissements des capitaux-risqueurs ne suivent pas le même cycle de vie que les fluctuations boursières. Les énergies renouvelables explosent, Internet dégringole Par secteur d'activité, Internet et le e-commerce périclitent littéralement, en perdant 46%, à seulement 49,5 M€, soit 11% des sommes investies. Ce segment, ainsi que celui des éditeurs de logiciels, est par ailleurs éjecté du top 10 des tours de table les plus importants. Après quelques semestres difficiles, les télécoms renouent enfin avec la croissance, en doublant quasiment le montant des investissements en un an (61,7 M€ contre 33 M€). La santé remporte la palme pour le quatrième semestre consécutif, avec 120,6 M€, soit 26% des investissements. Les éditeurs de logiciel arrivent en deuxième position, avec 73,7 M€, mais ils sont en légère perte de vitesse, en passant de 23% à 16% des investissements. La catégorie Cleantech, qui a fait son apparition dans le classement il y a seulement six mois, passe directement à la troisième place avec 67,6 M€ (14% du total). Elle regroupe des entreprises développant des technologies dans le domaine des énergies renouvelables (éoliennes, biomasse, photovoltaïque...). 67% des investissements concernent des deuxièmes tours de table, mais les « seeds » (phase d'amorçage ou de mise au point du produit) raflent tout de même 9% des fonds. Ce semestre, 47 sociétés ont ainsi bénéficié de la confiance quasiment aveugle des capitaux-risqueurs, soit 26 de plus que l'an dernier. Du côté des investisseurs, Chausson Finance note également des modifications. Six fonds quittent le peloton, comme Iris Capital ou CDC Innovation. Ces sorties ne sont pas surprenantes, ces sociétés étant fortement positionnées sur le secteur des technologies de l'information et d'Internet. La somme moyenne des investissements subit également un gros bouleversement, en passant de 18 à 12 M€. Sofinnova reste indétrônable, avec un montant de 41,1 M€ investi. Otc Am le dépasse en revanche pour le nombre d'opérations réalisées (27 contre 23). (...)
(23/09/2008 12:25:32)Oracle et ses partenaires de nouveau réunis pour recruter des consultants
Les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter des profils spécialisés sur les applications d'entreprise. Dans un contexte où la demande ne cesse de croître, Accenture, IBM, KSA, Logica, Stéria, Capgemini, et Sopra, partenaires d'Oracle, ont donc décidé de se retrouver pour recruter des consultants métiers. Ces rencontres font partie du programme Oracle Community, dispositif conçu il y quatre ans par l'éditeur pour aider ses partenaires à former et embaucher des spécialistes des ERP en ressources humaines, en CRM (Gestion de la relation clients) et en marketing relationnel. 170 consultants métiers recrutés depuis la création du programme [Depuis sa création, le programme mis sur pied par Oracle a permis de recruter et former 170 consultants en ERP, en s'appuyant sur un dispositif qui se démarque des événements de recrutement plus axés sur la communication, telles les soirées festives « salsa », « poker », et autres, organisées ces derniers temps par des SSII, et dont certaines se sont avérées catastrophiques. [page]]Dès le 15 septembre les candidats pourront s'inscrire sur le nouveau site d'Oracle Community pour passer les étapes de présélection orchestrées depuis le début de l'initiative par un cabinet de recrutement indépendant (Alter Ego Solutions) et découvrir les différentes entreprises. Sur la page d'accueil du site, un mur vidéo proposera à chaque entreprise de se mettre en scène afin de fournir aux candidats une vision plus réelle de l'ambiance et l'environnement de travail qu'ils pourront trouver. (...)
(23/09/2008 11:57:56)Le statut juridique de l'adresse IP toujours pas à l'ordre du jour
A l'heure où les députés européens s'apprêtent à dépoussiérer le paysage des télécoms sur le Vieux Continent, une question importante risque de ne pas être abordée : une adresse IP doit-elle être considérée comme une donnée personnelle ? Les eurodéputés examineront en novembre le paquet télécoms avec, en point de mire, la révision de la directive régulant les activités de télécommunications en Europe. Au programme, notamment, les sanctions infligées aux opérateurs qui ne jouent pas le jeu de la concurrence - notamment sur la fibre - ou les garanties à apporter aux données personnelles des citoyens. Mais un élément important risque d'être laissé de côté : la définition juridique de l'adresse IP. Pas de statut de l'adresse IP au grand dam des régulateurs « Le paquet télécoms ne prévoit pas de se pencher sur cette question, explique Malcolm Harbour, député britannique au Parlement européen. Nous devons d'abord savoir précisément ce qu'est une adresse IP. Selon moi, elle peut être considérée comme une donnée personnelle si d'autres informations personnelles y apparaissent. » Et d'expliquer que de nombreuses adresses IP n'ont aucun lien avec l'usage individuel d'ordinateurs, comme avec les étiquettes RFID ou les webcams installées dans des lieux publics. Un statu quo qui risque de mécontenter les Cnil européennes [[page]]De même, les internautes se voient parfois attribuer des adresses IP par leurs FAI qui changent d'une connexion à l'autre. Dans ces conditions, selon l'édile, il serait vain de vouloir faire de l'adresse IP une donnée personnelle car rien ne permet d'identifier directement l'individu qui en a l'usage. Le maintien du statut de l'adresse IP hors du paquet télécoms risque de mécontenter les Cnil européennes. Celles-ci, réunies au sein du Groupe de l'Article 29, s'étaient en effet penchées sur la question au début de l'année. Leur conclusion plaidait pour une intervention normative européenne. « Si une personne peut être identifiée par son adresse IP, à ce titre elle est privée et son utilisation par les sociétés de l'Internet doit être réglementée », expliquait ainsi Peter Schaar, le président de l'Article 29. (...)
(23/09/2008 10:13:04)Microsoft fait son (positif) bilan de rentrée
Lors de la traditionnelle conférence de rentrée de Microsoft France, Eric Boustouller, le patron de la filiale française de l'éditeur, a présenté un bilan de l'année fiscale écoulée (achevée fin juin) très positif. Au niveau mondial, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 60 milliards d'euros (en progression de 18%) et un profit net de 22,5 milliards d'euros (soit 37,5%, en croissance de 22%, soit quatre points de plus que le chiffre d'affaires), dont 10 sont réinjectés dans la recherche et le développement. Comme chaque année, Microsoft n'a pas communiqué de chiffres absolus sur le marché français mais juste des progressions par lignes de produits : +17% pour Office (les ventes auraient triplé dans la distribution grand public), +32% pour Dynamics, +80% pour Sharepoint et autant pour Office Communicator. Sur les smartphones, Eric Boustouller est particulièrement fier de revendiquer 31% du marché français pour Windows Mobile, plus grande part de marché nationale au monde. Les consoles de jeu et la recherche sur Internet, des secteurs à améliorer L'éditeur a cependant connu trois déceptions : les consoles de jeu (suite à quelques difficultés d'approvisionnement), la recherche sur Internet (Google ne laissant que des miettes, Microsoft a cependant la plus grosse avec 3,2% du marché) et enfin, inévitablement, les ventes et surtout les déploiements en entreprises de Vista, même si « depuis le SP1, cela va mieux ». Selon Marc Jalabert, adopter Vista amènerait à économiser en frais d'exploitation de 250 euros à 600 euros par poste : la méthode de décompte du directeur marketing de Microsoft France n'est visiblement pas la même que celle des DSI qui résistent à une si belle sirène... Les annonces S+S et 'cloud computing' attendues en octobre L'exercice fiscal qui vient de démarrer verra Microsoft France fêter ses 25 ans et déménager son siège dans son nouvel immeuble à Issy-Les-Moulineaux. Les priorités affichées sont nombreuses : maintenir une croissance à deux chiffres, développer des technologies toujours plus innovantes, accroître les offres grand public et leur utilisation, faire décoller la virtualisation des PC (avec Softgrid) et des serveurs et enfin installer les services en ligne dans les usages courants, avec le changement de modèle économique associé à la bascule vers le fameux S+S (Software + Service) et le 'cloud computing' ; les annonces technologiques en ce sens devraient être effectuées à la conférence développeurs PDC de Los Angeles, fin octobre. Et le lancement des offres hébergées en partenariat avec des SSII aura lieu en novembre aux Etats-Unis, et mi-2009 en France. Ethique, ouverture et interopérabilité affichés au programme [[page]] Microsoft revendique clairement ses actions de « promotion » : contribuer au développement de l'industrie du logiciel, surtout innovant grâce au programme Idées ; accroître les partenariats dans l'Education (universités et écoles) ; faciliter l'égalité des chances face au numérique... Alors que son grand ennemi Google a quelques soucis à ce sujet, Microsoft a fait de la sécurité et du respect de la vie privée l'un des trois pôles de ses engagements éthiques, aux côtés de l'ouverture/interopérabilité et de la protection des enfants. Le sujet de l'interopérabilité a été largement examiné lors de la conférence de rentrée. La direction de Microsoft France a ainsi rappelé la normalisation (dans la douleur) du format Office Open XML (dont la rédaction normative définitive ne saurait tarder...) et la publication, exigée par l'Union Européenne, de très nombreuses documentations sur ses produits. Steve Ballmer à Paris le 2 octobre pour une « annonce stratégique » Ce travail d'ouverture devrait aboutir au portage de certaines technologies phares sur des plates-formes autres que Windows (notamment Silverlight 2), Novell se chargeant d'une partie du travail pour Linux. Mais cela n'ira pas, a priori, jusqu'à un Messenger pour Mac ou un Office pour Linux. Enfin, l'exercice qui commence sera l'objet d'une nouvelle série de lancements de produits qui s'achèvera par un point d'orgue : le très attendu Windows Seven début 2010, trois ans après la sortie de Vista. Steve Ballmer, le patron de Microsoft, viendra en France le 2 octobre prochain, ré-annoncer la sortie de l'édition 2008 de la base de données SQL Server, mais surtout faire une annonce qualifiée par Microsoft de « stratégique », qui devrait « réaffirmer l'ancrage de Microsoft en France ». (...)
(23/09/2008 10:05:09)Licence 3G : l'Arcep pour un nouvel entrant
L'Arcep a publié lundi les résultats de sa consultation publique sur l'attribution de licences 3G dans la bande 2,1 GHz. Les contributeurs (au nombre de 23) penchent tous pour la réservation de fréquences à un nouvel entrant. On trouve dans cette liste les futurs concurrents du nouvel entrant (Orange, SFR et Bouygues Telecom) ainsi qu'Iliad, la maison mère de Free, candidat malheureux au dernier appel à candidatures. Sont donc mises en avant des procédures conservant une priorité sur tout ou partie des fréquences à un nouvel entrant, selon des modalités analogues aux précédents appels à candidatures. En avril 2008 dernier, l'échec de l'appel à candidatures avait été entériné par le gouvernement pour l'attribution des fréquences encore disponibles dans la bande 2,1 GHz. L'Arcep s'affirme prête à proposer rapidement l'engagement de la procédure d'appel à candidatures dans la bande 2,1 GHz, dès que les modalités financières en auront été définies par le gouvernement, après le débat parlementaire prévu. (...)
(23/09/2008 09:42:43)La Fing nous guide au coeur de la convergence des technologies
Jean-Michel Cornu, directeur technique de la Fédération Internet nouvelle génération (Fing) a rédigé un ouvrage pour nous guider au coeur des NBIC. Quatre lettres qui symbolisent quatre technologies : les nanotechnologies, les biotechnologies, les technologies de l'information, la cognition. Si elles ont été dotées d'un sigle commun, c'est que tous les observateurs attentifs le savent, ces technologies ont une forte tendance à converger les unes vers les autres pour donner naissance aux innovations de demain. Des nanopuces s'installeront dans le corps humain, des avatars réalistes parleront avec la voix et des éléments du caractère des défunts, certains ordinateurs décodent déjà nos ondes cérébrales.... Comment, en tant que citoyen, élu, responsable de projet, industriel, faire face à de telles évolutions, alors les NBIC sont des disciplines complexes et vastes dans lesquelles il est difficile de se retrouver ? Comment en conséquence, prendre les décisions les plus sages pour l'avenir ? « Les territoires, par exemple, savent se projeter assez bien jusqu'en 2010, voire un peu au delà, en termes d'innovation technologique, insiste Daniel Kaplan, délégué général de la Fing, mais il leur est difficile d'imaginer ce qui va se passer avec l'informatique ambiante ou le rapport entre réel et virtuel, par exemple. » La Fing doit jouer son rôle de veilleur avec des outils tels que « Nouvelles technologies, nouvelles pensées ? » Il faut des spécialistes des technologies, mais il faut aussi prendre du recul Pour la Fédération Internet nouvelle génération (FING) et son directeur scientifique, Jean-Michel Cornu, il est essentiel pour l'avenir de comprendre. Expert de longue date des TIC et de leurs usages, l'auteur a étudié les travaux de laboratoires du monde entier et tenté une vulgarisation de cette convergence des NBIC. « Utilisons la métaphore de la montagne, propose Jean-Michel Cornu. Qui connaît le mieux un sommet ? Le sherpa qui l'a gravi ou bien l'équipe de télévision qui le survole en hélicoptère ? » Réponse : les deux. Il est, certes, important d'avoir des spécialistes avec une connaissance pointue. Mais une vue d'ensemble, avec du recul, est tout aussi essentielle. Pour prendre les bonnes décisions pour l'avenir, Jean-Michel Cornu propose des éléments de vulgarisation des quatre disciplines, mais aussi les points de vue des scientifiques de chacune d'entre elles. Celui de l'informaticien n'est pas celui du cogniticien. une cartographie des savoirs [[page]]Enfin, parce qu'il est impossible de retenir autant d'idées complexes, l'ouvrage est organisé comme une cartographie des savoirs. Il contient un chapitre par disciplines mais aussi des chapitres « clés » comme « l'interdisciplinarité », des exemples, des liens vers les travaux de certains laboratoires, etc. Un blog l'accompagne et bientôt, une île de Second Life devrait le compléter et inviter à des promenades au coeur des NBIC. Pour revenir au réel et boucler la boucle, un rendez-vous annuel proposera un point à partir du premier semestre 2009 sur les projets de laboratoires. « Aujourd'hui, l'homme peut non seulement agir sur lui-même et sur son environnement, mais il a aussi acquis le pouvoir de détruire sa niche écologique, voire l'humanité tout entière », rappelle l'auteur en quatrième de couverture, avant de continuer : « Nous sommes désarmés face à notre incapacité à faire des choix d'une ampleur historique et à les appliquer. » Alors, mieux vaut essayer de comprendre de quoi il est question. (...)
(23/09/2008 09:44:40)Le nouveau vPro d'Intel agit aussi à l'extérieur du pare-feu
Deux ans après son lancement, la plate-forme vPro d'Intel s'étoffe. Destinée à faciliter l'administration et la sécurisation des postes de travail, cette nouvelle version se distingue principalement par sa capacité à agir sur des PC à l'intérieur comme à l'extérieur du pare-feu de l'entreprise (comme les ordinateurs des travailleurs nomades). Certaines nouveautés sont accessibles à tous les clients. C'est le cas de la touche unique d'appel pour recevoir de l'aide à distance, des maintenances à distance programmées, ou encore des remontées d'alerte même provenant de l'extérieur du réseau. Cela inclut aussi la compatibilité avec les environnements NAP de Microsoft pour s'authentifier sur un réseau sécurisé avant le démarrage complet de la machine ou l'Access Monitor, un tableau de bord permettant de régler finement les actions d'Intel AMT (Active Management Technologie) pour harmoniser les règles de sécurité au sein de l'entreprise. Des outils dédiés aux PME D'autres s'adressent plus particulièrement aux PME ainsi qu'aux revendeurs et intégrateurs ciblant ce marché. Ainsi l'Intel IT Monitor est une version simplifiée de l'Access Monitor adapté pour les entreprises n'ayant pas de service informatique dédié. Intel Multi-Site IT director s'adresse aux revendeurs européens et leur permet de fournir des services de maintenance et d'administration à distance à leurs clients PME. Enfin l'Intel Remote PC Assist Technology (la touche unique pour demander de l'aide) mettra en relation l'utilisateur dans le besoin avec un prestataire technique certifié par Intel. Dans un premier temps, ce service ne concernera que les Etats-Unis, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, mais il devrait rapidement s'étendre dans les autres pays où Intel est présent. Cette nouvelle version concerne les processeurs Core2 Duo et Core 2 Quad installés sur des chipsets Q45 Express dotés du connecteur réseau 82567LM Gigabit. Le dc79000 d'HP, la gamme M58 de Lenovo, les Esprimo P7935 et E7935 de Fujitsu-Siemens, le Veriton 670 d'Acer et l'Optiplex 960 Dell sont les premières machines équipées de cette nouvelle version de vPRO. (...)
(23/09/2008 09:23:44)OpenWorld : Avec Beehive, Oracle se met à la collaboration
La conférence utilisateurs d'Oracle a pris ses quartiers d'automne au Moscone Center de San Francisco. En cinq jours (21-25 septembre) et 1 800 sessions, OpenWorld va présenter la revue de détail d'une offre étendue, régulièrement complétée par croissance externe ; un catalogue produits qui va de la base de données aux applications de gestion, en passant par une vaste gamme d'outils de middleware et de développement. Pour cette édition 2008, marquée notamment par le rachat de l'éditeur de middleware BEA Systems, Oracle dit attendre 43 000 participants, soit un millier de plus qu'en 2007. Les clients français, parmi lesquels France Télécom, y sont aussi plus nombreux que l'an passé : 150 ont programmé leur venue, Oracle n'ayant pas prévu de version européenne d'OpenWorld. Beehive, pour communiquer au moment opportun Le président Charles Phillips a consacré sa conférence d'ouverture aux applications, rappelant qu'Oracle continuait à faire évoluer les gammes rachetées (Siebel CRM, PGI de PeopleSoft et JD Edwards) et déroulant les plus récentes mises à jour. A ce train de nouveautés attendues a succédé une annonce plus surprenante. Avec Beehive (la ruche), c'est une plateforme complète de services de collaboration que Charles Phillips a présentée, en mettant l'accent sur l'intégration des différents outils offerts et la gestion sécurisée des accès : e-mails, voix, messagerie instantanée, gestion de la présence des utilisateurs, des contacts, du calendrier et des tâches, auxquels s'ajoutent des outils de recherche, de conférence, de boîte vocale, ou encore, de blogs et de wikis. Beehive intégrée à Microsoft Outlook [[page]] Le nom de l'offre fera immanquablement penser aux anciens clients de BEA à ce projet de framework de développement aujourd'hui hébergé par Apache, mais il s'agit bien d'une suite logicielle directement concurrente des solutions de travail collaboratif promues par Microsoft, Novell ou IBM Lotus. Avant tout destinée aux clients d'Oracle (plutôt de grandes entreprises), la suite Beehive présente l'intérêt de pouvoir s'insérer dans un processus métier pour pouvoir collaborer au moment le plus opportun. Il peut être intéressant, par exemple, lors d'une prise de commande, de contacter un commercial par messagerie instantanée pour obtenir une précision sur un produit. A noter que Beehive peut s'utiliser à partir d'un client Microsoft Outlook (avec lequel il présente une intégration avancée) ou d'un autre client de messagerie IMAP. Des outils de gouvernance et d'entreprise 2.0 Cette toute nouvelle solution succède à l'ancien OCS (Oracle Collaboration Suite). Elle se veut plus ouverte sur les logiciels tiers car bâtie sur des standards ouverts, orientée « entreprise 2.0 » grâce à la présence d'outils estampillés Web 2.0, et conforme aux exigences de gouvernance grâce à des outils de sécurité intégrés. [[page]] Officiellement annoncé sur OpenWorld, Beehive est déjà utilisée par certains clients d'Oracle depuis mai dernier. Le fabricant américain de charpentes métalliques Whirlind Steel, notamment, a choisi la version hébergée de Beehive qu'il a intégrée avec son infrastructure de téléphonie IP interne et son service d'annuaire. L'application relie les employés de cinq de ses sites et son équipe informatique gère le contrôle des accès de façon centralisée. CRM et réseau social Parmi les autres nouveautés détaillées par Charles Phillips, l'ERP maison, e-Business Suite, est attendu dans sa version 12.1, pourvue de neuf nouveaux produits (gestion des prix, planification du renouvellement des pièces détachées, modélisation de scénarios pour la chaîne logistique...). Nouvelles fonctions aussi pour JDE Enterprise 9.0, ainsi que pour l'offre de gestion des talents et pour Siebel 8.1, l'application de CRM (gestion de la relation client). En complément, l'éditeur annonce les outils de CRM, Sales Campains et Sales Library, qui s'appuient sur des fonctions de réseau social (tags, commentaires, notations, partage de contenus...), l'un pour augmenter les taux de retour des campagnes marketing, l'autre pour constituer des documentations commerciales. Le président d'Oracle a également présenté deux packs d'intégration (AIA) apportant des composants applicatifs pour les secteurs de l'assurance et de la fourniture d'énergie (« utilities » en anglais) ; deux packs destinés à faciliter la création d'applications composites, et qui peuvent s'utiliser avec le serveur d'application WebLogic de BEA, devenu le conteneur Java officiel d'Oracle. Rappelons que les solutions métiers, alimentées par le rachat d'éditeurs spécialisés, constituent l'un des axes stratégiques d'Oracle. (...)
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