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(09/07/2008 07:24:00)

Bal tragique chez VMware : la fondatrice congédiée

Surprise chez le numéro un de la virtualisation VMware. La fondatrice et PDG, Diane Greene, a soudainement été évincée hier, mardi 8 juillet. Le communiqué de la firme américaine n'explique pas clairement ce départ éclair. Le document ne fait par exemple aucun lien direct avec l'annonce quelques heures plus tôt d'une croissance un peu plus faible que les 50% prévus. Première conséquence de l'annonce : l'action a plongé de près de 25% passant sous la barre de 39$ dans l'après-midi de mardi. Et le malheur des uns fait le bonheur des autres. Ainsi, Diane Green est-elle remplacée sur le champ par Paul Maritz qui dirigeait jusque-là la division cloud computing d'EMC. Poste auquel il avait accédé parce qu'EMC venait d'acheter, en février 2008, Pi Corporation, éditeur d'un logiciel de cloud computing qu'il avait fondé... Auparavant, Paul Maritz avait passé 14 années chez Microsoft, où il avait dirigé, entre autre, le marketing et le développement de Windows 95 et Windows NT. (...)

(09/07/2008 07:24:07)

Deux versions de Windows Server 2008 pour l'automne

Windows Essential Business Server (EBS) 2008 (pour les entreprises de taille moyenne jusqu'à 300 PC) et Windows Small Businesse Server (SBS)2008 (pour les petites entreprises jusqu'à 75 PC) seront les deux nouveaux systèmes d'exploitations lancés officiellement par Microsoft le 12 novembre prochain. Plus exactement, il s'agit de « packages » regroupant Windows Server 2008 et d'autres logiciels que l'éditeur estime nécessaires au bon fonctionnement d'une entreprise. Ainsi SBS comprendra outre Windows Server 2008, Exchange Server 2007 Standard Edition, Sharepoint Services 3.0, Office Live Small Services, et une version d'essai de Forefront Security for Exchange Serveret Windows Live OneCare for Server. La version premium comprendra, en outre, une licence supplémentaire pour Windows Server 2008 et SQL Server 2008. SBS 2008 ne devrait être disponible que pour les serveurs X64. Le pack EBS comprend trois licences de Windows Server 2008, à installer sur des machines physiques différentes. Le premier sert de contrôleur de domaine et de serveur d'administration, avec le logiciel Microsoft dédié. Le deuxième fait office de serveur de messagerie avec Exchange Server 2007 Standard Edition. Et le troisième est dédié à la sécurité avec Forefront Security for Exchange Server et Forefront Threat Management Gateway. En version premium, une quatrième licence est disponible pour installer SQL Server 2008 sur une autre machine. Dell, Fujitsu Siemens et Wortmann AG ont déjà annoncé leur intention de commercialiser des serveurs avec SBS 2008 ou EBS 2008 pré-installés. (...)

(09/07/2008 07:24:10)

NSP attaque Google pour pratiques anticoncurrentielles

« On ne sait pas se battre contre ça. » Julien Musso, directeur marketing de NSP, éditeur français d'une solution d'analyse de statistiques de fréquentation des sites Web, ne cache pas son désarroi face à la concurrence de plus en plus pressante de Google Analytics. Qui l'a conduit à assigner l'éditeur américain devant le tribunal de commerce de Paris pour pratiques anticoncurrentielles. Elaborée à partir du rachat d'Urchin en 2005, et proposée gratuitement, la solution d'analyse de Google a sensiblement modifié l'environnement concurrentiel du secteur. « Nous avons de grosses difficultés quand nous approchons de nouvelles entreprises, explique Julien Musso. Elles ne veulent pas payer pour quelque chose que Google propose gratuitement. Et certains clients qui avaient des besoins plus limités sont allés sur Google Analytics. » Les clients de NSP seraient démarchés Proposer un service gratuit, financé par la publicité, est un modèle économique valable ; Julien Musso le reconnaît, tout en précisant que Google Analytics ne correspond pas à ce cas de figure. « Google ne finance pas Google Analytics par la publicité, au contraire de Xiti, par exemple, un de nos concurrents en France : Xiti propose un module gratuit, moyennant un échange de visibilité. Mais dans le cas de Google, il y a juste une volonté affichée de prendre des parts de marché ; certains de nos clients ont même été contactés, il y a un démarchage actif. » [[page]] Pour une petite société comme NSP (5 personnes en tout, environ 200 000 euros de chiffre d'affaires), s'attaquer publiquement à Google peut aussi passer pour une volonté d'assurer sa publicité à moindres frais. « Dans tout autre secteur d'activité, cela paraîtrait tout à fait normal, se défend Julien Musso. Le droit français existe, il faut le respecter. » Autre argument avancé : l'action de NSP participerait aussi de la défense du consommateur. « Google collecte des informations dont on ne sait pas vraiment ce qu'il en fait, avance Julien Musso. Et je rappelle qu'aux Etats-Unis, depuis le Patriot Act passé après le 11 septembre, le gouvernement peut aller voir toutes les informations stockées sur des serveurs aux Etats-Unis. » Google explique être ouvert à tous, gratuitement et librement Cet aspect ne sera pas pris en compte par le tribunal de commerce, néanmoins il n'est jamais inutile de rappeler que les services gratuits ont des politiques de confidentialité liées à l'utilisation des données parfois un peu floues. Google vient juste de préciser la sienne. La première audience aura lieu le 11 Septembre 2008. Le service de relations publiques de Google fait savoir de son côté « qu'il n'est pas dans les habitudes de Google de commenter les affaires en cours ». Et précise que « Google Analytics est une offre gratuite utilisable par tous, mais qu'il existe aussi une offre payante, toujours appelée Urchin, pour des entreprises ayant des besoins plus avancés ». (...)

(09/07/2008 07:24:15)

L'Isen ouvre une formation en informatique industrielle à destination des apprentis

L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) de Brest annonce l'ouverture, à partir de la rentrée de 2008, d'une formation en alternance dans les spécialités électronique et informatique industrielle. L'établissement a opté pour cette formule, dont l'accès est gratuit, suite à une expérience similaire menée avec succès à l'Isen Toulon. Les élèves qui choisiront ce cursus seront sous contrat de travail et rémunérés. Les candidats recherchés sont soit des bacheliers pour un cursus en cinq ans, soit des salariés à Bac +2 justifiant d'au moins trois ans d'expérience professionnelle, pour suivre ce cycle sur une période de trois ans. L'alternance, formule qui permet d'accéder au titre d'ingénieur sur les mêmes critères académiques que pour les formations classiques, tout en exerçant une activité salariée, commence à se développer dans les grandes écoles d'ingénieurs. Ainsi l'Ectei, l'une des écoles d'ingénieurs du groupe Ece (Ecole centrale d'électricité) située à Montreuil-Sous-Bois (93), annonçait très récemment l'accessibilité de son Bachelor Sécurité et Réseaux par la voie de l'apprentissage. (...)

(08/07/2008 18:08:40)

L'Imagine Cup met en avant les informaticiennes

Sur les 400 finalistes du grand concours de développement organisé par Microsoft, Imagine Cup, on ne compte que 52 jeunes filles... « C'est mieux que l'an dernier, mais encore trop peu », a déploré Simon Brown, VP du groupe développeurs et plateformes de Microsoft, à l'occasion de la table ronde Women in IT qui s'est tenue le 7 juillet, dans le cadre de la compétition. La proportion de candidates pour Imagine Cup n'est pas anecdotique. La pénurie de femmes dans l'informatique (études et entreprises) est une réalité. Les chiffres manquent pour conforter le constat de terrain. Mais, d'où qu'elles viennent, France, Italie, Pologne, Allemagne, Irlande, Singapour, Corée, Argentine, Nouvelle-Zélande, toutes les étudiantes présentes ont fait le même constat : elles sont en très forte minorité dans leurs promotions. Mais elles adorent l'informatique ! Les jeunes femmes présentes ont mis à mal nombre de stéréotypes. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » Ces jeunes informaticiennes de l'Imagine Cup ont donc tenté de convaincre leurs camarades qui hésiteraient à suivre la même voie qu'elles. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » a même insisté une jeune coréenne. Les jeunes femmes ont raconté leurs parcours, leurs histoires afin de montrer le chemin. Le faible nombre de modèles est en effet une des causes identifiées de la pénurie d'informaticiennes. Cause à laquelle il faut ajouter l'image déplorable généralement véhiculée des « geeks » ou accros de l'informatique qui revient dans presque tous les témoignages. Sans oublier que l'informatique continue d'être considérée comme un métier masculin. Quels remèdes à cette pénurie de femmes dans l'informatique ? Au cours de la table ronde, peu de réponses concrètes ont été apportées, même si la discussion a permis d'ébaucher des idées. « Nous sponsorisons Women in IT depuis quatre ans parce que la présence de plus de femmes dans l'informatique est aussi une opportunité pour notre industrie, confirme ainsi Simon Brown. Nous manquons de compétences techniques de façon globale. C'est d'abord une question d'éducation sur le long terme. Mais à plus court terme, nous organisons du réseautage et du mentoring. Nous avons aussi EveTechs, un réseau social destiné au mentoring et au soutien professionnel des informaticiennes. » Comme remède, de nombreux témoignages de candidates [[page]] Aude de Thuin confirme, quant à elle, qu'il est essentiel d'identifier de nouveaux modèles de femmes dans les sciences et l'informatique, d'organiser des campagnes de communication, et d'innover avec des prix, des récompenses, etc. Aude de Thuin préside et organise le Women's Forum for the Economy and Society dont la prochaine édition aura lieu en septembre à Deauville. Elle rappelle qu'il faut surtout « changer les mentalités. Nous avons encore des réflexes d'il y a 20 ou 30 ans ! » Des témoignages comme ceux des jeunes candidates présentes à Women in IT pourraient bien contribuer à de premiers changements. Une étudiante allemande, installée depuis quatre ans en Nouvelle-Zélande raconte : « Plus jeune, je n'aurais jamais opté pour l'informatique. Je pensais que c'était ennuyeux, pas intéressant. Je voulais être journaliste. Finalement, un jour, mon copain qui fait des études d'informatique m'a proposé d'apprendre un peu à programmer. Cela me faisait moyennement envie. Je ne voulais pas ressembler à tous ces geeks... Puis finalement j'ai appris et j'ai fini par entrer dans une université d'informatique ! C'était très différent de ce que je pensais. C'est un sujet très social, il y a du travail d'équipe. Et la programmation ne représente qu'une toute petite partie de l'IT. » Les étudiants en informatique sont loin d'être d'affreux « geeks » Pour Julie, histoire opposée, mais résultat identique. La maman de la jeune française travaillait chez un éditeur de logiciel. Elle n'a donc pas eu à chercher très loin son modèle ! « Nous avons toujours eu des ordinateurs à la maison, et cela m'a toujours plu, » raconte-t-elle. Depuis toute petite, elle sait qu'elle veut faire de l'informatique son métier. Mais nombreux sont ceux qui lui ont fait remarquer qu'elle ne ressemblait en rien à tous ces geeks... [[page]]Aujourd'hui, elle a 22 ans et vient de terminer l'UTC de Compiègne. Elle va entamer un master à Berkeley en Californie. « Je suis volontairement passée par du développement, très technique, pour pouvoir intégrer une filière de management. J'aimerais m'occuper de stratégie IT. » Au cours de ses études, elle a compris que tous les étudiants en informatique n'étaient pas des étranges et effrayants accros de techniques. « Finalement, quand on commence, nous sommes tous pareils. » Dans sa promotion, les filles ne représentaient pas plus de 10% des 120 étudiants. Claudie Haigneré : « être femme serait plutôt un atout » Claudie Haigneré, ancienne spationaute et ex-ministre de la Recherche et des Nouvelles technologies, a elle aussi été priée de raconter son histoire. « Quand j'étais enfant, j'ai vu un homme à la télévision poser le pied sur la lune, et je me suis dit : pourquoi par moi ? Et quand, en 1985, on m'a proposé de devenir spationaute, ce n'a jamais été une question de femme ou d'homme. J'ai juste pensé : mais pourquoi ne pas le faire ? » Comme Julie, Claudie Haigneré estime qu'être une femme a plutôt été un atout dans son parcours. Puis, la spationaute a ajouté qu'il « ne faut pas oublier que les sciences et la technologie ne sont pas juste des moyens d'obtenir plus de pouvoir. Ce sont aussi des moyens de mieux organiser sa pensée et donc sa vie. Des moyens d'accéder à la sagesse et à la culture.» (...)

(08/07/2008 17:09:36)

Yahoo reste flegmatique face à Microsoft

Si Microsoft, Yahoo et Carl Icahn ne sont pas prêts à travailler ensemble, ils font preuve de la courtoisie la plus élémentaire dans leurs échanges épistolaires, ne manquant pas de répondre dans les plus brefs délais aux missives qu'ils reçoivent. Ainsi, alors que l'investisseur milliardaire et l'éditeur adressaient, hier, une lettre aux actionnaires de Yahoo pour dénoncer, une énième fois, l'incompétence des dirigeants du portail, ces derniers rétorquent aujourd'hui par voie de communiqué. Pas de surprise : Yahoo, fidèle à son habitude, rejette la responsabilité de l'échec des négociations sur les parties adverses et précise avoir rencontré Steve Ballmer en juin. Un entretien résumé par le portail à quelques mots prononcés par le patron de Microsoft : celui-ci n'est plus intéressé par le rachat de Yahoo. Et le rapprochement du géant de Redmond et de Carl Icahn n'aurait pour autre dessein que le rachat des activités de recherche du portail, ce qui n'irait pas dans le sens des intérêts des actionnaires. Enfin, Yahoo s'interroge sur la vision stratégique du milliardaire : « s'il a un autre projet pour Yahoo que la signature d'un accord avec Microsoft, nous serions vraiment intéressés de l'entendre ». (...)

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