Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14501 à 14510.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(27/06/2008 16:11:20)
Virtualisation : Microsoft livre son hyperviseur
Microsoft annonce la version finale d'Hyper-V, son très attendu hyperviseur pour exploiter Windows Server 2008 comme plateforme de virtualisation. C'est donc seulement avec quatre mois de retard et non six par rapport au lancement lui-même retardé de la version 2008 de Windows Server que Microsoft commence à commercialiser un concurrent de VMWare. La version d'Hyper-V sur support optique est annoncée d'ici 6 à 8 semaines. Hyper-V est très attendu puisque, selon Damien Buisson, en charge de ce logiciel chez Microsoft France, 90% des grands comptes français ont au moins une version de VMWare pour évaluation. Selon lui, les premiers tests d'Hyper-V montrent qu'il délivre un niveau de performance tout à fait satisfaisant. Notons, sur ce point, le fait que toutes les machines virtuelles sous d'autres systèmes d'exploitation sont désormais en paravirtualisation. Autrement dit, ces OS peuvent exploiter directement les ressources matérielles, en particulier les extensions des jeux de commandes des processeurs dédiées à la virtualisation, d'où un net gain de performances. C'est en particulier le cas pour Windows Server 2000 en machine virtuelle (VM). Cette version a été rajoutée in extremis dans les versions de Windows Server supportées. On comprend pourquoi lorsque l'on sait que cette version représente encore 22% du parc actif en France. Il sera toutefois difficile d'en savoir plus sur les mérites respectifs d'Hyper-V versus VMWare, ce dernier interdit en effet dans sa licence d'utilisation la publication de mesures de performance sans son autorisation. Une tarification à plusieurs étages [[page]] Hyper-V est livré en standard avec les différentes versions de Windows Server 2008. Mais seule la version Datacenter, facturée 2 500 dollars par processeur (Microsoft France n'a pas encore fixé ses prix) permet de faire tourner autant de machines virtuelles sous Windows Server sans facturation supplémentaire. L'utilisation d'Hyper-V avec les deux autres versions (Standard - 900 $, pour les serveurs quadri processeurs, une VM gratuite- et Enterprise -2 500 $ pour les octoprocesseurs, 4 VM gratuites) implique l'achat d'une licence pour les Windows Server en machine virtuelle. Suse, seul Linux pour l'instant Seule Suse, la distribution Linux de Novell, est pour l'instant supportée par l'hyperviseur. Aucune date n'a été communiquée pour le support de RHEL de Red Hat. Signalons par ailleurs que la version du logiciel d'administration System Center qui supporte Hyper V sera disponible dans trois mois. Microsoft Assessment and Planning (MAP) Toolkit 3.1, nouvel outil pour "accélérer la planification et le déploiement de la virtualisation", est annoncé en bêta. Il sera mis à disposition gratuitement d'ici un mois. Enfin, pour être conforme avec les règles concurrentielles en vigueur en Europe, Microsoft commercialise une version de Windows Server 2008 sans Hyper-V, l'économie atteint 28 euros... (...)
(27/06/2008 14:44:57)Intel a décidé de ne pas s'équiper en Vista
Intel ne prévoit pas de déployer Vista dans l'immédiat sur son propre parc informatique. La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre dans tous les médias anglo-saxons. On doit ce "scoop", semble-t-il, au média anglais The Inquirer, connu pour son ton caustique, et au New York Times. Les deux médias font état d'un mémo interne à Intel qui annonce la décision de ne pas déployer Vista. Une décision prise, selon le New York Times, après une minutieuse évaluation des coûts d'une migration et de ses retombées positives... La reprise de l'information par une dépêche de l'agence Reuters et par le Wall Street Journal montre l'importance accordée à cette information. Elle vient confirmer la désaffection croissante des entreprises pour Vista. Même plus commercialisé, XP reste l'OS de prédilection En contre-feu, un porte-parole d'Intel s'est fendu d'une déclaration ampoulée à base de cycles de renouvellement et d'installations ponctuelles en cours dans certains départements. Dans tous les cas, Intel a confirmé à Reuters qu'il n'y avait aucun plan pour un déploiement à grande échelle sur les postes des quelque 80 000 collaborateurs de l'entreprise. [[page]] La nouvelle n'aurait pas pu plus mal ou bien tomber, selon le point de vue que l'on prend. Il ne reste en effet plus que 24 heures ouvrées avant l'arrêt de la commercialisation officielle de Windows XP - à noter que son support est en revanche prolongé jusqu'en 2014. Cet OS était déjà impossible à obtenir en préchargement sur les machines grand public (voir notre enquête : Acheter un PC sous XP : le parcours du combattant). Faute de concurrent d'envergure, c'est bien XP - et ses qualités - qui empêche Vista de connaître le succès espéré et de faire oublier ses défauts. Le directeur de l'organisation et des systèmes d'information de Bouygues Immobilier nous confiait ainsi récemment qu'il ne souhaitait pas faire migrer vers Vista parce que XP lui convient parfaitement et que le passage à Vista, lui, l'aurait contraint à renouveler une bonne partie de son parc. Microsoft avait abusivement qualifié un chipset Intel de « Vista capable » Microsoft France a de son côté dépêché Nicolas Mirail, chef produit de Vista, pour prêcher la bonne parole dès lundi 30 juin sur les derniers progrès de Vista. Il aura la difficile mission de retourner des médias qui ne voient pas une journée sans une étude ou une information qui montre le désamour croissant des entreprises pour Vista. Et conseille d'attendre Windows 7, prévu en 2010. Chez Microsoft, on doit aussi trouver la réticence d'Intel à s'équiper en interne d'autant plus mal venue que l'éditeur est en butte à des poursuites judiciaires pour avoir, semble-t-il, rendu service à Intel en estampillant "Vista capable" les micros équipés de puces graphiques Intel 915. Or, ce 915 affiche visiblement des performances insuffisantes pour répondre aux besoins de Vista. (...)
(27/06/2008 14:22:38)Atos Origin décroche le contrat des passeports biométriques
La SSII française Atos Origin et le groupe d'électronique Sagem Sécurité annoncent, ce vendredi, avoir remporté un contrat pour le déploiement du passeport biométrique en France. Le projet porte sur la fourniture, d'ici au moiis de juin 2009, à 2 000 mairies et 350 préfectures et sous-préfectures, de 5 000 machines. Elles doivent permettre de numériser sur une puce les informations contenues dans le passeport, y compris les empreintes digitales, et de gérer ces données de façon centralisée (au grand dam de la Cnil). Le communiqué ne précise pas le montant du contrat, mais il pourrait s'agir de plusieurs dizaines de millions d'euros. La direction d'Atos devrait également confirmer, la semaine prochaine, la signature d'un autre projet phare : le contrat de gestion du système d'information des nouveaux compteurs EDF qui devrait rapporter plusieurs centaines de millions d'euros au groupe. (...)
(27/06/2008 12:32:06)Pour Secuserve, seuls 3 à 4% des emails reçus sont valides
Selon une étude menée par SecuServe auprès de ses clients, le nombre de courriels reçus par chaque compte de messagerie en entreprise a été multiplié par cinq en un an et seulement 3 à 4% étaient valides, le solde représentant du spam (éventuellement généré par des virus).
Pour réaliser cette étude, SecuServe s'est basé sur le trafic constaté chez ses 1400 clients, répartis à peu près également entre grands comptes, PME et TPE. Ce prestataire propose des services de sécurisation des courriels et une offre de messagerie collaborative sécurisée. (...)
LeMondeInformatique.fr en podcast vidéo
LeMondeInformatique.fr a inauguré au début de cette semaine un tout nouveau magazine à suivre en vidéo : Le point sur l'IT. Nous vous le proposons aujourd'hui en téléchargement (podcast vidéo, au format MP4). Notre ambition est de vous proposer régulièrement, en sus des interviews vidéos, des émissions de débat et de réflexion, filmées dans les conditions du direct et agrémentées de reportages et de chroniques. Pour la première édition, nous avons tout naturellement choisi de débattre d'un sujet qui nous tient à coeur : le 'green IT'. Deux observateurs privilégiés ont bien voulu nous accompagner pour cette première. Gilles Berhault, président d'ACIDD et TIC21, anime un réseau de réflexion sur les liens entre TIC et développement durable dans la société. Quant à Christian Grellier, DOSI de Bouygues Immobilier, il met dans son entreprise le système d'information au service du développement durable tout en évitant qu'il nuise trop à l'environnement. Nous aurons le plaisir de vous retrouver régulièrement à l'occasion de ce nouveau rendez-vous, « Le Point sur l'IT », alors n'hésitez pas à nous faire part de votre avis et à nous suggérer des thèmes d'émission. (...)
(27/06/2008 11:09:49)La déclaration de revenu par Internet stagne à 21% des foyers fiscaux
La date limite pour les déclarations de revenus sur Internet était le 24 juin pour les contribuables domiciliés en France. Le ministre du Budget, des comptes publics et de la Fonction publique Eric Woerth a fait les comptes : « Le nombre de déclarations collectées est à ce jour de 7 349 543, soit un chiffre sensiblement égal à celui réalisé en 2007 à même date. Il va encore progresser dans les jours qui viennent avec les dernières déclarations en provenance de l'étranger, pour se stabiliser autour de 7,4 millions de déclarations comme l'an passé. » Le nombre de foyers fiscaux étant d'environ 35 millions, cela signifie que 21% d'entre eux ont opté pour la télédéclaration. Un chiffre à comparer au taux de connexion des foyers français en haut débit : d'après l'Arcep, « le taux d'équipement en haut débit des personnes de plus de 18 ans » est de 49%. Eric Woerth est néanmoins très satisfait de ce chiffre, et ce d'autant plus que cette année, la réduction d'impôt de 20€ était réservée aux seuls nouveaux télédéclarants. Le communiqué précise : « Le ministre constate que la télédéclaration a désormais fidélisé ses usagers, qui l'utilisent même sans bénéficier d'une réduction d'impôt. » Eric Woerth se félicite par ailleurs du système informatique mis en place : « Le ministre souligne que durant toute la campagne de souscription, la procédure technique est restée parfaitement disponible et les ralentissements de quelques minutes du service en raison de l'affluence sur certaines périodes sont restés très ponctuels. » On notera cependant que le recours obligatoire à une machine virtuelle Java - pas forcément préinstallée sur les machines - et d'éventuelles incompatibilités avec le navigateur Web constituent encore une barrière pour une partie du grand public. (...)
(26/06/2008 17:40:14)L'Etat alloue 1,5 milliard d'euros supplémentaire aux pôles de compétitivité
« On en remet pour trois ans et on remet un milliard et demi d'euros. » C'est avec ces mots que le président Nicolas Sarkozy a annoncé le prolongement de l'aide de l'Etat aux pôles de compétitivité. En 2004, il avait contribué au lancement de ces initiatives regroupant la recherche de grandes entreprises, de PME et de laboratoires publics, alors qu'il était ministre de l'Economie et des Finances du gouvernement Raffarin. Nicolas Sarkozy a annoncé le prolongement du dispositif aujourd'hui, 25 juin, alors qu'il visitait le pôle européen de la Céramique, Ester, installé à Limoges. Le chef de l'Etat a rappelé que 58 des 71 pôles de compétitivité avaient "rempli leurs objectifs". Il a ajouté que les treize restant recevraient un avertissement et auraient « un an de plus pour faire leurs preuves ». A noter que l'ensemble des pôles consacrés aux TIC (parmi lesquels Cap Digital, System@tic, Image et Réseaux) ont reçu un avis tout à fait favorable. Enfin, Nicolas Sarkozy aurait l'intention de limiter à 50% du budget des pôles le montant des subventions accordées aux entreprises participantes (exonération de l'impôt sur les sociétés, allégement des charges sociales et autres subventions publiques). (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |