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(24/06/2008 12:27:00)
Les enjeux du développement, du financement et de la distribution des logiciels destinés au grand public
Table ronde animée par Olivier RAFAL et Emmanuelle DELSOL (...)
(23/06/2008 18:49:19)Le point sur l'IT, notre nouvelle émission vidéo
Aujourd'hui, LeMondeInformatique.fr lance sa nouvelle émission vidéo. « Le Point sur l'IT » décryptera pour vous les grandes tendances de l'informatique, avec des témoins et des experts. Pour la première édition, nous avons tout naturellement choisi de débattre d'un sujet qui nous tient à coeur : le 'green IT'. Deux observateurs privilégiés ont bien voulu nous accompagner pour cette première. Gilles Berhault, président d'ACIDD et TIC21, anime un réseau de réflexion sur les liens entre TIC et développement durable dans la société. Quant à Christian Grellier, DOSI de Bouygues Immobilier, il met dans son entreprise le système d'information au service du développement durable tout en évitant qu'il nuise trop à l'environnement. Nous aurons le plaisir de vous retrouver régulièrement à l'occasion de ce nouveau rendez-vous, « Le Point sur l'IT », alors n'hésitez pas à nous faire part de votre avis et à nous suggérer des thèmes d'émission. (...)
(23/06/2008 18:29:38)Microsoft dévoile ses avancées dans le parallélisme
Le parallélisme est l'avenir du code... même si les développeurs français semblent en douter. Microsoft avait insisté sur le sujet lors de son dernier Tech'Ed, il y a deux semaines aux Etats-Unis, et deux responsables produits de l'éditeur sont venus ce lundi à Paris, au centre de conférences Microsoft, présenter les dernières avancées de l'équipe Visual Studio, devant un public très clairsemé, malgré l'entrée gratuite. Il est vrai qu'écouter Microsoft - connu pour avoir empilé les couches de code et fait de Windows un monstre à l'appétit gargantuesque - parler d'optimisation du code a quelque chose de comique. Néanmoins, l'éditeur semble avoir compris que l'ère du « free lunch » est terminée, pour reprendre les propos de Steve Teixeira, un des deux animateurs de cette après-midi consacrée à la parallélisation du code. Pour lui, l'ère du « free lunch » correspond à une attitude où le développeur n'optimise pas son code, dans la mesure où il considère que le fait d'ajouter par la suite des ressources machine suffira à le rendre performant. C'est ce qui semble avoir présidé jusqu'à présent aux développements de Windows, comme le dénonçait récemment Gartner. Le parallélisme obligatoire pour tirer parti du multi-coeur Les fabricants de processeurs ont, malheureusement pour les éditeurs, dû rompre l'enchantement du « free lunch ». Les performances des CPU ne pouvaient en effet continuer de croître qu'en multipliant le nombre de coeurs en leur sein. Or les applications, telles qu'elles sont conçues actuellement, ne savent pas tirer parti des architectures multi-coeurs. Pour de vrais gains de performance, les applications doivent être programmées avec des mécanismes de parallélisme. Mais comme le souligne Steve Teixeira, il s'agit d'un travail extrêmement complexe, réservé aux développeurs les plus brillants. Microsoft propose depuis le début du mois un outillage spécifique pour masquer cette complexité. Comme Keith Yedlin, responsable de ce programme d'extensions pour le parallélisme le reconnaît, le kit Parallel Extensions (disponible en téléchargement en version CTP, donc pas encore finalisée) ne répond pas encore à toutes les problématiques introduites par la parallélisation. Ne serait-ce, par exemple, que parce que les outils ne savent pas aujourd'hui rendre compte de façon visuelle de la concomitance d'activités (le public français a d'ailleurs eu un aperçu du prochain débogueur, conçu en WPF, l'interface graphique riche de Microsoft) ; or le parallélisme consiste justement à découper un programme de façon à l'exécuter sur tous les coeurs en même temps. Une CPU utilisée à fond multiplie par 5 les performances [[page]] Il faut savoir aussi comment gérer l'intégrité de données manipulées par deux processus en parallèle. Autre limite, certaines applications dépendent d'actions séquentielles. Néanmoins, lorsque les scénarios s'y prêtent, les performances sont impressionnantes. Parmi les démonstrations, une simple requête sur une base, écrite en Linq, et qui consommait 25% de la CPU (un quadricoeur), demandait par exemple 10,27 secondes. La même requête en PLinq - donc avec une instruction rendant le code parallèle - consommait 98% de la CPU mais donnait la réponse en seulement 2,11 secondes. Fait notable, les démonstrations étaient réalisées sur Vista : le système lui-même n'est pas spécialement optimisé pour les multi-coeurs, mais une application optimisée parvient tout de même à en tirer parti. Des opportunités à inventer et à saisir pour les développeurs d'applications Si tout n'est pas résolu, les opportunités sont déjà nombreuses, souligne Steve Teixeira. On peut ainsi imaginer de passer à de nouvelles interfaces homme-machine, impensables avant car bien trop gourmandes. On peut aussi imaginer des applications répondant de façon immédiate, reléguant l'irritant sablier aux oubliettes. Et à la fin, la nature du développeur reprendra ses droits : « on pourra ramener le free lunch : une application écrite pour du double-coeur fonctionnera encore mieux avec du quadri-coeur, de l'octo-coeur, etc. » (...)
(23/06/2008 18:22:07)L'Icann et le monde Internet planchent sur la diversification des noms de domaine
Eric Besson se déplace sur tous les fronts du numérique, «Assises» du même nom et fonction obligent. Ce matin, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique a donc pris la parole en ouverture de la réunion publique (la 32e) que l'Icann, régulateur technique d'Internet, tient à Paris jusqu'à jeudi prochain, au Méridien Montparnasse. Pendant près d'une semaine, quelque « 1 500 personnes venues du monde entier -opérateurs, bureaux d'enregistrement, membres de la société civile, etc. qui font le marché des noms de domaine- vont débattre d'enjeux qui, s'ils ne sont pas forcément nouveaux, constituent des dossiers sur lesquels il faut avancer », rappelle Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic, association française pour le nommage Internet. De la migration vers IPv6 aux noms de domaines basés sur les noms de ville Ce matin, Eric Besson a ainsi évoqué la migration entre IPv4 et IPv6, l'évolution vers les noms de domaine en caractères non latins, ou encore, la diversification des noms de domaine génériques avec la création, par exemple, d'extensions basées sur des noms de ville (le dossier .Berlin, notamment, avance bien). Enfin, il sera également question de la transition institutionnelle que devra effectuer l'Icann lorsque s'achèvera, en septembre 2009, l'actuel Joint Project Agreement qui lie l'organisme de régulation au département du commerce américain ; une tutelle, rappelons-le, vivement critiquée par la communauté internationale. Une succession d'ateliers (workshops) va donc s'ouvrir à la confrontation d'idées. Une synthèse de ces débats sera présentée au conseil de l'Icann qui doit se réunir jeudi prochain. Une libération des extensions sujette à discussion [[page]]Mais, déjà, les couloirs de la réunion parisienne bruissent de discussions autour de la libération des extensions de noms de domaine, dévoilée notamment par le président de l'Icann, Paul Twoney, à nos confrères des Echos. Cette démarche « permettrait à toute entité, de déposer un dossier pour proposer une extension de type géographique ou thématique comme .sport », explique Sam Syamak Bavafa, gérant du fournisseur d'identité Internet Domaine.fr.(*) Une question qui, même si elle ne figure pas spécifiquement au programme d'un atelier, sera très certainement abordée, confirme Loïc Damilaville. « C'est une direction que l'Icann veut prendre dans les prochaines années, mais cela ne me paraît pas réaliste pour l'instant », estime le représentant de l'Afnic qui rappelle que des documents de travail ont déjà été publiés sur le site de l'Icann. « C'est un processus qui risque d'être relativement long, poursuit-il. Il demande des compétences techniques et une assise financière importantes. Dans cinq ans peut-être ». Une option qu'il juge pourtant « riche d'opportunités » malgré les risques qu'elle comporte. « Cela permettra de diversifier la communication sur Internet, mais il ne faut pas que ce processus d'extension apporte plus de confusion que de sens. » Au chapitre des craintes figure par exemple la protection des noms de marques. « Plus il y a d'extensions, plus le cybersquatting risque de se propager ». « Mais il ne peut pas y avoir de libération sans régulation » [[page]]Pour faire face à ces risques, il s'agira donc de verrouiller les procédures de vérification faites sur les propositions d'extensions. « Il ne peut pas y avoir de libération sans régulation », reconnaît de son côté Sam Syamak Bavafa, de Domaine.fr, plutôt favorable à cette démarche. « Cela permettra de mieux identifier la catégorie à laquelle appartient le nom de domaine. Toutefois, module-t-il, il faudra que les propositions d'extension soient justifiées par un réel besoin. » Evoquant les procédures de contrôle, il rappelle que l'Icann a commandé le développement d'un logiciel qui doit permettre de vérifier de façon avancée qu'une nouvelle extension proposée ne vas pas à l'encontre d'une marque, ne constitue pas une insulte ou un doublon par rapport à quelque chose qui existe déjà. « Ce qui va primer sur toute nouvelle extension, c'est sa légitimité », conclut-il. L'hébergeur français et bureau d'enregistrement OVH suit de près ce dossier. « Nous allons certainement déposer une demande pour proposer l'extension .ovh qui serait gratuite », explique Octave Klaba, directeur général. « Cela permettrait à chaque client d'avoir un nom de domaine gratuit avec lequel il pourra développer ses propres services, l'email, le web, la radio, etc. ». (*) En partenariat avec l'Icann, le site Domaine.info, également géré par Sam Syamak Bavafa, diffusera un résumé vidéo des ateliers qui se déroulent actuellement à Paris dans le cadre de cette 32e réunion publique (accessible aussi sur le site de l'Icann). (...)
(23/06/2008 17:39:30)Seesmic lève 6 millions de dollars pour la deuxième fois
Quatre mois après sa première levée de fonds, Seesmic, le site français de partage et de conversation vidéo créé en octobre 2007 par Loïc Le Meur au sein de la Silicon Valley, vient d'empocher 6 M$. Cette levée a été réalisée auprès des fonds d'investissement Omidyar Network, créé en juin 2004 par Pierre Omidyar, fondateur d'eBay, et Wellington Partners, dont Loïc Le Meur est lui-même partenaire depuis le mois de mars. Un premier tour de table (également d'un montant de 6 M$) avait été conclu avec Atomico (autre bébé des créateurs de Skype, Niklas Zennström et Janus Friis), accompagné d'une douzaine de Business angels. Seesmic devrait se servir de ces 12 M$ pour étendre sa couverture internationale et développer sa plateforme vidéo, notamment en terme de mobilité. Où qu'il soit, l'internaute peut se connecter à Seesmic et communiquer en direct par la voix et par l'image avec ses amis, ou enregistrer une séquence consultable sur le site. Chez les internautes, les avis sont partagés sur l'usage de Seesmic. Loïc Le Meur a beau clamer que « le contenu était le roi des anciens médias, la conversation est la reine du Web », Seesmic ne convainc pas tous les utilisateurs. Seesmic permet en effet de poster des commentaires sur un blog ou un site, non plus sous format texte, mais au format vidéo. Ludique en apparence, le concept est parfaitement adapté à certains usages. Si l'on en abuse, en revanche, il peut finir par lasser ceux qui préfèrent lire en diagonale un texte plutôt que de devoir visionner une vidéo dans sa totalité. Par ailleurs, tout le monde n'aime être filmé, et certains internautes souhaitent rester anonymes quand ils postent un commentaire. (...)
(23/06/2008 16:49:58)50 000 clients de HP réunis dans un réseau social
A peine officiellement créé, Connect, le groupe d'utilisateurs qui fédère tous les clients de HP, se lance dans le réseau social. Il est vrai qu'animer une association forte de 50 000 membres répartis de par le monde n'est pas une mince affaire. Connect a choisi d'utiliser les outils de Leverage Software pour créer son portail et aider chaque membre à trouver ses pairs. Il suffit à chacun de renseigner un profil "technique ", assorti de quelques informations personnelles (violon d'Ingres...) pour être mis en contact avec des personnes aux centres d'intérêt proches. Si ce réseau social fonctionne, Connect pourrait se poser en véritable force de proposition. (...)
(23/06/2008 13:08:56)La déferlante Facebook compte plus de 3 millions de membres en France
Facebook a enregistré une croissance vertigineuse en France en un an : selon le cabinet ComScore Media Metrix, le nombre de visiteurs uniques est passé de 106 000 à 3,161 millions entre avril 2007 et 2008, soit une hausse de 2 877%. Cette performance propulse Facebook à la deuxième place des sites communautaires préférés des Français, grillant ainsi la politesse à MySpace (racheté en juillet 2005 par le milliardaire Rupert Murdoch), qui ne progresse « que » de 45% (3 millions de visiteurs).
Les raisons de ce succès sont multiples. Facebook a bénéficié d'une grande publicité depuis que Microsoft a injecté 240 M$ dans la société, la valorisant ainsi à 15 Md$. Le passage de Facebook en version française en mars dernier a également favorisé l'adoption du réseau social dans l'Hexagone. Juste après sa mise en service, la popularité du réseau a enregistré un bond, avec 600 000 visiteurs uniques supplémentaires en un mois. Même Beacon, l'outil de ciblage publicitaire qui avait entraîné une vaste polémique autour de la protection des données personnelles, a sûrement contribué à faire connaître - indirectement - le site fondé par Mark Zuckerberg.
Devant Facebook, Skyrock Network conserve sa place de leader, avec 11,5 millions de visiteurs uniques. Il enregistre même 34% de croissance par rapport à l'année dernière. Skyrock pourrait néanmoins être détrôné si Facebook poursuit sur une lancée aussi fulgurante.
16,6 millions de Français fréquentent les réseaux sociaux
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Toujours selon ComScore, trois autres sites communautaires affichent une croissance à deux chiffres. Il s'agit de Trombi, Flickr, le site de partage de photos appartenant à Yahoo (+ 68% chacun) et du Français Viadeo (+ 66 %), concurrent direct du réseau social professionnel LinkedIn. Les quatre autres sites (Hi5, Netlog, Lexode et Badoo) sont en baisse d'audience (entre - 22% et -28%).
ComScore souligne par ailleurs que de manière générale les Français sont de plus en plus friands de réseaux sociaux. Ils sont 16,6 millions à fréquenter un site communautaire, soit 36% de plus que l'an dernier. Le temps qu'ils y passent est également en recrudescence, avec un total de 450 millions d'heures passés sur ces sites. Skyrock rafle la mise, avec 73,4% de l'audience, suivi encore une fois de Facebook (12,4%) et de MySpace (3,5%). Orkut se positionne seulement en 8ème position, mais c'est lui qui affiche le nombre de minutes passées par visiteur le plus important (181 minutes en un mois), devant Skyrock (163 minutes) et Facebook (106 minutes).
Classement des réseaux communautaires en France en fonction du temps passé par les internautes sur ces sites
Source : comscore Media Metrix (...)
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