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(23/06/2008 12:35:14)

Le fondateur de GoTo Software raconte 25 ans d'édition logicielle

Thierry Tarnus, fondateur et toujours actuel dirigeant de GoTo Software, revient sur les vingt-cinq années d'existence de sa société, dans un entretien filmé lors d'une conférence de l'IE Club. La manifestation, co-organisée le 5 juin dernier par l'IE Club, Microsoft et LeMondeInformatique.fr, ouvrait le débat sur la condition des éditeurs de logiciels en France pour le grand public : quel public viser, avec quelles technologies, quels moyens, quand aller à l'international... ? Toutes ces questions ont été débattues lors d'une table ronde, dont l'intégralité de la vidéo sera mise en ligne dans quelques jours. En guise de préambule, Thierry Tarnus a raconté comment il a eu l'idée de créer un logiciel qui a été distribué à des milliers et des milliers d'exemplaires avec des modems, puis comment il a fondé un des premiers fournisseurs d'accès à Internet, comment - aiguillonné par les nouvelles fonctions incluses dans Windows - il a pris le virage Internet après celui du Minitel... et comment aujourd'hui sa société, toujours implantée dans le Nord, vit encore de l'édition, notamment grâce à un logiciel de bridge. La vidéo de l'entretien avec Thierry Tarnus est en exclusivité sur notre site. (...)

(23/06/2008 12:05:41)

PsyStar clone aussi les serveurs Mac

Lancé en avril dernier, l'activité de clonage de Mac de la société Psystar s'étoffe. Après avoir dupliqué les ordinateurs de bureau d'Apple, le constructeur s'attaque désormais aux serveurs. Sous le nom d'OpenServ, il propose ainsi deux machines capables d'exécuter MacOS X 10.5 Server, mais aussi CentOS Linux, Microsoft Windows Server 2003 ou 2008, ou encore Ubuntu Server. l'OpenServ 1100, premier modèle, est au format 1U avec des Xeon quadricoeurs à 2.5 GHZ, 4 Go de RAM et quatre emplacements pour disque dur. L'OpenServ 2400 prend lui un format 2U et dispose de six emplacements pour disques durs. Les deux sont commercialisés respectivement à partir de 1599 dollars et 1999 dollars. (...)

(23/06/2008 11:47:01)

Greenzer s'auto-baptise portail de l'éco-consommation

Allier shopping et écologie, voici l'ambition de Greenzer. Le site, qui se définit comme « le portail de l'éco-consommation », ressemble à tous les comparateurs de prix sur Internet, répertoriant matériels informatiques, outillage, vêtements, etc. Sa touche personnelle est une note - le Greenzer score - attribuée en fonctions de 4 critères : - la présence d'écolabels ou de certifications, de type Energy Star, NF Environnement, etc. - les « attributs verts » des produits, donc les qualités liées à leur conception ou à leur fonctionnement. Greenzer cite ainsi « énergie solaire, sans substances chimiques, biodégradables, 100% recyclés, coton bio, économies d'énergie »... - l'impact de la consommation du produit sur l'environnement ; les ampoules basse consommation ou les batteries rechargeables seront ainsi mieux notées. - l'attitude éco-responsable des fabricants. Comme tous les critères « verts », certains prêtent évidemment à controverse et d'autres sont obligatoires. C'est ainsi le cas du label Energy Star pour les matériels achetés par des organismes publics en Europe qui est devenu un standard de facto pour toute la bureautique. Les informations seraient automatiquement récupérées chez les fournisseurs Mais le plus étonnant est la façon dont le « greenzer score » est calculé. Les fondateurs du site, Nicolas Ollier et David Nadzela, expliquent qu'il n'y a « aucune intervention humaine quant à la détermination de la note ». A les entendre, les données seraient récupérées automatiquement et fournies à leur algorithme, « avec bien sûr des pondérations selon la valeur du label ». Pour Nicolas Ollier et David Nadzela, « la valeur ajoutée d'une personne se situe plutôt sur la partie éditoriale ». En effet, le site met en avant certains produits, tant sur la première page du site que sur le blog attenant. Là est le biais principal : Greenzer est avant tout un comparateur de prix, qui réalise son chiffre d'affaires en envoyant du trafic qualifié vers les sites marchands. Vraies préoccupations écologiques ou green washing ? Les fondateurs de Greenzer expliquent que, quel que soit le produit mis en avant, il est de toute façon « sélectionné en amont », et répond donc à des impératifs écologiques. « Notre objectif est d'apporter un vrai service plutôt que de répondre à une démarche commerciale. » Dans le cas contraire, il ne s'agirait que de 'green-washing', une couche de peinture verte passée sur un comparateur de prix. Cela se révélera à l'usage, selon les produits sélectionnés. D'ores et déjà, Greenzer revendique 5000 produits dans sa base. Il est vrai qu'en l'absence d'un organisme de notation du développement durable ne se contentant pas seulement des déclarations des fournisseurs, Greenzer offre au moins une alternative éco-citoyenne (...)

(23/06/2008 11:29:13)

L'Icann libérerait le choix des noms de domaine

L'organisme qui affecte les noms de domaines génériques sur Internet, l'Icann (internet Corporation for Assigned Names and Numbers) a annoncé ce week end, lors de son congrès qui se tient du 22 au 26 juin à Paris, un bouleversement dans la création d'extensions de noms de domaines. Selon notre confrère les Echos, l'Icann annonce qu'à partir de 2009, il sera possible à tous les internautes de demander la création d'extensions de leur choix. On pourra ainsi demander la création d'un « .navire », « .sexe », ou « .dupont ». Cela préfigure de futurs conflits, et une difficulté croissante pour la protection des marques sur Internet. Autant, il était simple de déposer les différentes extensions d'une marque en « .fr », « .com », « .biz » et « .net », autant il va devenir difficile de faire enregistrer toutes les possibilités susceptibles d'être créées par le biais d'extensions personnalisées. On peut se demander s'il va surgir des « FranceTelecom.sexe », « FranceTelecom.ventes », ou "Orange.ventes", etc. L'Icann prévoit de confier le contrôle de ces noms à un organisme qui devra faire régner le bon droit. Il semble toutefois que le nombre de litiges ne puisse qu'exploser. (...)

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