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(23/06/2008 16:16:00)
Le point sur l'IT
Le green IT, décryptage. (...)
(20/06/2008 17:58:26)Icahn dénonce les aberrations de gouvernance sur son blog, mais évite le thème Yahoo
A 72 ans, le milliardaire Carl Icahn fait ses premiers pas dans la blogosphère, en lançant son propre blog, baptisé The Icahn Report. La mise en page est sobre, et le titre est modestement suivi d'une autocitation datant de janvier 1988 : « de nombreuses personnes périssent en combattant la tyrannie, le moins que je puisse faire c'est de me prononcer contre ». Carl Icahn a commencé à alimenter son blog le 12 juin, mais il n'est consultable que depuis aujourd'hui. Le milliardaire se propose de dénoncer les absurdités de gestion dans les entreprises, à l'aide d'anecdotes imagées. Il épingle par exemple la « pilule empoisonnée », un procédé qui consiste à offrir aux actionnaires la possibilité d'acheter des actions à un cours inférieur à celui du marché, d'augmenter ainsi le nombre d'actions en circulation et de rendre le tarif de la société prohibitif en cas d'OPA inamicale. Le blog contient pour le moment sept billets. Une question brûle les lèvres, Carl Icahn a-t-il épluché et condamné la stratégie de Yahoo (dont il est actionnaire) sur son blog, comme il l'a fait lors des échanges épistolaires salés qu'il a eus avec la direction du portail ? Ceux qui attendaient du croustillant de ce côté là seront déçus, du moins pour le moment : pas un mot n'évoque Yahoo. Dans une lettre adressée à Roy Bostock, président du groupe, ce même Carl Icahn accusait pourtant Jerry Yang, PDG de Yahoo de concocter une pilule empoisonnée pour contrer Microsoft ! L'occasion rêvée pour le milliardaire d'illustrer son billet anti pilule. Mais Carl Icahn préfère ne pas mentionner Yahoo, sans doute histoire de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. Après s'être clairement positionné aux côtés de Microsoft, le milliardaire s'est en effet légèrement rétracté, en déclarant que l'accord entre Yahoo et Google « pouvait présenter un certain intérêt », sans pour autant retirer officiellement son soutien à Microsoft. (...)
(20/06/2008 17:25:50)Le fournisseur d'appliances décisionnelles Netezza s'installe en France
Représenté en France depuis 2005 par l'intégrateur de projets décisionnels Keyrus et déjà implanté outre-Manche, l'Américain Netezza ouvre maintenant sa propre filiale dans l'Hexagone. Son offre packagée d'entrepôt de données, Netezza Performance Server, se présente sous la forme d'une 'appliance' associant un serveur, un système de stockage et une base de données relationnelle. Conçue pour l'analyse d'importants volumes de données (plusieurs teraoctets), la solution repose sur un système de traitement massivement parallèle et sur une technologie (streaming analytics) qui permet une alimentation rapide du datawarehouse -deux brevets déposés par la société (fondée par Jit Saxena, qui fut précédemment PDG d'Applix). « L'une des particularités de la solution est de s'adapter aussi à des projets ne dépassant pas 1 teraoctet de données », précise Christian Raza, directeur des opérations de Netezza France. Sur les secteurs que vise la filiale -grande distribution, finance, administrations-, il compte donc cibler tout autant les grosses enseignes que les moyennes, les grands établissements bancaires que les banques d'investissement, etc. Un projet sur trois mois au NYSE L'offre serveur démarre à 200 000 euros pour 1 To. « Un prix qui n'est pas significatif, le coût pouvant descendre à moins de 100 000 euros par To pour des projets de quelques dizaines de To », module Christian Raza. Par rapport aux offres que le fournisseur concurrence - celle de son compatriote Teradata par exemple, mais aussi les solutions d'entrepôts reposant sur les bases de données relationnelles classiques, Netezza avance l'argument d'une mise en oeuvre technique plus rapide, ce qui contribue à réduire d'autant la facture globale. « Le projet mené avec le New York Stock Exchange s'est déroulé sur trois mois », indique Christian Raza. En France, l'intégrateur Keyrus a installé l'offre chez Pages Jaunes, ainsi que chez l'opérateur de télécommunications Outremer Telecom. Au niveau mondial, Netezza compte 170 clients et 300 systèmes installés. (...)
(20/06/2008 17:21:51)Acheter un PC sous XP : le parcours du combattant
Nos lecteurs sont nombreux à regretter la fin de la commercialisation de Windows XP au-delà du 30 juin 2008. Parmi eux, plusieurs s'interrogent sur le droit de rétrogradation proposé par Microsoft. C'est notamment le cas de Brigitte, qui nous demande : « comment un particulier peut-il pratiquement acheter un nouvel ordinateur portable avec Windows XP ? » Rétrogradation : une procédure simple... en théorie Le droit de downgrade - ou rétrogradation - de Microsoft consiste à permettre au détenteur d'une licence Windows Vista d'utiliser Windows XP. Mais ce privilège ne s'applique qu'aux versions Professionnelle et Intégrale de Vista, et ne permet de rétrograder que vers XP Professionnel ou Tablet PC. Il est en outre impossible de faire cohabiter les deux générations d'OS sur une même machine. Le dual-boot est donc prohibé. Première difficulté : si l'utilisateur désire effectuer lui-même la rétrogradation, il faudra qu'il se procure le DVD d'installation de Windows XP. Quand bien même le Cluf (contrat d'utilisation pour l'utilisateur final) prévoit-il en effet le droit d'utiliser une version antérieure de l'OS, l'éditeur ne fournit pas cette version. Il faudra ensuite contacter le centre d'activation de Microsoft (0 800 228 482 ou 0 805 110 235) pour valider la procédure de rétrogradation en fournissant le « product ID » affiché sur l'ordinateur à l'issue de l'installation de XP. Le site de Dell plus compétent que les télé-conseillers [[page]] Mais notre lectrice ne souhaite pas installer elle-même XP : elle souhaite acquérir son portable avec l'OS pré-installé. Les choses se compliquent encore davantage. Car si Microsoft prévoit le droit de downgrade, les constructeurs ne se bousculent pas pour le proposer à leurs clients. Chez Dell par exemple, seules les machines de la gamme pro (Vostro, Latitude, Precision) et quelques modèles destinés aux 'gamers' (XPS 630, xPS 730 et XPS M1730) ouvrent la porte à la rétrogradation. Sur le papier, le mécanisme est simple : au moment de la commande, il est possible de choisir l'OS qui sera installé. En optant pour XP, on reçoit une copie de Vista avec l'ordinateur, pour une éventuelle future installation. Dans les faits, l'affaire se révèle plus compliquée. Nous avons ainsi voulu jouer les clients en contactant le service commercial du constructeur et en demandant à profiter du droit de downgrade. Après plusieurs appels, le constat est sans appel : au mieux, les conseillers de Dell reconnaissent ignorer l'existence de ce droit ou, tout du moins, la façon dont il doit être appliqué. Au pire, ils étalent leur méconnaissance du sujet en assénant des formules absconses synonymes de leur ignorance. Nous avons ainsi entendu qu'avec la procédure de rétrogradation, « les deux systèmes sont installés, mais il s'agit en fait de Vista avec les fonctions de XP ». Comprenne qui pourra. Un peu de clarté se manifeste cependant en allant passer commande sur le site de Dell, où il est possible de personnaliser la machine qu'on souhaite acquérir. L'outil de configuration permet notamment d'opter pour une pré-installation de Windows XP moyennant un léger surcoût, variable en fonction du PC sélectionné. Dans tous les cas, le DVD de Vista sera fourni avec l'ordinateur. Pré-installation de XP possible chez HP et NEC [[page]] Chez HP, le grand public ne peut espérer acquérir une machine pré-équipée de XP. Hors Vista, point de salut, sauf en optant pour une machine destinée aux professionnels, donc vendue avec Vista pro. Le constructeur permet à ses clients de choisir une machine avec 'Vista downgraded to XP' : le PC est alors livré - sans surcoût - avec une licence Vista mais c'est XP qui sera pré-installé. L'offre, valable jusqu'au 31 janvier 2009 (date à laquelle les OEM n'auront plus le droit de vendre XP) peut se décliner sous la forme d'un CD de restauration de XP : charge alors à l'acquéreur de procéder lui-même à l'installation de l'OS. Notre lectrice désireuse d'acquérir un portable déjà équipé de XP peut également opter pour une solution proposée par NEC. Sur la gamme Versa, elle trouvera l'outil Flexload, mis au point par le constructeur pour aider ses clients à passer de Vista à XP. Même sans connaissance en informatique, il suffit de se laisser guider par le logiciel pour mener à bien la migration, mais aussi pour partitionner le disque dur. Les laptops équipés de Flexload se trouvent chez quelques grandes enseignes de vente en ligne. Enfin, du côté de Lenovo, les professionnels pourront, après le 30 juin, commander un PC fabriqué « à la demande » et choisir « un préload XP et une licence Vista ». En revanche, le constructeur indique que « ces modèles ne sont évidemment pas disponibles pour le grand public ». On le voit, la possibilité proposée par Microsoft de troquer Vista contre XP est une initiative certes séduisante, mais qui se révèle particulièrement délicate à mettre en oeuvre. (...)
(20/06/2008 16:52:48)ARM veut jouer dans la cour des serveurs
Lancée l'an dernier, le processeur multicoeur Cortex-A9 d'ARM devrait faire son apparition dans les téléphones portables d'ici l'an prochain. Selon Ian Ferguson, directeur de la division entreprise d'ARM, certains fabricants de serveurs ont approché sa société pour utiliser cette puce quadricoeur dans leurs serveurs. Elle leur permettrait de réduire la consommation énergétique de leurs produits et donc d'offrir un meilleur TCO (coût total de possession) à leurs clients. Bien que certains puissent y voir une réponse à l'arrivée d'Intel sur le marché des netbooks et autres ultraportables avec Atom, pour Ian Fergusson, il ne s'agit que de répondre à un besoin émergent dans les entreprises. « Il ne s'agit bien sûr pas de retirer un x86 pour le remplacer par un coeur ARM. Nous tentons plutôt de résoudre le problème lié à la l'équation 'puissance, électricité et refroidissement.' » En effet, toute augmentation de la puissance entraine une augmentation de la consommation électrique, mais aussi de l'importance du système de refroidissement, ce dernier augmentant encore davantage la consommation électrique. Une cible de serveurs d'entrée de gamme Bien sur, comme le rappelle Nathan Brookwood, analyste pour Insight 64, « les disques durs, la mémoire et les connexions réseaux utilisent beaucoup plus d'énergie que le processeur. » Ian Ferguson rappelle que les serveurs équipés de processeurs ARM seraient de toutes façons des systèmes d'entrée ou de milieu de gamme capables de jouer sur le nombre de coeurs activés en fonction de l'activité. Ils seront davantage utilisés comme serveur Web ou pour de petites applications open source que pour du calcul haute performance. Enfin, reste à savoir si il existe encore suffisamment de logiciels tirant partie de l'architecture ARM. Sur le marché visé, la majeure partie des programmes sont écrits pour des infrastructures x86, et de moins en moins pour l'infrastructure RISC utilisée dans les puces du fondeur. (...)
(20/06/2008 16:32:46)Débâcle des cerveaux chez Yahoo
Les annonces de départs se succèdent chez Yahoo. Jeff Weiner, vice-président de la division réseau de la société, a également quitté son poste après sept ans de service. Il rejoindra en septembre prochain les capitaux-risqueurs Accel Partners et Greylock Partners. Avec ce départ, Yahoo perd encore une pointure de son équipe dirigeante. Jeff Weiner chaperonnait en effet une équipe de 3000 personnes, supervisant ainsi la gestion de produits et de services pour 500 millions d'internautes. Sa division génère un chiffre d'affaires de 3 Md$ chaque année. Il a également participé à de nombreux projets de développement stratégiques pour Yahoo, comme Yahoo Mail, Messenger, News, Answers... Sans compter le projet de réseau social ouvert, qu'il a lui-même mené à bien, ainsi que sa précieuse contribution dans l'acquisition de sociétés comme les moteurs de recherche Inktomi et AltaVista (en juillet 2003), Del.icio.us (un service de marque-pages, en décembre 2005) ou encore Flickr (site de partage de photos, en mars 2005 pour un montant de 35 M$). Ces différents rachats avaient permis à Yahoo de créer et d'enrichir son propre moteur de recherche, Yahoo Search Engine, sur lequel Microsoft a d'ailleurs tenté de mettre la main. Des départs en pagaille et un PDG sur la brèche Pour Yahoo, la pilule sera dure à avaler, d'autant que le pionnier de la recherche en ligne doit déjà digérer la fuite d'autres cerveaux. Simple hasard du calendrier, ou conséquence directe de l'obstination de Jerry Yang, PDG de Yahoo, à rejeter l'offre de Microsoft pour s'accoquiner avec Google ? Les départs sont trop nombreux pour croire à une pure coïncidence. Avant-hier, les deux fondateurs de Flickr, le Canadien Stewart Butterfield et l'Américaine Caterina Fake, ont quitté la société « pour des raisons personnelles ». Avant eux, Usama Fayyad, vice-président des solutions de données stratégiques, Matthew Berardo, chargé de l'international, ainsi que Jeremy Zawodny, responsable du développement, ont abandonné le navire. L'édition du New York Times datée d'hier rapporte également les départs de Qi Lu, vice-président exécutif en charge de la recherche et de la technologie publicitaire, de Vish Makhijani, encore une fois dans la recherche, et de Brad Brad Garlinghouse, vice-président sénior responsable de certains outils de communication comme le mail. Ce dernier est par ailleurs l'auteur du manifeste du beurre de cacahuète , qui dénonçait les erreurs de stratégie du PDG de l'époque, Terry Semel. Jerry Yang souffle sa première bougie de PDG dans un climat morose [[page]] Un an presque jour pour jour après avoir pris la place de Terry Semel, Jerry Yang semble se trouver dans une position de plus en plus précaire. Lors de la prochaine assemblée générale (en août), il devra rendre des comptes aux actionnaires de la société. Certains d'entre eux réclament carrément sa tête, furieux d'avoir vu une offre en or leur passer sous le nez en vertu des ressentiments personnels du PDG de Yahoo envers Microsoft. Jerry Yang devrait également remplacer les postes vacants, et surtout juguler l'hémorragie cérébrale qui semble avoir frappé Yahoo. Selon le Wall Street Journal, Yahoo envisage une modification drastique de l'organisation de ses activités afin de centraliser certains types de services au sein d'une même entité. Susan Decker, présidente de Yahoo, chapeautera cette restructuration, dont le but officiel est d'améliorer la communication en interne et favoriser les synergies. Les salariés de Yahoo craignent, quant à eux, que derrière ces termes se cache en réalité une réduction d'effectifs. (...)
(20/06/2008 15:24:16)Revirement : Arès veut sortir de l'infrastructure
Alors qu'elle représentait jusqu'ici l'un des deux grands piliers sur lesquels misait Arès pour redresser sa situation, l'activité de la SSDI autour des infrastructures ne devrait bientôt plus faire partie de ses métiers. Dans un communiqué publié le 19 juin en fin de journée, le groupe Arès a annoncé la mise en vente des trois pôles regroupant son savoir-faire dans ce domaine, à savoir SIS (ventes d'infrastructures), LOC (location - financement) et RMS (réseaux, mobilité et sécurité). La nouvelle intervient près d'un mois après la publication du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise en recul de 18,5% à 335,5 M€. Le résultat opérationnel, qui sera divulgué la semaine prochaine, devrait rester dans le rouge. Cette restructuration annoncée recentrerait Arès autour des services informatiques, fédérés par son pôle ITS (expertise technique, infogérance, hébergement, et développement d'applications), et de l'intégration de progiciels menée par son pôle Solutions Applicatives. Mais elle l'amputerait également de 223 M€ de chiffre d'affaires, correspondant aux revenus cumulés pour l'exercice 2007-2008 des activités mises en vente : 181,5 M€ pour SIS, 8,4 M€ pour LOC et 33,9 M€ pour RMS. Elle devrait en outre avoir un fort impact social puisque les pôles qu'Arès entend conserver dans son périmètre emploient environ 1200 des 2000 salariés du groupe. L'action Arès chute de 18% avant l'annonce de la mise en vente "Nous avons été surpris par le fait que cette annonce ne soit pas précédée d'une information des représentants du personnel, alors qu'une réunion ordinaire du CE s'était tenue dans la matinée du 19 juin", indique Max Bouvier, membre du CE d'Arès. En revanche, certains investisseurs semblent avoir eu le nez fin... En effet, alors qu'Arès n'a dévoilé ses intentions qu'après la clôture de la bourse, le cours de son action a chuté de plus de 18% durant la journée avec près de 177 000 titres échangés. Aux dires d'Arès, « le produit attendu des cessions n'est pas destiné à financer des opérations de croissance externe. » Ce type d'opérations a jalonnés l'actualité de la SSDI ces derniers mois, en commençant par la vente des activités de PC, imprimantes et consommables à InmacWstore en octobre 2006 puis la cession des logiciels Arcole en avril dernier à De Gamma. Cette dernière vente a été précédée du rachat de Selectis en juin 2007 et de ceux d'Adequat (ventes d'infrastructures) et de Databail (location et financement) en décembre dernier. Avec le recul, ces deux dernières opérations n'auront finalement pas été d'une grande utilité à Arès. (...)
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