Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 14601 à 14610.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(20/06/2008 15:20:32)

PAI Partners s'empare de 18% d'Atos Origin

Décidément, Atos Origin est très convoité. Au cours de ces derniers mois, l'avenir de la société de services franco-hollandaise a fait l'objet de plusieurs spéculations : vente, adossement à un autre acteur du marché ou même démantèlement complet. Aujourd'hui, la société française de capital investissement PAI Partners, connue sur le marché européen des services informatiques, met la main sur 17,9% du capital d'Atos, à la suite d'achat de titres sur le marché. PAI devient ainsi le plus gros actionnaire de la SSII, bousculant au passage le fragile équilibre auquel Atos était parvenu. Fin mai, la SSII avait en effet trouvé un accord avec les fonds Centaurus Capital et Pardus Capital (qui contrôlent ensemble plus de 23% du capital de la société), au terme d'un conflit ouvert qui avait duré plusieurs mois. Centaurus et Pardus exigeaient notamment le renouvellement du conseil de surveillance, ainsi que le départ de Didier Cherpitel. Ils avaient obtenu gain de cause dans les deux cas. Le sort de la SSII à nouveau incertain Avec l'arrivée surprise de PAI Partners, la composition du conseil de surveillance mis en place début juin est donc remise en question. Plus inquiétant, c'est l'indépendance même de la SSII qui est à nouveau ébranlée. Le conseil passe de 9 à 11 membres, en comptant ceux de PAI. Depuis ce matin, tous les regards se tournent donc avec attention vers ce nouvel actionnaire, car tout dépend du camp qu'il choisira. «Tout est possible. Si les deux membres de PAI rejoignent la stratégie du management, ils seront majoritaires (soit six membres sur onze) pour bloquer la vente prévue de la SSII. A l'inverse, si ils décident de s'allier aux autres fonds, la vente pourra se faire », détaille un analyste financier d'une grande banque. Atos reste très fragilisée puisque son capital est détenu à 41% par ses trois principaux actionnaires. L'avenir dira si PAI tiendra sa promesse de « réaliser des investissements à long terme. » (...)

(20/06/2008 14:45:36)

Les salaires des informaticiens stagnent

Selon une étude du cabinet américain Janco Associates, l'évolution des salaires des informaticiens a quasiment stagné en un an, sur le marché américain. Cette tendance s'explique par la réduction les dépenses informatiques cette année aux Etats-Unis, et indirectement en Europe, sous l'influence de la crise des crédits hypothécaires américains à risque et des menaces de récession aux Etats-Unis. En un an, les salaires (tous postes d'informaticiens confondus) ont augmenté en moyenne de 0,71% dans les grands comptes, contre 0,28% pour les entreprises moyennes. L'enquête montre que les augmentations dans l'informatique ont à peine dépassé les 1% pour les plus hauts postes, et frôlé le zéro (0,5% ) en moyenne pour le reste du personnel informatique, entre juin 2007 et juin 2008. Et ce pour des salaires annuels compris en moyenne entre 71 000 et 82 500 dollars, selon la taille de la société. Tout est aussi question d'offre et de demande. Les DSI, les responsables de la sécurité informatique et de l'administration de datacenters ont, eux, vu leurs rémunérations progresser depuis 2006. Ce sont des profils très demandés par les grandes entreprises, selon l'étude. Alors que les directeurs de la planification qui voient leurs salaires stagner, seraient de profils très prisés dans les plus petites structures. (...)

(20/06/2008 13:00:17)

Sondage flash : la moitié de nos lecteurs plébiscitent les netbooks

Près de la moitié des lecteurs du MondeInformatique.fr sont prêts à franchir le cap des PC ultraportables à bas coût, illustrant ainsi l'incroyable engouement dont profitent ces appareils depuis environ un an. Ainsi, 49,6% des internautes ayant pris part à notre sondage flash projettent d'acquérir un netbook en complément de leur ordinateur. La rapide croissance de l'offre devrait leur permettre de choisir parmi un vaste catalogue, tous les grands constructeurs ou presque ayant dévoilé ou annoncé leur ultraportable. Asus, leur chef de file, ou, à tout le moins, l'initiateur du mouvement grâce à son Eee PC, prévoit par exemple d'écouler 10 millions de machines low cost en 2009, soit deux fois plus que le volume espéré pour 2008. Il pourra compter sur ses nouveaux Eee PC 901 et 1000, équipés d'un processeur Atom. La récente puce Intel est en concurrence avec les solutions de Via sur ce marché et les deux acteurs se partagent les faveurs des constructeurs. Le dernier salon Computex a servi de théâtre à ces derniers, qui n'ont pas manqué d'y souligner toute l'importance qu'ils accordent aux netbooks. Le mouvement d'adhésion pour ces petites machines incite même certains de nos lecteurs à envisager de remiser leur ordinateur principal au placard. 9,2% des participants à notre sondage flash indiquent ainsi vouloir troquer leur système contre un ultraportable. Dans le cadre d'une utilisation peu intensive, les netbooks peuvent en effet s'avérer largement suffisants : bureautique, surf, visionnage de vidéos, sont autant de tâches dont ils s'acquittent sans peiner. La taille réduite des claviers et écrans sur les premiers appareils - comme sur l'Eee PC 701, dont la dalle se limitait à 7 pouces - pouvait poser des problèmes de confort ; la tendance s'oriente désormais vers des écrans d'une dizaine de pouces, nettement plus agréables à utiliser. Mais, pour une partie des lecteurs du MondeInformatique, il manque encore à ces machines une fonctionnalité essentielle : la possibilité de les utiliser comme combinés téléphonique. De fait, cette limite freine 12% des participants à notre sondage, qui n'envisage pas de s'équiper tant que la connectivité des netbooks n'aura pas évolué pour en faire des super-smartphones. Enfin, près du tiers de nos lecteurs préfèrent regarder de loin le phénomène ultra-portable 'low cost' : pour 29,2% de nos internautes, l'achat d'un netbook ne se fera jamais. Il est vrai que si les cas d'utilisation en situation de mobilité sont marginaux, voire carrément inexistants, l'acquisition d'une machine poids plume ne présente pas d'intérêt. (...)

(20/06/2008 12:58:25)

IBM, Intel et Linux squattent le Top500

Sans surprise, le Roadrunner d'IBM a doublé tous les autres supercalculateurs dans le monde au sein du Top500. Deux fois par an, ce dernier classe les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde. Le système pétaflopique installé par IBM à Los Alamos pour le DoE (Department of Energy) s'est installé en haut de l'échelle, loin devant tous les autres. Le numéro 2 ne dépasse pas le score, pourtant déjà très honorable, de 500 Tflops. Les numéros 2 et 3 sont aussi signés IBM avec son architecture BlueGene spécialisée dans le calcul. Le constructeur ne compte pas moins de 210 machines parmi les 500 étudiées alors qu'HP y place 183 de ses systèmes. Tous les autres constructeurs sont loin derrière. Les Etats-Unis accueillent la moitié des systèmes sur leur sol contre seulement 34 pour la France. Mais l'Hexagone s'améliore avec deux calculateurs dans le top 10 : l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS) du CNRS avec un BlueGene d'IBM (9e avec 12 Tflops) et Total avec une machine Altix de SGI (10e avec 106 Tflops). En attendant que la machine offerte par le gouvernement au Cines entre, elle aussi, dans la danse avec ses 147 Tflops. Sun, avec une configuration réunissant 63 000 quadri-coeurs AMD, reprend une bonne place juste derrière les 3 premiers IBM. Ce sont également des puces AMD qui animent le 5e supercalculateur du Top500, un Cray, mis en oeuvre avant que le constructeur ne choisisse de désormais privilégier Intel. Les processeurs du numéro un des fondeurs équipent quant à eux 75% des systèmes contre seulement 11% pour son concurrent, qui se place même derrière les Power d'IBM à 13,6%. Près des quatre cinquièmes de ces monstres de calcul comptent entre 1 000 et 4 000 processeurs. Linux domine lui aussi largement la compétition avec 427 systèmes dans sa besace contre seulement 25 pour Unix et 5 pour Windows. Une consommation moyenne de 1,32 MWatt dans le top 10 Pour la première fois, le Top500 affiche aussi la consommation électrique des systèmes testés (sans leurs environnements de protection électrique ou de refroidissement). Cette consommation est évaluée durant l'exécution du test Linpack, qui sert à jauger la puissance de calcul des machines. Volontairement, c'est bien la consommation électrique et non la performance énergétique des systèmes (rapport entre la consommation électrique et la puissance) qui est exploitée. Cette dernière ne vaut en effet comparaison que si les systèmes sont tous de même taille, ce qui, de fait, n'est pas le cas ici. La consommation moyenne du Top 10 est de 1,32 MWatt, Le prochain Green 500 -équivalent du Top500 qui positionne les systèmes en fonction de leur performance énergétique -, devrait être publié fin juin. Celui de février montrait une domination écrasante d'IBM qui occupait les 26 premières places ! (...)

(20/06/2008 11:50:44)

Les outils du Web 2.0 restent mal identifiés dans l'entreprise

Incontestablement popularisés par leur usage grand public, les outils du Web 2.0 et les réseaux sociaux n'ont pas encore convaincu les entreprises. Un constat qu'il faut toutefois moduler en fonction de l'âge de l'utilisateur et de sa fonction. C'est ce qu'a établi l'étude réalisée entre février et mars 2008 par Jemm Research, à la demande d'IBM, avec l'objectif d'évaluer la perception et l'avancée du Web 2.0 en milieu professionnel. Le cabinet a approché quelque 12 000 collaborateurs dans 2 500 entreprises en France, pour interroger un panel d'une centaine de personnes. «Pour les utilisateurs, le Web 2.0 reste encore un concept très marketing, même s'il existe clairement un continuum entre les outils de collaboration déjà utilisés dans l'entreprise et les outils communautaires », note Christophe Toulemonde, directeur du cabinet JEMM Research et auteur de l'étude. Les tags et wikis peu connus, les mashups et les widgets complètement ignorés La différence n'est, par exemple, pas clairement perçue entre la messagerie (ou les forums) et des outils plus novateurs ou spécifiques aux réseaux sociaux. Si les blogs, les sites communautaires et les flux RSS sont bien associés au Web 2.0, en revanche, l'étude relève que « les outils plus spécialisés comme les wikis, les étiquettes (tags) et leurs partages sont moins connus ». Quant aux technologies utilisées (mashup, widgets, RIA, SaaS, services Web), elles sont ignorées par la majorité du panel. Pourtant, « des outils comme les widgets et les mashups ont été conçus essentiellement pour des utilisateurs sans compétences en informatique », rappelle le consultant. Du côté des usages, la messagerie instantanée est occasionnellement ou régulièrement utilisé par la majorité des répondants (MS Windows Live, Yahoo ! messenger ou IBM Lotus Sametime), sans qu'il soit vraiment établi s'ils l'utilisent de façon privée ou professionnelle. Christophe Toulemonde note, là encore, « un continuum de la sphère privée à la sphère professionnelle ». Une remarque qui vaut pour les blogs. La moitié du panel dit en lire, souvent via des flux RSS, mais en mêlant intérêt personnel et professionnel. Tout autant se sont inscrits dans un réseau social (Viadeo ou Facebook) et disent participer à un forum. Mais, il ne se dégage pas de participation active à ces communautés. L'écriture d'un blog, notamment, « entre en concurrence avec l'activité professionnelle », constate le directeur de JEMM research. Des acteurs mal identifiés [[page]]Les acteurs du Web 2.0 sont finalement tout aussi mal identifiés (40% des personnes interrogées ne peuvent citer aucun nom spontanément). Le réseau Viadeo est le plus connu dans le monde de l'entreprise, de loin, suivi de Facebook, IBM et Second Life, ce dernier bénéficiant de sa médiatisation. En revanche, Dailymotion ou YouTube ne sont apparemment pas utilisés professionnellement alors que le second propose plus de « 6 000 vidéos sur un mot-clé comme IBM, Oracle ou SAP ». L'un des enseignements les plus révélateurs de l'étude montre, qu'outre le net clivage entre juniors et seniors, grandes structures et PME, le niveau d'intérêt et d'implication varie nettement d'un département de l'entreprise à un autre. Ainsi, les directions des ressources humaines sont peu sensibilisées à l'usage de ces outils. « Pourtant, il s'agit d'une problématique organisationnelle avant d'être une question technologique. Le Web 2.0 et les réseaux sociaux, c'est d'abord de l'humain, souligne Christophe Toulemonde. Cela devrait avant tout être une initiative d'entreprise. » L'étude affirme d'ailleurs que rien ne pourra se déployer avec succès sans un solide accompagnement des utilisateurs. « le point d'entrée, c'est l'annuaire étendu » Au niveau de l'organisation interne, les fonctions de partage sont vues comme un moyen de capitaliser les expertises. Pour faire progresser les outils du Web 2.0 dans l'entreprise, « le point d'entrée, c'est l'annuaire étendu », pointe le consultant. Enfin, si le Web 2.0 et les réseaux sociaux retiennent l'intérêt, c'est d'abord pour renforcer l'image de marque de l'entreprise ou pour améliorer les relations avec les partenaires, les fournisseurs et les clients. On pense volontiers à générer les commentaires venant de l'extérieur et à développer une communauté autour des produits. On juge moins évident de mettre un place un réseau social interne qui, pourtant, favoriserait la capacité d'innovation en mettant en commun les expertises. (...)

(19/06/2008 17:35:42)

RedHat rejoint la bataille pour la virtualisation

Hier mercredi, lors du Red Hat Summit de Boston, Red Hat a annoncé sa grande stratégie en faveur de la virtualisation avec un nouvel hyperviseur embarqué et une console d'administration. « C'est le premier hyperviseur basé sur Linux purement open source. Nous espérons encourager ainsi l'adoption de la virtualisation par les entreprises, explique Paul Cormier, président produit et technologie chez Red Hat. Pour nous, il s'agit du système d'exploitation de la prochaine génération.» Ce lancement est surtout une manière pour RedHat de rattraper son retard sur les acteurs déjà présents sur le marché : Vmware, Citrix avec Xen et Microsoft avec Hyper-V. L'hyperviseur de Red Hat ne s'appuiera pas sur Xen, mais sur KVM (Kernel-based Virtual Machine), l'autre solution open source du marché. En mode bêta, il hébergera aussi bien Windows que Red Hat Entreprise Linux. Il occupe très peu de place au point de tenir dans 64 Mo de mémoire vive. Et Red Hat assure pouvoir le réduire encore davantage. Une administration adaptée à tout type de configurations La console d'administration oVirt est elle aussi proposée en version bêta pour le moment. Elle s'appuie sur une interface Web simple qui convient aussi bien pour quelques machines virtuelles sur un poste qu'à plusieurs milliers de machines éparpillées sur différents serveurs. Avec ces deux produits, Red Hat affirme répondre aux besoins des vendeurs OEM qui veulent un autre choix que Microsoft ou VMWare, qui coûtent près de 4000 $ pour les licences sur un serveur double socket. Les versions finales de l'hyperviseur et de la console d'administration seront disponibles en fin d'année. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >