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(30/05/2008 19:31:51)
AG d'Alcatel-Lucent : tout passe malgré la houle
Le quorum était largement atteint (54,2%) pour voter les 14 résolutions proposées ce vendredi après-midi lors de l'assemblée générale d'Alcatel-Lucent, au Palais des Congrès de Paris. Un quorum en augmentation de 35% par rapport à l'an dernier. Il est vrai que la tourmente que traverse le fournisseur d'équipements de télécommunications suscite beaucoup d'inquiétudes parmi les actionnaires, petits et grands, comme l'a attesté la séance de questions/réponses, particulièrement houleuse à certains moments. En particulier lorsqu'il s'est agi de dénoncer l'augmentation de la rémunération variable de Patricia Russo, directrice générale d'Alcatel-Lucent, et l'attribution qui lui a été faite de 800 000 stock-options à 3,80 euros. Un bonus décidé alors que la société a enregistré une perte nette 3,47 Md€ sur son exercice 2007, pour un chiffre d'affaires de 17,8 Md€, et que les actionnaires ne toucheront eux-mêmes aucun dividende. « J'ai perdu 100 000 euros en étant actionnaire d'Alcatel depuis plus de dix ans », a grondé l'un d'entre eux, particulièrement remonté. Rappelons que le cours de bourse du groupe a chuté de moitié en 2007. "Indécent !" « L'adjectif indécent est très édulcoré » pour qualifier la décision d'attribuer à la directrice générale des stock-options « à ce prix ridicule », a commenté un autre actionnaire, en écho à une précédente intervention. A de nombreuses reprises, des huées bourdonnantes ont secoué la session de questions, ponctuées ici et là de « Démission ! » à l'attention de Serge Tchuruk, président du Conseil d'administration, et Patricia Russo. [[page]]Pour autant, toutes les résolutions ont été votées par l'Assemblée qui s'est achevée dans le calme. [mise à jour] Signalons notamment la 7ème résolution qui portait sur la mise en conformité avec la loi Tepa, subordonnant l'indemnité - 2 ans de rémunération - versée en cas de licenciement de Patricia Russo au respect de certains critères (au moins 90% des objectifs de performance sur les revenus du Groupe, ou 75% des objectifs sur le résultat opérationnel). Par ailleurs, le vote de la 13ème résolution a entériné la suppression de la majorité qualifiée pour la révocation et la nomination du Président et du Directeur général. Cette disposition avait été originellement prise pour stabiliser la gouvernance de la société pendant la fusion, a rappelé Serge Tchuruk. Une répartition géographique équilibrée Pendant la première partie de l'assemblée générale, Serge Tchuruk et Patricia Russo se sont efforcés de présenter les performances obtenues par la société sur les secteurs où sa position est la plus forte : le marché du fixe sur le segment des opérateurs télécoms (une activité en hausse de 4,7% sur 2007 pour l'entreprise, alors que sur ce segment, l'activité mobile a reculé de 9% et la convergence de 27%), le segment entreprises (+4,8%) et celui des services (+8,1%). La présence géographique du groupe s'équilibre entre l'Europe (33%), l'Amérique du Nord (32%), l'Asie (18%) et les autres régions (17%). En Chine, Alcatel-Lucent est numéro deux derrière Huawei. (...)
(30/05/2008 19:08:10)LeMondeInformatique.fr offre un accès gratuit à la conférence « consumer software » de l'IE Club
Le 5 juin aura lieu une conférence parrainée par l'IE Club et Microsoft, sur le « consumer software », où viendront s'exprimer ceux qui vivent aujourd'hui en France de l'édition de logiciels pour le grand public. Quelles sont les spécificités de ce marché, quelles sont les recettes pour réussir, quel avenir a-t-il ? Autant de questions qui nous paraissent essentielles au regard de l'industrie du logiciel en France, et qui nous ont poussé à devenir partenaire de l'événement. Aussi, chaque inscrit à cette conférence venant de la part de LeMondeInformatique.fr pourra entrer gratuitement. Renseignements et inscriptions ici ou là. (...)
(30/05/2008 18:43:05)Netvibes opte pour un PDG plus orienté business
Le très médiatique Tariq Krim n'est plus CEO de Netvibes. Le fondateur de cette start-up emblématique du Web 2.0 a laissé sa place à Freddy Mini, qu'il avait recruté à l'été 2006 pour développer les activités aux Etats-Unis. Tariq Krim reste toutefois à bord, en tant que membre du conseil d'administration, et conseiller stratégique.
Dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, Freddy Mini explique : « Cela faisait plusieurs mois que nous discutions avec Tariq du bon moment pour cette transition. Il fallait que la société soit sur les rails, afin d'être davantage pilotée par le business, sachant que Tariq resterait sur la partie vision, futur. »
Régulièrement invité dans les conférences et par les médias, Tariq Krim racontait comment on pouvait bâtir un outil de personnalisation du Web attirant des milliers d'utilisateurs dans le monde, mais il était bien en peine d'en décrire le modèle économique. Aujourd'hui, explique Freddy Mini, la plateforme technologique est suffisante pour mettre en place un modèle économique reposant sur le sponsoring de widgets.
Les widgets sont ces petites fenêtres connectées à Internet, apportant du contenu même navigateur fermé. Freddy Mini propose de transformer Netvibes en distributeur de widgets, la rémunération venant des éditeurs de widgets payant pour figurer en tête de la liste. Nul doute pour lui que ces éditeurs paieront pour ce service, dans la mesure où, une fois installés, ces widgets figurent en permanence sur le bureau du système d'exploitation ou sur la page d'accueil Web personnalisée de chaque utilisateur.
Freddy Mini a occupé des postes dans l'industrie du logiciel, chez Lotus ou Altavista notamment, et dans l'industrie des médias, chez CNET ou Ziff-Davis, dont il était CEO.
Interrogé, Tariq Krim ne souhaite pas pour l'instant s'exprimer publiquement.
(...)
HP intègre deux serveurs dans une seule lame
Avec le ProLiant BL2x220c G5, HP hisse le serveur lame à un nouveau niveau de densité. Sur une demi-hauteur et une épaisseur normale, il intègre deux serveurs bi-processeurs complets. Chacun peut être animé par deux Intel Xeon bi (5200) ou quadri coeur (5400). Il dispose aussi de 16 Go de mémoire et de deux ports Gigabit Ethernet. Cette densité, trois fois supérieure à celle d'un serveur rack bi-processeur, permet des économies d'énergie et de climatisation. La puissance que peut contenir un rack de quatre châssis 10U impressionne : 128 serveurs, soit 1024 coeurs et 2 To de mémoire. L'ensemble délivre 12,3 Teraflops. HP fait payer le prix fort pour la nouveauté de ces lames : entre 6 400$ et plus de 20 000$. Ce type de serveur s'adresse de toutes façons à des utilisateurs très exigeants que le marketing actuel regroupe dans le concept de Web 2.0. Fin avril, IBM a présenté les serveurs iDataplex pour répondre aux mêmes besoins. Plutôt que de jouer sur la densité, il a fait le choix de modifier leur organisation dans les racks. Inclinés, les iDataflex sont plus faciles à rafraîchir. (...)
(30/05/2008 16:08:59)L'Inde et le Brésil font appel à leur tour de la standardisation d'OOXML
L'Inde et le Brésil ont fait appel de la décision d'adoption en tant que standard international d'OOXML, le format de document promu par Microsoft. Ils rejoignent ainsi l'Afrique du Sud qui a entamé la même démarche vendredi dernier 23 mai contre l'ISO (International Organization for Standardization) et l'IEC (International Electrotechnical Commission), les deux organismes de standardisation responsables du comité technique qui a approuvé OOXML en tant que standard. La date limite de dépôt des appels était fixée à hier jeudi 29 mai et les deux organismes ont « reçu trois demandes, provenant du Brésil, de l'Inde et de l'Afrique du Sud, comme le confirme Jonathan Buck, porte-parole de l'IEC. La requête brésilienne n'a pas suivi la bonne procédure - elle n'a pas été envoyée aux directeurs généraux des deux organisations - mais a néanmoins été prise en compte ». Elle serait apparemment traitée de la même façon que les deux autres. La procédure de Fast Track accumule les critiques Les membres du Joint Technical Committee 1 (JTC1) de l'ISO/IEC avaient adopté OOXML en tant que standard à l'occasion d'un vote le 29 mars dernier. La procédure dite de "Fast Track" alors utilisée avait été largement critiquée par les participants et les observateurs justement parce qu'elle était trop précipitée. Si un standard provisoire ('draft') passé par ce processus est rejeté dans un vote initial parce qu'il exige plus de réflexion, une réunion de résolution de scrutin (ballot resolution meeting ou BRM) est organisée pour étudier les critiques et améliorer le standard. [[page]] Dans le cas de la réunion BRM organisée en février pour OOXML, les délégués n'ont eu que cinq jours pour s'occuper de plus d'un millier de changements éditoriaux et critiques techniques. Depuis ce rendez-vous, durant lequel de nombreuses modifications ont été mises au vote sans discussion, le processus avait ralenti au point que la version finale du texte n'était pas encore arrivée jusqu'aux organismes de standardisation nationaux plus d'un mois après la date limite de publication fixée par les règles du JTC1. L'ISO et l'IEC ont un mois pour examiner les appels Cette réunion précipitée et la publication retardée font partie des raisons invoquées dans les appels brésilien et sud-africain, selon la copie des lettres publiées par l'avocat et blogueur spécialisé dans les standards, Andy Updegrove. Les DG de l'ISO et de l'IEC ont chacun un mois pour examiner les appels et tenter de trouver un compromis avec les organismes de standardisation nationaux qui les ont émis. Si cette procédure échoue à son tour, les appels seront transmis au Standardization Management Board (bureau de gestion de la standardisation) de l'IEC et au Technical Management Board (bureau de gestion technique) de l'ISO, pour tenter de trouver une solution. L'ISO ne veut pas dire avant la réunion du Technical Management Board, le 6 juin prochain, exactement combien d'appels il a reçus. Pour l'IEC, Jonathan Buck espère, lui, pouvoir en dire plus la semaine prochaine, même s'il reconnaît le caractère inhabituel de la situation. « C'est le premier appel de ce genre après un processus de résolution de scrutin (BRM) dans le JTC1 de l'ISO/IEC, alors qu'il y a régulièrement des appels dans d'autres comités techniques. » Par ailleurs, l'importance du standard OOXML diminue rapidement. Microsoft lui-même a annoncé la semaine dernière qu'il ne rendrait sans doute pas Office 2007 conforme avec le standard OOXML de l'ISO/IEC. En revanche, il proposera un patch pour que sa suite bureautique Office 2007 lise et écrive les fichiers compatibles avec ODF, format rival et standard ISO/IEC. Celui-ci est utilisé par le logiciel libre OpenOffice.org, StarOffice de Sun et Symphony d'IBM. (...)
(30/05/2008 15:03:21)Dell redresse la tête ce trimestre
Une fois n'est pas coutume, les résultats trimestriels de Dell ont agréablement surpris. L'augmentation de 9% du chiffre d'affaires (CA) s'est faite au prix d'une hausse de 22% du nombre d'unités livrées. Dell souligne en particulier une hausse de 21% du nombre de serveurs. Mais le CA n'augmente que de 4% à 1,6 Md$. Dell s'est battu sur l'entrée de gamme où les marges sont les plus faibles. Le nombre de portables livrés augmente de 43%, avec un CA qui progresse de 22% à 4,9 Md$. Cette forte hausse permet aux portables de peser désormais plus lourd que les PC de bureau (4,7 Md$, - 5%) dans l'activité du constructeur. Dell insiste sur le fait qu'il gagne des parts sur tous les marchés. Selon lui, ses livraisons de serveurs progressent trois fois plus vite que la moyenne du marché, celle des portables 1,2 fois et celles des machines de bureau pour le grand public deux fois plus vite. Stimulé par l'intégration des activités d'EqualLogic, le CA stockage progresse de 15%. Les services, qui intègrent désormais la société ProSupport, affichent un CA en hausse de 13%. [[page]] Le CA hors Etats-Unis (55%) est nettement supérieur au CA domestique. Il semblerait même que la faible hausse de 1% qu'enregistre le CA sur l'ensemble du continent américain dissimule une baisse de l'activité aux Etats-Unis. D'ici cinq ans, le groupe prévoit de réaliser les deux tiers de ses ventes hors Etats-Unis. L'Europe, où Dell réalise 24% de son CA, soit 3,8 Md$ (+ 14,7%), est le continent où sa marge opérationnelle est la plus faible, avec 5,8%. L'activité dans les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) progresse fortement : le CA augmente de 58% et les livraisons de 73%. Le groupe a réaffirmé sa volonté de réduire encore ses effectifs de 8 900 personnes. Il a déjà procédé à 7 000 licenciements l'an dernier. Si l'on compare les résultats de Dell avec ceux d'HP, qui a lui aussi réalisé un bon trimestre, on constate que l'ex-numéro un de la micro-informatique court encore après la rentabilité. Dell se bat encore plus sur les prix que sur la technologie. Un seul exemple, celui des portables, le créneau le plus dynamique de la micro. Là où Dell voit ses livraisons augmenter de 43% et son CA de 22%, HP annonce pour le même trimestre une hausse des livraisons de 46% et une progression du CA de 31%. (...)
(30/05/2008 12:32:18)Adobe dévoile son CS4 en bêta
Alors qu'il prépare la prochaine version de Creative Suite, pour les développements web et multimédia et la création graphique, Adobe Labs rend disponible trois nouvelles bêtas. Il s'agit de Dreamweaver CS4 (conception et développement Web), Fireworks (création de sites et d'animations) et de Soundbooth (création audio). Une fois téléchargée, elles ne sont utilisables que durant 48 heures, ensuite seuls les clients ayant une version légale de CS3 pourront s'en servir jusqu'à ce que la version finale de CS 4 soit disponible. Parmi les nouveautés importantes, on trouve une meilleure intégration de Fireworks dans le moule Creative Suite, la possibilité de tester ses sites Web dans différents environnements directement dans Dreamweaver sans avoir à ouvrir les navigateurs correspondants, et l'ajustement de volume sur plusieurs pistes en simultané dans Soundbooth. Ces bêtas sont disponibles pour Windows XP SP 2, Vista et Mac OS 10.4.11 et suivants. A noter que Soundbooth ne fonctionne pas sur les Mac dotés de processeurs PowerPC. (...)
(30/05/2008 12:28:54)Lascom décline son offre de PLM verticalisé pour le BTP
Dans le cadre de sa stratégie de verticalisation de son offre Advitium, l'éditeur de PLM français Lascom propose désormais une déclinaison packagée pour l'ingénierie du bâtiment. Les logiciels de Lascom s'appuient tous sur deux piliers : la gestion de configuration, d'un côté, l'intégration de fonctions métier de l'autre. Et celui-ci n'y échappe pas. Depuis ses débuts, Lascom est un des premiers revendeurs en France de la CAO d'Autodesk. Une activité qui lui a donné une présence significative sur le marché du BTP sans que pour autant il ne le développe davantage jusqu'à aujourd'hui. Désormais, il exploite sa compétence historique dans le secteur pour paramétrer par exemple les modifications contractuelles ou l'organisation par projet. « Pour nous, le déclic s'est produit lorsque nous avons commencé à gérer des données connexes aux seuls plans 2D [NDLR : avec la CAO] », explique Dominique Piolle, DGA en charge des opérations techniques chez Lascom. Il s'agit par exemple des éléments en réserve sur les chantiers, mais surtout des « non-conformités » comme dans l'aéronautique par exemple. Ainsi, le logiciel permet de s'assurer de la conformité des plans vis à vis d'un ensemble de réglementations, d'une charte graphique, etc. Advitium Ingenierie fédère en mode collaboratif l'ensemble des intervenants sur un projet de BTP ainsi que l'ensemble des documents idoines aux travers de processus métier. Il permet aussi bien une gestion monoprojet, comme dans la cas de la construction de l'hôpital Saint-Anne à Toulouse, ou multiprojets, pour des clients tels que Vinci ou Setec. Advitium Ingénierie s'accompagne enfin d'un reporting de suivi des projets. L'offre se présente sous deux formes. L'une en mode hébergé accessible via un portail au prix de 20 à 50 € par utilisateur et par mois. L'autre sous forme de package pour lequel il faut compter entre 10 000 et 15 000 € pour le serveur et 500 € par utilisateur. Avec ses offres verticales, Lascom cible donc désormais trois secteurs : la grande distribution, l'agro-alimentaire et le bâtiment. (...)
(30/05/2008 10:39:54)Amende record pour contrefaçon de logiciels Microsoft
A l'issue de neuf années de procédure, la cour d'appel de Paris a condamné le 26 mai un réseau de trois contrefacteurs de logiciels Microsoft à une amende record de 1,83 M€. Ils écopent en outre de peines allant de deux ans de prison, dont 20 mois avec sursis pour les fournisseurs, à deux ans de prison, dont cinq mois fermes, pour le principal distributeur. Pendant près de trois ans, les membres de ce réseau ont écoulé environ 44 000 logiciels Microsoft contrefaits et 200 000 fausses pochettes griffées du logo de l'éditeur. Leur manoeuvre consistait à reconditionner des logiciels Microsoft d'entrée de gamme authentiques pour les faire passer comme des produits plus haut de gamme, et donc plus chers. Ces produits étaient ensuite commercialisés auprès de revendeurs informatiques trompés qui les installaient alors eux-mêmes sur des parcs informatiques d'entreprises dépourvues de droits d'utilisation. (...)
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