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(30/05/2008 10:36:00)

Secteur Public - Un rôle majeur dans l'adoption des nouvelles technologies, une conférence

Entretien - Transformation - Accompagner les organisations dans la transformation de leur SI (...)

(29/05/2008 16:55:41)

Chez IBM, les salaires mobilisent de nouveau

La perte du pouvoir d'achat continue de mobiliser dans le secteur informatique. Chez IBM, l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, SNA, UNSA) a appelé à une nouvelle action pour obtenir le retour des augmentations générales: le mouvement a eu lieu aujourd'hui, jeudi 28 mai, au moment de l'ouverture des négociations salariales par la direction. Et il ne s'est pas essoufflé, aux dires des syndicats : environ 1 500 salariés grévistes (sur un effectif global de 9 600 collaborateurs) se sont rassemblés devant les différents sites de l'Américain à Paris, en région parisienne et en province,à Montpellier Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lille, Lyon, La Gaude, Nantes, Orléans, et Strasbourg. La direction sommée de fournir des informations En région parisienne, près de 300 salariés se sont d'abord réunis devant l'immeuble Jupiter de Noisy-le-Grand, où se déroulaient les négociations annuelles obligatoires (NAO) de 2008 sur les salaires. Puis ils ont décidé d'investir la salle de négociation pour soutenir leurs revendications. « La direction a pris acte du mécontentement du personnel, sans pour autant formuler de proposition concrète, déplore Gérard Chameau, délégué syndical CFDT. Mais elle s'est fermement opposée au principe des augmentations générales.» En réaction, l'intersyndicale d'IBM a décidé de faire pression sur la direction de l'entreprise. Dans un courrier daté d'aujourd'hui, elle somme Daniel Chaffraix, directeur général d'IBM France, de lui faire parvenir un certain nombre de données dans les huit prochains jours : un dossier complet sur les salaires, l'élaboration d'un calendrier des négociations incluant les réunions préparatoires. L'occasion de rappeler les revendications formulées par les salariés et présentées en séance : le retour des augmentation générales et un rattrapage de la perte du pouvoir d'achat accumulée depuis plusieurs années, notamment. S'ils n'obtiennent pas satisfaction, les syndicats appelleront les salariés d'IBM à cesser le travail dans les prochains jours. (...)

(29/05/2008 16:50:59)

Google en montre un peu plus sur Android

A l'occasion de la conférence de développeurs Google I/O à San Francisco, Google a fait une démonstration de sa plate-forme mobile open source Android. Pour l'occasion, un prototype de téléphone portable (dont le constructeur n'a pas été cité) était utilisé. Doté d'un écran tactile, il a servi à montrer plusieurs applications à venir, similaires à celles de l'iPhone, dont l'accès à Gmail, un système de boussole utilisant Google Maps Street View et intégrant les flèches de direction au coeur même de l'image, ou la possibilité de zoomer sur une image avec ses doigts. Parmi les autres nouveautés, Android sera disponible avec un système d'identification tactile : au lieu de taper un code PIN, il faudra tracer un dessin personnalisable avec ses doigts pour allumer le téléphone. Andy Rubin, chef du projet Android chez Google, a toutefois précisé que l'ensemble de ces fonctions est accessible soit à partir d'un écran tactile (similaire à l'iPhone ou au HTC Touch Diamond), soit à partir de la molette d'un BlackBerry. Et même si certains téléphones seront plus adaptés à certaines applications que d'autres, pour lui, la plateforme Android doit pouvoir s'installer sur tous les téléphones, « même ceux sans écran ». (...)

(29/05/2008 16:14:51)

Atos, Centaurus et Pardus s'entendent sur neuf noms avant l'AG

Sept jours après son assemblée générale ajournée, la SSII française Atos Origin a finalement trouvé un accord et publié un communiqué commun, hier, avec les fonds d'investissement Centaurus Capital et Pardus Capital Management, ses deux principaux actionnaires. D'une même voix, tous regrettent l'incident qui a conduit à ajourner l'AG et entendent désormais oeuvrer au développement à long terme d'Atos. Les deux fonds, notamment, se veulent rassurants : ils réaffirment qu'ils n'ont pas l'intention de démanteler la SSII et disent avoir confiance dans les compétences professionnelles du directoire d'Atos Origin et des équipes. Une entente s'est opérée sur la composition du conseil de surveillance, sur laquelle s'était focalisée une partie des tensions ces dernières semaines (les fonds majoritaires demandaient notamment le remplacement du président). Une liste de neuf membres a été constituée ; elle doit encore être approuvée par l'Assemblée générale des actionnaires qui a été reportée au 12 juin prochain. Jean-Philippe Thierry à la présidence du conseil de surveillance Parmi les neuf noms retenus figurent sept membres indépendants (dont Colette Neuville, présidente de l'Adam, association des actionnaires minoritaires) et deux représentants des fonds Centaurus et Pardus (Benoît d'Angelin et Behdad Alizadeh). A la tête du conseil, c'est Jean-Philippe Thierry, président des AGF, qui est proposé au poste de président, en remplacement de Didier Cherpitel. Jean-Philippe Thierry est déjà président du conseil de surveillance d'Euler-Hermes et du groupe Mondial Assistance et siège également comme administrateur (sans droit de vote) aux conseils de PPR et d'Eurazeo. Pour calmer les esprits, les fonds Centaurus et Pardus (respectivement présidés par Karim Samii et Bernard Oppetit) se sont engagés à voter en faveur de toute les résolutions qui seront proposées par le directoire, présidé par Philippe Germond, lors de la prochaine AG. Quant à Benoît d'Angelin et Behdad Alizadeh, représentants des fonds, ils se sont engagés à démissionner du conseil de surveillance sous dix jours si les parts détenues par Centaurus et Pardus au capital d'Atos descendaient au-dessous de 5%. (...)

(29/05/2008 15:59:57)

Assises du numérique : 27 pistes de travail pour un budget nul

La connexion WiFi de la salle de presse est capricieuse, lente et instable, les PC portables ne peuvent être rechargés faute de prise de courant, le décor est daté. Malgré les apparences, nous assistons bien au lancement des Assises du numérique, le grand raout organisé par Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, pour faire de la France un géant de l'IT. Les annonceurs participent aux débats Réunis dans le grand amphithéâtre de l'Université Paris Dauphine, les représentants des exécutifs français et européen ont rappelé l'enjeu de cet événement, qui devra déboucher sur la remise au président de la République d'un plan de développement de l'économie numérique à la fin du mois de juillet. Avec 6% du PIB français issus des TIC, la France est en retard sur les Etats-Unis ou la Corée. Même constat pour le niveau d'investissement en R&D. Le but des 27 axes de travail qui seront abordés lors de ces Assises sera donc de doper les usages des technologies de l'information pour « faire de la France une très grande puissance numérique, à l'égal des économies les plus dynamiques de notre planète », explique Eric Besson. Environ 90 ateliers de travail couvrant « toutes les dimensions du numérique » seront ainsi organisés pendant le mois de juin dans toute la France et sur le Web. Ils réuniront politiques, citoyens, consommateurs, blogueurs et entreprises. Notamment les partenaires de la manifestation, classés Platinum et Gold en fonction de leur contribution, parmi lesquels on retrouve Microsoft, HP, IBM, etc. Les annonceurs seront donc également parties prenantes aux débats. [[page]] L'accès aux réseaux constitue la première piste de travail. Rappelons l'engagement pris par Nicolas Sarkozy de connecter 100% des ménages au haut débit avant la fin de son mandat (pour l'heure, d'après les chiffres de l'Arcep et de Médiamétrie, la moitié environ des ménages français serait connectée à Internet, essentiellement en haut débit). Pour y parvenir, Eric Besson suggère plusieurs pistes de travail, comme le développement du haut débit mobile et du très haut débit, ou l'équipement de 70% des foyers en ordinateurs à l'horizon 2010. Vers un Conseil national du numérique Parce que « le numérique représente une révolution de l'économie du savoir équivalente à celle de l'imprimerie », le secrétaire d'Etat suggère de mieux prendre en compte les contenus numériques dans les politiques publiques. Une idée partagée par Viviane Reding, selon laquelle « les contenus créatifs sont le moteur de la croissance des réseaux fixes et mobiles ». Dans cette optique, Eric Besson propose la création d'un Conseil national du numérique, pensé comme une « enceinte globale de concertation » regroupant tous les acteurs du Web et chargée d'élaborer des codes de bonne conduite ainsi que de les faire respecter. A la fois stratège et gendarme, cette institution remplacerait le Forum des droits sur Internet ainsi que d'autres organisations (Conseil supérieur de la télématique, Conseil stratégique des technologies de l'information, etc.) Les usages sont également au coeur des débats, avec pour objectif la multiplication des domaines dans lesquels le numérique intervient. C'est notamment le cas de l'éducation (objectif de 100% des documents pédagogiques disponibles en version numérique, enseignement à distance pour les salariés en activité...), de la santé, l'e-commerce et l'e-administration (unifier les services publiques en ligne, développer la dématérialisation, etc.) De grandes ambitions mais pas de budget [[page]] Si le programme peut sembler ambitieux, il ne pèsera pas sur les finances du pays. Eric Besson reconnaît en effet qu'il « ne dispose pas de budget. Ce plan ne devrait rien coûter à l'Etat, certaines mesures devraient même être accélératrices de croissance et rapporter ». On imagine cependant mal comment certaines des mesures soumises au débat pourraient être mises en place sans occasionner de dépense (numérisation des procédures pénales, déploiement de la carte d'identité électronique, formation en ligne pour les enseignants, etc.). Ce manque d'investissement de l'Etat n'est, à en croire les députés socialistes Patrick Bloch et Christian Paul, qu'un prolongement des travers d'aujourd'hui. Présents aux Assises du numériques, les deux édiles dénoncent « la mauvaise pente » prise par la France en matière d'IT. Ils regrettent notamment que « l'Etat ne mette pas un euro » dans le développement du haut et très haut débit et que la loi de modernisation de l'économie « ne donne pas l'impulsion nécessaire ». D'autres critiques fusent du côté de l'April. L'Association de promotion et de défense du logiciel libre dénonce la brièveté des Assises au regard du nombre de thèmes qui y seront abordés. Elle regrette aussi l'absence de certains acteurs, citant l'exemple de la table ronde sur les enjeux de la culture et du loisir numérique, qui se tiendra sans représentant des consommateurs et sans association. (...)

(29/05/2008 15:10:32)

La CGE veut renforcer l'emploi des docteurs

Aujourd'hui, le «docteur» est peu reconnu, surtout dans les services informatiques. « En dehors de la sphère très réduite de la recherche publique ou privée, pour nombre de dirigeants d'entreprises, le parcours du doctorant est perçu comme la poursuite des cinq premières années universitaires, souvent associé à une réticence à entrer dans le monde réel », indiquait récemment l'Opiiec, observatoire paritaire du secteur SSII. La Conférence des Grandes Ecoles d'ingénieurs (CGE) et l'association Bernard Gregory (ABG - organisme militant pour l'insertion professionnelle en entreprise des jeunes titulaires d'un doctorat) ont décidé de changer la donne, en signant une convention de coopération qui renforcera l'emploi et la formation des docteurs et post-doctorants. L'idée consiste à développer la communication avec les milieux économiques pour promouvoir les métiers de la recherche. Les laboratoires s'engageront à communiquer sur la filière, en publiant des données sur le parcours de leurs jeunes docteurs. La convention prévoit aussi d'étendre les échanges de données, publications et expériences pédagogiques, au sein de la filière R & D. Des actions seront également mises en oeuvre pour concevoir et définir des contenus de formation, de manière à favoriser l'insertion professionnelle sur l'ensemble de la durée de la thèse ou durant le post-doctorat. Figurent également au programme des rencontres entre doctorants et professionnels de la recherche, et des enquêtes sur les trajectoires des docteurs et doctorants. (...)

(29/05/2008 14:52:16)

Via livre son Nano, pour concurrencer l'Atom d'Intel

Via Technologies annonce la disponibilité d'un processeur x64 à faible consommation. Basé sur la nouvelle architecture Isaiah, et baptisé Nano, ce processeur présente le même brochage que sa ligne de processeur C7 (architecture Esther), ce qui devrait, explique Via, faciliter la transition pour les fabricants de cartes-mères et de PC. Surtout, il ne consommerait pas plus d'électricité, et serait deux à quatre fois plus performants. Nano intègre les extensions multimédia SSE-3 et l'architecture VTX d'Intel pour la gestion des machines virtuelles. Dans des fréquences allant de 1 à 1,8 GHz, le Nano sera proposé en deux versions plus ou moins économes : - La série L (Low-power) pour les machines de bureau et les portables, dont les processeurs consomment entre 17 et 25 watts ; - La série U (ultra-low-power) pour les mini-portables et d'autres produits mobiles, dont les processeurs consommeront entre 5 et 8 watts. C'est Fujitsu qui fabrique les Nano avec un pas de masque de 65 nm. Mais Via prévoit déjà du 45 nm d'ici à la fin de l'année prochaine. De même, la famille Nano pourrait entre-temps accueillir un processeur double-coeur. [[page]] Via Technologies n'a aucun doute sur le fait que son Nano est meilleur que l'Atom d'Intel. De plus, son processeur s'accommode de jeux de composants déjà existants, alors que l'Atom ne fonctionne qu'avec le jeu Poulsbo. Mais surtout, Via n'impose aucune contrainte aux fabricants pour l'utilisation de son processeur. Intel restreint en effet l'Atom à des plateformes d'entrée de gamme ou très petites (avec des écrans inférieurs à 10 pouces, par exemple), de façon à ne pas cannibaliser les ventes de son processeur Core 2 Duo, bien plus cher que l'Atom. Via joue au contraire sur la possibilité d'utiliser son Nano dans toutes les configurations, y compris sous Windows Vista, et pour des machines dotées d'un écran de 12 à 14 pouces (donc plus chères). Ceci dit, pour les mini-portables à bas coût, Via compte continuer de vendre son C7 : la dernière édition de référence de son design OpenBook, dévoilée mardi, reste centrée sur le C7-M. Via estime que les premières machines dotées du Nano devraient arriver vers la rentrée. (...)

(29/05/2008 12:40:55)

VMware achète B-hive Networks, éditeur d'un outil de monitoring d'applications

VMware a annoncé avoir acheté l'éditeur israélien B-hive Networks qui propose B-hive Conductor, outil de mesure de performances des temps de réponse d'une application virtuelle déportée sur le réseau. VMware souligne que l'outil de B-hive, qui peut indiquer automatiquement à l'hyperviseur de VMware les solutions à apporter, n'a pas besoin de l'installation d'un agent. Les API de Conductor sont à la disposition des partenaires de VMware. La filiale d'EMC va utiliser l'implantation en Israël de B-hive pour y ouvrir son premier centre de R&D. B-hive est la neuvième opération de croissance externe de VMware depuis 2005 (cf. ci-dessous). (...)

(29/05/2008 11:18:24)

Grandes villes industrielles ou pays d'Afrique, les TIC sont au coeur des démarches de développement durable

Le 27 mai dernier s'est tenu à Bruxelles le forum européen « TIC pour une ville verte et connectée. » L'Acidd (Association communication et information pour le développement durable) a organisé cette manifestation afin d'identifier les acteurs des mondes des TIC et des autorités locales qui tentent d'agir ensemble pour enrayer le changement climatique. Le lendemain 28 mai, deux des intervenants de Bruxelles sont venus faire partager leur expérience à quelques auditeurs parisiens dans les locaux de l'Echangeur au coeur du quartier du Marais. L'Américain Warren Karlenzig, ancien conseiller de Bill Clinton, a fondé la société californienne Common Current qui conseille les organisations publiques comme privées dans la pratique du développement durable. La firme a publié cette année une impressionnante étude qui mesure le niveau de préparation des 50 plus grandes villes américaines face à une éventuelle crise du pétrole. Est-il utile de rappeler le prix du baril et le probabilité que se réalise très vite cette éventualité ? Les cités sont jugées sur la qualité de leur air, leur réseau de circulation des personnes, la mise en oeuvre du covoiturage ou du télétravail... Le trio gagnant classe dans l'ordre San Francisco, New York puis Chicago. Louisville, Tulsa et Oklahoma City ferment la marche. Les TIC au coeur d'une bonne gestion durable des villes Warren Karlenzig est convaincu que les TIC sont la clé pour une bonne gestion durable des villes sur le long terme. A commencer, sans surprise, par Internet. « Les villes qui gèrent seules et efficacement leur développement durable le font sur Internet et surtout avec le Web 2.0, insiste-t-il. Qui plus est, ce sont celles qui s'améliorent le plus en continu. » [[page]]L'Américain rappelle combien il serait utile pour chacun d'avoir des informations à jour en ligne, sur son mobile, sur le train, le bus ou le métro que l'on doit prendre. Il évoque le contrôle et la surveillance des immeubles par les réseaux, des outils qui pourraient aussi permettre de mieux gérer la température, l'électricité voire l'arrosage chez soi. Enfin, son entreprise a participé à la constitution d'une base de bonnes pratiques environnementales alimentée collaborativement par plus de 700 villes dans le monde. Beki Nkala, lui, est le directeur de la recherche et de la connaissance pour l'école de gestion Link Centre de Johannesburg en Afrique du Sud. Avec ses équipes de Research ICT Africa, il parcourt le continent africain pour connaître le niveau d'équipement et d'usage des TIC. Il ne s'agit pas pour eux d'identifier uniquement dans les TIC les moyens de mieux gérer les villes. Mais il s'agit bien de démontrer le lien entre un bon niveau d'utilisation de l'informatique et des télécoms, et la croissance de l'économie locale, au sens large du terme. L'étude analyse ainsi l'impact des TIC sur la vie quotidienne, l'éducation, l'emploi, etc. [[page]]Ce travail exposé en ligne a abouti entre autres à l'ouvrage « towards an african e-index ». Pour respecter leurs convictions jusqu'au bout, les enquêteurs de Research ICT Africa ont adopté le zéro papier et n'utilisent plus pour leurs entretiens que des formulaires électroniques sur des PDA. En Afrique, difficile d'expliquer que l'informatique et les télécoms sont une priorité Bien entendu, Beki Nkala rappelle tous les freins rencontrés par les TIC sur le continent africain. Il explique déjà combien il est difficile de sensibiliser ce dernier au développement durable en général. Même dans son propre pays, considéré comme le plus développé d'Afrique, quasiment personne ne se sent concerné par les émissions de carbone. « On considère que c'est le problème des pays industrialisés. Et puis, il est difficile pour des gens qui ont l'électricité depuis quelques années seulement, parce qu'on les a poussés à l'avoir, de comprendre qu'il faut en consommer moins... Qui plus est, si nous avons des problèmes d'accès à l'énergie, nous en avons bien sûr aussi pour le haut débit, l'infrastructure informatique et télécoms, etc. » Sans oublier qu'il est encore plus dur de convaincre de l'intérêt prioritaire de la connectivité dans des contrées où règnent bien souvent la pauvreté et la faim. (...)

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