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(29/05/2008 09:35:50)
La gendarmerie de Dijon démantèle un réseau de "jeunes hackers"
Selon l'AFP, un réseau national de jeunes pirates informatiques a été démantelé par la section de recherches (SR) de la gendarmerie de Dijon. Elle a interpelé 22 "hackers" soupçonnés de s'être introduit "frauduleusement dans les sites de 34 sociétés, en France mais aussi en Russie et en Islande, avec la volonté d'y créer des dommages", comme l'a annoncé mercredi Jean-Pierre Alacchi, procureur de la République de Dijon. Toujours selon l'Agence, les pirates ont été arrêtés dans plusieurs régions de France et placés en garde à vue, à l'issue d'une enquête de quatre mois mobilisant quelque 90 gendarmes. Ces faits "sont reconnus" par les intéressés et punis de peines "de 2 ans de prison et de 30 000 euros d'amende" pour une simple intrusion, et de "5 ans de prison et d'une amende supérieure en cas de dégradations", a précisé le magistrat. Certains de ces "hackers" auraient introduit de fausses données sur des sites, et commis des escroqueries par le biais de faux sites pour obtenir les coordonnées bancaires de personnes et vider leurs comptes. (...)
(29/05/2008 09:38:27)Microsoft s'efforce de démontrer le peu d'importance de Yahoo
Tout compte fait, Yahoo n'était qu'un « accélérateur » potentiel pour Microsoft, dont l'éditeur pourra très bien se passer - même s'il s'agissait d'un accélérateur de luxe (une cinquantaine de milliards de dollars). C'est le message qu'a voulu faire passer Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft, dans une allocution destinée à une conférence new-yorkaise, la Bernstein Strategic Decisions. Il y a trois semaines, c'est Bill Gates qui expliquait que Microsoft avait déjà oublié Yahoo et se focalisait désormais sur une stratégie indépendante. Ray Ozzie a expliqué qu'une stratégie Web idéale reposait sur trois piliers, et que Yahoo n'était que l'un d'eux. Les deux autres sont le soutien des utilisateurs et une plateforme publicitaire robuste. Quant à la technologie de recherche, Microsoft pourrait bien explorer d'autres voies que celles de la recherche par mots-clés. « Il y a de la place pour améliorer la façon dont nous structurons nos requêtes », a-t-il dit, provoquant aussitôt des interrogations sur une éventuelle acquisition dans le domaine de la recherche sémantique. Ray Ozzie ne s'est pas étendu sur le sujet. De même, il est resté vague sur un éventuel accord avec Yahoo, indiquant seulement que Microsoft aimerait discuter avec Yahoo des possibilités éventuelles. Microsoft avait retiré son offre au début du mois de mai. (...)
(28/05/2008 18:13:42)Une solution domotique réunissant Microsoft et Hager
Marier la domotique et l'informatique, Microsoft caresse ce rêve depuis plusieurs années. Après son prototype de foyer futuriste, situé en plein coeur de son centre de recherche de Richmond, une solution de pilotage domestique développée par des élèves ingénieurs de l'Epita (lauréat de l'Imagine Cup) et enfin une association avec Legrand (In One), Microsoft revient dans la course avec Domovea, un produit développé par Hager. Piloter une centrale électrodomotique Spécialiste des équipements électriques pour la maison, Hager s'intéresse depuis plusieurs années au marché de la domotique. Son produit phare, Tébis, est une centrale électrodomotique exploitant le protocole KNX, une sorte de réseau IP du Home Control permettant un retour d'état entre les périphériques et l'armoire électrique intelligente. Avec les équipements électroniques adéquats (bouton poussoir, télécommande, prises...), cette dernière centralise toutes les commandes, allume les lampes, ferme les volets, gère le chauffage et pilote les services de sécurité (alarme, camera IP, interphone...). Un superviseur reposant sur des technologies Microsoft De son côté, Microsoft apporte ses outils Micro Framework présentés en novembre 2007 lors de la dernière Microsoft Tech'Ed. Il s'agit d'une implémentation du socle applicatif de Microsoft destinée à être intégrée à des appareils domestiques, comme un boîtier de contrôle à brancher sur le réseau électrique pour piloter à distance les équipements de sa maison. [[page]] Et pour interfacer les deux technologies, Tebis et les briques Micro Framework, Hager commercialise donc Domovea une suite logicielle et un module USB permettant de piloter l'ensemble des boitiers de commande Tébis. Vendu 475 € environ, le logiciel Domovea se compose d'une application serveur disponible pour les environnements Windows XP, Windows Vista, Windows Home Server et même xBox 360 et pilotable depuis un PC (logiciel client ou Gadget pour Vista), la console de jeux Microsoft, la télécommande Névo ou un smartphone Windows Mobile. Le boitier USb se raccorde d'un coté au PC faisant office de serveur et de l'autre à la centrale Tébis. Mètres carrés à vivre ou confort domotique ? En pratique, pour utiliser la solution Domovea il est nécessaire d'installer un système de contrôle domotique Tébis : de 10 à 13 000 euros en moyenne pour une maison neuve selon Jérôme Laulan, directeur marketing chez Hager. Ajouter un supplément de 20 à 50% pour une installation haut de gamme avec tous les modules de commandes (alarme, camera de surveillance IP,volets, lampes, arrosage...). Pour une maison ancienne, l'installation des équipements Tébis coutera 20 % plus cher que pour le neuf. Précisons toutefois que lors de la construction d'une maison, les installateurs ont un discours commercial bien rodé. Leur calcul est simple : au lieu de construire une maison de 180 m², limitez-vous à 170 m² et la différence paiera le prix de l'installation domotique ! Plusieurs scénarios possibles[[page]] Véritable superviseur, la suite Domovea surveille et paramètre tous les équipements de la maison depuis son PC, un smartphone, une télécommande ou une ardoise électronique encastrée dans un mur. S'il est bien sûr possible de commander un par un les équipements reliés à la centrale électrique Tébis, plusieurs scénarios regroupant des séquences sont programmables. Scénario sommeil avec extinction des lampes, des volets, mise en route de l'alarme; scénario intrusion avec allumage de toutes les lampes intérieurs et extérieurs, envoie d'un email ou d'un SMS à une personne ou une société de gardiennage (avec abonnement), scénario réveil avec allumage progressif des lampes, ouverture des volets. Mieux encore, il est également possible d'enchainer des scénarios pour couper tous les appareils électriques avant de partir en vacances ou mettre sa maison en hibernation avec remise en route programmée. Une interface réussie Très "Vista look and feel", l'interface de contrôle se présente sous la forme d'un tableau de bord avec plusieurs onglets : supervision avec l'état des appareils (actif/inactif), les prochaines séquences planifiés, lumières, camera, favoris pour composer son écran de contrôle... Il est même possible de superviser le bon déroulement d'une commande grâce au gestionnaire de caméra IP. Impossible par contre d'accéder à sa centrale domotique depuis un simple navigateur Web, il est nécessaire d'avoir l'application cliente sur son poste. Séduisante, cette solution arrive sur marché encore confidentielle (15 000 installations par an en France) et essentiellement réservée aux maisons haut de gamme. La pose d'un simple réseau domestique bon marché de type Ethernet RJ45 n'est pas encore courante en France, alors une installation domotique à 20 000 euros... (...)
(28/05/2008 17:27:14)IBM lance trois serveurs à base de Barcelona
IBM vient de lancer trois nouveaux serveurs System x basés sur les quadriprocesseurs Barcelona d'AMD. Ces serveurs racks, plutôt dans l'entrée de gamme du constructeur, sont surtout destinés aux applications ayant de gros besoins en mémoire. Les x3455, au format 1U, sont destinés aux applications financières, techniques ou scientifiques. Les x3655, au format 2U, s'adressent plus aux bases de données, serveurs Web ou serveurs de consolidations. Ces modèles possèdent deux sockets et peuvent accueillir respectivement jusqu'48 Go et 64 Go de mémoire vive. Le x3755, au format 4U, couvre l'ensemble de ces marchés et peut héberger jusqu'à 4 sockets et étendre sa mémoire vive jusqu'à 128 Go. Le x3455 et le x3655 seront vendus à partir de 1 450 € et 1850 € avec des processeurs cadencés à 2,10 GHz. Le x3755 sera lui commercialisé à partir de 5130 € avec des processeurs cadencés à 2 GHz. Les trois modèles seront livrés à partir de juin. (...)
(28/05/2008 17:23:33)Computacenter renouvelle ses recrutements
200 recrutements en 2007, 300 en 2008. Comme une bonne partie de la profession, Computacenter met les bouchées doubles en matière de recrutement. La société compte en France 1 100 salariés. En deux ans, elle aura augmenté ses effectifs de 50%. Du coup, elle aussi doit utiliser différents canaux pour réaliser ses embauches: mardi prochain 3 juin, elle participe au « salon européen de l'ingénieur » organisé par l'Apec. Le principe est de prendre des rendez-vous à l'avance sur des listes de candidats fournies par l'Apec, chaque entretien devant durer une demi-heure, pas plus. Spécialisée en distribution, intégration et infogérance, Computacenter recherche les profils suivants : 30 chefs de projet, 10 archivistes, 10 services manager, 10 service delivery, 10 ingénieurs systèmes, 20 ingénieurs d'affaires, 20 responsables de comptes. (...)
(28/05/2008 17:22:36)SAP affirme le succès de sa maintenance facturée 22% du prix du logiciel
SAP se dit convaincu que ne plus proposer que son contrat de maintenance le plus cher à ses nouveaux clients répond tout à fait à leurs attentes. On peut toutefois se demander si ne plus avoir le choix entre un contrat Enterprise facturé 22% du prix du logiciel et la version Basic seulement facturée à 17% ne répond pas plus aux attentes de SAP qu'à ses clients. C'est l'avis général des commentaires qui suivent l'article sur ce sujet publié sur le blog Business Technology du Wall Street Journal. L'un d'entre eux, attribué à un analyste de Forrester Research souligne que la marge brute sur la maintenance oscille entre 60% et 85%. Un autre fait remarquer que l'augmentation de SAP intervient juste au moment où la vague d'externalisation en Asie permet de réduire encore les coûts de ces prestations. Un autre encore, contrecarre l'argument selon lequel le taux de 22% est déjà pratiqué par Oracle pour sa maintenance en rappelant que SAP vend nettement plus cher ses logiciels... SAP affirme que près de 200 clients ont déjà adhéré à son contrat Enterprise Support. L'éditeur se justifie aussi en faisant appel au concept de "modèle de support holistique", nécessité notamment par les nouvelles applications composites intégrant des solutions SAP et non SAP. D'autres types de contrats de maintenance, comme la Software Assurance, que Microsoft conseille très fortement à ses grands comptes, ont soulevé également des réactions lors de leur mise en place. Toutefois, la hausse imposée par SAP suscite aussi des vocations. En particulier celle de Rimini Street. Ce spécialiste de la tierce maintenance a annoncé au début du mois qu'en 2009, il ajouterait à son offre le support des produits SAP à celui de ceux de Siebel, PeopleSoft et JD Edwards, désormais tous chez Oracle. Rimini Street affirme que malgré des prestations supérieures à celles du support de SAP, ses tarifs sont moitié moindre. De plus, la société s'engage à supporter les anciennes versions des PGI de SAP plus longtemps que leur éditeur. Rimini Street a été fondé par Seth Ravin, l'homme qui a vendu la société de tierce maintenance TomorrowNow à SAP qui s'en mord les doigts. Cette société, poursuivie par Oracle pour espionnage industriel, perd aussi ses clients. Seth Ravin affirme qu'ils auront tous rejoint la clientèle de Rimini Street d'ici 18 mois. (...)
(28/05/2008 16:13:55)Packard Bell supprime 122 emplois a Angers
Le fabricant d'ordinateurs Packard Bell (groupe Acer) s'apprête à supprimer plus d'une centaine de postes sur un total de 319 salariés que compte son site d'Angers. Selon la CFDT, l'information a été annoncée lors d'un comité d'entreprise exceptionnel le 22 mai dernier. Ce plan intervient au moment où Acer, le nouveau propriétaire de Packard Bell, s'apprête à déplacer une partie des ses activités sur le site angevin : «Nous avons appris que le groupe Acer comptait transférer les équipes de son centre de SAV de Roissy vers Angers, s'inquiète Michel Bouyer, secrétaire de la CFDT métallurgie et responsable de la filière informatique pour l'ensemble du département du Maine et Loire. » Une opération qui pourrait expliquer les suppressions de postes sur le site angevin. La direction de Packard Bell n'a pu être jointe pour commenter cette information. Il y a deux ans, le groupe avait déjà supprimé allégé ses effectifs à Angers d'environ 200 postes dans le cadre d'un plan d'externalisation de sa production. Depuis, plus aucun PC n'y est produit mais Angers conserve des activités d'ingénierie, d'achats, de logistique et d'après-vente. (...)
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