Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 1531 à 1540.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(29/11/2011 09:12:36)

« De nombreux services mobiles s'adossent à un mainframe », Peter Griffiths, de CA

Le Monde Informatique : Vous supervisez une communauté de 4 000 développeurs et ingénieurs. Comment se répartit-elle dans le monde et entre les différents logiciels de votre catalogue, pour le mainframe et les solutions d'entreprise ?

Peter Griffiths :
Nous avons, je pense, une extraordinaire équipe de développeurs de classe internationale, répartie à travers le monde dans de nombreux pays. Ils ont rejoint CA Technologies au cours des années, par recrutement ou par le biais d'acquisitions. Ce que nous cherchons à faire avec cette équipe, c'est de créer un esprit CA. Nous avons un très vaste portefeuille de produits. L'activité mainframe génère une part importante du chiffre d'affaires [NDLR : 55% sur le trimestre clos fin septembre 2011] et concentre aussi une grande partie de nos développements.  Et sur CA World 2011, nous avons annoncé la nouvelle vague de produits Chorus dont l'objectif est d'amener l'innovation aux mainframes, de changer la façon dont les gens considèrent l'interaction avec le mainframe. De façon à pouvoir gérer la base de données DB2, la sécurité, le stockage et les performances à partir d'un seul modèle d'expérience utilisateur à travers CA Chorus.

Donc, nous allons continuer à investir fortement dans le mainframe. Mais nous voyons aussi beaucoup de connexions entre ce qui se produit dans le monde du mainframe, ce qui se passe dans l'entreprise et ce qui arrive dans le cloud. En fait, de nombreux services cloud et mobiles que nous utilisons aujourd'hui s'appuient encore sur un mainframe en arrière plan. Et, chez CA, nous nous concentrons vraiment sur la capacité à travailler avec nos clients pour les aider à gérer une infrastructure hybride avec du cloud, des logiciels et solutions d'entreprise et des technologies mainframes.  Nous cherchons à réunir tout cela. Donc, nous ne voyons pas nos équipes de développement comme des entités séparées, mais cherchons à résoudre un problème. Sur la toute nouvelle mise à jour de Chorus, certains développeurs sont des experts Java venus de sociétés spécialisées dans le cloud. Ils nous aident à apporter ces compétences et cette approche au monde du mainframe.

Si nous prenons nos produits de sécurité dans le cloud lancés sur CA World 2011, on voit qu'ils vont de l'identification des utilisateurs dans le cloud jusqu'à  l'authentification qui pourrait leur être accordée par un service mainframe. Nous avons un énorme portefeuille de logiciels pour les grands systèmes et il représente une part importante de ce que nous allons faire. Nous investissons dans le mainframe parce que nous voyons que c'est très pertinent de le faire dans la perspective du cloud. Nous savons qu'il est important de favoriser l'agilité et la rapidité. Cela signifie que vous devez comprendre très vite le spectre complet des systèmes et des services susceptibles de prendre en charge vos applications dans le cloud aujourd'hui. Comprendre la façon dont les choses s'accomplissent et comment les différents éléments interagissent entre eux.

« Modéliser l'expérience d'une application »

L'autre domaine sur lequel nous nous concentrons est la partie que nous appelons "Model". C'est un focus majeur pour CA Technologies. Comment modéliser l'expérience d'une application ? Lorsqu'il faut mettre rapidement en service de nouvelles applications, l'un des défis est d'être capable de les tester et de les vérifier pendant le cycle de création. Nous avons acquis la société ITKO qui nous permet de virtualiser les services. Nous pouvons ainsi concevoir des modèles de tous les services avec lesquels une application a besoin de dialoguer. De cette façon, si je bâtis une application bancaire et que celle-ci doit communiquer avec un service web externe pour déterminer, par exemple, à quel endroit dans le monde [l'utilisateur] se trouve, il est probable qu'elle devra aussi parler à un système mainframe pour vérifier ce que [cet utilisateur] a sur son compte. L'offre d'ITKO permet de modéliser cet environnement et donc, dans ce cas, il peut modéliser [la transaction] CICS [NDLR : Customer Information Control System].ITKO, c'est un tout nouveau service pour aider à livrer davantage d'applications (*). Mais, là encore, il doit pouvoir modéliser des services mainframe, des services cloud et des services provenant d'applications d'entreprise. Donc, encore une fois, cela fonctionne bien comme un tout.

(*) La technologie de virtualisation mise en oeuvre dans la plateforme LISA, d'ITKO (racheté par CA Technologies), permet d'optimiser le développement et le test des applications composites et, ce faisant, de réduire les délais de mise à disposition.

Lire la suite de l'entretien (...)

(28/11/2011 16:39:21)

La France se dote d'un observatoire du numérique

Le ministre en charge de l'Industrie et de l'économie numérique a lancé officiellement l'observatoire du numérique. Sur le site internet de l'organisme, on peut lire les missions qui lui sont affectées : fournir aux pouvoirs publics, aux décideurs économiques et, plus généralement, au public une information régulière sur l'état et l'évolution des secteurs du numérique et sur la diffusion des technologies numériques dans l'économie et la société. Pour ce faire, l'observatoire va recueillir, organiser et diffuser l'information statistique existante relative aux secteurs du numérique et compléter si besoin ces données grâce à des études.

En ce qui concerne l'organisation et les membres de l'observatoire. Gilles Babinet, président du CNN (Conseil National du Numérique) et Guy Roussel, vice-président du comité stratégique de filière compétent pour les services et technologies de l'information et de la communication, sont nommés à la tête du comité d'orientation stratégique. A noter que Jean Mounet, ancien dirigeant du Syntec Numérique et vice-président de Sopra Group, devient président du comité exécutif.

(...)

(28/11/2011 15:03:44)

Affaire Itanium : HP cherche le soutien de l'UE

Le géant informatique Hewlett-Packard en appelle aux régulateurs européens afin de déterminer si Oracle profite de sa position dominante sur le marché du logiciel pour porter atteinte à une partie de l'activité hardware de HP. Cette décision est intervenue après qu'Oracle ait annoncé qu'il n'assurerait plus de développement logiciel pour les systèmes Itanium d'Intel, arguant du fait que « le fondeur avait clairement indiqué que sa puce était en fin de vie et que l'entreprise se réorientait vers son microprocesseur x86. » HP reproche à Oracle un comportement anti-commercial et accuse l'éditeur de vouloir forcer les clients de HP à acheter des serveurs de Sun Microsystems, désormais propriété d'Oracle.

Les deux entreprises ont porté l'affaire devant un tribunal californien en juin, et continuent depuis à s'affronter devant cette cour de justice. Oracle, de son côté, a accusé HP de fraude, affirmant que la seule raison pour laquelle Intel continuait à investir dans Itanium tenait au fait que HP avait passé un accord secret avec le fondeur. Robert Cooper, l'avocat de HP, a précisé que l'affaire portée devant les instances européennes était indépendante du procès en cours aux États-Unis. Cependant, Daniel Wall, l'avocat d'Oracle, a déclaré à Reuters que HP fait « littéralement la tournée de toutes les instances antitrust dans le monde pour dire qu'Oracle essaye de nuire à son activité ». On ignore pour l'instant si la Commission Européenne décidera ou non de mener une enquête sur Oracle.

Une roadmap Itanium confirmée jusqu'en 2015

Pendant ce temps, HP a fait savoir qu'elle avait mis à jour la feuille de route de ses serveurs haut de gamme Integrity. En particulier, ceux-ci pourront accueillir côte à côte des systèmes Xeon et Itanium. HP espère que cette stratégie permettra de faire taire les critiques contre l'Itanium, affirmant avoir « développé ces nouveaux systèmes pour permettre aux clients qui le souhaitent, d'utiliser, à moindres frais, leur matériel x86 en même temps que leurs serveurs Itanium, et faire fonctionner leurs applications critiques, » comme l'a déclaré Lorraine Bartlett, vice-présidente, marketing et stratégie, de l'activité Business Critical Systems de HP. « Les clients ont adopté notre infrastructure critique avec des systèmes comme Superdome 2, et nos serveurs lames Itanium évolutifs tournant sous HP-Ux. Nous allons continuer à développer ces plates-formes, ainsi que des technologies comme NonStop et OpenVMS, » a-t-elle ajouté. « Mais, malgré la demande incessante de capacités pour réaliser des tâches critiques sur plates-formes Unix, l'autre message des clients est de pouvoir disposer d'outils plus efficaces sans affecter leurs budgets informatiques, d'où une pression continue de faire plus avec moins, » a-t-elle expliqué.

(...)

(28/11/2011 14:48:44)

Plug-in pour navigateurs: les entreprises pas très à jour

Dans un rapport basé sur les propres outils de l'entreprise, Zscaler a comptabilisé le nombre d'ordinateurs où les plug-in pour navigateur ne sont plus à jour : dans son classement, la place de cancre revient au plug-in Shockwave d'Adobe, obsolète pour 94,2% des ordinateurs sur lesquels il est installé, suivi par Java avec 70%, puis par Adobe Reader avec 65,8%, Quicktime avec 42,5%, et les add-ons du navigateur Outlook avec 19,8%.

Pour ce qui est du contexte, le trafic d'entreprise http/https est toujours dominé par Internet Explorer qui en tient 58% des parts, suivi par Firefox, avec près de 11%, et Safari, qui fait une entrée inattendue, avec 7%. Les plug-in eux-mêmes génèrent 23% de ce trafic. Et c'est là où commencent certains ennuis. Parmi les plug-in les plus populaires, Flash, que l'on trouve installé sur 94,4% des PC, occupe la première place, suivi par Windows Media Player avec 87%, Adobe Reader avec 84,7% et Outlook avec 84,2%. « Au vu de ces statistiques, il est clair que la plupart des entreprises ont peu de contrôle sur le type de plug-in et la version en cours d'utilisation par leurs salariés, » déclarent les auteurs. Les navigateurs Internet eux-mêmes ne sont pas nécessairement mis souvent à jour. L'étude montre que 24,2% des utilisateurs d'IE utilisent encore les version 6.x et 7.x du navigateur de Microsoft, et moins de 2% utilisent la dernière version, 9.x.

D'autres études confortent ces chiffres

Bien que l'évaluation n'a porté que sur une seule entreprise, ces chiffres sont corroborés avec d'autres statistiques qui se sont intéressées à la question des plug-in intégrés aux navigateurs Internet des entreprises. Par exemple, en juillet dernier, Qualys, une entreprise qui travaille sur la vulnérabilité, a constaté que Java était un maillon faible particulier de la chaîne, établissant que le plug-in était obsolète sur 40% des ordinateurs. Comparé au dernier rapport Q2 2011 sur l'état du web de Zscaler, les chiffres établis cette fois semblent marquer une forte fluctuation pour certains plug-in. Au second trimestre, Shockwave était obsolète sur seulement un tiers des ordinateurs sur lesquels il avait été installé, contre plus de 90% aujourd'hui. Compte tenu du cycle de mise à jour rapide adopté par certains éditeurs comme Adobe, on peut penser, à tort, que ces ordinateurs sont plus vulnérables en données absolues, puisque les entreprises qui mettent à jour leurs plug-in moins souvent ont, par définition, plus de chances d'avoir des versions périmées.

Dans un autre chapitre de son rapport, Zscaler enregistre un bond dans l'usage d'Android en entreprise. La plate-forme représente désormais 40,3% des transactions du client Internet dans le Cloud de l'entreprise, devançant BlackBerry, jusque là favori du secteur professionnel, qui occupe 37,2% des transactions et iOS, 22,3% seulement. Mais, sur la période, l'application la plus utilisée du Web 2 .0 a été Facebook, qui a capté près de 50% des usages. « Malgré cette popularité, la tendance à long terme de l'usage de Facebook au sein des entreprises semble être à la baisse, » estime néanmoins Zscaler dans son rapport.

(...)

(28/11/2011 14:43:12)

Bull annonce 500 recrutements en France en 2012

Après un plan de recrutement en 2011 de 1000 personnes, Bull récidive avec le même chiffre pour l'année 2012. Sur les 1000 collaborateurs potentiels, 500 seront employés en France. La répartition géographique des emplois sera de 250 en Ile de France et 250 en province, principalement le Sud-Est  (PACA + Rhône Alpes). Bull précise qu'il a ouvert deux centres de services de Business Intelligence dans ces régions-là. Enfin, sur la partie internationale, 150 postes seront ouverts en Pologne et 100 autres au Brésil. Le reste des autres recrutements se feront sur d'autres pays, Espagne, Benelux, Maroc et Allemagne).

Sur les profils recherchés, le groupe informatique précise que 25% (125 personnes) des embauches seront ouvertes à des  jeunes diplômés issus d'école d'ingénieurs ou de cursus universitaire.

Des compétences diverses

Ces recrutements concernent des experts dans le développement logiciel (Java J2EE, décisionnel, ERP/SAP, ...), des experts dans les technologies Bull (HPC, Cloud, stockage/archivage ...)  ainsi que des architectes SI,  des chefs de projet ou des experts sécurité. Bull indique en complément que la maîtrise d'un secteur d'activité (secteur public, défense, télécoms,  énergie, ...) est un atout supplémentaire.

(...)

(28/11/2011 12:37:01)

La 3G attendue en 2013 dans le métro parisien

Les voyageurs RATP pourraient disposer d'un accès à la téléphonie de troisième génération, dite 3G, d'ici à deux ans, a indiqué à l'agence Relaxnews Marie-Catherine Lecoufle, responsable produits publicitaires et commerciaux. La régie des transports franciliens lancera prochainement son appel d'offre auprès des quatre opérateurs mobile (Orange, SFR, Bouygues et Free).

"Nous aimerions déployer rapidement la 3G dans le métro parisien pour répondre à la demande de nos voyageurs, qui jusqu'ici n'accèdent qu'à la 2G, réseau qui arrive rapidement à saturation", explique la représentante de la RATP. Et d'ajouter : "nous tablons sur un délai de deux ans, maximum, pour obtenir un accès à la téléphonie de troisième génération, si nous trouvons un partenaire intéressé parmi les opérateurs".

La RATP attribuerait l'offre à un seul fournisseur mobile "car ce serait plus rapide et moins coûteux", avance Marie-Catherine Lecoufle. Le partenaire de la régie pourrait alors, lui-même, nouer des accords avec les autres opérateurs. 5 millions de voyageurs transitant dans le métro quotidiennement pourraient bénéficier de la 3G, soit d'une connexion internet plus rapide et moins saturée.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >