Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 1541 à 1550.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(28/11/2011 12:23:08)

Free Mobile : Un forfait à 10 euros et un lancement à Noël ?

Il y a quelques jours le Figaro indiquait que le réseau de Free Mobile était prêt et couvrirait 27% de la population. L'opérateur respecterait ainsi l'obligation inscrite dans sa licence. L'ARCEP va réaliser un audit de vérification du taux de couverture. Une fois le quitus accordé, Iliad pourra débloquer son accord d'itinérance avec Orange sur le reste du territoire. Il reste néanmoins deux interrogations pour lesquelles on assiste à un ballet de rumeurs et de prévisions.

La première question concerne la date de lancement de l'offre Free Mobile. La période de début janvier semble écartée au profit du mois de décembre. 14 décembre, 19 décembre ou 24 décembre toutes les propositions fusent sur le web. La raison : la période de Noël est traditionnellement  la plus importante pour recruter des abonnés, car les contrats avec les opérateurs arrivent à expiration. Certains pensent qu'Iliad testerait une version d'essai de son offre mobile en décembre, avant de se lancer officiellement et sur une plus grande échelle au mois de janvier.

Des pronostics et la concurrence s'affine


Autre interrogation, le contenu des offres. Xavier Niel, fondateur d'IIiad a toujours affirmé sa volonté de diviser par deux la facture de la téléphonie mobile dans les foyers. L'agence de presse Reuters a demandé à 9 analystes de se pencher sur la question. Free Mobile devrait avoir un éventail d'offres dont les prix s'étaleraient entre 10 et 27 euros par mois. L'offre la moins chère commencerait même à 5,90 euros par mois pour deux heures d'appels. Pour apporter des prix aussi serrés, les analystes pronostiquent l'utilisation de la téléphonie par Internet via Skype, mais surtout la non-subvention du terminal, ainsi que l'absence de distribution physique.

La concurrence a depuis quelques mois présenté son arsenal d'offres pour contrer Free mobile. B&Y de Bouygues Telecom, Red de SFR et Sosh d'Orange ont été lancées. Ce dernier va faire évoluer son offre 2h le 15 décembre prochain, mais sans savoir si le prix va baisser ou apportera de l'Internet illimité (sans bridage). On peut s'attendre à ce que les opérateurs traditionnels réagissent après le lancement de Free mobile, pour le plus grand bonheur des consommateurs.

(...)

(28/11/2011 12:27:36)

Didier Lamouche nommé PDG de la co-entreprise ST-Ericsson

Nommé il y a un an directeur général du fabricant de semiconducteurs franco-italien STMicroelectronics, Didier Lamouche devient PDG de la société ST-Ericsson. Cette co-entreprise, créée en 2009, est détenue à parité par STMicroelectronics et par la division plateforme mobile d'Ericsson, acteur suédois des télécommunications. Elle est spécialisée dans les circuits électroniques pour les terminaux mobiles (smartphones et tablettes, notamment).

La nomination de Didier Lamouche à la tête de ST-Ericsson sera effective le 1er décembre 2011. A ce poste, il remplace Gilles Delfassy, ce dernier gardant un rôle de conseil auprès du PDG durant une période de transition. Depuis avril, il était déjà membre du conseil d'administration de ST-Ericsson.

Tout en conservant son poste de directeur général de STMicroelectronics, Didier Lamouche se concentrera désormais à plein temps à la direction de ST-Ericsson, est-il indiqué dans le communiqué de sa nomination, à un moment où la société entre dans une phase de livraison en volume. 

Didier Lamouche est également au conseil d'administration de Soitec et Adecco. De 2005 et 2010, il fut PDG du groupe français Bull. Il bénéficie d'une expérience de 25 ans sur le secteur des semiconducteurs. Après avoir rejoint IBM Microelectronics en 1985, il avait été nommé en 2003 vice-président pour IBM, responsable des opérations mondiales pour les semiconducteurs. (...)

(28/11/2011 10:56:01)

Microsoft et Avanade collaborent pour créer des applications sur Windows Phone

Microsoft et le fournisseur de services IT Avanade ont conclu un partenariat stratégique. Ils entendent développer des applications d'entreprises et des solutions mobiles destinées à améliorer la productivité des entreprises.  Parallèlement, cela permettra de favoriser l'utilisation de la plateforme Windows Phone.

Les deux entreprises ont l'intention de travailler étroitement avec Accenture Mobility Services. Avanade veut aussi construire ce que l'on appelle  des « centres d'excellence Windows Phone » aux Etats-Unis, en Europe, en Chine et en Inde. Dans ces centres d'excellence seront développés des applications pour les particuliers et des solutions spécialisées pour les entreprises destinées au Marketplace de Windows Mobile. Sur la plateforme mobile seront également intégrés Microsoft Dynamics, SharePoint et Lync. Selon Laurent Chrétien, directeur du développement d'applications chez Avanade Suisse, ce partenariat va conduire à des innovations, à la création de solutions et de services capables de générer ainsi une valeur ajoutée significative pour les utilisateurs mobiles.

ICTjournal.ch

(...)

(28/11/2011 10:43:56)

AT&T anticipe un échec du rachat de T-Mobile USA

Le département américain de la Justice et la FCC ont ouvert une enquête sur ce rachat, d'un montant de 39 milliards de dollars et validé en mars dernier par T-Mobile. Il s'agissait de déterminer si la concurrence serait toujours assurée après ce rachat qui ferait d'AT&T le premier opérateur du pays. Selon le président de la FCC, qui a remis une esquisse de décision mardi dernier, il existe bel et bien un danger pour la concurrence mais aussi pour l'emploi. Le régulateur devrait prochainement envoyer le dossier à un juge administratif, ce qui pourrait bloquer le rachat. Selon les observateurs, l'enquête du département américain de la Justice aboutirait aux mêmes conclusions. Avec ce retrait du dossier déposé devant la FCC, les entreprises pourrait concentrer ses efforts sur l'enquête du département américain de la Justice.

Par ailleurs, au cas où la procédure de rachat doive être annulée, AT&T a provisionné 4 milliards de dollars pour dédommager T-Mobile. Ce montant couvrirait les frais engendrés par cette procédure pour la filiale de Deutsche Telekom. Pour autant, la fusion des deux sociétés est toujours officiellement à l'ordre du jour.

ICTjournal.ch

(...)

(28/11/2011 10:37:53)

Ipsen passe aux Google Apps

Ipsen est un laboratoire pharmaceutique de spécialités international qui réalise plus de un milliard d'euros de chiffre d'affaires. Il cherchait à focaliser les efforts de la DSI sur des projets porteurs de forte valeur pour le groupe et donc à externaliser les fonctions comme la bureautique. Il fallait également déployer une solution adaptée à l'ère du temps, notamment en gérant la mobilité, le partage d'informations et la collaboration.

Le laboratoire a choisi Google Apps for Business, la solution SaaS de bureautique collaborative et de messagerie proposée par Google. La conversion de l'existant avec reprise des données, l'intégration et la gestion du changement ont été assurées par le cabinet spécialisé Revevol. L'aspect « full web » de la solution a été particulièrement apprécié, ce qui permet aux collaborateur de conserver leur environnement de travail et leurs données quelque soit le poste utilisé.

Dans un premier temps, la solution a été déployée auprès de 180 utilisateurs tests de janvier à juin 2011. Les utilisateurs tests appartenaient à dix sites dans cinq pays (France, Espagne, Chine, Etats-Unis et Royaume Uni) et à diverses divisions et certains étaient managers. Une fois éprouvée, la solution a été déployée à partir de septembre 2011. A terme, 4500 collaborateurs seront équipés dans le monde.
(...)

(28/11/2011 10:29:03)

HP/Cisco : le cloud comme terrain de bataille

La guerre des mots que se livrent HP et Cisco depuis près de deux ans met leurs partenaires de la distribution IT dans une position délicate. Lorsqu'on les interroge sur les conséquences de la compétition que se livrent les deux marques sur le marché des centres de calcul (datacenters), la plupart des distributeurs et VARS français préfèrent garder le silence et déclinent la demande d'interview. « Les partenaires, surtout ceux qui distribuent les deux marques, sont un peu pris entre deux feux et attendent de voir », confirme Yann Plétan, Directeur commercial Infrastructures du VAD Altimate Group. Mais pour lui, il y a bien plus important que les effets d'annonce. « Cette confrontation marque l'accélération d'une évolution majeure du marché qui va concerner autant les clients que les revendeurs », poursuit-il.

Un marché en forte croissance

Au tournant de l'année 2009, Cisco et HP entretenaient une relation commerciale presque symbiotique. De nombreux clients allaient chercher chez l'un les équipements de réseau et chez le second les serveurs et le stockage. Depuis, les deux marques, même lorsqu'elles s'en défendent, se comportent en frères ennemis. Pour certains, c'est HP qui a commencé en baissant les prix de ses équipements de réseau ProCurve pour prendre des parts de marché à Cisco. Pour d'autres, c'est bien à l'équipementier de réseau que l'on doit l'ouverture des hostilités. En annonçant, en 2009, son offre Unified Computing System (UCS), Cisco est entré de plain-pied dans l'un des pré-carrés les mieux gardés de son partenaire commercial, le marché des serveurs blade. Le coup de canif dans le pacte de non-agression entre les deux marques a été d'autant plus mal accueilli chez HP que les ventes de serveurs lames sont littéralement en train d'exploser. IDC enregistre une croissance des ventes de 26,9% au 2ème trimestre 2011, contre seulement 17,9% de croissance pour l'ensemble du marché des serveurs. En 2011, un serveur sur cinq vendu dans le monde est un serveur lame.

Guerre des chiffres

Dans les tableaux de bord d'HP, Cisco a droit à une couleur à part pour le différencier du reste de la concurrence. Et lorsque l'on interroge le constructeur de Palo Alto sur les 11,3% de parts en valeur du marché des serveurs blade revendiqués par Cisco, la réponse ne se fait pas attendre. « Il y a une différence dans la façon dont nous et notre concurrent calculons nos parts de marché en valeur. Ils y intègrent les équipements de commutation réseau alors que nous ne comptons que les serveurs », avance Olivier Petit, chef de produits Blade chez HP. Une façon comme une autre de souligner que Cisco est un nouvel entrant sur le marché des serveurs. L'équipementier de réseau, de son côté, ne manque pas de faire remarquer qu'il est présent depuis longtemps dans les centres de calcul.

[[page]]

Et cette longue expérience lui permettrait d'apporter sur le sujet un regard neuf. « Avec la virtualisation, il faut simplifier l'infrastructure physique, explique Bruno Dutriaux, chargé du développement partenaires pour la division Datacenter et virtualisation chez Cisco. Et cette simplification se joue essentiellement dans la réduction de la complexité de connexion et de configuration des éléments de réseau ». La simplicité, c'est aussi l'argument numéro un avancé par le concurrent. « Ce qui distingue l'offre HP, c'est le respect des standards, souligne Jean-Pierre Bondu, responsable des produits réseau pour HP en Europe. Cela nous permet d'apporter à nos clients un point unique d'administration et de configuration pour tous les éléments du datacenter, y compris ceux des concurrents ».

Une nouvelle époque

« Je comprends que les clients puissent se sentir perdus, lâche Guy Lefebvre, directeur de la division Stockage chez le grossiste Adstore. Pour les revendeurs, les offres des deux constructeurs ont en commun de répondre à l'enjeu d'industrialisation de la virtualisation sous la forme de clouds privés. Mais ce concept est encore un peu flou pour nombre de clients.

« Ajoutez à cela le fait que la grande diversité des offres et des visions technologiques désoriente les clients », poursuit Guy Lefebvre. Dans la pratique, et sur un marché d'infrastructure datacenter où se combinent les technologies de réseau, de serveur et de stockage, HP conserve pour l'instant un avantage indiscutable. « Quand vous avez gagné une affaire, vous allez voir en premier le constructeur qui peut vous fournir toutes les briques de l'infrastructure. Cela réduit les problèmes et fait gagner du temps », poursuit Guy Lefebvre. Fort de cette position dominante, HP se veut l'artisan d'une véritable révolution de marché, au nom de la convergence des technologies rendue nécessaire par la virtualisation. « C'est une nouvelle époque qui s'annonce, martèle Olivier Petit, chef de produits Blade chez HP. L'ère des monopoles sur telle ou telle discipline technologique est terminée ».

Nouvelle époque, ou nouvelle guerre de cent ans ? Cisco vient d'annoncer la mise sur pied d'une nouvelle division baptisée Cloud and Systems Management Technology Group (CSMTG). Elle aura notamment pour objectif de renforcer les relations avec EMC et sa filiale VMWare, NetApp, Oracle ou SAP. Des sociétés qui ont toutes en point commun d'être concurrentes d'HP. Pour Yann Plétan d'Altimate, le cloud est annonciateur de nuages. « C'est une guerre de mastodontes qui commence, souligne-t'il. Nous allons être entre le marteau et l'enclume avec une mission difficile mais indispensable, mettre de l'huile dans les rouages pour que nos clients puissent réussir leurs projets.»

(...)

(28/11/2011 10:25:42)

Etude 2011 d'Ernst & Young sur les 15 premiers sites marchands en France

Selon la cinquième édition de l'enquête annuelle « Analyse de la performance des 15 premiers sites marchands en France » réalisée par Ernst & Young, les sites de e-commerce sont aujourd'hui globalement matures et autant performants sur la majeure partie des critères, y compris la sécurité de l'achat. Il reste cependant des points d'amélioration qui sont autant de facteurs différenciant permettant de remporter des parts de marché sur les concurrents.

Le premier point est l'ergonomie du site et la gestion du parcours client. De nombreux sites n'amènent pas aisément le client à acheter. Celui-ci se perd dans une procédure complexe avant de concrétiser une acquisition.

Fidéliser les clients

De la même manière, la conquête de clientèle n'est clairement plus un enjeu aujourd'hui. Il s'agit plutôt de fidéliser les clients alors que la concurrence se renforce. Or l'ergonomie et la fluidité du parcours client sont des facteurs différenciants pour qu'un client se déclare plus ou moins satisfait sur tel ou tel site. L'enquête indique également que le niveau d'exigence en la matière sera plus élevé sur un site de grande marque. Cependant, une marque forte sera également un facilitateur de l'oubli des faiblesses d'un site.

Enfin, la vision unique cross-canal est exigée par les clients qui veulent être reconnus quelque soit le canal employé dans chaque étape de leurs parcours (web, téléphone, magasin, e-mail, etc.).
(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >