Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 15891 à 15900.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/03/2008 12:18:06)

Près de 182 M€ de fonds investis dans la formation IT

Le Fafiec, organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) des entreprises de l'informatique, de l'ingénierie et du conseil, chargé de mutualiser les fonds pour la formation professionnelle, vient de publier son rapport d'activité 2006-2007 : au final, 5,1 millions d'heures de formation ont été financées par l'organisme. Dont 38 000 actions financées au titre du plan de formation, et près de 7 400 au titre de la professionnalisation. Le montant collecté sur la masse salariale 2006 s'élève à quelque 181,7 M€, en augmentation de 9% par rapport à l'année précédente. 45% des contributions proviennent de l'informatique, 30% de l'ingénierie, et 24% du conseil. Si ces chiffres paraissent plutôt encourageants, ils sont loin de convaincre les organisations syndicales. Ainsi, la F3C-CFDT, fédération CFDT de la communication et du conseil, pointe une sous-utilisation de la formation dans les entreprises de la sphère IT : « La clôture de l'exercice 2007 du Fafiec montre un excédent de 70 M€ sur le budget des périodes de professionnalisation [NDLR: il s'agit de formations longues d'une durée comprise entre 100 et 600 heures, périodes également éligibles au DIF], signale Yvan Béraud, secrétaire national de la fédération. La branche entendra probablement de garder ce trésor de guerre, mais comme les dépenses de 2008 suivent sur le même rythme, c'est un risque équivalent de 140 M€ que nous risquons d'avoir pour la fin 2008 ». [[page]] Pour d'autres comme le Munci, une des associations professionnelles d'informaticiens, cette sous-utilisation chronique de la formation professionnelle n'a rien de réellement surprenant : « La sous-utilisation de la formation est un phénomène qui a déjà eu lieu dans la IT, notamment en 2003 », rappelle t-il. Cette année-là, les entreprises de plus de 10 salariés n´avaient en effet consommé que 59 % de leur plan de formation. » Le président du Munci s'interroge toutefois sur le devenir des 140 M€ évoqués par la F3C-CFDT : « Il s'agit de savoir si l'argent non dépensé sera redistribué partiellement aux entreprises, comme ce fut le cas en 2003. » Et d'ajouter, pour modérer ses propos : « Ce constat de la sous-utilisation des budgets formation est à nuancer. Il est vrai que toutes les entreprises ne passent pas par le Fafiec pour leurs actions de formation. Celles-ci progressent, en outre, globalement dans les SSII depuis quelques années, notamment grâce au DIFl. En témoignent les chiffres publiés par le Fafiec, et ce, même si beaucoup reste encore à faire en matière de formation, dans les entreprises du secteur ! » (...)

(11/03/2008 11:50:11)

Sun prépare une JVM pour l'iPhone

Sun n'attendait que la bêta du kit de développement (SDK) de l'iPhone pour commencer à travailler sur une JVM adaptée au téléphone d'Apple. Les machines virtuelles Java (JVM) équipent déjà, selon Sun, « des milliards de téléphones » dans le monde, et le constructeur avait évidemment envie d'ajouter à ce nombre les iPhone, dont plus de 4 millions auraient déjà été écoulés, à en croire Eric Klein, vice-président marketing Java de Sun. La JVM pourra être installée sur les iPhone et les baladeurs iPod Touch, afin d'y faire tourner des applications Java. Eric Klein rappelle que sur les 6 millions de développeurs Java dans le monde, 10 000 se consacrent à l'écriture de programmes pour les appareils mobiles. Et en vertu du slogan « write once, run anywhere » (écrire une fois, exécuter partout) de Java, le portage des applications déjà écrites pour des JVM mobiles vers la JVM de l'iPhone ne devrait pas être très compliqué, promet Eric Klein. Qui veut croire que « des entreprises voudront faire tourner sur leurs iPhone exactement les mêmes applications qu'elles ont déjà sur leurs autres téléphones ». Cette JVM pour iPhone et iPod Touch devrait arriver « le plus vite possible » après la sortie de la version finale du SDK, en juin prochain. Elle sera gratuite pour les développeurs Java, qui économiseront aussi les frais d'accès au SDK d'Apple. (...)

(10/03/2008 17:38:05)

Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP

SAP vient de modifier les modalités de maintenance de ses applications de gestion pour ses nouveaux clients, avec le programme Enterprise Support. Certains analystes, parmi lesquels figurent Forrester et le CXP, jugent que les utilisateurs risquent de surpayer le service fourni. A partir du deuxième trimestre de cette année, les nouveaux ralliés aux progiciels de SAP ne pourront en effet plus bénéficier du support de base (Basic support), facturé annuellement 17% du prix de la licence payée. A la place, ils se verront proposer un support 7j/7 et 24h/24 certes plus étendu -comportant notamment un engagement de service (SLA) sur les temps de réponse, mais aussi plus coûteux, correspondant à un taux annuel de 22% (un prix équivalent à l'actuel support Premium de SAP). En revanche, il n'est pour l'instant pas prévu que les conditions changent pour les clients ayant déjà contracté leur maintenance. Les analystes font évidemment remarquer qu'à 22%, le coût de support des solutions SAP se retrouve au niveau de celui d'Oracle, l'offre de l'éditeur allemand perdant dès lors cet avantage compétitif sur son rival américain. Sur son blog, Vincent Lieffroy, analyste au CXP, précise qu'il juge « insuffisante » la proposition de valeur de la maintenance de la plupart des éditeurs, parmi lesquels Oracle et SAP. S'il considère tout à fait « justifié de payer pour un service de support », il rappelle que le coût de la maintenance est aussi censé inclure des évolutions fonctionnelles et technologiques. A cet égard, il juge que les nouveautés apportées dans le cadre de la maintenance par les éditeurs ne justifient généralement pas un tarif aussi élevé. Quant à Ray Wang, analyste chez Forrester, il met en garde les actuels bénéficiaires d'un contrat de support Basic à 17%. Selon lui, l'éditeur allemand pourrait bien chercher à harmoniser ses taux de maintenance à 22% sur l'ensemble de sa base. Bill Wohl, vice-président de SAP, rappelle que rien de tel n'est actuellement prévu. Lui ne présente pas ce nouveau programme de support comme une augmentation de tarif mais comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. Selon une récente enquête de Forrester, un peu plus de la moitié des 215 professionnels interrogés estiment que 16% constituerait le plus juste taux de maintenance annuel pour les applications, alors que 1/5e des sondés situent plutôt ce seuil entre 10 et 12%. (...)

(10/03/2008 17:27:24)

Microsoft ouvre la bêta de son SQL Server en ligne

Chez Microsoft, le 'cloud computing', ou l'informatique à la demande via Internet, prend corps petit à petit sous forme de services applicatifs. Dans son allocution la semaine dernière au Mix, conférence pour les développeurs Web et designers, Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft, a ainsi annoncé le lancement d'une offre basée sur SQL Server, proposée dès aujourd'hui en version bêta. Ce service de base de données en ligne, ou « in the cloud », a été baptisé SQL Server Data Services (SSDS). Il permettra de stocker en ligne des données, pour une tarification à l'usage (pas encore dévoilée). A priori, sont concernées des applications 1) capables de supporter des temps de latence dus à Internet, et 2) nécessitant surtout d'accéder aux données en mode lecture. Dans une foire aux questions sur le site de SSDS, Microsoft cite quelques exemples d'applications possibles : archivage de données, gestion des ressources humaines, partage de photos... L'utilisation de ce service ne sera pas limitée aux seuls utilisateurs des technologies Microsoft, l'accès aux données étant assuré au travers de deux interfaces standards, Soap et Rest, utilisées dans le cadre des services Web et des mashups. La quantité de stockage possible est quant à elle « virtuellement illimitée ». (...)

(10/03/2008 17:25:10)

Digg dément tout rapprochement avec Microsoft ou Google

Des rumeurs sur un possible rachat du site d'informations participatif Digg ont circulé ce week-end. Ces spéculations ont provoqué la colère et la déception des membres de Digg, qui ont laissé des dizaines de messages enjoignant les fondateurs du site (Kevin Rose, Owen Byrne, Ron Gorodetzky et Jay Adelson) de ne pas céder à l'appel des sirènes d'Internet - Microsoft et Google en l'occurrence. Habituellement discret sur ce type de ragots qui ont le don de se répandre à la vitesse de l'éclair sur la Toile, Jay Adelson s'est empressé de sortir de sa réserve. Il faut dire que l'OPA hostile de Microsoft sur Yahoo fournit un cadre propice à l'éclosion de ce genre de rumeurs. Jay Adelson a donc publié sur son blog un post succinct mais très ferme : « Normalement notre politique est de ne pas commenter ce type de choses, mais ces rumeurs ont provoqué un tel émoi que nous sommes obligés de vous dire directement qu'elles sont totalement infondées. » Avant d'ajouter : « Nous demeurons axés sur l'amélioration de Digg. » Digg est un site communautaire sur lequel les internautes peuvent laisser leurs articles dans différentes catégories (technologies, politique, loisirs...). Ces articles sont ensuite notés par les utilisateurs (qui leur attribuent des « diggs »), et, s'ils rencontrent du succès, ils sont affichés en page d'accueil. (...)

(10/03/2008 17:13:00)

Osiatis recrute 800 nouveaux collaborateurs

Après avoir annoncé 800 recrutements en 2007, la SSII Osiatis - 3 000 collaborateurs, quarante implantations en France, cinq filiales européennes - poursuit sur sa lancée en tablant sur un nombre de recrutements équivalent pour 2008. Les personnes recrutées, dont 60 % seront des jeunes diplômés de niveau Bac +2 à Bac + 5, interviendront dans les trois domaines de l'offre d'Osiatis : l'infogérance et la TM/A (Tierce maintenance applicative), l'ingénierie applicative et d'infrastructures ainsi que la maintenance des systèmes critiques. Il s'agira, pour la division infrastructure, de chefs de projet, de consultants avant-vente, d'ingénieurs toutes technologies (Microsoft, Unix...), d'experts en messageries (Exchange 2000/2003....), d'administrateurs de bases de données (Oracle Unix), de techniciens (hotline, assistance aux utilisateurs, maintenance des serveurs), d'administrateurs/ intégrateurs de systèmes, d'experts techniques, d'ingénieurs systèmes et d'ingénieurs commerciaux. Des chefs de projet, des consultants, des architectes techniques, des ingénieurs de développement, et des analystes sont également recherchés pour Osiatis pour renforcer l'activité d'ingénierie. (...)

(10/03/2008 16:32:39)

IBM propose des PC Open Source à l'Europe de l'Est

IBM refait son apparition sur le marché du PC... mais en Europe de l'Est et en Russie. Trois ans après avoir vendu sa division PC au Chinois Lenovo, c'est sur le segment du très prometteur PC low-cost sous Linux que Big Blue a décidé de se positionner. Pour cela, le constructeur s'est entouré de deux intégrateurs de systèmes, l'un polonais et l'autre autrichien, pour commercialiser son projet « Open referent ». Le principe : fournir un package de logiciels Linux pour le desktop, Red Hat Enterprise Linux Desktop pour l'OS, Lotus Notes pour le groupware, Lotus Sametime pour la collaboration et enfin, Lotus Symphony pour la suite bureautique. Et de les embarquer dans un boîtier d'ordinateur dont la fabrication dépendra du pays ciblé. IBM compte ainsi fournir une solution matériel plus logiciel Open Source prête à l'usage et la présenter comme une alternative à Microsoft dans cette zone géographique. Big Blue affirme que son offre « Open referent » est née d'une forte demande du marché et des agences gouvernementales en Europe de l'Est et en Russie, comme l'Aeroflot ou le ministère de la Défense russe. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >