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(10/03/2008 16:25:45)

27% de noms de domaine supplémentaires en 2007

Selon Verisign, 33 millions de noms de domaine supplémentaires ont été déposé en 2007. Soit une augmentation de 27% en un an, qui porte leur total à 153 millions. Ce sont toujours les TLD (Top Level Domain) .com et .net qui se taillent la part du lion. Avec 80,4 millions de noms déposés (+24%), ils représentent plus de la moitié (52%) des noms de domaine déposés. Quant au ccTLD nationaux, ils totalisent 58 millions de noms (+33%). C'est le .de de l'Allemagne qui arrive en tête, suivi par celui de la Chine qui explose (+399%) et par celui du Royaume Uni (+17%). La France n'apparaît pas dans les dix premiers ccTLD, où figurent des pays comme la Suisse, l'Italie et les Pays-Bas. (...)

(10/03/2008 16:23:11)

Le 'cloud computing' paré pour l'entreprise d'ici un an ou deux, estime Forrester

On n'en est encore qu'au stade de l'expérimentation, mais le 'cloud computing' devrait rapidement devenir une option viable pour les grandes entreprises, juge Forrester, dans un document qui vient de paraître. Le 'cloud computing' constitue l'évolution ultime des offres d'externalisation : l'hébergeur fournit une plateforme technique capable d'accueillir à peu près tout type d'application, et facture en fonction de la consommation des ressources (en règle générale, temps de processeur, espace de stockage et quantité de données transférées). Il suffit au client de posséder un identifiant et une carte bancaire pour ensuite bénéficier de puissance informatique comme il le ferait de puissance électrique. James Staten, analyste de Forrester Research, note dans son rapport que la dizaine d'offres actuelles possède des atouts non négligeables. Ceux qui offrent le 'cloud computing' ont un poids énorme dans les négociations avec les fabricants de serveurs, et bénéficient donc d'économies d'échelle considérables. En outre, ils ont acquis une compétence certaine dans la gestion des centres de serveurs et dans la répartition dynamique de la charge de travail. Chez eux, la mise en place est très rapide, et il n'y a aucun engagement sur la durée. En effet, contrairement aux hébergeurs traditionnels, les fournisseurs de 'cloud computing' ne s'embarrassent pas des pré-requis matériels ou logiciels des clients : ils fournissent une infrastructure transparente pour le client, dans la mesure où tout est géré par des outils de virtualisation et de grid (mise en grille des ressources). L'outil de grid de 3Tera, AppLogic, serait d'ailleurs plébiscité dans la mesure où il ne demande pas de modification de l'application à mettre en grid. Tellement simple que le 'cloud' permet de passer outre la DSI Le 'cloud computing' peut ainsi accepter des demandes de puissance informatique pendant très peu de temps, ce qui le rend idéal pour tester rapidement un prototype, fournir un service informatique pour une opération commerciale de courte durée, ou faire tourner des applications non critiques. Forrester cite ainsi l'hébergeur XCaliber, dont le service FlexiScale serait utilisé par une banque d'investissement française pour tester des modèles financiers. Recourir au 'cloud computing' est tellement simple, note Forrester, que cela peut aussi se faire en-dehors de la DSI. Certaines directions métier dans les entreprises seraient tentées d'y recourir pour passer outre les longueurs qu'elles attribuent au service informatique de leur entreprise. Toutefois, reconnaît le cabinet d'analyse, la majorité des utilisateurs aujourd'hui sont de petites structures qui n'ont pas d'existant. [[page]] Le manque de références est d'ailleurs pour Forrester le problème numéro un des fournisseurs de 'cloud computing'. Parmi les éléments négatifs, Forrester note encore le faible nombre de grands de l'informatique parmi les fournisseurs. Des grands noms de l'Internet comme Amazon, Salesforce et Akamai côtoient sur ce marché des hébergeurs plus classiques ainsi que des start-up, en attendant, écrit l'analyste, que les Microsoft ou Google ouvrent leur propre service. Forrester déplore aussi le manque de considération pour les préoccupations des grandes entreprises. Ainsi, il est la plupart du temps impossible de souscrire un contrat sur le niveau de service, d'utiliser ses propres outils pour la sécurité ou la supervision, ou de faire héberger une application de prise de commande par carte bancaire. « Serez-vous un fournisseur de 'cloud' ou bien un utilisateur de 'cloud' ? » Quoiqu'il en soit, James Staten prévoit que d'ici un an ou deux, le 'cloud computing' deviendra une option incontournable pour l'informatique d'entreprise. Non seulement pour des start-up (« avec le cloud computing, deux gars dans un garage pourraient créer un service et l'amener à un CA de 100M$ sans jamais acheter un seul serveur », écrit-il) mais aussi pour des grandes entreprises qui disposeraient ainsi de cette fameuse flexibilité qu'elles demandent à leurs équipes informatiques. Ou qui pourraient profiter de leur savoir-faire pour devenir elles-mêmes des fournisseurs de service informatique à la demande. Pour Forrester, il faut donc absolument expérimenter cette forme de service dès maintenant, ou au moins identifier des applications qui pourraient s'y prêter, pour ne pas manquer le grand tournant à venir. L'analyste pose en effet la question : « au moment où, pour beaucoup d'entreprises, il n'y aura plus de justification financière à posséder ses propres serveurs, serez-vous un fournisseur de 'cloud' ou bien un utilisateur de 'cloud' ? » (...)

(10/03/2008 16:07:26)

M6 lorgne clubic.com, jeuxvideo.fr, neteco.com et achetezfacile.com

M6 Web a officiellement confirmé être en négociations exclusives avec Cyréalis, dans le but de racheter le groupe lyonnais. Si l'opération se réalise, elle apportera dans l'escarcelle de M6 quatre sites Internet de plus : clubic.com (un site communautaire d'informations high-tech), jeuxvideo.fr, neteco.com (site e-business) ainsi que le comparateur de prix achetezfacile.com. Cyréalis revendique 5,5 millions de visiteurs uniques par mois, essentiellement des hommes âgés de 15 à 35 ans. Rappelons que M6 Web possède déjà quelques sites Internet, comme ceux de ParisPremière, Téva, W9, Mistergooddeal (racheté en 2005)... Avec l'acquisition de Cyréalis, M6 Web entrerait dans le top 15 des sites les plus consultés en France. Ce rachat lui permettrait également d'élargir son audience qui est « essentiellement féminine » pour le moment, rapporte le groupe. (...)

(10/03/2008 15:38:23)

IBM sur le point de lancer des serveurs X64 conçus et fabriqués en Chine

IBM devrait présenter de nouveaux serveurs x64 d'entrée de gamme d'ici la fin avril. Il s'agit des premiers résultats concrets des investissements qu'IBM a fait en Chine : ces serveurs auraient été conçus par un département R&D fort d'un millier de salariés et seraient produits dans des usines locales. Au dire de Bill Zeitler, senior VP et Group executive en charge du Systems et Technology Group, le résultat serait un coût de production qui défie la concurrence et des marges en proportion... Apparemment, cette annonce n'a pas de lien avec celle selon laquelle le constructeur chinois Lenovo avait décroché, fin janvier, le droit de fabriquer des IBM serveurs x64 sous licence. (...)

(10/03/2008 15:12:23)

L'Icann teste son indépendance du DoC

L'accord, révisé en 2006, qui lie l'Icann au ministère du Commerce américain (DoC - Department of commerce) semble définitivement réussir à la communauté Internet. A l'occasion d'un appel à commentaires censé évaluer le succès, ou non, de la révision du Joint Project Agreement, Paul Levins, vice-président de l'organisation, a souhaité démontrer que l'Icann pouvait être autonome et fonctionner indépendamment du DoC. Pour mémoire, l'Icann, le régulateur technique d'Internet, est lié au ministère du Commerce américain depuis la création de l'organisation en 1998. Une connexion que les registres de noms de domaines nationaux (comme l'Afnic en France) et nombre d'acteurs de l'Internet dénoncent, s'estimant sous-représentés dans les prises de décision liées à la gouvernance du Web. Conflictuel, le Joint Project Agreement a été révisé en 2006 pour donner plus de liberté et d'autonomie à l'Icann dans sa gestion. Cet appel à commentaires s'inscrit alors à mi-chemin dans le calendrier qui fixe à 2009 l'expiration (ou la reconduction) du présent accord. Il doit évaluer puis valider les conditions juridiques dans lesquelles l'organisation pourrait fonctionner sans le DoC. « Nous voulons essayer de verrouiller le modèle actuel sur du long terme », martèle Paul Levins, qui affirme haut et fort que l'Icann peut voler de ses propres ailes. D'importantes améliorations ont été réalisées en termes de transparence, ajoute-t-il. (...)

(10/03/2008 15:02:04)

Annuels CS : prises de commandes en hausse de 22%

Résultats 2007 Chiffre d'affaires : 225,4 M€ (+14%) Marge opérationnelle : 13,6 M€ (+8%) La société de services Communications & Systèmes (CS), intégrateur et opérateur de systèmes critiques, vient de publier un chiffre d'affaires en hausse de 14,4%, à 225,4 M€ à périmètre constant. Le résultat net part du groupe est pratiquement multiplié par dix : il passe de 5,5 à 49,9 M€, et la marge opérationnelle représente 6,1% du CA, en atteignant les 13,6 M€. La SSII explique ces bons résultats par un carnet de commandes bien fourni (+22%). La société réalise ses meilleures performances en France (202 M€, soit +16,4%), alors qu'elle est en perte de vitesse dans les autres pays (23,3 M€, contre 24,6 M€ en 2006). La SSII française s'est par ailleurs débarrassée de son activité Infrastructures critiques, qu'elle jugeait peu rentable. Elle a revendu cette activité (1400 personnes) à BT Group (fournisseur spécialisé dans les solutions et les services informatiques et réseaux) fin 2007, pour un montant de 60 M€ environ. Cette opération lui a permis d'améliorer sa trésorerie, nette des dettes financières (39 M€ au 31/12/2007, contre 12 M€ au 31/12/2006). CS s'est également recentré sur des secteurs stratégiques comme l'aérospatiale (35% de son activité), la défense et la sécurité (32%), les transports (17%) ainsi que l'énergie (8%). Le groupe s'est déclaré confiant pour 2008 et envisage une croissance à la fois organique et externe. (...)

(10/03/2008 12:53:51)

Partir à JavaOne sur un coup de poker

Pour tester les connaissances des spécialistes de Java/J2EE, le cabinet de conseil Xebia France a eu l'idée d'une rencontre autour d'une table de jeu. Les spécialistes de Java et de J2EE ont jusqu'au 20 mars pour participer à un tournoi de poker qui leur est exclusivement réservé. Pour jouer, nul besoin d'être un expert du poker. Il suffit de maîtriser Java/J2EE pour répondre aux questionnaires (Quizz) et aux questions bonus, et gagner ainsi des « Xebia Dollars ». Les cinquante candidats les plus riches pourront ensuite participer à un vrai tournoi de poker, dans une salle parisienne. Le gagnant du tournoi remportera un voyage tous frais payés à JavaOne, la conférence annuelle organisée par Sun Microsystems à San Francisco. Le second gagnera un voyage au salon européen JavaPolis, et le troisième partira avec une formation certifiante à ScrumMaster (conduite de méthodes agile). (...)

(10/03/2008 12:27:02)

Facebook parle français

Après l'anglais, l'espagnol et l'allemand, Facebook est désormais disponible en français. Le membres déjà inscrits sur la version anglaise pourront activer une fonction (via l'onglet Account) qui traduira automatiquement le site. Pour les nouveaux abonnés au site communautaire (qui se connecteront désormais sur http://fr.facebook.com), le français sera proposé d'office. Facebook avait sollicité la participation volontaire de ses membres pour traduire son site il y a quelques mois. En mars dernier, un groupe avait été créé sur Facebook pour demander une version française. Le groupe a réuni plus de 100 000 adhérents. Sur sa page d'accueil du jour, le groupe ne cache pas sa joie « victoire : Facebook enfin en français ! ». Facebook compte plus de 60 millions d'adhérents dans le monde, dont 60% sont situés hors des Etats-Unis... ce qui explique sans doute la volonté de Mark Zuckerberg, fondateur et PDG du site réseau social, de rendre sa plate-forme polyglotte. Cette ouverture permet également à Facebook de rattraper son retard sur son concurrent MySpace, qui a déjà décliné son site en plusieurs langues, dont le français en janvier 2007. (...)

(10/03/2008 12:21:36)

Antitrust : Intel doit répondre demain à la Commission européenne

Intel est sous pression à la veille de son audition mardi par la commission antitrust européenne. La société se prépare à défendre quelques-uns de ses accords avec les fabricants de PC lors d'une audition par les régulateurs européens et ses concurrents mardi et mercredi. Les questions au sujet de sa manière de travailler avec les distributeurs devront attendre une autre fois. Des rabais importants s'ils achètent essentiellement du Intel La réunion de cette semaine sera centrée sur les accusations effectuées en juillet dernier par la Commission européenne : Intel distribuerait des « rabais importants » aux fabricants de PC s'ils achètent la plupart de leurs processeurs x86 chez Intel. La commission a aussi accusé la société de payer les fabricants afin qu'ils retardent le lancement de machines munies des puces de son concurrent AMD, et de vendre ses processeurs pour serveurs en dessous du prix à ses grands clients tels que les Etats ou les universités. Ce à quoi Intel a répondu qu'il est en concurrence dure mais juste sur un marché très concurrentiel. Cependant, ces accusations pourraient n'être que la base sur laquelle la Commission entend élaborer une affaire bien plus importante. Des perquisitions suite à une plainte d'AMD Le mois dernier, le régulateur a effectué des perquisitions dans les bureaux d'Intel à Munich (Allemagne) et dans les bureaux des plus gros distributeurs d'équipements électroniques en Europe : Media Markt (Allemagne, Italie, Hongrie, et Pologne), DSG International (Grande Bretagne) et PPR (France). La Commission a expliqué ces perquisitions par le fait qu'elle soupçonne Intel et les distributeurs de violer les lois interdisant les pratiques commerciales restrictives et l'abus de position dominante de la part d'Intel sur le marché des puces. Les préoccupations au sujet des relations entre Intel et les principaux revendeurs d'électronique ne datent pas d'hier, mais la Commission n'a ouvert une enquête qu'en 2006 après avoir reçu une plainte d'AMD, principal concurrent d'Intel. [[page]] Media Markt tout autant sur la sellette La Commission avait déclaré à l'époque qu'elle soupçonnait Intel de mettre Media Markt sous pression afin que le distributeur ne stocke pas de PC munis de puces AMD. Media Markt est une chaîne de magasins allemande avec 460 boutiques dans onze pays de l'Union européenne et est un canal de distribution majeur pour l'industrie des ordinateurs. Les perquisitions en ce début d'année ont porté l'attention sur Media Markt et les autres grands groupes de la distribution. « Media Markt est autant sur la sellette qu'Intel maintenant », a déclaré Jens Drew, le porte-parole d'AMD. Reste que les recherches récentes de preuves effectuées par la Commission sont interprétées par certaines personnes, proches d'Intel, comme le fait d'« aller à la pêche », révélant ainsi la faiblesse des efforts du régulateur lorsqu'il s'agit d'étendre l'affaire d'antitrust au secteur de la distribution. L'amende pourrait aller jusqu'à 3,2 Md$ John Drew, d'AMD, ne voit pas les choses comme ça : « Comme avec Microsoft, la Commission procède avec soin et construit un dossier solide, qu'elle pourra défendre en appel, qui sera inévitable. » Cependant, les auditions de la semaine prochaine seront consacrées uniquement aux pratiques commerciales d'Intel avec les fabricants de PC. Et si cela demeure ainsi, sans s'étendre à inclure l'attitude d'Intel dans le commerce de détail, « le pire des cas est d'écrire un chèque » a déclaré Paul Otellini, directeur général de Intel, dans une interview publiée dans Business Week magazine, en octobre dernier. Si la Commission déclare Intel coupable, elle peut mettre la société à l'amende de 10% de ses ventes internationales, soit environ 3,2 milliards de dollars. Mais, comme dans le cas de Microsoft, Intel s'inquiète plus des changements qu'il devra apporter à son modèle commercial qu'à n'importe quelle amende qui puisse lui être infligée. (...)

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