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(23/01/2008 17:42:35)

Google et Publicis collaborent depuis un an dans la publicité en ligne

L'américain Google et le français Publicis (société de communication et de conseil en achats média) ont annoncé hier être en étroite coopération depuis un an, lors d'une rencontre officielle entre le PDG de Google, Eric Schmidt, et le président du directoire de Publicis Maurice Levy, à Paris. L'alliance reste purement stratégique, chacun des deux acteurs restant libre de se retirer à tout moment. Le but de ce rapprochement est de « mettre en commun nos savoir-faire respectifs, afin de développer de nouvelles solutions de publicité en ligne ainsi que les moyens technologiques de mesurer les performances des campagnes de publicité », déclare-t-on chez Publicis. Google a d'ailleurs créé une équipe entièrement dédiée au partenariat avec Publicis. Cette équipe devrait compter une centaine de personnes dans les mois à venir. « Les progrès et les initiatives en cours de préparation sont d'ores et déjà très prometteurs », a commenté Maurice Levy. Les deux partenaires devraient se réunir dans les semaines à venir pour étudier comment renforcer cette collaboration. Ce rapprochement souligne encore une fois à quel point le marché de la publicité en ligne devient un enjeu stratégique pour les acteurs du Web. En 2007, de nombreux colosses d'Internet ont procédé à l'acquisition d'agences de publicité en ligne. En avril dernier, Google lui-même rachetait DoubleClick pour 3,1 Md$, suivi de Microsoft en mai, avec le rachat d'aQuantive pour 6 Md$. Yahoo se payait BlueLithium pour 300 M$ et AOL s'offrait Quigo pour la même somme. (...)

(23/01/2008 17:18:03)

100 000 $ pour le gagnant du concours Intel Science Talent Search

Le concours Intel Science Talent Search, ou prix Nobel des Juniors, organisé par le célèbre fondeur à destination des élèves de terminale issus de plus de 500 lycées américains, vient d'atteindre les demi-finales. 300 élèves demi-finalistes ont été sélectionnés sur un total de 1602 participants. Ils s'affronteront le 30 janvier prochain, date de la grande finale, où ils devront s'illustrer en sciences, mathématiques et en ingénierie, à travers un projet individuel de recherche. Quels que soient les résultats, tous les demi-finalistes recevront la somme de 1 000 $. A l'arrivée, 40 d'entre eux seront sélectionnés pour aller en finale. Les finalistes se verront remettre un prix de 5 000 $, un PC portable équipé du processeur Intel Core2 Duo, et un week-end payé à Washington DC, pour présenter leurs projets à la communauté scientifique de la prestigieuse National Academy of Sciences. Le gagnant du Grand Prix sera, quant à lui, récompensé par une bourse de 100 000 $. Les résultats du concours seront annoncés le 11 mars, lors d'un dîner de gala. (...)

(23/01/2008 16:34:54)

Nevervail assure la continuité de service pour VMware

Nerverfail a lancé hier le premier plug-in pour VMware Virtual Center, la console d'administration des machines virtuelles VMware, pour assurer la continuité de service. En effet, en utilisant deux outils de Virtual Center - VMotion pour transférer à chaud des machines virtuelles entre serveurs physiques et VMware DRS pour allouer des ressources dynamiques entre machine virtuelle - la seule faille du système reste le Virtual Center lui-même. Avec ce plug-in, en cas de panne, Neverfail transfère tout le contenu de Virtual Center sur un serveur secondaire pour maintenir l'activité jusqu'à la fin de l'alerte sur le serveur principal. (...)

(23/01/2008 16:33:18)

HP met la main sur Exstream

HP a annoncé la finalisation d'un accord pour acheter Exstream Software, un éditeur spécialisé dans les solutions d'impression personnalisable en fonction du lectorat ciblé. Entre autres, Exstream propose une suite pour automatiser la création de documents et un gestionnaire de flux d'impressions. Les produits et les 300 employés d'Exstrean rejoindront l'unité « logiciels et services Web » de la division Image et impression d'HP durant le second trimestre 2008 de la société (entre février et avril). Aucune somme n'a été dévoilée pour ce rachat. (...)

(23/01/2008 15:16:17)

Lotusphere : IBM veut déployer Sametime en milieu hétérogène

Sur un Lotusphere très animé cette année (environ 7 000 personnes), IBM a mis un accent particulier sur Sametime, sa solution de messagerie instantanée, désormais déclinée en une famille de produits dans le cadre de sa stratégie UC2 (unified communications and collaboration). Depuis la version 8 sortie en décembre dernier, les versions Standard et Entry ont apporté, notamment, l'intégration avec MS Office 2007, ainsi que pour la Standard, le support des environnements VMware. La version Advanced, prévue pour ce premier semestre, permettra de créer des communautés pour retrouver rapidement des experts. Ses fonctions de dialogue instantané autoriseront la poursuite d'une conversation dans le temps (permanent chat). Il sera aussi possible de prendre la main sur un document partagé dans une discussion afin de le modifier. Mais l'objectif le plus pressant de Lotus est d'avancer aussi vite que possible vers la communication unifiée désormais réclamée par les entreprises. Les clients d'IBM veulent déployer Sametime sans remettre en cause les standards de communication qu'ils ont installés. Le groupe d'assurances Prudential UK (25 000 employés) a adopté l'application pour mettre en contact ses équipes réparties dans le monde, mais aussi pour réduire ses coûts de développement, de formation et de déplacements. Sur Lotusphere, Neil Davis, son spécialiste de la messagerie, témoignait de la nécessité d'utiliser une plateforme capable d'intégrer rapidement dans la boucle les partenaires externes et les entreprises rachetées dotés de PABX divers. Cisco et Nortel comme partenaires A Orlando, IBM a notamment annoncé des accords avec Cisco et Nortel, qui distribueront Sametime dans leurs solutions de communication unifiée, ainsi qu'avec Carestream Health, spécialiste des technologies de radiologie. Sur Lotusphere, l'un des exemples volontiers évoqués autour de Sametime est celui de spécialistes médicaux distants commentant, en situation d'urgence, la radiographie d'un patient. Mais au-delà de ces cas sensibles, Akiba Saeedi, responsable des produits de collaboration chez IBM, juge que la messagerie instantanée trouve son application la plus évidente lorsqu'elle est directement intégrée à des processus métiers. « Pouvoir contacter immédiatement un manager pour lancer une commande si on est alerté d'un niveau de stock trop bas prend tout son sens. » Quatrième produit de la famille, Lotus Sametime Unified Telephony, qui sera livré plus tard dans l'année, permettra de gérer ses appels depuis Sametime. Il sera possible, par exemple, de router un appel vers un mobile si l'agenda du correspondant indique qu'il est en déplacement. A Orlando, l'évocation de futures fonctions a aussi donné lieu, sur une note humoristique, à la démonstration d'une conférence audio menée dans un cadre virtuel. (...)

(23/01/2008 15:17:13)

Sun étend son programme Startup Essentials à la France

Sun Microsystems a annoncé aujourd'hui que son programme d'aide au démarrage des jeunes pousses était disponible en France, en Allemagne et au Canada. Ce programme, baptisé Startup Essentials, leur propose toute une panoplie de services et de produits pour les aider « à démarrer très rapidement leur activité, en optant pour les meilleures solutions technologiques », souligne Sharon Moore, responsable des relations avec les développeurs pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique, avant de préciser « nous avons inclus la France dans notre programme, car elle dispose d'un important vivier d'innovation ». La France a par ailleurs bénéficié de la plus forte croissance de l'investissement en capital risque de toute l'Europe en 2007 (selon Ernst & Young et Dow Jones VentureOne), ce qui a également motivé la décision de Sun. Le programme se décline en plusieurs volets : des tarifs préférentiels (entre 20 et 50% de remise) sur une gamme de produits et de services (sous Solaris évidemment, mais également disponibles sous Linux ou Windows), des logiciels gratuits (MySQL, Apache...), la possibilité de louer un service d'hébergement en passant par des partenaires de Sun (Layered Technologies, NaviSite et NYY Europe Online), si la start-up préfère se concentrer sur son métier, et un support technique (par mail, forum et site communautaire). Pour adhérer au programme de Sun, il faut remplir quelques critères : avoir moins de quatre ans d'existence, ne pas employer plus de 150 collaborateurs, être présent et visible sur le marché français (en disposant d'un site Web par exemple) et être inscrit au registre du commerce. La démarche en elle même est assez simple, il suffit de s'inscrire au programme sur le site de Sun. Une fois son adhésion acceptée, la start-up a accès à un catalogue en ligne, « sans aucune engagement de sa part », précise Bruno Hourdel, directeur du marketing de Sun Microsystems France. Créé en novembre 2006, Startup Essentials compte déjà 1500 adhérents aux Etats-Unis, en Inde, en Chine, en Israël et en Grande-Bretagne. Sun espère séduire 500 start-up françaises d'ici la fin de l'année. Notons par ailleurs que Microsoft fêtera en février prochain le deuxième anniversaire de son programme d'aide aux start-up baptisé Idées. (...)

(23/01/2008 14:43:58)

Apple modifie DTrace pour protéger ses DRM

Lorsqu'Apple a annoncé son intention d'intégrer l'outil d'analyse DTrace, conçu initialement pour OpenSolaris, dans MacOS X, les développeurs du logiciel étaient particulièrement fiers. Maintenant, ils sont furieux. En effet, selon l'un d'entre eux, Adam Leventhal, Apple a dégradé le programme pour l'empêcher d'accéder à certaines applications, dont iTunes. Si Apple s'est refusé à tout commentaire, les développeurs de DTrace y voient une volonté de protéger les systèmes de gestion des droits numériques implantés dans ce logiciel, et d'empêcher ainsi un utilisateur expérimenté de contourner les DRM en utilisant DTrace. (...)

(23/01/2008 14:39:24)

L'Epitech favorise les échanges entre étudiants français et chinois

Après un premier accord signé en 2005 avec l'université de Dalian (nord de la Chine), l'Epitech poursuit sa collaboration avec la Chine en annonçant aujourd'hui la signature d'un nouveau partenariat avec l'université de Chongqing, située dans le centre du pays. L'école d'ingénieurs en informatique devient ainsi partenaire d'un nouvel établissement reconnu pour la qualité de ses enseignements dans le secteur des technologies et classé parmi les 30 premières universités chinoises. Cet accord permettra aux étudiants français mais aussi chinois, d'obtenir un double diplôme, avec le grade de Master. En effet, les étudiants de l'Hexagone auront l'opportunité de suivre leur 4e année en Chine et auront, en plus de leur titre « Expert Epitech », un Master chinois issu d'une des plus grandes universités chinoises. Quant aux étudiants chinois, ils pourront s'inscrire au cursus Epitech dispensé à l'université (pour une durée de 4 ans) avec la possibilité d'effectuer leur 4e année en France, dans les locaux de l'Epitech, ou de suivre une année entièrement en anglais. A la fin de ces 4 années d'études, après validation du cursus, un double diplôme leur sera remis, comprenant le « Bachelor Epitech » reconnu par les entreprises françaises. Des professeurs de l'Epitech seront détachés à Chongqing pour les préparer à suivre le cursus français. Dès l'an prochain, des élèves de l'Epitech partiront suivre leur 4e année en Chine. D'ici trois ans, ce sera au tour d'élèves chinois d'effectuer leur scolarité en France, dans le cadre d'un programme qui concernera une cinquantaine d'étudiants chinois pour l'année 2008-2009. (...)

(23/01/2008 10:26:48)

Microsoft signe un accord clé avec Citrix

Faute d'avoir un hyperviseur à proposer, Microsoft peaufine ses positions en vue de l'affrontement qui se profile avec VMware. Le train d'annonces du jour part dans tous les azimuts. Du rachat d'une jeune pousse spécialiste de la virtualisation du poste client à un accord d'interopérabilité poussée entre Microsoft et Citrix en passant par des ajustements de licence et de tarifs. - Un accord d'interopérabilité renforcée avec Citrix fait de ce dernier le pivot de la stratégie de reconquête de Microsoft. L'idée est d'utiliser l'offre de virtualisation de Citrix - qui intègre désormais Xen - et d'en tirer des synergies pour imposer Windows Server 2008 et ses outils périphériques (l'hyperviseur Hyper-V et la suite d'administration System Center). Citrix travaille aussi à la possibilité de faire passer une machine virtuelle de son hyperviseur Xen à Hyper-V, celui que Microsoft promet de livrer dans six mois. Dans l'autre sens, une prochaine version de System Center Virtual Machine Manager (SCVMM) administrera Xen. Un peu comme si Microsoft se créait sa propre hétérogénéité pour mieux l'administrer. - L'achat de Calista Technologies. Cette jeune pousse détiendrait une technologie graphique qui permettrait la mise en place de postes clients virtuels en environnement multimédia. Regarder une vidéo ou écouter du son à partir d'un client léger est encore aujourd'hui difficile sous Windows TS. - Microsoft consent à toutes les versions de Vista le droit de fonctionner en environnement virtuel. Auparavant, cette possibilité était réservée à la version Enterprise de Vista que seuls les abonnés à l'onéreuse Software Assurance pouvaient acquérir. - Le prix de "Windows Vista Enterprise Centralized Desktop" tombe à 23$ contre 78$ auparavant, voire de plus de 100$ il y a un an. Cette licence permet de faire tourner Vista sur un serveur. Chez Forrester, on estime que VMware ne sera pas menacé par la montée en puissance de Microsoft dans le domaine de la virtualisation avant deux ans. On peut d'ailleurs interpréter les annonces du jour de Microsoft de deux façons opposées. D'un côté, l'éditeur continue de tâtonner pour trouver la meilleure riposte à VMware, de l'autre, il s'attache surtout à occuper le terrain marketing, en occupant la scène médiatique. Microsoft a pris la peine de diffuser par mail sa "vision et sa stratégie pour accélérer l'adoption de la virtualisation" à 300 000 personnes. La dernière fois que Microsoft a supplanté un numéro un sur un marché remonte à 1997, lorsqu'Internet Explorer avait doublé Netscape Navigator. (...)

(23/01/2008 10:10:48)

Trimestriels Apple : niveau de ventes historique mais prévisions décevantes

Résultats 1er trimestre 2008 Chiffres d'affaires : 9,6 Md$ (+35%) Résultat net : 1,58 Md$ (+58%) Avec 2,3 millions de Mac et 22,1 millions d'iPod vendus pendant la période des fêtes de fin d'année, Apple boucle un solide trimestre, le 4e consécutif au cours duquel les quantités d'ordinateurs de bureau et portables écoulées battent des records. Elles croissent ainsi de 44% en volume et 47% en valeur sur un an et représentent, avec les logiciels et les services afférents, 47% des revenus du groupe. Au total, le chiffre d'affaires s'élève à 9,6 Md$, en hausse de 35%. Le résultat net progresse, quant à lui, de 58%, à 1,58 Md$. Lancé en octobre 2007, Leopard, le dernier OS du groupe à la pomme, a permis à Apple d'engranger 170 M$. « Une progression significative », estime le directeur financier Peter Oppenheimer, au regard des 100 M$ tirés des ventes d'OS X 10.4 trois mois après sa sortie. L'activité liée aux baladeurs marque aussi un record : Apple a distribué 22 121 000 millions d'iPod, soit 5% en volume de plus qu'il y a un an, et 17% en valeur. Si la croissance du nombre d'appareils vendus ralentit, le groupe ne doute pas que la demande se maintienne à un très haut niveau, notamment grâce aux prochaines évolutions du produit : « nous croyons que l'une des futures orientations de l'iPod est d'en faire la principale plateforme mobile WiFi », indique Peter Oppenheimer. Enfin, l'iPhone a trouvé 2,3 millions d'acquéreurs au cours du trimestre, portant le total d'utilisateurs à 4 millions depuis son lancement en juin. Le téléphone a rapporté 241 M$ à Apple. Malgré ces bons résultats, les analystes boudent. Ils redoutent ainsi que le ralentissement de l'économie affecte Apple et que ses produits - pas vraiment de première nécessité - pâtissent de la conséquence de la crise issue des subprimes. Les prévisions livrées par le groupe pour le 2e trimestre semblent confirmer ces craintes : Apple table ainsi sur un chiffre d'affaires de 6,98 Md$, qui sera alors en hausse de 29% sur un an. Une croissance moindre que celle enregistrée au cours de ce 1er trimestre. (...)

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